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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
03/12/2025
Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
Le ministère de la Famille présente un budget 2026 de 134,6 milliards FCFA en engagements et 122,8 milliards en crédits de paiement, marqué par une baisse liée au transfert de programmes. Les priorités porteront sur le genre, la protection familiale et le soutien aux groupes vulnérables.
Le ministère de la Famille, de l’Action sociale et des Solidarités a présenté un budget 2026 fixé à 134 654 619 331 francs CFA en autorisations d’engagement et 122 810 621 884 francs CFA en crédits de paiement, selon les conclusions de la commission des finances de l’Assemblée nationale.
Mady Danfakha, président de cette commission, a expliqué que les crédits de paiement enregistrent une diminution de 54,4 milliards de francs CFA par rapport à l’année précédente. Ce recul est principalement lié au transfert de plusieurs programmes, notamment celui consacré à la modernisation des axes et territoires frontaliers, désormais rattaché à un autre département ministériel.
La ministre Maïmouna Dièye a rappelé que la direction générale de l’action sociale — responsable de l’accompagnement des personnes âgées et des publics en difficulté — est rattachée depuis septembre au ministère de la Famille, suite au réaménagement gouvernemental.
Pour 2026, le ministère entend concentrer ses actions sur la promotion du genre, le soutien économique aux femmes, ainsi que sur la protection de la famille, de l’enfance et des groupes vulnérables, conformément aux priorités annoncées.
Une embarcation partie du Sénégal et transportant 89 migrants a été arrêtée au large de Nouadhibou après une semaine d’errance. Quatre personnes ont perdu la vie dans des conditions dramatiques. Les autorités poursuivent les investigations pour retrouver les organisateurs.
Une embarcation transportant 89 migrants sénégalais, dont un mineur, a été interceptée au large de Nouadhibou après avoir dérivé en mer pendant sept jours. L’errance s’est soldée par quatre décès, dont deux personnes originaires de Touba.
Partis de la zone de Carrefour Diaroumé, dans la région de Sédhiou, les voyageurs avaient d’abord transité par la Gambie avant d’embarquer pour un trajet clandestin censé les conduire vers l’Europe. Pour cette traversée, chacun aurait versé entre 50 000 et 800 000 FCFA à un réseau de recruteurs dont les identités ont été relevées mais ne sont pas divulguées ici.
Les conditions de navigation se sont rapidement dégradées, provoquant une situation dramatique à bord. Deux passagers auraient été emportés par une mer agitée. Un autre a été découvert sans vie après avoir passé la nuit dans un contenant à carburant dont les émanations lui auraient été fatales. Une quatrième personne est décédée lors de sa prise en charge à Nouadhibou.
L’enquête menée par la Division nationale de lutte contre le trafic de migrants a permis d’identifier plusieurs membres de l’équipage, qui ont reconnu avoir participé au pilotage de la pirogue. Ils affirment avoir été recrutés par les organisateurs présumés, toujours en fuite. Les personnes arrêtées en Mauritanie n’ont pas été remises aux autorités sénégalaises.
Les 89 survivants ont été conduits à Rosso, où ils ont été confiés au chef de l’antenne régionale de la structure chargée de la lutte contre ce type de trafic. Les membres de l’équipage interpellés ont, quant à eux, été présentés ce lundi au parquet compétent à Dakar.
Le directeur général des Douanes du Sénégal rappelle la nécessité d’un dialogue permanent avec les opérateurs économiques pour améliorer la performance, moderniser les procédures et favoriser un environnement des affaires plus compétitif.
Lors du lancement de la troisième édition des Journées de l’entreprise, le directeur général des Douanes du Sénégal, le colonel Babacar Mbaye, a mis en avant l’importance d’une relation continue et constructive entre son administration et les opérateurs économiques. Il estime qu’une douane moderne repose sur un climat de confiance, d’échanges permanents et d’objectifs partagés.
Dirigeant cette rencontre de deux jours, organisée sous le thème « Le rôle de la Douane dans la performance des entreprises », il a rappelé que cet espace constitue une plateforme essentielle pour exprimer les attentes, éclaircir les points de divergence et proposer des solutions communes. Selon lui, la performance collective et la souveraineté économique se construisent progressivement, grâce à la coopération entre les entreprises et l’administration douanière.
Le président du Conseil national du patronat (CNP), présent à la cérémonie, a insisté sur la nécessité d’adapter le cadre réglementaire afin de soutenir un environnement des affaires plus moderne, attractif et résilient. Il a salué les efforts des Douanes dans la prise en compte des nouveaux défis liés au contexte international, à la sécurité et aux échanges transfrontaliers.
Il a également souligné l’importance d’une évolution technologique continue, notamment à travers la dématérialisation des procédures, pour garantir plus de transparence et améliorer la qualité des services. Concernant les échanges internationaux, il a recommandé un renforcement de la coopération régionale afin de faciliter l’interconnexion entre les différents systèmes douaniers.
De son côté, Malang Diedhiou, directeur de la Facilitation et du Partenariat avec les entreprises, a estimé que les acteurs économiques ont besoin d’un accompagnement plus adapté pour exploiter pleinement les opportunités offertes par les marchés nationaux et internationaux. Il a expliqué que cette troisième édition des Journées de l’entreprise vise précisément à renforcer ce partenariat, en favorisant un cadre d’échanges capable de soutenir un environnement économique plus compétitif.
Opération nocturne réussie à Kaolack : cinq individus ont été arrêtés après plusieurs agressions avec intimidation au Marché Central. Les victimes ont été secourues et leurs biens récupérés.
Le Commissariat central de Kaolack a conduit, dans la nuit du 6 au 7 décembre 2025, une opération de sécurisation qui s’est soldée par l’interpellation de cinq individus impliqués dans une série d’agressions avec intimidation et retenue forcée.
Les informations recueillies indiquent que le groupe avait mis en place un stratagème minutieux. Les victimes – deux femmes et leur chauffeur, ainsi qu’un conducteur de moto – étaient attirées dans un appartement privé situé au Marché Central, à proximité du magasin de prêt-à-porter UNO. Une fois à l’intérieur, elles étaient contraintes de remettre argent, téléphones et autres effets personnels.
Alertée par une source anonyme, la Brigade de Recherches du Commissariat central a déployé rapidement ses équipes. Grâce à une intervention coordonnée, les cinq individus ont été arrêtés en un laps de temps très court.
Une opération menée en plusieurs étapes
Les arrestations ont été réalisées en trois phases successives :
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Deux suspects ont été appréhendés près de l’ancien Bar Napoléon.
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Deux autres ont été interceptés directement dans l’appartement où les faits se déroulaient.
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Un cinquième individu, qui tentait de quitter les lieux à bord d’un véhicule, a été stoppé au Point Noiro.
La fouille du véhicule a permis de retrouver une pièce d’identité, tandis que trois téléphones appartenant aux victimes ont été récupérés lors des contrôles corporels.
Des victimes traumatisées
Le conducteur de moto présentait un état de choc et plusieurs égratignures au visage. Les auditions effectuées par les enquêteurs ont confirmé les faits dénoncés et la nature des violences subies.
Suite de la procédure
Les cinq individus ont été placés en garde à vue dans l’attente des prochaines étapes judiciaires.
dakaractu
Les visites médicales obligatoires pour les candidats au Hajj 2026 débuteront le 6 janvier à l’aéroport Léopold Sédar Senghor, dans le cadre des préparatifs officiels du pèlerinage.
Dans le cadre de la préparation du Hajj 2026, le hangar des pèlerins de l’aéroport Léopold Sédar Senghor de Yoff sera ouvert pour accueillir les candidats au pèlerinage. Les visites médicales d’aptitude débuteront le mardi 6 janvier 2026 à partir de 9 heures. Cette étape, obligatoire pour tous les futurs pèlerins, vise à vérifier leur condition physique et sanitaire avant le départ.
Les autorités invitent les inscrits à respecter l’horaire fixé et à se présenter avec l’ensemble des documents requis afin de faciliter le déroulement des examens. Cette démarche fait partie des dispositifs mis en place pour assurer un voyage sécurisé et serein aux pèlerins sénégalais.
En visite surprise sur l’axe Birkilane–Mabo, le ministre des Infrastructures Dethie Fall a ordonné l’application de pénalités et le remplacement du chef de chantier après avoir constaté un retard dans les travaux.
Lors d’un déplacement inattendu effectué ce dimanche 7 décembre 2025 à 10 h 30 sur la route Birkilane–Mabo, le ministre des Infrastructures, Dethie Fall, accompagné du député Samba Dang, a observé que les délais prévus pour la réception des travaux réalisés par l’Ageroute n’étaient pas respectés.
Face à cette situation, le ministre a immédiatement instruit le Directeur général de l’Ageroute de mettre en œuvre les pénalités prévues au contrat. Il a également demandé que ces dispositions soient transmises sans délai au ministère et à la Primature afin d’assurer un suivi strict.
Le responsable de l’Ageroute en charge du chantier a été relevé de ses fonctions, une décision effective sur-le-champ, avec un remplacement aussitôt acté.
Des inspecteurs techniques seront sur le terrain dès mardi afin de garantir l’application de l’ensemble des mesures prises.
Au cours de cette visite, Dethie Fall a rappelé aux entreprises et équipes de supervision que le respect du coût, des délais et de la qualité constitue une exigence essentielle pour les autorités, et que cette ligne de conduite guidera désormais toute exécution de projet.
seneweb
L’Assemblée nationale a approuvé le budget 2026 du ministère de la Microfinance, fixé à plus de 7,7 milliards FCFA. Le ministre des Finances recommande un meilleur accès des institutions de microfinance au financement de la BCEAO.
L’Assemblée nationale a adopté, samedi, le projet de budget 2026 du ministère de la Microfinance et de l’Économie sociale et solidaire, fixé à 7 milliards 727 millions 939 mille 616 francs CFA.
Le budget, présenté par Alioune Dione, s’articule autour de quatre programmes portant notamment sur la coordination, le renforcement du secteur de la microfinance et la promotion de l’Économie sociale et solidaire.
Face aux demandes de certains députés qui souhaitaient une hausse des crédits alloués, le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba, a plaidé pour un accès élargi des institutions de microfinance au guichet de financement de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO).
Il a estimé que cette possibilité constitue une solution durable, soulignant que sans cet accès, les structures de microfinance ne peuvent pas proposer des taux réduits. Il a rappelé que, dans le système actuel, les banques prêtent leurs fonds à ces institutions, qui ne peuvent ensuite consentir des crédits à perte.
Cheikh Diba a également encouragé les institutions de microfinance à respecter les normes et les standards de gouvernance.
Le Sénégal aborde la Coupe du monde 2026 avec de fortes ambitions, affirmant disposer du talent et de l’expérience nécessaires pour sortir d’un groupe exigeant.
Le Sénégal se rendra à la Coupe du monde 2026 avec la ferme intention de défendre son rang, selon le président de la Fédération sénégalaise de football. Le pays, dit-il, n’a nullement l’objectif de participer sans ambition, mais plutôt de confirmer son statut acquis au fil des performances et reconnu autant en Afrique que sur la scène internationale.
Cette prise de position intervient après le tirage au sort qui a placé les Lions dans le groupe I, où figurent également la France, la Norvège et un qualifié issu du tournoi Bolivie–Irak–Suriname. D’après le dirigeant, le Sénégal possède les qualités sportives, l’expérience des grands rendez-vous et un encadrement solide pour se hisser au-delà de cette première phase.
Un groupe relevé, mais à la portée des Lions
Le président de la FSF décrit cette poule comme un mélange de prestige et de défi, rappelant qu’elle correspond parfaitement aux ambitions de la sélection. Le premier match opposera de nouveau le Sénégal à la France, comme lors de l’édition où les Lions s’étaient illustrés dès leur entrée en lice grâce à une victoire marquante. Il considère cette rencontre comme un moment fort, à la fois spectaculaire et exigeant sur les plans physique et tactique.
Cependant, il recommande de ne pas concentrer l’essentiel de la préparation sur cet adversaire historique. La Norvège, en pleine progression, possède des individualités talentueuses et une grande discipline collective, ce qui impose une vigilance totale.
Le dernier adversaire, issu des barrages intercontinentaux, devra être abordé avec le même sérieux. Pour le président, aucune sélection n’atteint la phase finale d’un Mondial sans mérite, et chaque match devra être préparé avec rigueur.
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