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Société sur Thies info
Âgée de 19 ans, M.D. a été surprise par son père avec un touriste belge dans une posture intime dans la chambre parentale. L'affaire fait scandale à Thiès.

Dans le quartier calme de Thies Azur à Thiès, ce qui devait être une soirée ordinaire a viré au cauchemar familial. Le père de M.D., rentré plus tôt que prévu du travail, découvre sa fille dans le lit conjugal, en plein ébats avec un homme blanc, plus âgé qu’elle.
L’homme, identifié comme Marc D., est de nationalité belge. Il serait en vacances au Sénégal depuis une semaine. Il aurait entamé une relation avec la jeune fille via les réseaux sociaux et logeait depuis quelques jours discrètement au domicile familial… sans que la mère n’en soit informée.
Une trahison symbolique : le lit conjugal
Le détail qui choque l’opinion locale n’est pas seulement la relation elle-même, mais le lieu de l’acte : le lit conjugal de la mère, absente pour un séjour à Kaolack.
> « Même des adultes ne se permettraient pas une telle audace. Là, on parle d’une transgression profonde des normes familiales », déplore un voisin.
Face à la scène, le père se serait effondré, pris de vertiges, selon plusieurs témoins. L’homme a été pris en charge par un voisin médecin.
Une fuite précipitée à Grand Standing
M.D., confrontée à son père et à la colère qui a suivi, a fui en courant. Elle aurait trouvé refuge chez sa tante à Grand Standing, un quartier plus huppé de Thiès. Depuis, elle garde le silence. Son téléphone est coupé. Les parents, eux, n’ont toujours pas réussi à la joindre.
Sa mère, contactée d’urgence, a interrompu son voyage et serait attendue à Thiès dès ce samedi
Tourisme sexuel ou relation sincère ?
Derrière ce fait divers, c’est la question du tourisme sexuel et de ses zones grises qui refait surface. Les jeunes filles, parfois en quête de reconnaissance ou d’une vie meilleure, nouent des relations avec des étrangers souvent bien plus âgés.
Mais quand ces liaisons se vivent dans l’ombre des foyers familiaux, elles peuvent virer à la catastrophe.
Dans ce cas précis, aucun dépôt de plainte n’a été effectué. La police n’a pas été saisie. Mais les services sociaux pourraient s’y intéresser, notamment si des questions de vulnérabilité psychologique ou d’exploitation sont soulevées.
Autrefois perçue comme l’une des villes les plus tranquilles du Sénégal, Thiès fait aujourd’hui face à une montée préoccupante des agressions urbaines. De Médina Fall à Moussanté, en passant par Grand-Thiès ou l'avenue Caen, les faits divers liés aux attaques à l’arme blanche, vols à l’arrachée et braquages nocturnes se multiplient. Les populations, surtout les jeunes et les femmes, vivent dans une peur latente.

Cette analyse tente de comprendre les causes profondes, les zones à risques, les acteurs concernés et les perspectives possibles pour enrayer ce phénomène.
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Les zones rouges : cartographie de la peur
Des témoignages de victimes, des rapports de la police locale et des discussions dans les quartiers permettent de dégager des points chauds de la criminalité à Thiès :
Médina Fall : connu pour ses ruelles sombres, ce quartier est devenu un lieu où motos Jakarta et piétons sont régulièrement agressés à la tombée de la nuit.
Cité Lamy – Grand-Thiès : de nombreux cas de vol à main armée ont été signalés à la sortie des lieux de culte ou des boutiques.
Avenue Caen – rond-point hôpital : malgré la forte présence de circulation, les agresseurs opèrent souvent en bande sur des motos.
Les agressions ont souvent lieu entre 19h et 23h, moments où les gens rentrent chez eux, parfois chargés ou distraits.
Causes profondes : entre précarité et démission sociale
• Chômage et oisiveté juvénile
Beaucoup de jeunes sans emploi stable se tournent vers la petite délinquance, voire la violence. Le manque de perspectives nourrit un climat de frustration qui dégénère parfois en actes criminels.
• Drogue et alcool
Certains quartiers souffrent de la prolifération de drogues bon marché comme le "yamba", la colle à sniffer, ou même des boissons frelatées. Ces produits décuplent l’agressivité chez les jeunes.
• Manque d’éclairage public et de caméras
Une grande partie des rues de Thiès est mal éclairée. La ville ne dispose pas encore d’un système efficace de vidéosurveillance.
• Inefficacité de la prévention policière
Même si la police effectue des descentes régulières, elle reste souvent débordée et intervient tardivement. La peur de représailles dissuade aussi les citoyens de porter plainte ou témoigner.
Témoignages glaçants de la rue
Matar, conducteur de Jakarta :
> « J’ai été attaqué vers 22h à Médina Fall. Ils m’ont fait tomber, volé mon téléphone et mon argent. Si les jeunes du quartier n’étaient pas sortis, j’aurais pu y rester. »
Fatou, étudiante :
> « On m’a arraché mon sac près de la route de l’hôpital. Depuis, je ne rentre plus seule. La peur est constante. »
Réaction des autorités : entre discours et lenteur d’action
Les autorités municipales reconnaissent l’urgence. Plusieurs opérations « ville propre et sûre » ont été lancées avec la gendarmerie et la police. Des patrouilles de nuit ont été renforcées dans certains quartiers. Mais les résultats tardent à se faire sentir. Le maire de Thiès, les associations de quartiers et les imams multiplient les appels à la vigilance, mais cela reste insuffisant sans politique globale.
Pistes de solutions durables
Renforcement de l’éclairage public
Un programme de réhabilitation de l’éclairage urbain est urgent.
Implantation de postes de police de proximité
Surtout dans les zones rouges, afin de rassurer les habitants.
Insertion socio-économique des jeunes
Créer des centres de formation, encourager l'entreprenariat jeune.
Encouragement des comités de vigilance citoyens
Sans tomber dans la justice populaire, des systèmes d’alerte de voisinage (WhatsApp, cloches, lampes) ont déjà montré leur efficacité.
Lutte contre les stupéfiants
Des campagnes de sensibilisation ciblées dans les écoles et les daaras.
La montée des agressions dans les rues de Thiès n’est pas un simple fait divers isolé, mais le reflet d’un malaise social profond, d’un manque de prévention, et d’un déficit de sécurité publique. Il est temps que les pouvoirs publics, les citoyens et la société civile travaillent de concert pour redonner à Thiès sa réputation de ville paisible et hospitalière.
Une nouvelle affaire de proxénétisme secoue la ville de Thiès et met en lumière l’essor préoccupant de la prostitution digitalisée. A. Fall, une jeune femme bien connue du milieu interlope local, a été interpellée par la police après avoir diffusé sur les réseaux sociaux des images à caractère obscène et proposé des prestations sexuelles impliquant d'autres jeunes filles.

Selon nos sources, l’affaire a éclaté lorsque les forces de l’ordre, alertées par des riverains et des signalements en ligne, ont remonté jusqu’à un compte Instagram et une page Facebook gérés par la suspecte. Sur ces plateformes, A. Fall publiait régulièrement des photos très explicites d’elle-même et d'autres jeunes femmes, accompagnées de messages incitatifs, d’adresses précises dans la ville et même de numéros de téléphone à contacter.
L’annonce promettait des filles de « tous types », laissant entendre un large choix, dans ce qui semble être un réseau clandestin structuré. La prostituée aurait même loué un appartement dans un quartier résidentiel de Thiès pour y organiser ses rencontres tarifées en toute discrétion.
La police, qui avait placé l’annonce sous surveillance depuis plusieurs jours, a procédé à une descente sur les lieux, mettant la main sur plusieurs indices accablants : préservatifs, numéraires, téléphones portables contenant des conversations explicites, ainsi qu’un carnet avec des noms de clients et des plannings de rendez-vous.
A. Fall a été placée en garde à vue et entendue pour proxénétisme, incitation à la débauche, diffusion d’images obscènes et exploitation de mineures, car certains soupçons portent également sur l’âge de certaines filles figurant sur ses publications.
Les enquêteurs cherchent désormais à déterminer si elle agissait seule ou si un réseau
Une tendance inquiétante : Cette affaire remet en lumière le phénomène croissant de la prostitution digitalisée, où les réseaux sociaux deviennent des vitrines pour des activités illégales difficilement détectables. De plus en plus de jeunes femmes s’y livrent, attirées par des gains rapides, mais souvent manipulées ou exploitées dans des cercles criminels organisés.
Réactions dans la ville : Dans certains quartiers de Thiès, l’affaire a créé l’émoi. Des parents s’inquiètent de la facilité avec laquelle leurs enfants peuvent tomber sur ce genre de contenus en ligne. D’autres appellent à des mesures fermes contre les réseaux sociaux utilisés à des fins illicites, ainsi qu’à une campagne de sensibilisation contre l’exploitation sexuelle des jeunes filles.
Le dossier a été transmis au parquet de Thiès, et A. Fall pourrait être jugée pour plusieurs infractions, passibles de peines de prison ferme selon le Code pénal sénégalais.
Dans un quartier paisible de Thiès, l'affaire défraie la chronique : une dame d’environ soixante-dix ans, identifiée par les initiales A.A.F, est au cœur d’un scandale financier qui secoue un groupe de femmes réunies autour d’une tontine.

Face à l’insistance des femmes, A.A.F a tenté d’expliquer la situation. D’une voix tremblante, elle a confié qu’elle avait égaré sa pochette contenant les fonds. « J’avais oublié ma pochette en partant à Aiglon. Dedans, il y avait 800 000 francs CFA et une autre enveloppe. Je ne sais même pas combien elle contient, je n'ai pas encore eu le temps de la compter... », a-t-elle déclaré, visiblement confuse.
Pour calmer la tension grandissante, elle a ajouté :
« Laissez-moi un peu de temps. Je vais tout vous rembourser. Je suis un peu souffrante ces jours-ci… »
Un argument qui n’a pas suffi à apaiser les victimes, bien que beaucoup hésitent à saisir la justice à cause de son âge avancé.
« Elle est vieille. Ce n’est pas facile de porter plainte contre une maman de cet âge, mais elle nous a fait beaucoup de mal », confie, amère, une des participantes à la tontine.
Pour l’instant, aucune plainte n’a été déposée officiellement, mais certaines voix appellent à une solution rapide et à un suivi communautaire, afin d’éviter que ce type de détournement ne se reproduise.
Une tentative d’enlèvement a semé la panique hier soir à Thiès, aux environs de 19 heures, non loin de la station d’essence située à côté du marché Moussanté.

Mais grâce aux cris du garçon et à la réaction rapide des passants, l’enlèvement a été évité de justesse. Pris de panique, les occupants de la voiture ont immédiatement pris la fuite avant l’arrivée des forces de l’ordre.
L’incident a profondément choqué les habitants du quartier, qui demandent une surveillance renforcée dans cette zone très fréquentée, notamment en fin de journée. Une enquête est attendue pour retrouver les auteurs de cette tentative aussi audacieuse et inquiétante.
La Brigade régionale des stupéfiants de Thiès a encore frappé fort en mettant fin à une opération illicite sur la plage de Mballing, dans le département de Mbour. Selon les informations fournies par la police, les unités locales de lutte contre le trafic de drogue, placées sous l'autorité de l'OCRTIS (Office central pour la répression du trafic illicite de stupéfiants), ont saisi sept colis contenant du chanvre indien, pour un poids total de 196 kilogrammes.
Cette nouvelle saisie confirme l’intensification des efforts des autorités dans la lutte contre le trafic de stupéfiants dans la région de Thiès, zone régulièrement ciblée par les trafiquants en raison de sa position stratégique.

Le tribunal des flagrants délits de Mbour a été le théâtre d’un procès révélateur des dessous sombres de la traite humaine entre le Nigeria et le Sénégal. À la barre, une femme d'origine nigériane répondait des accusations de proxénétisme et d’exploitation de trois jeunes filles, toutes issues de son propre pays.

Selon les éléments du dossier, la prévenue aurait organisé l’arrivée des victimes sur le territoire sénégalais en finançant leur voyage, avant de les contraindre à se prostituer à Mbour dans des conditions extrêmement dures. L'une des jeunes filles a brisé le silence à l’audience, révélant l’enfer vécu au quotidien.
« Elle nous obligeait à lui verser 20 000 francs CFA par jour, quoi qu’il arrive. Même lorsque nous étions malades ou très fatiguées, il fallait aller dans la rue pour chercher cet argent. Si l’une de nous refusait de sortir ou de travailler, elle nous battait. »La victime a également évoqué un climat de peur et d’intimidation permanent, où toute tentative de désobéissance se soldait par des violences physiques et des menaces. Elle a déclaré que leur passeport avait été confisqué dès leur arrivée, les privant ainsi de toute liberté de mouvement.
Interrogée à son tour, la mise en cause n’a pas nié les faits, mais a tenté de les justifier en évoquant sa situation familiale.
« J’ai quatre enfants au Nigeria. Je dois les nourrir, les envoyer à l’école. J’ai dépensé 2 500 000 francs CFA pour faire venir ces filles au Sénégal. Elles doivent me rembourser cet argent. Je ne les ai pas forcées à venir. »Une défense qui n’a pas convaincu le procureur, qui a rappelé la gravité des charges retenues contre elle, insistant sur le caractère organisé et lucratif de son activité. Il a requis une peine de cinq ans de prison ferme, assortie d'une interdiction définitive du territoire sénégalais.
« Ce que cette dame a fait est inacceptable. Elle a organisé un véritable trafic humain sous couvert d’une dette qu’elle prétend devoir recouvrer. Elle a exploité la vulnérabilité de ces jeunes filles, en les transformant en machines à sous. La justice doit envoyer un signal fort. »Le tribunal, après avoir écouté les différentes parties, a décidé de mettre l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le lundi 29 juillet prochain.
Cette affaire remet sur la table la question de l’exploitation sexuelle des femmes migrantes en situation irrégulière, souvent attirées par de fausses promesses et livrées à des réseaux sans scrupules. Elle met également en lumière la nécessité d’un renforcement de la coopération régionale pour lutter contre les filières de traite transfrontalière.
Dans les rues discrètes de Thiès, un phénomène discret mais croissant attire l’attention des autorités et des acteurs sociaux : la prostitution déguisée, souvent dissimulée derrière des activités anodines ou numériques. Si autrefois la prostitution se pratiquait à visage découvert dans certaines zones tolérées, elle prend aujourd’hui des formes nouvelles, plus subtiles, plus numériques.

Ces établissements ne proposent parfois qu’un service apparent : le reste se déroule à huis clos. Cette forme de prostitution déguisée reste difficile à prouver, sauf lors de descentes ciblées. Un cadre légal clair, mais difficile à appliquer. Au Sénégal, la prostitution est légale et encadrée, à condition que la travailleuse du sexe : soit âgée de 21 ans minimum, soit enregistrée auprès des services sanitaires, détienne un carnet de santé régulièrement mis à jour. Toute forme de proxénétisme, sollicitation publique, ou activité déguisée est illégale.
Or, les prostituées en ligne ne respectent souvent aucune de ces règles, ce qui les expose à des poursuites… mais aussi à des abus. Un enjeu de santé et de société Cette évolution silencieuse inquiète : Les autorités sanitaires, face au risque d’IST non contrôlées ; Les familles, souvent ignorantes de la double vie de certaines jeunes ; Les ONG, qui alertent sur la précarité économique et les risques d’exploitation sexuelle des mineures. Appel à une réponse concertée Les acteurs locaux – autorités municipales, leaders religieux, services sociaux – appellent à une réponse collective, mêlant : Éducation sexuelle et sensibilisation dans les établissements scolaires, Renforcement des contrôles sur les établissements suspects, Encadrement numérique, pour surveiller les pratiques sur les réseaux.
Témoignage anonyme : "C’est devenu un métier comme un autre pour certaines filles. C’est discret, rapide, et bien payé. Mais elles ne réalisent pas qu’elles jouent avec leur santé et leur dignité." La prostitution déguisée à Thiès ne crie pas haut et fort sa présence, mais elle avance à pas feutrés, alimentée par les réseaux sociaux et les failles économiques. Face à cela, le silence social devient complice. Il est temps d’ouvrir le débat, sans jugement mais avec lucidité.
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