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Société sur Thies info
Dans un geste de solidarité et de soutien à l’éducation, Fallou Bar a récemment organisé une distribution de fournitures scolaires pour les élèves de Ndieyene Sirah. Cette initiative, saluée par les parents et enseignants, vise à encourager les enfants à poursuivre leurs études dans de meilleures conditions et à alléger le fardeau des familles.
Au cours de cette distribution, les élèves ont reçu cahiers, stylos, crayons, gommes et sacs d’école, des outils essentiels pour leur réussite scolaire. Pour de nombreux enfants, ces fournitures représentent un soutien précieux, leur permettant de se concentrer pleinement sur leurs cours sans se soucier du manque de matériel.
Les parents présents ont exprimé leur gratitude :
"Nous remercions Fallou Bar pour cette action. Cela montre qu’il y a des personnes qui pensent à nos enfants et à leur avenir."
Fallou Bar a lui-même pris la parole pour encourager les élèves :
"Investir dans l’éducation de nos enfants, c’est investir dans l’avenir de notre communauté. J’invite chaque élève à travailler avec sérieux et détermination afin de réaliser ses rêves."
Cette action s’inscrit dans une démarche plus large de soutien à l’éducation et au développement communautaire. Selon les responsables locaux, de telles initiatives contribuent non seulement à améliorer les conditions d’apprentissage, mais renforcent également le lien social au sein du quartier et sensibilisent chacun à l’importance de l’école.
La communauté de Ndieyene Sirah espère que d’autres personnalités et acteurs locaux suivront cet exemple, afin que chaque enfant puisse bénéficier des conditions nécessaires pour réussir sa scolarité.
La peur et la stupeur ont gagné Guédiawaye, mercredi 1ᵉʳ octobre, aux environs de 20h40.
L’activiste Babacar Mbaye Ngaraf, coordonnateur de la Synergie des acteurs pour l’assainissement de la banlieue (SABA), a été victime d’un braquage soigneusement planifié au niveau du croisement Sham.
Alors qu’il regagnait son domicile à Malika, un motard a volontairement heurté l’arrière de son véhicule. Pris de réflexe, Babacar Mbaye s’arrête pour constater les dégâts. Mais le piège venait de se refermer.
Un deuxième individu s’approche, frappe à la portière et engage la conversation pour détourner son attention.
Pendant ce temps, un troisième complice ouvre discrètement la portière passager et s’empare du sac posé sur le siège avant.
Bilan : plus de deux millions de francs CFA emportés, ainsi que des documents personnels essentiels (pièce d’identité, carte grise, permis de conduire, etc.).
Les malfaiteurs ont pris la fuite en moto avant même que la victime ne puisse réagir.
Selon L’Observateur, ce mode opératoire, connu sous le nom de « faux accrochage », est devenu courant dans la banlieue dakaroise, particulièrement entre Pikine et Guédiawaye.
Un policier confie :
« Ces individus agissent souvent la nuit, sans casque, et ciblent les zones peu éclairées ou les conducteurs ralentis par les embouteillages. »
Une enquête est ouverte au Commissariat central de Guédiawaye.
Même si la victime n’a pas pu identifier ses agresseurs, les caméras de vidéosurveillance installées dans le secteur pourraient aider les enquêteurs à remonter la piste du gang.
Une affaire de vol a conduit une élève de 17 ans devant le Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. K.M., en classe de 4ᵉ, a été déférée hier jeudi par la Brigade territoriale de gendarmerie de la Zone franche industrielle pour avoir volé l’argent de son employeure.
Profitant de ses vacances scolaires, la jeune fille travaillait comme femme de ménage à Mbao, au domicile d’une dame occupant le poste de trésorière d’une coopérative d’habitat. Cette dernière avait pour habitude de conserver les fonds de la coopérative à son domicile avant de les déposer à la banque à la fin du mois.
C’est via les réseaux sociaux que K.M. a été mise en contact avec un escroc installé en Côte d’Ivoire. Ce dernier lui a promis de multiplier les sommes d’argent qu’elle lui enverrait. Crédule, la mineure a d’abord envoyé 10 000 FCFA de son propre argent.
Après une première prétendue « séance d’incantation », l’escroc a changé de stratégie. Il a convaincu K.M. qu’elle souffrait d’une maladie grave l’empêchant de recevoir l’argent promis. Pour se « guérir » et récupérer la fortune attendue, elle devait lui envoyer davantage d’argent.
C’est ainsi que la jeune fille a commencé à dérober progressivement des sommes importantes dans la caisse de sa patronne. Lors d’un versement de fonds, la trésorière a constaté un manque dans sa caisse. Soupçonnant sa femme de ménage, elle a entamé des recherches et a retrouvé K.M. dans un point de transfert d’argent avec une somme de 3 millions FCFA, prête à être envoyée à l’escroc ivoirien.
Au total, la mineure avait déjà transféré 6,9 millions FCFA au prétendu féticheur, selon des sources proches du Parquet. Suite à la plainte déposée auprès de la Brigade territoriale de la Zone franche industrielle, K.M. a été arrêtée. Lors de son audition, elle a reconnu les faits et raconté sa mésaventure.
Une tragédie bouleversante a frappé le quartier Moricounda, à Sédhiou, ce jeudi après-midi. Une jeune fille de 14 ans, élève en classe de 6e, a été retrouvée pendue dans la chambre familiale, peu avant la prière de 14 heures, plongeant tout le quartier dans la stupeur.
Quelques instants plus tard, ses proches, ne la voyant pas ressortir, sont allés la chercher. Ils ont alors découvert l’irréparable : la jeune fille s’était pendue à l’aide d’un morceau de tissu attaché à une poutre.
Alertés, les habitants du quartier se sont précipités sur les lieux, bouleversés par la scène.
« Elle était douce, sérieuse, et toujours souriante. On ne comprend pas ce qui a pu se passer », témoigne une voisine, encore sous le choc.
Les autorités policières et judiciaires se sont immédiatement rendues sur place pour effectuer les premiers constats. Le corps sans vie de la jeune élève a été acheminé à la morgue de l’hôpital régional de Sédhiou pour autopsie.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame. Pour l’heure, aucune hypothèse n’est écartée.
Ce drame tragique relance la réflexion sur la détresse psychologique silencieuse que peuvent traverser certains adolescents, souvent sous pression à l’école ou à la maison.
À Moricounda comme ailleurs, l’émotion reste vive, et les appels à la vigilance se multiplient pour mieux écouter et accompagner les jeunes face à leurs difficultés.
L’Hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye a lancé un appel pressant concernant seize corps sans vie non identifiés actuellement conservés dans sa morgue. Parmi ces dépouilles, dix sont des nourrissons et six des adultes, dont deux personnes sans domicile fixe. Ces corps ont été déposés à la morgue sur réquisition des officiers de police judiciaire.
La direction de l’établissement informe que le délai légal de conservation des corps est arrivé à expiration. Toutefois, une dérogation exceptionnelle de quinze jours a été accordée pour permettre aux familles et proches de procéder à l’identification des défunts. Passé ce délai, l’hôpital sera contraint de solliciter une autorisation d’inhumation auprès du Procureur du Tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye.
Les familles concernées sont invitées à se présenter au service social de l’hôpital ou à contacter les numéros suivants pour toute information ou démarche : 33 839 85 85, 77 348 77 37, 76 416 67 82.
Cette situation met en lumière les défis persistants liés à l’identification des défunts dans le pays, en particulier concernant les personnes sans domicile fixe et les nourrissons abandonnés, et souligne l’importance d’une mobilisation rapide pour que ces défunts puissent recevoir une sépulture digne.
La récente décision des autorités locales d’interdire les cérémonies et rassemblements sur la voie publique dans la région de Thiès a suscité une vive inquiétude chez les griots et acteurs culturels. Considérés comme les gardiens des traditions et de la mémoire collective, ces derniers craignent pour la survie de leur métier et de leur rôle social
« C’est le coup de grâce… », confie un griot bien connu de Thiès. Selon lui, la plupart des cérémonies — mariages, baptêmes, hommages — sont l’occasion pour les griots de transmettre histoires, proverbes et valeurs culturelles, tout en gagnant leur vie. Avec cette interdiction, beaucoup redoutent de perdre leur source principale de revenus.
Les autorités, de leur côté, invoquent des raisons de sécurité et de gestion de l’espace public, notamment pour éviter les encombrements et garantir le bon déroulement de la circulation. Mais pour les professionnels du patrimoine immatériel, la mesure apparaît brutale et risque de fragiliser un secteur déjà précaire.
Certains griots appellent à un dialogue avec l’administration pour trouver des alternatives, telles que des espaces réservés ou des horaires précis pour les cérémonies, afin de concilier tradition et sécurité publique.
La question reste donc ouverte : comment protéger la mémoire et la culture tout en respectant les exigences modernes de sécurité et d’organisation urbaine ? Pour les griots de Thiès, l’heure est grave, et l’avenir de leurs pratiques traditionnelles semble plus incertain que jamais.
Un incident choquant à Mbour
Le 22 septembre 2025, la ville de Mbour, au Sénégal, a été secouée par un acte d’humiliation publique à caractère numérique. Deux jeunes hommes sourds-muets, M. Bâ (21 ans) et B. Diouf (18 ans), ont dérobé le téléphone portable de F. Dia, une femme mariée résidant à Saly Carrefour, alors qu’elle revenait du marché central de Mbour en charrette.
Une diffusion malveillante et une rançon
Le lendemain de la disparition de l’appareil, les deux individus ont envoyé à l’une des amies de la victime une vidéo intime de F. Dia via WhatsApp, accompagnée d’une demande de rançon de 5 000 F CFA. Face à cette pression, la victime a immédiatement déposé une plainte auprès du commissariat de Saly Portudal.
Avant même l’intervention des autorités, les malfaiteurs avaient créé un groupe WhatsApp en utilisant le compte de F. Dia, y ajoutant plusieurs de ses contacts afin de diffuser les vidéos intimes. Ils ont également exploité la fonction « statut » de l’application pour propager ces contenus, provoquant une humiliation publique considérable pour la jeune femme.
Intervention rapide des autorités
Grâce à l’exploitation des données téléphoniques, les enquêteurs ont rapidement identifié et localisé les deux jeunes hommes. Interpellés, M. Bâ et B. Diouf ont reconnu les faits et présenté leurs excuses. Après leur garde à vue, ils ont été déférés au parquet de Mbour et placés sous mandat de dépôt.
Un signal d’alerte sur la sécurité numérique
Cette affaire met en lumière les dangers liés à la sécurité des données personnelles et à l’usage malveillant des technologies numériques. Elle rappelle l’importance de protéger ses informations personnelles et de rester vigilant face aux risques liés à la diffusion de contenus intimes.
Elle soulève également des questions sur la protection de la vie privée et la nécessité de renforcer les mesures légales et éducatives pour prévenir de tels actes.
Un geste qui a bouleversé tout un quartier. Dans la soirée du mardi, une jeune femme a été arrêtée après avoir tenté d’abandonner son nouveau-né dans le cimetière de Yoff. Témoignages, prise en charge médicale et réactions du quartier : retour sur une nuit de stupeur qui interroge les défaillances sociales.
Un jeune du quartier, rentrait chez lui . En passant près du cimetière musulman de Yoff, il a remarqué une femme seule, le visage dissimulé, qui semblait agitée. Intrigué, il s’est arrêté pour observer discrètement.
« Au début, je pensais qu’elle venait prier pour un défunt. Puis elle a sorti un petit paquet et s’est dirigée vers un coin isolé », raconte le témoin.
Selon son témoignage, la femme aurait jeté quelque chose de louche, un nouveau-né encore vivant. C’est alors qu'il s’est approché et a crié pour alerter les riverains. Avec l’aide d’un passant, il a rattrapé la jeune femme, elle dit que son copain n'a pas assumé sa responsabilité . Réactions du quartier : colère, compassion et appel à la solidarité
La nouvelle s’est répandue rapidement. À Yoff, la stupeur a laissé place à des réactions contrastées : colère contre l’acte, mais aussi compassion envers une femme visiblement brisée par la détresse.
Des associations locales et des leaders communautaires ont appelé à ne pas se précipiter vers la condamnation sans chercher à comprendre les causes profondes. « C’est un acte révoltant, mais il est aussi le symptôme d’une misère sociale et d’un manque d’accompagnement des jeunes femmes enceintes et isolées », déclare un autre témoin.
L’imam du quartier a quant à lui insisté sur la nécessité de conjuguer fermeté judiciaire et assistance sociale : « Il faut que la justice fasse son travail, mais il faut aussi que la communauté mette en place des mécanismes d’aide pour éviter que d’autres drames surviennent. » Sur le plan juridique, l’abandon d’un enfant et la tentative d’infanticide sont des infractions sévèrement réprimées au Sénégal. Si les faits sont retenus, la mise en examen peut conduire à des peines privatives de liberté. Toutefois, les circonstances — précarité, contrainte psychologique, état psychiatrique — peuvent influencer la qualification des faits et la peine encourue.
Les avocats impliqués dans l’affaire ont indiqué qu’ils demanderont des expertises médicales et psychiatriques pour évaluer l’état mental de la prévenue au moment des faits.
Ce que réclame le quartier
Les habitants et les associations locales demandent :
Un renforcement des actions de prévention et d’accompagnement pour les jeunes mères isolées ;
La mise en place de permanences sociales dans les quartiers populaires ;
Des campagnes de sensibilisation sur la santé mentale post-partum ;
Un meilleur accès aux soins prénataux et à l’aide d’urgence.
Le sauvetage in extremis de ce nourrisson et l’arrestation de la jeune femme ont stoppé un drame immédiat. Mais l’affaire interroge plus largement la société : comment prévenir la détresse extrême qui pousse une mère à commettre l’irréparable ? Entre besoin de justice et nécessité d’accompagnement, Yoff se retrouve devant un miroir douloureux.
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