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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
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Société sur Thies info
La justice sénégalaise franchit une nouvelle étape dans l’affaire très médiatisée de « Keur Yeurmandé ». La Chambre criminelle a en effet décidé le renvoi en jugement de Ndella Madior Diouf ainsi que des autres personnes impliquées dans ce dossier, marquant le début d’une phase cruciale pour l’enquête judiciaire.
Selon les informations officielles, le procès est fixé au 13 janvier 2026. À cette date, les mis en cause devront répondre devant la juridiction des faits qui leur sont reprochés. L’affaire avait suscité une attention particulière de l’opinion publique en raison de ses enjeux sensibles et du nombre de personnes impliquées.
Cette décision de la Chambre criminelle intervient après plusieurs mois d’investigations et de débats juridiques autour des accusations portées dans le cadre de ce dossier. Le déroulement du procès sera suivi de près par les médias et la population, impatients de connaître la suite des événements dans ce dossier qui a déjà fait couler beaucoup d’encre.
À Malicounda Extension, une affaire de vol domestique aux allures de trahison de confiance est actuellement examinée par la justice. En cause, M. Diatta, 25 ans, employée de maison depuis seulement deux mois chez A.R. Andrad, un ancien militaire français établi dans la localité.
Profitant de l’absence de ses employeurs, la jeune femme aurait dérobé 50 000 FCFA en espèces ainsi qu’une boîte à bijoux contenant plusieurs colliers en or, estimés à 1,5 million FCFA. L’ensemble sera écoulé pour seulement 100 000 FCFA. Pour ces faits, le parquet a requis deux ans de prison, dont un an ferme.
D’après les informations rapportées par L’Observateur, les faits se sont produits le 8 novembre. Ce jour-là, la famille Andrad était absente du domicile. Chargée des travaux ménagers, M. Diatta quitte la terrasse qu’elle nettoyait pour se rendre discrètement dans la chambre conjugale.
Elle fouille l’armoire, s’empare de l’argent liquide et de la boîte à bijoux, puis transporte le butin dans sa chambre. Séduite par la valeur des objets, elle décide d’agir sans délai.
Avant le retour des propriétaires, l’accusée se rend à Saly Portudal, puis au marché central de Mbour, où elle revend les bijoux pour 100 000 FCFA, une somme très inférieure à leur valeur réelle.
Les 50 000 FCFA en espèces sont aussitôt utilisés pour l’achat d’un téléphone iPhone.
Le lendemain, elle se présente à son lieu de travail comme si de rien n’était.
Mais A.R. Andrad constate rapidement le désordre dans sa chambre. À la première confrontation, M. Diatta passe aux aveux, reconnaissant l’intégralité des faits et détaillant l’usage fait du butin.
Elle est immédiatement remise à la Brigade de gendarmerie de Malicounda, puis déférée au parquet de Mbour et placée sous mandat de dépôt.
À l’audience du Tribunal d’instance, la prévenue revient sur ses déclarations. Après avoir affirmé ne plus se souvenir du receleur, elle finit par en donner le nom, sans pouvoir indiquer son adresse ni permettre son identification.
Cette situation empêche toute récupération des bijoux, auxquels la victime attachait une forte valeur sentimentale, les ayant hérités de ses parents. Malgré cette perte, l’ancien militaire a indiqué pardonner son ex-employée et n’a réclamé aucun dédommagement.
Au regard des aveux et de la gravité des faits, le parquet a requis deux ans d’emprisonnement, dont un an ferme.
Le verdict est attendu le 18 décembre.
Le tribunal d’instance de Thiès a condamné, ce lundi 8 décembre, F. Diop à un mois de prison ferme pour le vol d’une bouteille de gaz.
Selon les éléments de l’enquête, l’homme s’est introduit dans une maison afin d’y dérober une bouteille de gaz qu’il comptait revendre. Il aurait agi sous la pression de difficultés financières, cherchant désespérément de quoi payer les ordonnances de sa mère malade.
Interpellé puis placé sous mandat de dépôt, F. Diop a comparu à la barre où il a reconnu les faits. Il a expliqué avoir voulu obtenir rapidement de l’argent pour couvrir les frais médicaux urgents de sa mère.
Le procureur de la République a estimé que les faits étaient constants et a requis l’application stricte de la loi. Le juge a suivi les réquisitions et a prononcé une peine d’un mois de prison ferme.
Le quartier Aynina Fall de Thiès a été secoué ce lundi par un drame poignant survenu en fin d’après-midi. Un bébé âgé de seulement huit mois a perdu la vie à la crèche intégrée à l’école élémentaire Les Aiglons. Les faits se sont déroulés aux alentours de 17 heures, plongeant le personnel et les familles du quartier dans la consternation.
D’après les informations recueillies auprès du capitaine Khoudia Ibra Mar, commandant de la brigade des sapeurs-pompiers de Thiès, les secours ont été alertés pour un cas qualifié de “sommeil profond” concernant un nourrisson de sexe masculin. Une équipe a immédiatement été dépêchée sur place, mais à leur arrivée, les sapeurs-pompiers n’ont pu que constater le décès de l’enfant.
La police s’est ensuite rendue sur les lieux pour procéder au constat d’usage. Le corps du bébé a été transféré à la morgue de l’hôpital régional de Thiès pour les besoins de l’autopsie.
Selon la source, les parents de la victime résident au quartier Mbour 3 de Thiès. Le bébé effectuait ce jour-là sa toute première journée à la crèche, ce qui rend le choc d’autant plus douloureux pour sa famille.
Une enquête a été ouverte par les services de police afin de déterminer les circonstances exactes du drame : problème médical, défaillance dans la surveillance, ou tout autre facteur pouvant éclairer ce décès brutal.
La communauté d’Aynina Fall et l’ensemble de la ville de Thiès restent sous le choc, en attente des conclusions de l’enquête pour comprendre comment une telle tragédie a pu se produire.
Âgée de 29 ans, M. Gningue a été reconnue coupable de coups et blessures volontaires (CBV) occasionnant une incapacité temporaire totale (ITT) de 10 jours et condamnée à une peine de 6 mois avec sursis par le tribunal d’instance de Thiès.
Les faits se sont déroulés à Ngoudiane, dans le cadre d’une dispute domestique autour d’une bonbonne de gaz. Selon la partie civile, S. Thiaw, belle-sœur de la prévenue, la querelle aurait éclaté lorsqu’elle a constaté que sa bonbonne de gaz avait été déplacée. La situation aurait dégénéré lorsque M. Gningue l’aurait attaquée avec des injures avant de la poignarder au visage à l’aide d’une cuillère.
À la barre, M. Gningue a contesté cette version : « C’est elle qui est venue m’attaquer dans ma chambre. Je lui ai demandé de sortir et elle a refusé. Nous nous sommes battues et c’est mes ongles qui l’ont blessée. Je ne l’ai pas poignardée », a-t-elle affirmé.
Le procureur de la République a estimé que les faits étaient établis et a requis l’application de la loi. Le juge a finalement déclaré M. Gningue coupable de coups et blessures volontaires et l’a condamnée à une peine de 6 mois de sursis, évitant ainsi une incarcération immédiate.
Le maçon O. Diamé a été condamné par le tribunal d’instance de Thiès à une peine d’un mois d’emprisonnement ferme. Poursuivi pour vol, il est accusé d’avoir dérobé trois planches sur un chantier de la ville. Suite à son arrestation, il avait été placé sous mandat de dépôt.
À la barre, O. Diamé a reconnu les faits. Il a expliqué qu’il se trouvait en état d’ivresse au moment du vol. Il a précisé avoir revendu les planches pour 4 000 FCFA afin d’acheter un plat de « thiébou dieune » (riz au poisson) et des cigarettes.
La partie civile, représentée par T. Guèye, a estimé la valeur des planches à 15 000 FCFA chacune et a réclamé 45 000 FCFA en dédommagement.
Le procureur de la République, considérant les faits établis, a requis l’application de la loi. Le juge a finalement déclaré le prévenu coupable et l’a condamné à un mois de prison ferme, en plus de verser 45 000 FCFA à la partie civile pour réparation.
Un drame a secoué le village de Nguith, situé à proximité de la commune de Ndiaganiao, dans la région de Thiès. Le samedi 29 novembre 2025, un jeune pêcheur du nom de Souleymane Tine aurait mortellement frappé son ami Ablaye Ndione au cours d’un battage collectif de paille d’arachide. Les circonstances exactes du geste fatal alimentent encore les débats au sein de la communauté.
En pleine période de récoltes, le cultivateur Diégane Tine avait sollicité le soutien des jeunes du village pour l’aider au battage de sa paille d’arachide. Comme le veut la tradition, plusieurs générations se sont réunies dans son champ, formant un cercle autour des tas de foin et armées de barres de fer ou de râteaux.
L’activité, habituellement animée et collective, se déroulait dans une ambiance rythmée, entre poussière dense, bruit continu et mouvements coordonnés.
Selon les premiers éléments recueillis, c’est un différend mineur qui aurait déclenché l’incident.
Ablaye Ndione, l’un des participants, aurait égaré sa barre de fer dans le tas d’arachides. En tentant de la retrouver, il se serait disputé avec Souleymane Tine, situé à proximité.
Les deux jeunes, amis dans la vie quotidienne, se seraient brièvement accrochés. Pendant que les autres participants continuaient les mouvements de battage, Souleymane, toujours muni de sa barre de fer, aurait porté un coup violent à la tête d’Ablaye.
Certains témoins y voient un geste agressif.
Souleymane, lui, affirme qu’il s’agissait d’un accident provoqué par la poussière, qui l’aurait empêché de voir son camarade au moment du mouvement.
Grièvement blessé, Ablaye Ndione a été évacué sur une charrette jusqu’au poste de santé de Ndiaganiao. Le trajet, long et difficile, a ralenti la prise en charge.
Arrivé en état critique, le jeune homme a finalement succombé à ses blessures, plongeant le village dans la consternation.
L’annonce de son décès a mis fin aux travaux et provoqué une grande émotion dans la communauté, où les deux protagonistes étaient bien connus et appréciés.
Interpellé dans les heures qui ont suivi, Souleymane Tine a été placé en garde à vue puis déféré au parquet de Mbour pour meurtre.
Face aux enquêteurs, il reconnaît avoir frappé son ami, mais insiste sur le caractère involontaire du geste.
Les enquêteurs devront clarifier si le coup porté relevait d’un acte impulsif lié à la dispute ou d’un accident dramatique dans le contexte chaotique du battage.
La ville de Thiès a vécu des moments de grande confusion ce dimanche 7 décembre 2025, à la sortie du combat de lutte organisé au champ de courses Ndiaw Macodou Diop, près du camp Gmi Tropical.
À la fin de l’événement, une foule compacte a envahi les rues, transformant plusieurs artères en zones de forte insécurité.
Pendant une trentaine de minutes, l’axe rond-point champ de courses – station Total, reliant Hersent, Diamaguène et Mbambara Alé Lo, a été le théâtre de scènes troublantes.
Des groupes d’individus opportunistes, profitant de la bousculade, s’en prenaient aux passants et s’emparaient d’objets personnels : téléphones, sacs, accessoires.
Certains étaient équipés d’armes blanches, accentuant la panique.
Même les conducteurs de motos-taxis ont dû abandonner leurs passagers pour éviter d’être pris dans le tumulte.
Il a fallu une intervention rapide et coordonnée des unités du commissariat central, du commissariat du 1er arrondissement et du poste des Parcelles-Assainies pour rétablir le calme dans la zone.
Les habitants ont pointé du doigt plusieurs dysfonctionnements :
– non-respect des horaires de fin du combat,
– manque d’encadrement sur les itinéraires,
– absence d’un dispositif de sécurité suffisant.
Selon eux, ces failles ont contribué à amplifier le désordre et la peur qui ont secoué le secteur.
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