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Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
Situation politico-économique : Habib Vitin plaide pour une concertation nationale et met en garde contre les querelles au sommet de l’État
14/11/2025
Une femme de 66 ans a été arrêtée à Touba avec plusieurs kilos de chanvre indien. L’affaire intrigue par son ampleur inattendue.
À Touba, ville connue pour sa ferveur religieuse et sa discipline quotidienne, une découverte inattendue vient troubler la sérénité des habitants. Une commerçante de 66 ans a été arrêtée après avoir été surprise au cœur d’un trafic de chanvre indien, une situation qui a tout d’un scénario improbable.
Une surveillance minutieuse
Les membres du « Kurel sam wormay Touba », un collectif de Baye Fall engagé dans la lutte contre les comportements jugés déviants, avaient reçu plusieurs dénonciations à son sujet. Après une période d’observation, ils ont fini par l’intercepter alors qu’elle transportait un demi-bloc de chanvre dissimulé dans un seau, en pleine rue.
Une cache découverte à son domicile
L’affaire a rapidement pris une dimension plus sérieuse lors de la perquisition à son domicile. Les autorités y ont découvert huit blocs supplémentaires de chanvre indien, pour un total de 4,7 kilos, confirmant ainsi l’importance du trafic.
Un mystérieux complice évoqué
Placée en garde à vue au commissariat spécial de Touba, la sexagénaire a affirmé qu’un certain « Ousseynou » lui aurait confié la drogue. Mais l’absence d’informations précises sur ce prétendu fournisseur laisse planer de nombreuses zones d’ombre sur cette affaire.
À Saint-Louis, le colonel Alioune Samassa a officiellement pris le commandement de la zone militaire n°2 et appelle à une vigilance renforcée face à la menace terroriste.
Le colonel Alioune Samassa, nouveau commandant de la zone militaire n°2, a appelé mercredi à plus de vigilance face à la menace terroriste, peu après son installation officielle à Saint-Louis.
« Nous sommes dans un contexte géopolitique particulier et perturbé, avec des acteurs perturbateurs. Les frontières sont à la fois des points d’application de la sécurité et de l’insécurité », a-t-il déclaré devant la presse.
Insistant sur la nécessité d’une vigilance accrue, il a rappelé que la menace terroriste exige davantage de force et d’anticipation. Dès son arrivée, il a ainsi instruit les chefs de corps placés sous son autorité de développer une véritable culture de la vigilance et de privilégier des actions préventives.
Le colonel Samassa a exhorté ses hommes à se préparer à affronter tout adversaire susceptible de menacer les intérêts vitaux du pays, sa souveraineté et la tranquillité des populations. Son ambition est de faire de la zone militaire n°2 une région « sereine, prête au combat et capable d’anticiper sur toute éventualité ».
Il a également insisté sur l’importance du travail conjoint avec les autres forces de défense et de sécurité, mais aussi avec les populations, qu’il considère comme un pilier essentiel de la résilience.
La cérémonie d’installation, présidée par le général de corps d’armée Mbaye Cissé, chef d’état-major général des armées, a été marquée par une prise d’armes et un défilé militaire. Plusieurs autorités civiles et militaires, dont le gouverneur de région Al Hassan Sall et l’adjoint au préfet du département Abdou Khadre Dieylani Bâ, ont assisté à l’événement.
✅aps
À Dakar, les libraires de rue du marché Sandaga constatent une baisse de clientèle à l’approche de la rentrée scolaire, entre crise économique et concurrence du numérique.
À l’approche de la rentrée scolaire, le marché de Sandaga, habituellement animé, peine à retrouver son affluence. Les vendeurs de livres installés à même le sol, appelés par terre, observent une baisse notable de fréquentation. « Les années passées, à cette période, l’endroit était plein. Mais actuellement, rien ne va », confie Mouhamed Cissé, dit Djim. Si certains commerçants affichent leur inquiétude, d’autres, comme Cheikh Thiam, espèrent encore un afflux de parents de dernière minute.
Un rôle essentiel dans l’approvisionnement scolaire
Ces libraires de rue rappellent leur importance dans l’accès aux ouvrages scolaires. Contrairement aux grandes surfaces et librairies classiques, ils proposent une diversité qui séduit de nombreux parents. « Nous avons des ouvrages neufs, anciens, parfois introuvables ailleurs. Et surtout, nous permettons l’échange de livres, ce qui aide énormément les familles à faibles revenus », souligne Dame Samb, surnommé l’avocat des livres.
La menace du numérique
Au-delà de la crise économique, ces vendeurs font face à un autre défi : l’essor du numérique. Avec la multiplication des livres en ligne et l’avancée de l’intelligence artificielle, leurs ventes en pâtissent. « Les jeunes lisent de plus en plus sur écran, mais cela fatigue les yeux et réduit la concentration », expliquent-ils, en défendant la valeur durable du livre physique, jugé plus propice à l’apprentissage et à la culture.
Préserver la lecture traditionnelle
À quelques jours de la rentrée 2025-2026, les commerçants de Sandaga lancent un appel aux parents : continuer à investir dans les livres physiques. Pour eux, cet acte ne se limite pas à soutenir leur commerce, mais contribue aussi à préserver le goût et la richesse de la lecture traditionnelle face à la montée du digital.
dakaractu
Les policiers de Karang saisissent 150 kg de chanvre indien à Djinack Bara. Un mineur de 8 ans impliqué et une révolte villageoise compliquent l’opération.
L’affaire ressemble à un scénario digne d’un film. Les éléments du commissariat spécial de Karang, en poste avancé à Djinack Bara, ont mis la main sur une cargaison de 150 kilogrammes de chanvre indien, dans des conditions particulièrement mouvementées.
Une charrette piégée
Tout commence lundi dernier, après l’exploitation d’un renseignement signalant un trafic entre Ka Diatta, en Gambie, et Djinack Bara, au Sénégal. Les enquêteurs suivent la piste pendant plusieurs heures avant d’intercepter une charrette chargée de dix sacs suspects. À la fouille, la découverte est claire : 150 kilos de chanvre indien.
Un mineur au cœur de l’affaire
L’histoire prend une tournure inattendue lorsque les policiers constatent que le conducteur de la charrette n’est autre qu’un enfant âgé de 8 ans, qui réussit à s’échapper dans la confusion. Le propriétaire présumé de la drogue, un homme de 33 ans, est quant à lui arrêté et placé en garde à vue.
Une révolte communautaire
Rapidement, la nouvelle de l’arrestation se propage et les habitants des villages concernés se mobilisent. Imams, notables et jeunes se rendent au poste pour réclamer la libération du suspect. Face au refus des policiers, la tension monte et les forces de l’ordre, en sous-effectif malgré l’appui de deux agents des Parcs nationaux, se retrouvent sous pression.
Une stratégie pour éviter l’affrontement
Afin d’éviter un affrontement violent, le commandement ordonne aux policiers de sécuriser la drogue dans un lieu secret, puis de relâcher provisoirement les personnes interpellées après identification et prise de photos, avec convocation prévue ultérieurement.
Acheminement sous haute surveillance
La cargaison est ensuite discrètement transportée par pirogue, avec l’appui des agents des Parcs nationaux, jusqu’au quai de Massarinko, où des renforts venus de Karang prennent le relais. Les 150 kilos de chanvre indien sont mis en sécurité, tandis que l’enquête se poursuit pour retrouver le propriétaire présumé et ses complices.
dakaractu
La 14e session de l’AMCOW s’est tenue à Dakar. Le maire Abass Fall appelle à une gouvernance décentralisée et solidaire de l’eau en Afrique.
La capitale sénégalaise a abrité ce lundi la 14e session ordinaire de l’Assemblée générale du Conseil des ministres africains chargés de l’eau (AMCOW). La cérémonie d’ouverture a été présidée par Cheikh Tidiane Dieye, ministre sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement, en présence de plusieurs responsables africains.
Le maire de Dakar, Abass Fall, a profité de l’occasion pour défendre une approche décentralisée de la gestion des ressources hydriques. Selon lui, « les collectivités territoriales se trouvent en première ligne face aux besoins quotidiens en eau et en assainissement ». Il a ainsi plaidé pour une gouvernance territoriale soutenue par des politiques nationales, afin de bâtir des sociétés plus justes, durables et résilientes.
L’édile dakarois a également mis en avant la nécessité d’une coopération renforcée entre États, tout en rappelant le rôle des grandes villes, à l’image de Dakar, dans la transformation de ce défi majeur en opportunité de solidarité et de développement durable.
Créé en 2002 par l’Union africaine, l’AMCOW se présente comme un cadre stratégique de concertation autour des politiques de l’eau sur le continent. La session de Dakar s’inscrit dans l’élaboration d’une vision africaine de l’eau à l’horizon 2063, en phase avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Elle constitue un moment clé pour définir des orientations capables d’assurer l’accès universel à l’eau et à l’assainissement dans les prochaines décennies.
Le maire de Keur Massar Sud dénonce un manque de concertation lors de l’opération de désencombrement, affirmant que sa commune avait déjà engagé des actions et propose un plan de recasement pour les marchands ambulants.
À la suite de l’opération de désencombrement menée ce dimanche sous le pont de Keur Massar, le maire de la commune de Keur Massar Sud a exprimé ses vives réserves. Présent sur les lieux, il a regretté l’attitude de certains acteurs locaux : selon lui, l’annonce de la venue du ministre de l’Intérieur a poussé plusieurs responsables à se précipiter sur le terrain « pour faire semblant », alors que sa mairie avait déjà entamé ce travail depuis longtemps. Il accuse même ces mêmes acteurs d’avoir contribué par le passé à l’anarchie observée dans la zone.
Le maire insiste sur le fait que le déguerpissement n’est pas un problème en soi, mais qu’il nécessite un véritable suivi pour être efficace. Concernant les marchands ambulants affectés, il défend la mise en place d’un plan de recasement. « Nous avons déjà une solution en ce sens », affirme-t-il, tout en déplorant que sa commune n’ait pas été consultée. Il rappelle enfin que cette opération de déguerpissement était initialement prévue pour le 1er octobre prochain.
À Ndoulo, une coupure d’électricité paralyse le poste de santé depuis trois jours. Habitants et maire s’opposent sur la responsabilité du paiement des factures.
À Ndoulo, commune du département de Diourbel, des habitants ont manifesté vendredi pour dénoncer la coupure d’électricité qui paralyse depuis trois jours le poste de santé local. Ils imputent la situation au non-paiement de factures par la municipalité.
« Nous sommes réunis pour dénoncer la fermeture du poste de santé de Ndoulo à cause du non-paiement de deux factures d’électricité d’un montant global de plus de 300 000 francs CFA », a déclaré Dr Djily Mbaye, porte-parole des manifestants. Il a rappelé que, selon les textes en vigueur, le règlement des factures des structures sanitaires relève des collectivités territoriales, tout en soulignant que ce poste de santé couvre une cinquantaine de villages.
Réunis en sit-in devant les locaux, les habitants ont exigé le paiement immédiat des factures afin d’assurer la continuité des soins. Ils ont aussi interpellé les autorités pour pousser le maire à régler la situation. Awa Bèye, habitante de la commune, a critiqué le refus de la municipalité, depuis deux ans, d’accorder au poste de santé ses subventions pour l’achat de médicaments et de carburant.
Le maire de Ndoulo, Mamadou Kany Bèye, a rejeté ces accusations dans un entretien téléphonique avec l’APS. « Aucun décret ne stipule que les collectivités doivent payer les factures d’électricité des structures sanitaires », a-t-il affirmé, estimant que cette charge incombe au comité de développement sanitaire. Il a ajouté avoir déjà réglé personnellement une facture antérieure de plus d’un million de francs CFA.
aps
Visé par un mandat d’arrêt international, le journaliste Madiambal Diagne affirme depuis la France qu’il compte rentrer au Sénégal pour se présenter à la justice.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, vendredi, avoir reçu notification d’un mandat d’arrêt international décerné contre Madiambal Diagne. Ce mandat a été délivré par le Président du Collège des juges d’instruction du pool judiciaire financier.
Le principal intéressé a réagi dès samedi. Sur son compte X, il a déclaré : « Je prends note de l’annonce d’un mandat d’arrêt international émis contre moi. Je rappelle que c’est moi-même qui ai informé de ma présence en France et de mon prochain retour au Sénégal ».
Le patron du Groupe Avenir Communication a ajouté qu’il entend revenir au pays pour répondre devant la justice : « J’affirme qu’avant l’exécution d’un tel mandat, je me présenterai à la justice de mon pays ».
seneweb
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