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Le SYNPICS dénonce des violations flagrantes de la liberté d'informer
Le Syndicat professionnel de l'information  et de la communication du Sénégal ( Synpics) a fait le point sur la situation  des professionnels blessés lors des manifestations d'hier  aux alentours  de la maison d'Ousmane Sonko .

Le syndicat souligne qu'un cameraman de Senego a été touché par projectile tiré par les Forces de défense et de sécurité ( FDS) presque à bout portant. Des jeunes reporters de Sénégal 7 ont été pris par  des éléments  de la sécurité publique alors qu'ils pensaient faire face à une vérification  d'identité professionnelle.

Selon nos sources, ces derniers  leur ont demandé d'arrêter leur direct. "Le Synpics dénonce ces violations flagrantes de la Liberté d'informer et en appelle au respect par les FDS des droits des journalistes sur le terrain de la collecte. La presse s'organise de plus en plus pour,  lors d'événements du genre, se regrouper et veiller à ne pas être infiltrée par des "liveurs" et "youtubeurs" non professionnels", lit -on dans le communiqué.

Selon le document,  la situation des journalistes et reporters positionnés derrière les FDS qu'on a constaté hier, est la norme que les médias sur le terrain doivent cultiver. Le Synpics encourage les journalistes  et techniciens sur le terrain à privilégier  les déplacements en groupe, leurs cartes de presse bien visibles  et les gilets - presse en évidence.

Prison de Rebeuss : 250 détenus de la chambre 9 sans eau depuis 4 jours
Les prisonniers de la chambre 9  de la prison de Rebeuss sont restés quatre ( 4) jours sans eau, informe le secrétaire exécutif national du FRAPP, ajoutant que certains prisonniers ont été obligés d'acheter des bouteilles d'eau minérale de 10 L pour prendre leur douche, rapporte également nos confrères du quotidien Direct news.

En effet, le FRAPP dénonce cette situation et interpelle le directeur de l'administration pénitentiaire et le ministre de la Justice. "Au lieu de défendre la 3e candidature illégale et illégitime du président Macky Sall, le ministre de la Justice devrait se soucier de la situation des prisonniers", informe l'organisation.

Guy Marius Sagna et ses camarades ont dénoncé "la surpopulation carcérale dans cette chambre 9 de Rebeuss avec 250 prisonniers dont certains restent des mois sans se coucher"

Dialogue national: "Taxawu Sénégal" rejette le communiqué de Yewwi Askan Wi
"Taxawu Sénégal" prend position différente de Yewwi Askan Wi sur le boycoot du dialogue national. Pas de décision consensuelle lors de la réunion de la conférence des leaders, la positon de khalifa et ses alliés sera rendue publique après consultation de ses instances de base de ces derniers, rapporte Direct news dans sa parution d'aujourd'hui.


"Taxawu Sénégal" prend le contre - pied de Yewwi qui, dans un communiqué, a décidé de boycotter le dialogue national prévu le 30 mai. D'après Khalifa Sall et ses camarades, aucune position officielle n'est ressortie de la conférence des leaders.

Selon les informations reçues par ce quotidien, sur l'appel  du dialogue, "Taxawu Sénégal" "se réserve le droit de consulter ses instances de base et les partis , mouvements alliés. La réunion de synthèse et de restitution convoquée à cet effet définira la position officielle de la Plateforme qui sera rendue publique". Ainsi, la coalition dirigée par khalifa Sall rappelle qu'elle est membre fondateur de la coalition Yewwi Askan Wi et a toujours travaillé à son ouverture et à son unité.

Après son deuxième retour de parquet: Serigne Saliou Guèye placé sous mandat de dépôt
Après son deuxième retour de parquet, le journaliste chroniqueur de la Sen Tv Serigne Saliou Guèye a été finalement placé sous mandat de dépôt par le juge d'instruction du deuxième cabinet cet après -midi.

Le directeur de publication du quotidien "Yoor Yoor", est poursuivi pour publication d'écrits de nature à jeter le discrédit sur les actes ou décisions juridictionnelles, diffusion de fausses nouvelles de nature à jeter du discrédit sur des institutions publiques et usurpation de fonction de journaliste et outrage à magistrat.

Assemblée nationale : Antoine Félix Diome charge Guy Marius Sagna
Guy Marius Sagna  a lancé des missiles  en direction du régime de Macky Sall sur les questions  de "restrictions de libertés" avec les nombreuses arrestations, les interdictions de manifestations.

Le député de la coalition Yewwi Askan Wi  a aussi  énergiquement dénoncé les violences  dont sont victimes les journalistes de la part des forces de l'ordre, lors des couvertures  de manifestants, rapporte Le Témoin.

A cette occasion, Guy Marius Sagna n'a oublié les cas de tortures sur les manifestants arrêtés tout en rappelant que le Sénégal est signataire de conventions internationales contre la torture.

Quant au ministre de l'Intérieur Antoine Félix Diome, "la plupart des jeunes  qui prennent part à ces manifestations sont victimes de de manipulations venant  d'individus qui se cachent tranquillement derrière leurs claviers ou leurs domiciles", a - t - il souligné.

Il poursuit : "Nous sommes  dans un régime de droit et de devoirs. On ne laissera pas des gens cultiver la haine et la violence dans ce pays. Le droit ou la liberté, ne veut pas dire inviter les jeunes à jeter le discrédit sur les institutions, défier les forces de l'ordre . Nous avons parlé du maintien de l'ordre. Mais il faut rendre hommage au peuple sénégalais mur qui a fait preuve de discernement", a - t - il laissé entendre.

Deuxième retour de parquet pour Serigne Saliou Guèye
Le journaliste Serigne Saliou Guèye  a connu hier un deuxième retour de parquet. Il n'a pas pu hier faire face  au Procureur pour être édifié son sort.

Ce vendredi pourrait être décisif pour lui. C'est son avocat, Me Moussa Sarr, qui donne l'information sur le deuxième retour de parquet, selon Le Témoin.

Le directeur de publication du quotidien "Yoor Yoor" Serigne Saliou Guèye est poursuivi pour trois chefs d'accusation : outrage à magistrat, usurpation de fonction, de journaliste et complicité de ces faits.

Le ministre de l'Intérieur Antoine Félix Diome s'est présenté hier devant les élus du peuple pour aborder certaines questions d'actualité. Il a été interpellé sur le maintien de l'ordre lors des débats parlementaires.


Antoine Félix Diome "La doctrine de maintien de l'ordre n'a pas changé"
Interpellé sur le maintien de l'ordre lors des débats parlementaires sur les questions d'actualité au gouvernement, Antoine Félix Diome a souligné que  la démarche demeure inchangée et reste toujours encadrée dans le principe.

"La doctrine n'a pas changé, ce qui a changé c'est la manière de manifester, le discours de haine, le discours de violence. Ce qui a changé c'est à l'opposé des sénégalais", a soutenu le ministre de l' Intérieur.

Sur la même lancée, il a regretté le fait qu'un responsable politique ( Ousmane Sonko) puisse appeler les jeunes à s'attaquer aux forces de l'ordre. "Une personne responsable consciente n'appelle pas les jeunes à s'en prendre aux forces de l'ordre, de s'attaquer aux brigades de gendarmerie, aux commissariats de police, aux maisons de responsables politiques", a martelé le ministre de l' Intérieur.

Le garde des Sceaux, ministre de la Justice, Professeur ismaila Madior Fall s'est prononcé, ce jeudi, sur le procès Sweet Beauté opposant le leader de Pastef - les patriotes, Ousmane Sonko à l'ex - masseuse Adji Sarr, au cours duquel le leader de l'opposition a été jugé par contumace.


Ismaila Madior Fall sur le procès Sonko - Adji Sarr "Le procès s'est tenu dans de  bonnes conditions"
"C'est un procès qui a tenu en haleine l'opinion publique nationale, j'allais même dire internationale, pendant deux ans. mais comme on l'a vu, le procès s'est tenu dans de bonnes conditions. Ce, malgré les insultes, les menaces, les tentatives de discrédit de la justice", a souligné le professeur Ismaila Madior Fall. C'était en marge de la cérémonie d'ouverture de la Journée du notariat qui s'est tenue , ce jeudi, à Dakar.

Il précise : "Quand on dit dans de bonnes conditions, ça veut dire que l'audience s'est tenue dans le respect des principes, des normes, des standards qui régissent au procès équitable". Selon le garde des Sceaux, "quand le juge d'instruction a renvoyé l'affaire devant le tribunal de grande instance  l'ordonnance, cela a fait d'une contestation devant la Cour d'appel. La justice s'est arrêtée alors même que là, elle aurait pu continuer parce que l'ordonnance ne forçait pas le tribunal de grande instance à ne pas statuer. mais, le tribunal a préféré attendre que la Cour d'appel s'est prononcée, le procès pouvait se tenir mais là aussi, le tribunal a préféré attendre que la cour suprême se prononce parce qu' il y avait un pourvoi en cassation", a - t - il ajouté.

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