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27/10/2025
Réussir ensemble avec Habib Vitin
24/10/2025
Société sur Thies info
La Casamance est secouée par une série de viols attribuées à un jeune homme identifié comme Ange Romain, accusé d’avoir profité de la peur et de la superstition pour commettre ses actes. Selon les témoignages recueillis, l’individu se serait présenté à ses victimes comme étant protégé par un fétiche, ce qui lui permettait de les intimider et de les contraindre.
Les faits se seraient déroulés sur plusieurs mois, dans différents quartiers, où des jeunes filles auraient été victimes d’abus sous la menace de ce fétiche.
Plus grave encore, l’homme est soupçonné d’avoir enceinté deux sœurs et deux cousines au sein de la même famille, provoquant un traumatisme profond et l’indignation des proches. Les victimes, paralysées par la peur des malédictions, ont longtemps hésité à dénoncer ses actes.
La police, alertée après plusieurs plaintes et avec l’aide de témoins, a finalement procédé à l’interpellation de l’accusé. L’enquête se poursuit pour recenser toutes les victimes et déterminer l’ampleur exacte des agressions.
Les parents ont indiqué que la peur de la malédiction invoquée par l'homme avait longtemps empêché les victimes de dénoncer ses actes.
L’enquête est en cours pour déterminer l’étendue exacte des faits et identifier toutes les victimes potentielles.
Les forces de l’ordre appellent toute personne ayant été confrontée à l’individu à se manifester afin de compléter le dossier.
Cette affaire met en lumière la vulnérabilité des jeunes filles face aux manipulations liées à la superstition et aux pratiques occultes, et suscite un débat sur la nécessité de renforcer la sensibilisation et la protection des populations dans la région.
Une violente altercation a éclaté ce jeudi à Gorom 2, Sangalkam, où Mame Diarra a été poignardée à trois reprises au ventre. Selon la mère de la victime, « elle l’a surprise lorsqu’elle est partie se tresser chez la voisine », révélant que l’agression a été préméditée.
Les témoins rapportent que la dispute avait commencé par des injures publiques, l’agresseuse traitant Mame Diarra de « prostituée » devant des riverains. La victime a filmé la scène, qui circule désormais sur les réseaux sociaux.
La confrontation a rapidement dégénéré lorsque l’agresseuse a sorti un couteau, infligeant des blessures graves au niveau du ventre. Mame Diarra a été transférée d’urgence dans un centre hospitalier, son état étant jugé très grave.
La gendarmerie de Gorom 2 est intervenue et a procédé à l’arrestation de l’agresseuse, une jeune fille, qui a été placée en garde à vue. Une enquête a été ouverte pour violences volontaires aggravées et injures publiques.
Cet incident relance les inquiétudes sur la violence entre jeunes et l’impact des réseaux sociaux, et la population appelle à davantage de vigilance.
Une terrible nouvelle a bouleversé le Sénégal : une femme mariée, sœur de la célèbre influenceuse A. M, a été retrouvée morte dans sa chambre conjugale, trois jours après son décès présumé. La victime laisse derrière elle un bébé très jeune et une famille sous le choc.
Selon des proches, la jeune N. T était affaiblie par une maladie dont la nature n’a pas été précisée.
Son mari étant en voyage, elle s’est retrouvée seule pour gérer sa santé et s’occuper de son bébé.
Les voisins, intrigués par le silence inhabituel de la maison et les pleurs de l’enfant, ont alerté la famille et les autorités. À leur arrivée, les sapeurs-pompiers et la police ont découvert le corps en état de décomposition avancée.
Le nourrisson, retrouvé vivant mais très affaibli, a été pris en charge par les services hospitaliers et son état a été stabilisé.
Selon des témoins, la belle-famille ne l’a même pas calculée et ignorait complètement son état de santé. L’absence du mari a prolongé le silence, retardant la découverte du drame.
La célèbre sœur, A. M, a exprimé sa douleur sur les réseaux sociaux, suscitant une vague d’émotion auprès de ses abonnés.
Même si la maladie reste la piste privilégiée, une enquête a été ouverte pour confirmer :
la cause exacte du décès,
le moment précis de la mort,
et les conditions dans lesquelles la jeune femme est restée seule si longtemps.
L’autopsie devrait fournir des réponses définitives.
Les proches et abonnés de l’influenceuse A. M restent profondément attristés. Beaucoup s’interrogent sur comment une telle tragédie a pu passer inaperçue pendant plusieurs jours, et sur l’indifférence de la belle-famille.
Thiès, Keur Massamba Gueye – Hier, vers 21 h, un cambriolage spectaculaire a semé la panique dans le quartier de Keur Massamba Gueye, quelques heures seulement après les cotisations de la tontine. Trois personnes ont été grièvement blessées et une importante somme d’argent, près de 3 millions de francs CFA, a été dérobée.
Selon C.N., responsable de la caisse, « deux malfaiteurs sont venus avec des machettes et un pistolet alors que j’étais partie à la boutique. À mon retour, j’ai entendu des cris. L’un des bandits a sorti son arme et tiré ».
La femme a ajouté : « Ils ont pris le téléphone de mon mari et 10 000 F, ensuite ils l’ont blessé ainsi que mon fils ».
Des témoins rapportent avoir vu une voiture noire rôder dans le secteur durant la journée.
Selon eux, les malfaiteurs portaient des maillots blancs et des cagoules et ont emporté une malette contenant l’argent, laissant penser que l’attaque avait été soigneusement préparée.
N.S., responsable de la tontine, a confié : « On a entendu des coups de feu ; nous avons des problèmes de sécurité ».
Les habitants ont pu constater l’impact d’une balle sur la porte, preuve de la violence de l’attaque qui a profondément choqué le quartier.
Les blessés ont été évacués d’urgence vers l’hôpital régional de Thiès pour recevoir des soins intensifs. La gendarmerie locale a ouvert une enquête afin d’identifier et d’interpeller les auteurs de ce braquage, recueillant les témoignages des victimes et des riverains.
Une vive polémique oppose les habitants de Thiès Azur à l’entreprise immobilière Soprim, accusée de vouloir s’approprier le terrain de football des jeunes et des élèves, sous prétexte de construire une mosquée. La communauté dénonce également la répression policière alors qu’elle tente de défendre cet espace vital.
« Nous sommes des victimes » : la voix des jeunes
Des jeunes du quartier témoignent :
« Nous sommes des victimes. Les policiers nous répriment alors que nous essayons juste de défendre notre terrain de football ».
Au-delà du sport, le terrain sert également à l’éducation physique des élèves des écoles de Thiès Azur, contribuant à leur formation et à leur bien-être. Sa disparition représenterait donc une double perte : pour la jeunesse et pour l’éducation scolaire.
Soprim avance que le terrain serait destiné à accueillir une mosquée. Pour les habitants :
Le projet se fait sans consultation de la communauté.
Le terrain est le seul espace pour le sport des jeunes et l’éducation physique des élèves.
Les riverains dénoncent le risque de priver la jeunesse d’un lieu crucial pour l’épanouissement et l’éducation.
Certains jeunes affirment qu’un commissaire basé à Dakar serait le véritable initiateur du projet, ce qui ajoute une dimension de méfiance et de suspicion. Cette affirmation renforce le sentiment que les intérêts de la communauté et de la jeunesse sont sacrifiés au profit d’intérêts externes.
Le terrain de football de Thiès Azur joue plusieurs rôles :
Il sert de lieu pour l’éducation physique des élèves, renforçant leur santé et leur discipline.
Il favorise la cohésion sociale et l’apprentissage de valeurs citoyennes.
Sa disparition priverait la jeunesse et les élèves d’un espace essentiel à leur épanouissement.
Les revendications des habitants
Le collectif des riverains exige :
L’arrêt immédiat des travaux sur le terrain.
La préservation de l’espace pour les jeunes et les élèves.
L’ouverture d’un dialogue transparent avec Soprim, les autorités locales et la communauté.
Une enquête indépendante sur les allégations selon lesquelles un commissaire serait derrière le projet.
La fin des pressions policières et la garantie de la sécurité des défenseurs du terrain.
La recherche de solutions équilibrées permettant la construction de la mosquée sans nuire aux activités sportives et éducatives.
La Brigade de recherches de Guédiawaye a interpellé S. Sané, accusé de viol, pédophilie et détournement de mineure sur sa propre nièce âgée de 7 ans. Les faits ont eu lieu le dimanche 09 novembre 2025, à Sam Notaire, dans le quartier « Arrêt Dial Mbaye ».
La fillette, qui passe habituellement ses journées chez son grand-père, était introuvable au moment où sa mère est venue la récupérer. Très vite, les jeunes du quartier et la famille se mobilisent pour la rechercher, mais sans succès.
Quelques minutes plus tard, la mère aperçoit finalement sa fille sortant d’une maison voisine, la main tenue par S. Sané. Interrogée, la petite déclare que son oncle l’a invitée à le suivre avant de l’emmener dans le bâtiment d’en face.
Sous le choc, la mère conduit immédiatement l’enfant à l’hôpital Roi Baudouin. Le service gynécologique exige une réquisition, obtenue au commissariat. Le certificat médical révèle ensuite des lésions intimes compatibles avec un acte forcé.
Alertée, la Brigade de recherches arrête S. Sané. Devant les enquêteurs, il tente de nier les faits, malgré la déclaration précise de l’enfant et le témoignage d’une personne ayant observé la scène.
Le suspect est finalement déféré le lundi 17 novembre.
Selon L’Observateur, S. Sané aurait déjà été impliqué dans une affaire similaire quelques mois plus tôt. Il aurait été chassé du domicile familial après des accusations de viol sur une autre mineure hébergée chez eux. Aucune poursuite n’avait été engagée, faute de preuves.
Dimanche, une opération policière menée dans les quartiers de Médina Gounass, Bagdad et Marché Boubess a abouti au démantèlement d’un réseau de voleurs de motos. Mais mardi, la tentative de transfert des suspects vers le Tribunal de Pikine-Guédiawaye a déclenché des tensions devant le commissariat, nécessitant l’intervention du GMI.
Une opération ciblée de la Brigade de recherches du commissariat central de Guédiawaye a permis, dimanche dernier, de mettre fin aux agissements d’un réseau présumé impliqué dans le vol, le recel de motos et la vente de chanvre indien. Les enquêteurs ont investi plusieurs zones sensibles, notamment Médina Gounass, Bagdad et le Marché Boubess, où les suspects opéraient discrètement.
Six jeunes hommes, âgés de 22 à 33 ans et exerçant divers métiers — commerçant, mécanicien, ferrailleurs, charretier et tailleur — ont été arrêtés en flagrant délit alors qu’ils tentaient d’écouler des motos d’origine frauduleuse. Il s’agit de S. A. Dramé, F. Sow, D. Dieng, B. Diouf, I. Diop et S. Wone, selon L’Observateur. Lors de la perquisition, 16 cornets de chanvre indien ont été retrouvés en possession de S. Wone.
Au cours des auditions, les suspects ont déclaré avoir acquis les motos sans papiers dans le cadre d’une « transaction de confiance ». Une explication largement contestée par les enquêteurs, qui la jugent incohérente au vu du mode opératoire observé.
Après leur présentation au procureur, les six hommes ont été placés sous mandat de dépôt.
Mardi, l’affaire a pris une tournure inattendue. Une foule composée de mères de famille, de charretiers et de conducteurs de motos s’est rassemblée devant le commissariat de Guédiawaye pour dénoncer ce qu’elle considère comme des « arrestations arbitraires » visant des « innocents ».
Lorsque les policiers ont tenté d’exfiltrer les suspects pour les transférer au Tribunal de Pikine-Guédiawaye, plusieurs manifestants ont tenté de bloquer le véhicule, allant jusqu’à s’agripper aux portières pour empêcher le départ. La situation a rapidement dégénéré, obligeant le Groupement mobile d’intervention (GMI) à intervenir pour disperser la foule.
L’ordre a finalement été rétabli et le transfert assuré sans blessés majeurs.
Adama Diallo et son complice ont été arrêtés par la police pour vol en réunion après avoir dérobé une moto aux Almadies 2. Leur trajet à bord du véhicule volé s’est terminé à l’hôpital, suite à un accident survenu à Mbour.
La victime, propriétaire d’une moto DFZ, avait constaté le vol de son engin à son domicile. Ses investigations ont rapidement permis d’identifier les auteurs du délit.
Après le vol, les deux suspects ont pris la fuite avec la moto et ont été impliqués dans un accident à hauteur de Mbour. Adama Diallo, présentant des blessures, a alors contacté la victime pour avouer le vol. De retour à Dakar, il a été conduit par le plaignant au commissariat de Jaaxay, des Parcelles Assainies et de Niacourab.
La police indique que Diallo souffre d’une fracture au poignet, diagnostiquée après radiographie et pour laquelle un traitement lui a été prescrit. Son complice, quant à lui, présente une fracture de la clavicule et reste hospitalisé.
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