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Lors d'une réunion sur l’Agenda « Sénégal 2050 », le Premier ministre Ousmane Sonko a fixé huit directives aux ministres pour garantir l’efficacité, la transparence et le suivi des projets.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé ce lundi une importante réunion gouvernementale consacrée au pilotage de l’Agenda "Sénégal 2050". À cette occasion, il a défini huit nouvelles règles à observer strictement par l’ensemble des ministres.
Parmi les mesures phares annoncées, chaque ministère devra désormais assurer un suivi strict des engagements internationaux et présidentiels. À cet effet, des rapports trimestriels d’évaluation devront être transmis pour rendre compte de l’état d’avancement des actions.
Ousmane Sonko a également exigé l’actualisation des feuilles de route ministérielles avant fin juillet. Il a spécifiquement cité les ministères des Transports, de l’Industrie, de la Justice et de l’Intérieur, appelés à fournir un plan détaillé pour la mise en œuvre des résolutions issues des états généraux et des initiatives sectorielles.
Soulignant l’urgence, le chef du gouvernement a insisté sur la nécessité d’une mobilisation totale autour du plan de redressement national, qu’il prévoit de présenter au Conseil des ministres dans les prochains jours, avant une communication publique officielle.
Le Premier ministre a par ailleurs mis fin à la pratique des courriers restés sans suite, qu’il considère comme des obstacles aux projets structurants. Il a exigé une accélération immédiate des projets en cours de financement, ainsi que le lancement des projets matures déjà inscrits dans la loi de Finances rectificative. Pour les dossiers en attente, une Task Force dédiée sera mise en place.
« Chaque blocage aura désormais un responsable identifié, chaque projet un échéancier clair, et chaque ministre une feuille de route suivie et évaluée », a averti Ousmane Sonko, avant de conclure :
« La parole de l’État engage, elle doit être traduite en actes concrets, avec méthode, rigueur et efficacité. »
Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye se rend à Cotonou ce mardi 15 juillet 2025 pour une visite de travail visant à renforcer les relations entre le Sénégal et le Bénin.
Le chef de l’État sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, est attendu ce mardi 15 juillet 2025 à Cotonou, capitale du Bénin, pour une visite de travail, selon une annonce relayée par l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Dans un communiqué diffusé par la présidence de la République et relayé par le Bureau d'information et de communication du Gouvernement du Sénégal (BIC-GOUV), il est précisé que cette visite s’inscrit dans une dynamique de renforcement des liens d’amitié et de coopération entre les deux pays.
Le déplacement vise à consolider les relations bilatérales entre le Sénégal et le Bénin, fondées sur des valeurs de fraternité et de collaboration mutuelle, selon la même source.
La Croix-Rouge forme 71 instructeurs et moniteurs à Thiès pour mieux répondre aux urgences dans tout le pays.
À Thiès, la Croix-Rouge sénégalaise a ouvert ce lundi un camp national de formation visant à renforcer ses capacités en premiers secours. Du 14 au 22 juillet, 71 participants — dont 45 futurs moniteurs et 26 instructeurs — bénéficient de cette session organisée à l’école Moundiaye Thiaw, dans le quartier Takhikao.
Tous les comités départementaux de l'organisation, au nombre de 46, sont représentés à cette formation. L’objectif principal est double : améliorer le niveau des formateurs existants et élargir le nombre de personnel qualifié dans chaque département du pays.
Ibrahima Baal, coordonnateur des projets de développement des premiers secours, a souligné que chaque comité départemental devra disposer, à terme, d’au moins un moniteur et un instructeur opérationnels. Les moniteurs auront pour tâche de former les secouristes sur le terrain, tandis que les instructeurs encadreront ces derniers et géreront les aspects pédagogiques.
Ce projet est soutenu financièrement par la Croix-Rouge de Belgique flamande, avec l’appui du Comité international de la Croix-Rouge et de la Croix-Rouge de Belgique francophone.
La formation aborde plusieurs volets essentiels : techniques de premiers secours, pédagogie, gestion des conflits, et diffusion des valeurs de l’organisation humanitaire. Elle prépare les formateurs à encadrer efficacement des volontaires capables d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, d’accident ou lors d’opérations de protection civile.
La Croix-Rouge sénégalaise a également élaboré un manuel dédié aux premiers secours routiers, en réponse aux nombreux accidents de la circulation. Environ 300 chauffeurs et conducteurs de moto-taxis ont déjà été formés dans les régions de Thiès, Fatick, Gossas et Foundiougne.
Forte de ses 45 comités, l’organisation dispose d’un réseau de volontaires mobilisables à tout moment, notamment lors d’inondations. Ces derniers interviennent rapidement, aussi bien dans l’évaluation des besoins que dans l’assistance directe aux populations touchées.
Badara Gadiaga, chroniqueur à TFM, a été placé sous mandat de dépôt ce 14 juillet 2025 après son audition au Tribunal de Dakar. Il était en garde à vue pour des propos controversés dans "Jakaarlo Bi".
À Dakar, ce lundi 14 juillet 2025, le juge d’instruction a ordonné le placement sous mandat de dépôt de Badara Gadiaga, chroniqueur bien connu de la chaîne TFM. Cette décision est intervenue à l’issue de sa comparution devant le magistrat instructeur.
Badara Gadiaga avait été appréhendé et gardé à vue durant plusieurs jours par la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC), en raison de propos jugés contraires aux bonnes mœurs, tenus dans le cadre de l’émission télévisée "Jakaarlo Bi".
Ses avocats, mobilisés depuis le début de l’affaire, ont annoncé une déclaration publique imminente pour commenter cette évolution judiciaire.
Trois hommes ont été arrêtés par la police de Grand Yoff pour des vols ciblant les automobilistes, principalement des femmes, sur le pont de l’Émergence. Ils simulaient des accidents pour dérober des téléphones.
Le Commissariat d’arrondissement de Grand Yoff a procédé, ce 12 juillet 2025 vers 20 heures, à l’interpellation de trois individus près de la Cité Millionnaire. Ils sont accusés d’association de malfaiteurs et de vol en réunion commis la nuit.
Un comportement suspect qui alerte les policiers
Les trois suspects ont attiré l’attention d’une patrouille par leur attitude jugée suspecte. Lors de leur fouille, un des individus était en possession de trois téléphones portables, dont il n’a pu justifier la provenance. Deux des appareils ont été immédiatement reconnus par leurs propriétaires, qui ont contacté les lignes et déclaré avoir été agressés plus tôt sur le pont de l’Émergence.
Un stratagème bien établi
Au cours de leur interrogatoire, les suspects ont avoué leur mode opératoire : ils simulaient un accident de la circulation pour détourner l’attention des automobilistes, ciblant en particulier les femmes. Profitant de la confusion, ils s’introduisaient discrètement dans les véhicules pour y dérober des téléphones ou objets de valeur.
Ils ont également reconnu agir régulièrement sur les ponts de l’Émergence et de la Foire, en particulier aux heures de pointe.
Garde à vue et poursuite de l’enquête
Les trois hommes ont été placés en garde à vue en attendant leur présentation au parquet. L’enquête se poursuit afin d’identifier d’éventuelles autres victimes ou complices impliqués dans ce réseau.
dakaractu
Djiby Gueye, devenu aveugle après la 6e, entre dans l’histoire en obtenant le bac à Saint-Louis. Un parcours inspirant marqué par la résilience et l’éducation inclusive.
Djiby Gueye a réalisé un exploit historique en devenant le premier élève déficient visuel à obtenir le baccalauréat dans l’académie de Saint-Louis, selon une information relayée par l’Inspection d’Académie.
Le jeune homme a perdu la vue après la classe de 6e et a dû rester un temps à la maison, dans son village de Ndioug Mberesse, ignorant l’existence d’un programme d’éducation inclusive spécialisé à Saint-Louis.
Grâce à une information reçue plus tard, il intègre l’école Boly Diaw, établissement adapté aux besoins des élèves non-voyants. Il y bénéficie d’un programme de rééducation et de mobilité, selon M. Ndiaye, agent de l’Institut national de l’éducation et de la formation des jeunes aveugles (INEFJA) et coordinateur du programme à Saint-Louis.
Formé à l’écriture et à la lecture braille, Djiby poursuit sa scolarité au collège Guillabert, où il décroche son BFEM, avant d’être orienté au Lycée De Gaulle. Ses enseignants y saluent unanimement son engagement et sa détermination exceptionnels.
Pour passer son baccalauréat, Djiby a dû se rendre à Thiès, qui abrite le seul centre d’examen adapté aux élèves déficients visuels du pays.
Deux autres élèves aveugles de l’académie s’apprêtent à passer leur BFEM le 16 juillet, preuve que l’éducation inclusive continue de progresser au Sénégal.
aps
Après un malentendu sur une supposée expulsion, la mairie de Tivaouane confirme que les vendeuses de fruits installées sur la route de Mboro peuvent poursuivre leurs activités en toute légalité.
La mairie de Tivaouane a finalement autorisé les vendeuses de fruits installées le long de la route de Mboro à rester sur les lieux, malgré une sommation adressée en début de semaine leur demandant de quitter l’espace. L’information a été confirmée ce vendredi par un agent municipal dépêché sur place.
Selon ce dernier, la situation a connu une « évolution positive ». Il a précisé, lors d’un échange parfois tendu avec les vendeuses, que sa présence visait essentiellement à évaluer les risques liés à la circulation de camions transportant du sable et d’autres matériaux de construction. Ces derniers sont utilisés pour l’érection d’un mur de clôture mitoyen à une boulangerie proche du site occupé par les vendeuses.
Il a également tenu à clarifier un malentendu, affirmant qu’il n’a jamais été question d’une expulsion officielle. « La municipalité n’a jamais cédé cet espace public au propriétaire de la boulangerie, et aucune décision d’expulsion n’a été prise », a-t-il assuré.
En conclusion, les vendeuses peuvent continuer leurs activités sur place en toute légitimité, a rassuré le représentant de la mairie.
À Grand Thiès, le calme des nuits est troublé par un inquiétant phénomène. Un chien sauvage s’introduit régulièrement dans le cimetière de Keur Madocky pour déterrer des tombes. Depuis plusieurs nuits, les habitants vivent dans la peur et dorment à peine.

À proximité du cimetière, un parking est gardé par Baye Siny, qui a donné l’alerte après avoir surpris l’animal en pleine action. Préoccupés, les riverains se sont aussitôt tournés vers l’imam de la mosquée pour trouver une solution et stopper les agissements de cet animal qui continue de terroriser le quartier.
« Le chien vient toutes les nuits, on est sous le choc. Nous lançons un appel aux autorités compétentes car la situation nous dépasse », témoigne Baye Siny, le gardien du parking.
Les habitants espèrent une intervention rapide pour mettre fin à ce drame qui trouble la quiétude du quartier et porte atteinte au repos des défunts.
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