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Un cambriolage a été signalé aux Parcelles Assainies, Unité 2, à Thiès. La victime, Mareme, avait quitté son domicile pour rendre visite à sa mère lorsque les faits se sont produits. À son retour, elle a constaté la disparition de son téléviseur écran plat et d’une somme de 200 000 francs CFA.


Thiès : un téléviseur et de l’argent disparaissent dans un vol suspect

Fait particulier, aucune porte n’a été forcée, ce qui laisse penser que le vol a été commis sans effraction visible. L’appartement étant partagé avec d’autres occupants, l’accès au logement n’était pas limité, ce qui complique l’enquête.

Dans le cadre des investigations, la femme de ménage, qui a régulièrement accès à l’appartement, est soupçonnée. Après la découverte du vol, elle ne répondait plus à son téléphone, mais a finalement été contactée via un autre numéro, selon les informations recueillies.

Une plainte a été déposée auprès des services compétents. Les autorités poursuivent leurs vérifications pour identifier les auteurs du vol et déterminer les circonstances exactes de l’affaire.

Cet incident met en lumière les problématiques de sécurité dans les appartements partagés, où l’accès de certaines personnes peut faciliter les vols. Les habitants du quartier sont invités à la vigilance et à signaler tout comportement suspect aux autorités.



Mercredi 17 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le département de Mbour est sous le choc après un drame familial d’une extrême violence survenu mardi aux environs de 12 heures. Un homme a mortellement poignardé sa mère à l’issue d’une altercation. Le suspect a été interpellé par la brigade territoriale de Joal.


Drame à Nguéniène : un maçon tue sa mère à coups de poignard après une dispute

Selon des sources concordantes, les faits se sont déroulés à Nguéniène, où B. Sarr, maçon âgé d’environ 37 ans, a porté un coup de poignard fatal à sa mère biologique, Marie Diouf. La victime n’a pas survécu à ses blessures, plongeant la localité dans une profonde tristesse et une vive consternation.

Interpellé peu après les faits par les éléments de la gendarmerie, le présumé meurtrier est passé aux aveux lors de son interrogatoire. Il a reconnu avoir poignardé sa mère à la suite d’une violente dispute familiale. Selon ses déclarations, la victime l’accusait de vol d’argent, ce qui aurait déclenché sa colère.

« J’ai poignardé ma mère parce qu’elle m’accusait de vol d’argent. Mais je n’avais pas l’intention de la tuer », a-t-il confié aux enquêteurs, tout en exprimant des regrets.

Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce matricide qui relance le débat sur les violences intrafamiliales et la gestion des conflits au sein des foyers. Le corps de la victime a été acheminé à la morgue pour les besoins de l’autopsie, tandis que B. Sarr devrait être présenté au parquet dans les prochains jours.



Mercredi 17 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Une cérémonie traditionnelle d’incinération de drogues saisies et de produits impropres à la consommation s’est tenue ce mercredi 17 décembre dans la forêt classée de Thiès.


Lutte contre la drogue à Thiès : incinération massive de stupéfiants et produits impropres

Présidant l’événement, le procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Thiès, Modou Sokhna Thiam, a indiqué que 95 tonnes de produits dangereux étaient concernées par cette opération. « Il s’agit notamment de 5 tonnes de stupéfiants, dont le chanvre indien et autres drogues, de faux médicaments, mais surtout de produits impropres à la consommation humaine », a précisé le magistrat.

Le procureur a salué la synergie d’action des forces de sécurité et des services impliqués, notamment la police, la douane, la gendarmerie, le service d’hygiène et le service du commerce. « Cette incinération n’est pas seulement un acte matériel, elle permet de magnifier le travail colossal réalisé par les forces de défense et de sécurité, qui ont fait preuve de courage et d’abnégation », a-t-il souligné.

En 2025, 95 affaires ont été jugées dans le ressort de Thiès au niveau de la chambre criminelle, dont 65 concernaient la drogue. L’objectif, selon le procureur, est de renforcer la présence des forces de sécurité sur le terrain et de focaliser la répression sur la confiscation et la destruction des produits illicites.

L’adjoint au gouverneur de Thiès en charge du développement, Ababacar Sadikh Niang, a également pris part à cette cérémonie.


Lutte contre la drogue à Thiès : incinération massive de stupéfiants et produits impropres


Mercredi 17 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le Tribunal de grande instance de Mbour a récemment été le théâtre d’un procès singulier opposant le commerçant A. D. Kane à son épouse, K. Ndiaye. Au cœur des débats : des accusations d'escroquerie, de bigamie et de fausse grossesse, sur fond de transactions commerciales litigieuses s’élevant à plusieurs millions de francs CFA.

Une confiance bâtie sur la piété et le sentiment

Selon les déclarations de A. D. Kane devant la barre des flagrants délits, leur relation a débuté il y a quatre ans. La jeune femme aurait progressivement gagné sa confiance en mettant en avant ses liens avec des familles religieuses respectées. Cette proximité a débouché sur un projet de mariage en 2024.

Le plaignant affirme que l’union a été célébrée à distance à Touba par un membre de la famille de K. Ndiaye, une version qu’il appuie par des enregistrements audio. C’est après la consommation du mariage que les transferts de fonds auraient commencé, la prévenue lui proposant divers projets commerciaux.

A. D. Kane soutient avoir versé un total de 6 000 000 FCFA à son épouse pour l’achat de véhicules, de réfrigérateurs et de denrées alimentaires (riz et huile) censés être importés par les frères de cette dernière établis en Europe.

Le doute s’est installé lors d’un déplacement à Touba. Alors qu’il exigeait de rencontrer le beau-frère ayant officié le mariage, le commerçant s’est heurté à des excuses qu’il juge fallacieuses. Convaincu d'être victime d'une manœuvre frauduleuse, il dépose alors une première plainte au Commissariat central de Mbour.

L'affaire prend une tournure encore plus complexe lorsque A. D. Kane suspend sa plainte une première fois. Il explique avoir cédé après que K. Ndiaye lui a annoncé être enceinte. Cependant, après plus d'un an d'attente sans naissance, il conclut à une grossesse fictive.

Plus grave encore, le commerçant a confié au juge ses soupçons de bigamie. Il affirme avoir découvert que son épouse n’avait jamais divorcé de son précédent mari, celle-ci prétextant devoir passer ses journées chez son « ex-époux » uniquement pour s'occuper de ses enfants.

À la barre, K. Ndiaye a rejeté toute intention d'escroquerie, ramenant l'affaire à un simple litige commercial. Si elle reconnaît avoir reçu 5 500 000 FCFA pour l'achat de marchandises, elle nie avoir sollicité des fonds pour des véhicules. Elle explique ses difficultés de remboursement par l'incarcération de l'un de ses frères, qui était son fournisseur principal.

Un premier acompte de 2 100 000 FCFA, issu de la vente d'une voiture, avait déjà été versé au plaignant avant le procès. K. Ndiaye a admis devant le tribunal devoir encore un reliquat, tout en niant les manœuvres frauduleuses.

À l'issue des délibérations, le tribunal a prononcé la relaxe de K. Ndiaye pour les délits pénaux, mais l’a condamnée, sur le plan civil, à payer la somme de 3 500 000 FCFA à A. D. Kane en guise de remboursement.


Mbour : Un procès hors du commun pour escroquerie, bigamie et fausse grossesse

 

Selon les déclarations de A. D. Kane, leur relation a débuté il y a quatre ans. La jeune femme aurait progressivement gagné sa confiance en mettant en avant ses liens avec des familles religieuses respectées, conduisant à un projet de mariage en 2024. L’union aurait été célébrée à distance à Touba par un membre de la famille de K. Ndiaye, une version que le commerçant soutient par des enregistrements audio.

Après le mariage, les transferts de fonds auraient commencé. K. Ndiaye aurait proposé à son époux divers projets commerciaux. A. D. Kane affirme avoir versé un total de 6 000 000 FCFA pour l’achat de véhicules, de réfrigérateurs et de denrées alimentaires destinés à l’importation par les frères de son épouse, établis en Europe.

 

Les soupçons sont apparus lors d’un déplacement à Touba, où le commerçant souhaitait rencontrer le beau-frère ayant officié le mariage. Devant des excuses jugées fallacieuses, il a déposé une première plainte au Commissariat central de Mbour. L’affaire a pris une tournure plus complexe lorsque A. D. Kane a suspendu sa plainte après l’annonce d’une grossesse par son épouse. Mais après plus d’un an sans naissance, il a conclu à une grossesse fictive.

Plus grave encore, le commerçant a affirmé avoir découvert que son épouse n’avait jamais divorcé de son précédent mari, soulevant des soupçons de bigamie. K. Ndiaye aurait justifié ses absences prolongées chez son ex-époux par la nécessité de s’occuper de ses enfants.

 

À la barre, K. Ndiaye a nié toute intention d’escroquerie, ramenant l’affaire à un simple litige commercial. Elle reconnaît avoir reçu 5 500 000 FCFA pour l’achat de marchandises, mais nie avoir sollicité des fonds pour des véhicules. Elle explique ses difficultés de remboursement par l’incarcération de l’un de ses frères, fournisseur principal.

Un premier acompte de 2 100 000 FCFA issu de la vente d’une voiture avait déjà été reversé au plaignant avant le procès. K. Ndiaye a reconnu devoir un reliquat, tout en niant toute manœuvre frauduleuse.

 

À l’issue des délibérations, le tribunal a relaxé K. Ndiaye des délits pénaux, mais l’a condamnée, sur le plan civil, à rembourser 3 500 000 FCFA à A. D. Kane.



Mercredi 17 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Un grave incident sécuritaire s’est produit aux premières heures de la matinée à la Société EMP (El Hadji Pène), spécialisée dans la collecte de ferraille et implantée dans le secteur de Sears, dans la commune de Pikine.


Pikine : une bande armée attaque la société EMP, échanges de tirs avec la police

Selon des informations recueillies sur place, une bande d’individus armés a pris d’assaut les locaux de l’entreprise, semant la panique parmi les employés et les riverains. Alertées, les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour sécuriser les lieux.

L’intervention policière a donné lieu à des échanges de tirs. Des coups de feu ont été entendus, aussi bien du côté des assaillants que des forces de sécurité, provoquant une vive inquiétude dans le quartier encore endormi à cette heure matinale.

Pour l’heure, le bilan exact de l’opération n’a pas encore été communiqué. Aucune information officielle n’a été confirmée concernant d’éventuelles victimes ou des arrestations. Toutefois, un important dispositif sécuritaire a été déployé autour du site afin de prévenir toute nouvelle intrusion et de permettre aux enquêteurs de faire la lumière sur les circonstances de cette attaque.

Une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs de l’assaut et déterminer les motivations de cette attaque armée contre la société EMP, un acteur connu dans le secteur de la récupération de métaux à Pikine.



Mercredi 17 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le drame survenu à Yarakh prend une dimension encore plus bouleversante. Ndiaga Sow, pêcheur de profession, célibataire et aîné de sa famille, a perdu la vie à la suite d’une violente altercation avec celui-là même qui l’avait réveillé ce matin-là pour aller travailler. Les deux hommes étaient amis de longue date et exerçaient ensemble le métier de pêcheur.


Un pêcheur meurt le cou brisé après une bagarre avec son ami

Selon des témoignages recueillis, c’est son ami qui serait venu réveiller Ndiaga Sow à l’aube pour se rendre au travail, comme ils en avaient l’habitude. Ensemble, ils ont quitté le domicile pour rejoindre leur lieu d’activité, sans que rien ne laisse présager le drame à venir.

Au cours de la journée, une dispute aurait éclaté entre les deux hommes. Les raisons exactes de l’altercation restent encore inconnues. La tension serait montée rapidement, jusqu’à dégénérer en bagarre.

 

Des témoins affirment que l’ami de Ndiaga Sow l’aurait saisi violemment, soulevé avant de le laisser retomber lourdement au sol. La chute aurait été d’une extrême violence. Après l’impact, la victime est restée immobile. Des signes alarmants ont été observés : il ne parlait plus, respirait difficilement et sa langue sortait de sa bouche, suscitant la panique parmi les personnes présentes.

 

Sa mère, Saye Ndiaye, raconte avec émotion comment elle a appris la nouvelle :

« C’est la même personne qui est venue le réveiller pour aller travailler...On ne m’a pas tout expliqué au début. Quand je suis arrivée, j’ai vu mon fils étendu par terre. Sa langue sortait. J’ai compris que c’était grave », témoigne-t-elle, en pleurs.

Transporté en urgence vers un établissement hospitalier, Ndiaga Sow a été déclaré mort dès son arrivée, malgré les efforts du personnel médical.

 

Aîné de sa famille, Ndiaga Sow jouait un rôle central au sein du foyer. Pêcheur courageux et travailleur, il subvenait aux besoins de sa mère et de ses proches. Sa disparition soudaine laisse un vide immense.

 

Les forces de l’ordre ont ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame. L’ami impliqué a été interpellé et placé en garde à vue. Les investigations devront établir les responsabilités et les suites judiciaires à donner à cette affaire.

 

À Yarakh, l’émotion reste vive. Ce drame rappelle tragiquement comment une simple dispute peut basculer dans l’irréparable, laissant derrière elle des familles endeuillées et des communautés marquées à jamais.



Mardi 16 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de Dakar, relevant de l’OCRTIS, ont procédé ce mardi 16 décembre, vers 13 heures, à l’arrestation d’un maçon, A. Mbengue, né en 1992, en possession de 500 grammes de chanvre indien. La drogue, conditionnée en 17 cornets et un joint entamé, était prête à la vente.


Un dealer interpellé avec 500 grammes de chanvre indien à Grand Mbao

Selon les autorités, cette interpellation fait suite à un renseignement signalant l’activité d’un dealer surnommé « Alpha », très actif dans le trafic de chanvre indien dans le secteur de Grand Mbao. Un dispositif de surveillance a été déployé, permettant de surprendre le suspect à son domicile, en train de conditionner et de distribuer la drogue.

Fait particulier : le mis en cause imposait à ses clients une consommation sur place. Lors de l’assaut, la police a saisi la drogue, deux téléphones portables (un simple et un Tecno Spark), la somme de 3 500 francs CFA ainsi que du matériel de conditionnement. Un client, identifié sous le nom de « Sa Thiès », a réussi à prendre la fuite en escaladant le mur d’enceinte.

Interrogé sommairement, A. Mbengue a reconnu être le propriétaire de la drogue et a indiqué se fournir dans la forêt de Keur Massar ou à Pikine. Les éléments saisis ont été placés sous scellés, et le suspect a été mis en garde à vue après notification de son droit à se faire assister par un avocat.



Mardi 16 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Le tribunal correctionnel de Thiès a jugé O. Sow, berger, accusé d’avoir sectionné le bras gauche de son confrère S. Mbaye à l’aide d’une machette. Les deux hommes se seraient croisés en brousse avec leurs troupeaux respectifs, lorsqu’une dispute apparemment banale a dégénéré en confrontation violente.


Thiès : Un bras sectionné lors d’une bagarre entre bergers

Selon les faits rapportés, O. Sow a porté un coup de machette à S. Mbaye, entraînant la perte de son bras gauche. Ce dernier, muni d’un certificat médical, a déposé plainte auprès de la gendarmerie pour coups et blessures volontaires.

À la barre, O. Sow a reconnu les faits, tout en invoquant la légitime défense. Il a affirmé que S. Mbaye l’aurait attaqué avec une barre de fer. De son côté, S. Mbaye a nié posséder une quelconque arme : « Quand on s’est disputé, il a brandi une machette et est venu vers moi. Sans défense, j’ai levé mes mains en signe de paix. Malgré tout, il a tenté de me porter un coup à la tête. En me protégeant, j’ai perdu mon bras gauche. Je ne peux plus travailler, alors que j’ai une famille à charge », a-t-il expliqué.

Il a ensuite réclamé 40 millions de F CFA en dommages et intérêts. Le procureur de la République, considérant les faits établis, a requis une peine de trois ans de prison ferme contre O. Sow.



Mardi 16 Décembre 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)
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