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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
03/12/2025
Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
Société sur Thies info
La police de Thiès a procédé à l’arrestation de 35 personnes à la suite d’une série de « simol », des vols à l’arrachée perpétrés en groupe, survenus ce dimanche de décembre 2025, en marge du combat de lutte opposant 10 Milles Problèmes à Karara Junior.
À Thiès, dans le quartier Keur Seib Ndoye, une violente agression a secoué le voisinage. Une femme, mariée dans le cadre d’un mariage polygame, s’est rendue dans le champ de son mari situé à proximité de Pire pour cueillir du persil lorsque l’impensable est arrivé. Selon les témoins, elle a été attaquée par sa coépouse, venue de Tivaouane, accompagnée de son fils et de sa fille.
Le village de Deni Biram Ndao, dans la commune de Bambilor, est sous le choc après un crime tragique. Un jeune berger, Aliou Sow, également connu sous le nom d’Ibrahima, est accusé d’avoir mortellement poignardé Mamadou Ndiaye, alias « Toye », l’apprenti-chauffeur et fils de son employeur.
Originaire de Dahra Djolof, le présumé meurtrier a pris la fuite et reste activement recherché par la gendarmerie depuis près d’une semaine. Selon nos sources, Aliou Sow avait été recruté par le père de la victime et ne disposait pas de carte nationale d’identité à son arrivée dans le village. Sa mise en relation avec l’employeur aurait été facilitée par son grand-père.
D’après les témoignages, le jeune berger percevait un salaire mensuel de 50 000 francs CFA, dont une partie était envoyée à sa mère dans le Djolof. Le drame aurait éclaté suite à une dispute, au cours de laquelle Aliou Sow aurait porté trois coups de couteau à Mamadou Ndiaye. Gravement blessée, la victime n’a pas survécu.
Depuis l’incident, Aliou Sow demeure introuvable et aurait laissé son téléphone portable chez son employeur avant de disparaître. La gendarmerie de Bambilor a ouvert une enquête pour localiser le domicile familial du fugitif et procéder à son arrestation. Selon nos informations, il ne se serait pas rendu dans sa région natale du Djolof après le crime.
Après six années passées en prison, Mor Seck est sorti de détention avec un lourd sentiment d’injustice. Dans un témoignage récemment diffusé sur les réseaux sociaux, l’ancien détenu affirme avoir été condamné pour un crime qu’il n’a jamais commis, sur la base d’éléments qu’il juge insuffisants et contestables.
Selon ses déclarations, l’accusation portée contre lui reposait principalement sur la présence de sa photographie dans le téléphone portable d’un suspect impliqué dans l’affaire. Un élément que M. Seck considère comme le seul lien retenu contre lui au cours de la procédure judiciaire.
D’après son récit, aucune preuve matérielle directe ne l’aurait formellement impliqué dans les faits qui lui étaient reprochés. Il affirme n’avoir ni participé au crime ni entretenu de relation criminelle avec les personnes mises en cause, estimant que la simple présence de son image dans un téléphone ne pouvait, à elle seule, justifier une condamnation pénale.
« Ma photo était dans le téléphone d’un suspect, et cela a suffi pour me faire arrêter puis condamner », soutient-il, dénonçant ce qu’il qualifie de grave erreur judiciaire.
M. Seck explique que ces six années d’emprisonnement ont profondément bouleversé sa vie. Outre la privation de liberté, il évoque la rupture familiale, la perte d’opportunités professionnelles et les traumatismes psychologiques liés à l’incarcération prolongée.
À sa libération, il dit faire face à une société peu préparée à accueillir un homme marqué par une condamnation pénale, malgré les doutes qu’il continue de formuler sur la légitimité du verdict rendu contre lui.
Son témoignage ravive le débat sur les erreurs judiciaires et la nécessité d’une instruction rigoureuse fondée sur des preuves solides et contradictoires. Des spécialistes du droit rappellent régulièrement que toute condamnation doit reposer sur des éléments matériels, des témoignages concordants ou des aveux légalement obtenus, et non sur de simples associations indirectes.
Aujourd’hui libre, M. Seck dit vouloir rétablir son honneur et faire connaître son histoire afin d’éviter que d’autres ne vivent la même épreuve. Son récit, largement relayé, suscite des réactions contrastées mais soulève une interrogation essentielle : comment prévenir et réparer les erreurs judiciaires lorsque la justice a déjà rendu son verdict ?
Malgré le dispositif renforcé mis en place par l’État du Sénégal pour lutter contre l’émigration irrégulière, le phénomène demeure préoccupant. De nombreux jeunes continuent de tenter la traversée périlleuse vers l’Europe, à bord de pirogues de fortune.
Dans la nuit du 12 au 13 décembre 2025, la Marine nationale sénégalaise a procédé au sauvetage de 96 migrants au large de Saint-Louis. L’opération a été menée avec succès en coordination avec la Brigade nationale des sapeurs-pompiers (BNSP), la Direction de la protection et de la sécurité publique (DPSP) et la Direction nationale de la lutte contre la traite des personnes (DNLT).
Ce nouveau sauvetage intervient quelques jours seulement après celui de 382 migrants secourus les 9 et 10 décembre, confirmant la persistance des départs clandestins malgré les risques élevés encourus en mer.
Selon les autorités, l’ensemble des candidats à l’émigration irrégulière secourus ont été mis à la disposition des services compétents pour les besoins de l’enquête, de l’identification et de la prise en charge sociale.
Face à cette situation alarmante, les forces de défense et de sécurité poursuivent leur vigilance, tandis que les autorités appellent une nouvelle fois à la sensibilisation des jeunes sur les dangers de l’émigration clandestine, souvent synonyme de drames humains.
Trois vigiles, deux Sierra-Léonais et un Sénégalais, comparaissaient récemment devant le Tribunal de grande instance de Mbour pour leur rôle présumé dans le pillage de six magasins à Saly Portudal. Mardi prochain, le tribunal rendra sa décision sur cette affaire qui a secoué la résidence de standing « Totem ».
Les faits remontent à une nuit agitée : vers 3 heures du matin, une bande organisée a forcé l’entrée de six commerces au sein de la résidence, emportant près d’un million de francs CFA et de nombreux objets de valeur. Les malfaiteurs ont opéré en toute impunité, à quelques mètres seulement des vigiles censés surveiller les lieux.
Lors de l’audience, les prévenus ont nié toute responsabilité, avançant des explications pour le moins surprenantes. M. Seck, chef d’équipe, a évoqué une « diarrhée persistante » qui l’aurait retenu aux toilettes au moment des faits. M. Touré, quant à lui, a assuré avoir été affecté à un poste trop éloigné pour percevoir quoi que ce soit. Enfin, M. Cissé a affirmé n’avoir « rien vu, ni rien entendu », alors que sa guérite se trouvait à proximité immédiate des commerces pillés.
Les victimes, elles, restent sous le choc. Mme F. Thiandoum, propriétaire de l’un des magasins, déplore des pertes importantes et s’interroge sur la vigilance des agents de sécurité.
L’affaire met en lumière les enjeux de la sécurité privée dans les résidences haut de gamme de la région, et soulève de sérieuses questions sur la fiabilité des gardiens lors de missions sensibles.
Le tribunal devrait se prononcer mardi prochain, mettant fin à plusieurs semaines de suspense pour les prévenus et les victimes.
Une simple poignée de main aurait suffi à faire basculer la vie de S. Baldé dans un véritable cauchemar financier. Se disant victime d’un acte de charlatanisme aux relents mystiques, il affirme avoir été contraint, comme privé de sa volonté, de vider son compte Wave avant de remettre argent et téléphone à deux inconnus. L’un des suspects a été interpellé puis déféré devant le parquet.
Selon les informations rapportées par Libération, les faits remontent au mois de septembre dernier. Ce jour-là, S. Baldé venait tout juste de descendre d’un véhicule de transport lorsqu’il a été abordé par deux individus dans la rue. Après une poignée de main et quelques échanges apparemment banals, la situation aurait brusquement basculé.
Le plaignant raconte avoir ressenti une sensation étrange, comme une perte totale de contrôle sur ses actes. Il affirme s’être senti « possédé », incapable de résister ou de réfléchir normalement. L’un des individus lui aurait alors demandé s’il disposait d’un compte Wave. À sa propre surprise, S. Baldé répond par l’affirmative et accepte de les suivre jusqu’à un point de transfert d’argent.
Une fois sur place, toujours selon sa déposition, il vide entièrement son compte Wave, soit la somme de 164 000 FCFA. Il remet ensuite l’argent ainsi que son téléphone portable aux deux hommes, sans opposer la moindre résistance. Ce n’est qu’après leur départ qu’il dit avoir repris ses esprits, réalisant avec stupeur qu’il venait de se faire dépouiller.
L’affaire connaît un rebondissement le 9 décembre dernier. Par un pur hasard, S. Baldé reconnaît dans la rue l’un des deux individus qu’il accuse de l’avoir manipulé. Le suspect, identifié comme D. Kanté, est aperçu au niveau de l’Ancienne piste. Le plaignant alerte aussitôt les gendarmes présents sur les lieux, ce qui conduit à l’interpellation de l’homme par la brigade de gendarmerie de Ouakam.
Interrogé par les enquêteurs, D. Kanté a catégoriquement nié les faits, rejetant toute implication dans cette affaire qu’il qualifie d’infondée. Il conteste également toute pratique de charlatanisme. Toutefois, selon Libération, S. Baldé est resté ferme et constant dans sa version, affirmant reconnaître formellement son agresseur parmi les deux individus rencontrés le jour des faits.
Au terme de l’enquête préliminaire, D. Kanté a été déféré ce vendredi devant le parquet. Il est poursuivi pour charlatanisme et vol portant sur la somme de 164 000 FCFA. L’enquête se poursuit afin d’identifier le second individu impliqué dans cette affaire qui relance le débat sur les pratiques mystiques et les escroqueries utilisant la manipulation psychologique.
Après l’incarcération des administrateurs présumés des plateformes sulfureuses connues sous les pseudonymes de « Kocc Barma » et « Leuk Daour », la Division spéciale de cybersécurité (DSC) change de braquet. Les enquêteurs ne se contentent plus de viser les têtes du réseau : ils s’attaquent désormais aux fournisseurs de contenus illicites, véritables maillons de la chaîne du chantage numérique.
Dans son édition de ce samedi 13 décembre, Libération révèle l’arrestation d’un premier complice présumé. Il s’agit de E. D. Seck, âgé de 35 ans, interpellé sur la Corniche ouest de Dakar, précisément dans un restaurant très fréquenté. Selon les informations rapportées, l’homme est accusé d’avoir transmis une sextape impliquant son ex-compagne à l’un des administrateurs du réseau, avec l’intention manifeste de la « détruire ».
Face aux enquêteurs, le suspect a d’abord nié toute implication. Mais sa ligne de défense s’est rapidement effondrée devant les preuves techniques recueillies par la DSC. La vidéo incriminée a en effet été retrouvée directement dans son téléphone portable, établissant sans ambiguïté son rôle dans la diffusion du contenu compromettant.
Cette arrestation ne serait cependant que la partie émergée de l’iceberg. Toujours selon Libération, les enquêteurs ont réalisé une avancée majeure dans ce dossier sensible en prenant le contrôle de l’adresse électronique centrale utilisée par le réseau pour collecter photos et vidéos intimes. Une véritable prouesse technique qui permet désormais à la police d’avoir accès à la liste exhaustive de toutes les adresses électroniques ayant alimenté les sites babiporno, boydakar et seneporno.
Présenté vendredi dernier devant le doyen des juges, E. D. Seck a été inculpé avant d’être placé sous contrôle judiciaire. Mais l’enquête est loin d’être bouclée. Forts d’une délégation judiciaire délivrée par le magistrat instructeur, les éléments de la DSC poursuivent leurs investigations dans la plus grande discrétion.
Objectif affiché : identifier, localiser et neutraliser l’ensemble des « correspondants » impliqués dans ce vaste réseau de diffusion de contenus intimes et de chantage numérique. De nouvelles interpellations seraient imminentes, laissant présager une série d’arrestations qui pourrait ébranler davantage encore ce système clandestin longtemps resté hors de portée des autorités.
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