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Une violente altercation a éclaté dans le quartier Gala Mbengue, à Kébémer, opposant éleveurs et cultivateurs. Deux personnes ont été gravement blessées et évacuées vers le district sanitaire de Kébémer pour des soins d’urgence. Le présumé auteur de l’incident a pris la fuite vers Médina Kane et fait l’objet de recherches actives par la gendarmerie locale.


Kébémer : Affrontement entre éleveurs et cultivateurs fait deux blessés graves
Les tensions entre éleveurs et cultivateurs dans la région ne sont pas nouvelles. La concurrence pour l’accès aux terres cultivables et aux pâturages s’intensifie à cause de plusieurs facteurs :
 
Pression démographique et extension des zones agricoles.
 
Changements climatiques réduisant la disponibilité des pâturages.
 
Absence de mécanismes de médiation efficaces entre acteurs agricoles et pastoraux.
 
 
Ces facteurs créent un terrain propice aux conflits violents, comme celui survenu à Gala Mbengue. La fuite du présumé responsable montre aussi la difficulté des forces de sécurité à contenir ces incidents, souvent enracinés dans des enjeux économiques et communautaires profonds.
 
Perspectives
 
Pour prévenir de tels affrontements, les experts soulignent l’importance de :
 
Renforcer la médiation locale entre éleveurs et cultivateurs.
 
Mettre en place des règles claires de gestion foncière.
 
Sensibiliser les communautés aux risques liés aux conflits fonciers.
 
 
Sans ces mesures, ces incidents risquent de se répéter, avec des conséquences graves pour la sécurité et la cohésion sociale dans la région.


Vendredi 26 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Une banale querelle entre deux adolescentes a dégénéré en une véritable bataille rangée à la cité Dioumkhop de Guédiawaye. L’affaire, qui s’est soldée par l’arrestation de huit personnes, a été portée devant la justice.


Violente altercation à Guédiawaye : huit personnes déférées après une querelle familiale

Une dispute entre deux jeunes filles vire au chaos

Tout est parti d’échanges de grossièretés entre deux adolescentes issues de familles différentes mais portant toutes deux le nom de Cissé. Les insultes ont rapidement tourné à l’affrontement physique. Très vite, parents et frères se sont mêlés à la dispute, transformant la scène en affrontement collectif.

Intervention musclée de la police

Alertés par les riverains, les éléments du commissariat de Guédiawaye se sont dépêchés sur les lieux.
« À notre arrivée, nous avons trouvé une situation intenable, avec des violences verbales et physiques de part et d’autre », confie une source policière.
Les forces de l’ordre ont eu du mal à contenir la foule et ont dû procéder à des interpellations musclées face à une forte résistance.

Rébellion et usurpation de fonction

Au cours des arrestations, un individu a tenté de bloquer le véhicule de police en plaçant des briques sous les pneus pour empêcher l’embarquement de trois membres de sa famille.
Un autre, pour sa part, s’est présenté comme membre de la marine nationale. Après vérifications, cette déclaration s’est révélée fausse. Ces deux individus feront l’objet de poursuites spécifiques pour rébellion et usurpation de fonction.

Les mis en cause déférés

Les huit personnes interpellées ont été déférées au parquet. Elles devront répondre de coups et blessures et d’autres infractions liées à l’incident, rapporte L’Observateur.



Vendredi 26 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le 26 septembre 2002, l’histoire du Sénégal s’est brisée au large de la Gambie.
Ce jour-là, un ferry, un simple navire de transport de passagers et de marchandises, a sombré dans les eaux de l’Atlantique. Mais ce n’est pas seulement un bateau qui a coulé. Ce sont des familles entières, des générations entières, des destins, des rêves, des promesses d’avenir qui ont été engloutis.


Hommage aux victimes du Joola

Le Joola, conçu pour transporter environ 580 personnes, transportait plus de 1 800 âmes ce soir-là. Parmi elles, des étudiants qui rejoignaient Dakar pour reprendre leurs cours, des commerçants qui portaient avec eux les fruits de leur travail, des mères qui ramenaient des provisions pour leurs foyers, des enfants qui voyageaient avec innocence, des militaires, des voyageurs de fortune. Tous partageaient une même route, une même mer, une même espérance d’arriver.
 

Mais en quelques minutes, dans la nuit, la tempête et la surcharge, la tragédie s’est imposée. Le navire s’est couché sur le flanc, puis a disparu sous les vagues, emportant avec lui près de 1 863 vies humaines.
À peine une soixantaine de rescapés ont pu témoigner de l’horreur.
Les autres sont restés dans la mer, dans ce tombeau liquide qui, encore aujourd’hui, garde les corps et les secrets de tant de disparus.
 

Ce drame, l’un des plus graves naufrages civils de l’histoire mondiale, a laissé une plaie béante dans notre mémoire collective. Car aucune région, aucune communauté, aucune famille n’a été épargnée. Chaque village du Sénégal, de Ziguinchor à Saint-Louis, de Dakar à Tambacounda, a perdu un fils, une fille, un parent, un ami. Le Joola n’a pas seulement chaviré dans les eaux de l’Atlantique. Il a chaviré dans nos cœurs, dans notre conscience, dans notre histoire.
 

Aujourd’hui encore, 23 ans après, nous continuons de pleurer nos morts.
Mais nous ne pleurons pas seulement dans la douleur : nous pleurons aussi dans la dignité, dans l’unité, dans l’espérance.
Leur mémoire nous rappelle l’urgence de la responsabilité, la nécessité de la vigilance, et l’importance de l’humanité.
 

À chaque 26 septembre, nous nous souvenons.
Nous pensons aux victimes.
Nous pensons aux survivants.
Nous pensons aux familles qui, chaque jour, vivent avec l’absence.
Nous pensons aux enfants qui n’ont pas connu leurs parents.
Nous pensons aux mères et aux pères qui n’ont jamais pu retrouver les corps de leurs proches.

Le Joola n’est pas une page tournée : c’est une cicatrice ouverte qui nous oblige à rester debout.
C’est une leçon tragique qui nous appelle à dire : plus jamais ça.
Plus jamais un navire ne doit appareiller dans ces conditions.
Plus jamais la négligence et l’oubli ne doivent coûter tant de vies.

Que la mer soit douce avec nos disparus.
Qu’ils reposent en paix dans son immensité.
Que la mémoire ne s’éteigne jamais.

À toutes les victimes du Joola, nous disons :
Nous ne vous oublierons pas.
Votre souvenir vit en nous, dans chaque génération, dans chaque famille, dans chaque 26 septembre.



Jeudi 25 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le voile est enfin levé sur la mystérieuse mort d’Ousmane B., menuisier-ébéniste de 34 ans, retrouvé pendu à un anacardier dans la forêt classée de Boune, dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre. Ce drame, qui a bouleversé la commune de Yeumbeul Nord, n’était pas un meurtre maquillé comme certains l’avaient cru, mais bien le résultat tragique d’une sextorsion orchestrée par des cybercriminels.


Sextorsion à Yeumbeul Nord : le piège fatal qui a conduit Ousmane B. à la mort

Une rencontre virtuelle qui vire au cauchemar

Selon les confidences de sa famille, notamment de son oncle et employeur, Ousmane avait noué, via Facebook, une relation avec une personne se présentant comme une jeune fille. Très actif sur les réseaux sociaux, il s’était laissé entraîner dans une intimité virtuelle faite d’échanges de photos et vidéos à caractère sexuel.

Mais derrière ce faux profil se cachait une bande de cybercriminels. Une fois en possession des contenus compromettants, ils lui ont posé un ultimatum : payer ou voir ses vidéos intimes exposées à sa famille, ses amis et ses voisins.

La spirale infernale du chantage

Pris au piège, Ousmane a commencé à envoyer de l’argent aux maîtres-chanteurs. Mais la machine était lancée : à chaque retard ou hésitation, les menaces redoublaient. Peu à peu, il s’est retrouvé ruiné, endetté, psychologiquement brisé.

Le menuisier, qui s’occupait aussi de sa mère gravement malade, a sombré dans l’isolement. Rongé par la honte, il a cessé de travailler, confiant uniquement son secret à son oncle. Ensemble, ils avaient choisi le silence, espérant trouver une issue.

Les signes de la dépression

Sous l’effet de la pression et du stress, Ousmane a commencé à présenter des troubles physiques inquiétants. Selon ses proches, il se plaignait même d’impuissance, symptôme d’une détresse psychologique profonde. Chaque jour, il vivait dans la peur que ses images circulent dans son quartier, dans sa famille, dans sa communauté.

L’angoisse s’est transformée en obsession. Et peu à peu, l’idée de mettre fin à ses jours a germé.

La nuit fatale

Dans la nuit du samedi 20 septembre, Ousmane a quitté sa chambre, emportant un drap. Sans bruit, il s’est dirigé vers la forêt classée de Boune, non loin de chez lui. Au petit matin, son corps a été découvert pendu à un anacardier.

La scène, marquée par certaines maladresses dans la mise en place du drap, a d’abord semé le doute : suicide ou homicide ? Mais l’enquête de la police, confortée par les témoignages familiaux, a conclu à un suicide consécutif à un chantage sexuel.

Une tragédie révélatrice d’un fléau

Le drame d’Ousmane met en lumière un phénomène grandissant au Sénégal et en Afrique de l’Ouest : la sextorsion en ligne. Des milliers de jeunes, hommes comme femmes, tombent dans le piège de faux profils séduisants, tenus par des réseaux de cybercriminels sans scrupule. Honte, isolement, peur du scandale : autant d’éléments qui poussent les victimes à céder… parfois jusqu’à l’irréparable.



Jeudi 25 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

À Ziguinchor, le samedi 20 septembre 2025, un Kankourang a été arrêté par la police après plusieurs actes de vandalisme dans le quartier Kandé Alassane. Ces incidents se sont produits lors d’un Diambadong, cérémonie traditionnelle célébrant la sortie de jeunes circoncis.


Diambadong à Ziguinchor : un Kankourang au cœur du chaos

Selon le Groupe Médias du Sud, des véhicules, lampadaires, clôtures de maisons et compteurs électriques ont été endommagés par les accompagnants de ce personnage mystique. L’intervention rapide des forces de l’ordre a permis d’éviter que la situation ne dégénère davantage.

Le Kankourang, identifié sous les initiales A. K., a été conduit au commissariat puis déféré au parquet le mardi 23 septembre pour détention d’arme blanche et trouble à l’ordre public.

Si le Kankourang est une figure emblématique de la tradition mandingue, symbole d’initiation et de protection, cet incident illustre les risques de débordements lorsque la fête et les rites traditionnels s’accompagnent de comportements destructeurs. Les habitants appellent désormais à une meilleure organisation et à un encadrement plus strict des cérémonies afin de préserver à la fois la sécurité et les traditions locales.



Mercredi 24 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Un jeune tailleur de 23 ans, B. Sèye, alias « Kana », domicilié à Grand-Médine, a été interpellé dans la nuit du samedi 20 septembre 2025 aux Parcelles Assainies (Unité 22). Connu des forces de l’ordre pour des affaires liées au chanvre indien, il est désormais poursuivi pour « détention, usage et trafic de cocaïne ».


Un tailleur de 23 ans déféré pour trafic de cocaïne après un malaise spectaculaire

Une course-poursuite à 4 h 30 du matin

Les faits se sont produits à l’aube, après une dénonciation informant la police que « Kana » s’apprêtait à livrer sa marchandise. Une équipe de la Brigade de recherches du commissariat des Parcelles Assainies a aussitôt mis en place une surveillance pour l’intercepter.

À la vue des policiers, le suspect a tenté de prendre la fuite en avalant les sachets de cocaïne qu’il transportait. Une course-poursuite s’en est suivie avant qu’il ne soit rattrapé. Pris de panique et en plein malaise, il s’est effondré et a dû être évacué d’urgence, inconscient, au centre de santé Nabil Choucair.

La vérité révélée par les examens médicaux

À l’hôpital, le jeune homme a d’abord nié avoir ingéré de la drogue. Mais sur réquisition, un bilan radiologique et biologique a été réalisé au Centre Antipoison de l’hôpital Fann. Les analyses ont révélé non seulement la présence de cocaïne, mais aussi d’ecstasy et de benzodiazépines – des substances utilisées comme anxiolytiques et sédatifs.

Confronté à ces résultats, « Kana » a fini par reconnaître les faits, tout en tentant de se faire passer pour un simple consommateur.

Un discours jugé non crédible

Devant les enquêteurs, le tailleur a soutenu avoir mis fin depuis longtemps à toute activité de trafic, affirmant qu’il ne faisait que consommer. Toutefois, il a reconnu avoir perçu 10 000 F CFA d’un client au moment de son arrestation. Quant à son malaise, il a tenté de l’expliquer par de prétendues « crises habituelles » dont il souffrirait.

Les enquêteurs, peu convaincus, l’ont finalement placé en garde à vue, avant son déferrement au parquet pour détention, usage et trafic de cocaïne.



Mercredi 24 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Deux hommes, S. Sow et P. D. Guèye, ont été déférés au parquet de Thiès le 22 septembre 2025 par le commissariat central. Ils sont accusés d’avoir commis un viol sur une mineure de 14 ans, identifiée sous les initiales A. Faye.


Thiès : Dénonciations croisées dans une affaire de viol sur mineure

Lors de son audition, l’adolescente a décrit des abus sexuels répétés sur plusieurs mois. Concernant S. Sow, qui habite la même maison qu’elle, elle a déclaré que celui-ci « profitait des absences de sa mère pour l’attirer dans une chambre et la contraindre à des rapports sexuels ». Selon elle, ces agressions duraient depuis près d’un an.

Au sujet de P. D. Guèye, la jeune fille a affirmé qu’au mois d’août 2025, il l’avait trompée pour l’emmener chez un ami, M. Faye, où il l’a violée. 

L’affaire a pris forme le 12 septembre 2025, lorsque la mère de la victime, dame N. F. Sène, s’est présentée au commissariat central. Inquiète du comportement inhabituel de sa fille  marquée par un changement d’humeur soudain et une attitude belliqueuse, elle a décidé de l’interroger. C’est à ce moment que l’adolescente aurait confié avoir été victime d’abus.

Les soupçons se sont rapidement orientés vers deux individus du voisinage : S. Sow et P. D. Guèye. Tous deux ont été arrêtés et placés en garde à vue avant leur déferrement.

Face aux enquêteurs, les deux mis en cause ont rejeté en bloc les faits qui leur sont reprochés.

S. Sow a catégoriquement nié toute implication.

P. D. Guèye, pour sa part, a déclaré qu’il s’agissait d’un « coup monté » orchestré par la mère de la victime, soulignant qu’il n’était pas en bons termes avec elle.

Le parquet devra décider de l’ouverture éventuelle d’une information judiciaire. Entre la parole de la victime et les dénégations des mis en cause, l’instruction devra trancher.

Cette affaire, qui secoue la ville de Thiès, met en évidence la gravité et la sensibilité des dossiers liés aux violences sexuelles sur mineurs. Les associations locales de défense des enfants demandent que la lumière soit faite avec rigueur et que la victime bénéficie d’une prise en charge psychologique adaptée.



Mardi 23 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

La Brigade de Recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a frappé un grand coup dans la lutte contre l’exercice illégal de la médecine. Le 22 septembre 2025, trois individus soupçonnés de se faire passer pour des médecins et actifs depuis plusieurs années dans divers établissements sanitaires de Dakar ont été interpellés et placés en garde à vue.


Faux médecins à Dakar : un réseau démantelé par la gendarmerie

Les mis en cause sont :

  • A. Diop, 49 ans, assistant infirmier autoproclamé, domicilié à Keur Massar,

  • Y. Ndiaye, 48 ans, se présentant comme assistant infirmier de bloc, résidant à Thiaroye,

  • B. Coly, 47 ans, prétendant exercer comme assistant opérateur de bloc, domicilié à Pikine.

Tous trois sont poursuivis pour usurpation de fonction et d’identité de médecin, exercice illégal de la médecine et mise en danger de la vie d’autrui, selon des sources judiciaires citées par Seneweb.

Circoncisions et actes médicaux illégaux

D’après l’enquête, ces faux praticiens n’étaient pas de simples assistants. Ils auraient eux-mêmes pratiqué des actes médicaux, dont des circoncisions, provoquant chez plusieurs patients des complications graves. Certains d’entre eux ont dû être pris en charge en urgence après avoir été mutilés ou infectés.

Un dossier particulièrement édifiant implique A. Diop, accusé d’avoir encaissé 400 000 FCFA auprès d’une femme atteinte de goitre. L’opération, prévue depuis décembre 2024, n’a jamais eu lieu. Aujourd’hui, l’état de santé de la patiente est gravement compromis, selon le chef de service du bloc opératoire qui a alerté sur l’urgence médicale.

Descente des gendarmes à l’hôpital Abass Ndao

C’est à l’hôpital Abass Ndao, l’un des centres hospitaliers de référence de Dakar, que la descente de la gendarmerie a confirmé l’ampleur du scandale.
Un responsable du bloc a affirmé qu’il s’agissait d’une « pratique ancienne » qu’il avait trouvée en arrivant dans l’établissement, précisant avoir toujours refusé de collaborer avec ces individus. Mais selon les enquêteurs, d’autres praticiens, eux, n’auraient pas hésité à fermer les yeux, voire à les laisser officier.

Les responsables de l’hôpital, de leur côté, ont déclaré « ignorer » l’existence de telles pratiques. Une version qui laisse sceptiques de nombreux observateurs, tant les faits semblent s’être installés dans la durée.

Une affaire qui éclabousse tout le système

Ce coup de filet de la Légion de gendarmerie de Dakar fait suite à des dénonciations portées devant le parquet de Pikine-Guédiawaye. Le procureur aurait immédiatement ordonné l’ouverture d’une enquête et l’interpellation des mis en cause.

Cette affaire soulève de nombreuses questions : comment des individus sans diplôme médical ont-ils pu exercer dans des structures reconnues ? Quels complicités ou manquements ont permis à ces pratiques de perdurer ? Et surtout, combien de patients ont vu leur santé compromise par ces interventions illégales ?

Un dossier explosif, qui met en lumière les failles dans la régulation du secteur médical au Sénégal, mais aussi la nécessité de renforcer les contrôles pour protéger les malades.



Mardi 23 Septembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)
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