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Société sur Thies info
Un exercice de sécurité a été organisé à l’aéroport international de Cap Skirring afin d’évaluer la réactivité des services en cas de crise majeure.
Un exercice de sécurité et de sûreté s’est tenu lundi à l’aéroport international de Cap Skirring, dans le sud du pays, afin de mesurer l’efficacité de son plan d’urgence aéroportuaire et la capacité de réaction du personnel face à une situation de crise.
Dénommée « Ucofo Buyikaab », une expression diola signifiant « Éviter la catastrophe », l’opération a été conduite par la direction générale de l’Aéroport international Blaise-Diagne (AIBD). Ce type d’exercice, conforme aux standards des aéroports internationaux, visait à tester la réactivité et la résilience de l’ensemble du dispositif aéroportuaire de Cap Skirring, notamment les services de sécurité, de santé et de secours.
Selon le directeur général de l’AIBD, Cheikh Bamba Dièye, il s’agissait d’évaluer la capacité de l’aéroport et des infrastructures associées à faire face efficacement, dans les délais requis, à une urgence majeure, tout en assurant la prise en charge des personnes concernées. Il a également salué l’implication des autorités administratives locales ainsi que des services déconcentrés des ministères concernés. Les forces de défense et de sécurité, de même que les services de secours et de sécurité aéroportuaire, ont pleinement participé à l’exercice.
Cheikh Bamba Dièye a souligné l’importance de renouveler régulièrement ce type d’opération, afin de renforcer la coordination entre les différents acteurs et de développer une capacité de réaction rapide, conformément aux normes de l’aviation civile internationale.
Pour sa part, le colonel François Sambou, secrétaire général de la Haute Autorité des aéroports du Sénégal (HAAS), a indiqué que l’exercice s’est déroulé dans le respect des exigences nationales et internationales en matière de gestion de crise. Il a précisé que le scénario simulait un incident aérien complexe, incluant une collision avec un oiseau, un incendie de moteur après l’atterrissage et l’évacuation de passagers, y compris des blessés.
L’objectif principal était de tester les procédures d’alerte, d’intervention et de coordination entre les différents services. Selon lui, l’exercice a permis de mettre à l’épreuve le plan d’urgence de l’aéroport ainsi que les plans sectoriels de toutes les entités présentes sur la plateforme, dans un cadre maîtrisé et sans impact réel sur la sécurité des passagers ou des installations.
Enfin, il a annoncé que la HAAS et l’AIBD procéderont, dans les prochaines semaines, à une évaluation approfondie de l’opération, en vue de renforcer davantage la sécurité et la sûreté des infrastructures aéroportuaires du pays.
Les réseaux sociaux ne sont pas un espace sans loi. C’est le message que renvoie le tribunal de Pikine‑Guédiawaye après la condamnation d’un jeune boulanger de 21 ans, reconnu coupable de diffusion de contenus obscènes sur TikTok.
Derrière l’agitation quotidienne du célèbre garage malien de Mbao, les enquêteurs ont mis au jour un réseau structuré de trafic de drogue de synthèse, dont la tête pensante n’était autre qu’une jeune femme, aujourd’hui surnommée la baronne du garage.
La descente policière
Les forces de l’ordre passent à l’action lors d’une opération surprise. Sur place, plusieurs individus sont interpellés. Les perquisitions permettent la saisie de :
120 cornets de kush retrouvés sur différents suspects,
Environ 200 grammes de drogue en vrac,
700 000 francs CFA en liquide, dissimulés dans la boutique de la présumée cheffe du réseau.
Au total, dix personnes sont arrêtées, toutes soupçonnées de jouer un rôle précis dans la chaîne du trafic.
Un réseau à dimension sous-régionale
L’enquête révèle que la drogue provenait principalement de Guinée et du Mali, avant d’être écoulée à Dakar et dans sa banlieue. Le garage malien servait ainsi de plateforme logistique, profitant de l’intense circulation de personnes et de marchandises pour échapper à la vigilance des autorités.
Selon les enquêteurs, la jeune femme coordonnait les opérations, fixait les prix et gérait les recettes, tout en restant discrète pour éviter les soupçons.
Une affaire aux lourdes conséquences sociales
Cette affaire intervient dans un contexte de forte inquiétude des familles, confrontées à la montée en flèche de la consommation de kush chez les jeunes. Plusieurs plaintes et signalements auraient d’ailleurs contribué à accélérer l’enquête.
Les suspects ont été déférés au parquet et font face à de lourdes accusations, notamment association de malfaiteurs et trafic international de drogue.
Un signal fort des autorités
Avec ce démantèlement, les forces de sécurité entendent envoyer un message clair : aucun lieu, aussi fréquenté soit-il, ne servira de refuge aux réseaux criminels. Le garage malien de Mbao, longtemps perçu comme un simple espace commercial, restera désormais associé à l’une des plus importantes opérations antidrogue récentes dans la zone.
Un drame conjugal d’une rare violence a endeuillé ce quartier de la banlieue dakaroise. Bintou Guèye a été mortellement atteinte par balle à son domicile. Son mari, P. M. Diop, surnommé « Diop portables », est mis en cause dans cette affaire aux contours complexes, mêlant jalousie, soupçons d’adultère et trafic de drogue.
Cette semaine, la gendarmerie de Koupentoum a interpellé deux jeunes rappeurs pour « atteinte à la religion » après qu’ils ont simulé la prière pendant leur prestation sur scène. L’incident s’est produit en fin de soirée devant plusieurs centaines de spectateurs venus assister au concert.
L’affaire relance le débat sur la liberté d’expression artistique et le respect des sensibilités religieuses dans les événements culturels.
Un violent choc entre un car de transport et un camion malien a coûté la vie à deux personnes et fait 17 blessés, ce samedi 27 décembre 2025 à Darou, à l’entrée de Koungheul.
Selon les informations rapportées par Seneweb, la collision a opposé un car de la compagnie « Cheikhou Chérif », immatriculé AA 769 YX, à un camion de transport malien. Le choc, d’une rare violence, a causé la mort de deux personnes et fait dix-sept blessés, dont certains dans un état jugé préoccupant.
Au moment de l’accident, le car transportait 19 passagers. La majorité des victimes se trouvait à bord de ce véhicule, sévèrement endommagé lors de l’impact. Alertés, les sapeurs-pompiers se sont rapidement déployés sur les lieux, avec l’appui de volontaires locaux, pour porter secours aux blessés. Ces derniers ont été évacués en urgence vers les structures sanitaires les plus proches pour une prise en charge médicale.
D’après les premiers éléments recueillis sur place et plusieurs témoignages concordants, le camion aurait tenté un dépassement dangereux en troisième position avant de heurter de plein fouet le car venant en sens inverse. Une manœuvre risquée qui pourrait être à l’origine de ce drame.
Les autorités compétentes ont ouvert une enquête officielle afin de déterminer avec précision les circonstances de l’accident et d’établir les responsabilités. Ce nouveau drame relance une fois de plus le débat sur le respect du code de la route, la prudence au volant et la sécurité sur les axes routiers très fréquentés du pays.
Un fait divers troublant, mêlant jalousie maladive, harcèlement et violences, a été porté devant le tribunal de grande instance de Thiès. Au cœur de l’affaire : A. Ndione, électromécanicien, marié et père de famille, poursuivi pour avoir mené une véritable campagne de représailles contre le mari de son ancienne maîtresse.
Selon les éléments exposés à la barre, A. Ndione n’aurait jamais digéré la décision de son ex-compagne de mettre fin à leur relation et d’épouser un autre homme. Animé par un désir de vengeance, il aurait alors ciblé le mari de cette dernière, multipliant actes de harcèlement et menaces.
L’acte le plus grave reproché au prévenu reste la diffusion de vidéos à caractère intime, dans lesquelles il apparaît avec la femme, envoyées directement au mari de celle-ci. Une démarche humiliante et traumatisante, destinée à briser le couple et à porter atteinte à la dignité de la victime.
Outre le harcèlement numérique, A. Ndione est également accusé d’avoir physiquement agressé le mari de son ex-compagne. L’affaire prend une tournure encore plus inquiétante lors de son interpellation : les forces de l’ordre découvrent sur lui une arme à feu détenue sans autorisation, aggravant lourdement son cas.
Face au tribunal, le mis en cause n’a pas nié les faits. Le couple victime a déposé plainte pour diffusion illicite de données personnelles, attentat à la pudeur et coups et blessures volontaires. Le procureur de la République a requis l’application stricte de la loi, soulignant la gravité des actes et leurs conséquences psychologiques.
À l’issue de l’audience, le tribunal a mis l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 2 janvier 2026. Cette affaire relance le débat sur les violences liées aux relations sentimentales et l’utilisation abusive des contenus intimes à des fins de vengeance, un phénomène de plus en plus dénoncé au Sénégal.
La chanteuse sénégalaise Coumba Gawlo Seck sort de son silence face aux rumeurs persistantes qui circulent sur les réseaux sociaux et tentent de l’associer à l’affaire du double meurtre de feu Abdou Aziz Ba et de feu Wally Gano. Dans un communiqué officiel rendu public ce vendredi, son Pôle d’avocats dénonce une campagne de désinformation grave, reposant sur des accusations qualifiées de « mensongères, infondées et juridiquement inexistantes ».
Les conseils de l’artiste sont catégoriques : Coumba Gawlo n’a strictement aucun lien, ni direct ni indirect, avec cette affaire criminelle. Toute tentative de l’y mêler constitue, selon eux, une atteinte manifeste à son honneur, à sa réputation et à son image, bâtis au fil de plusieurs décennies de carrière artistique et d’engagement citoyen.
Face à ce qu’ils qualifient de dérives irresponsables, les avocats mettent formellement en demeure toute personne physique ou morale y compris influenceurs, créateurs de contenus et organes de presse, de cesser immédiatement toute association du nom de l’artiste à cette affaire. Ils exigent également la suppression sans délai de toute publication, vidéo, audio ou commentaire établissant un tel rapprochement.
Le ton se durcit avec l’annonce du dépôt imminent d’une plainte devant la juridiction compétente de Barcelone contre le tiktokeur Elhadji Malick, connu sous le pseudonyme « Choco Nostress », ainsi que contre toute personne identifiée comme relais de ces accusations. Les chefs d’inculpation annoncés sont lourds : diffamation, atteinte à l’honneur, dénonciation calomnieuse et diffusion de fausses informations.
Dans leur communiqué, les avocats rappellent avec fermeté que la liberté d’expression ne saurait être assimilée à un permis de diffamer. « Elle ne peut en aucun cas couvrir ou justifier des propos mensongers ou attentatoires à la dignité d’autrui », soulignent-ils, tout en avertissant que d’autres actions judiciaires, civiles ou pénales, pourraient être engagées contre les auteurs et leurs complices.
Le document est signé par Maître Francisco García Bayona, avocat à la Cour de Barcelone, ainsi que par Maîtres Mamadou Djiby Diallo et Gaye, avocats à la Cour de Dakar.
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