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Société sur Thies info

Une découverte bouleversante a eu lieu ce matin à la Cité Ouvrière de Thiès. Un nourrisson, âgé d’environ un mois, a été retrouvé abandonné dans un bâtiment inoccupé par une dame du quartier.


Thiès – Cité Ouvrière : Un nourrisson abandonné retrouvé sain et sauf dans un bâtiment
Selon les premiers témoignages, c’est en début de matinée que la résidente, alertée par des pleurs inhabituels, s’est rendue sur les lieux. En inspectant les alentours, elle a découvert le bébé, soigneusement enveloppé dans une couverture, mais laissé seul dans un couloir sombre d’un immeuble en construction.

Immédiatement, les secours ont été contactés. Les sapeurs-pompiers, accompagnés d’une équipe de la police nationale, sont intervenus rapidement. Après une évaluation sanitaire sur place, les services de secours ont confirmé que l’enfant était sain et sauf, bien qu’un peu affaibli par l’exposition.

Le nourrisson a été pris en charge pour des examens médicaux plus approfondis. Une enquête a été ouverte par la police afin d’identifier les circonstances de cet abandon et retrouver les parents de l’enfant.
Ce fait divers suscite une vive émotion dans le quartier, où les habitants s’interrogent sur les raisons d’un tel acte.
 



Mardi 5 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Keur Massar Nord, banlieue de Dakar – Une affaire de mort suspecte secoue la commune depuis samedi dernier. Mariama C., une jeune femme d’origine guinéenne, est décédée des suites d’une péritonite, après avoir vécu un véritable calvaire. Ce qui interpelle particulièrement, c’est que son époux a pris la fuite plusieurs jours avant sa mort, laissant sa femme agoniser seule à leur domicile.


Drame à Keur Massar Nord : Mariama, une Guinéenne de 30 ans, meurt après des violences – son mari avait fui avant sa mort

Selon les informations rapportées par le journal Les Échos, tout aurait basculé au début du mois de juillet. Une violente dispute conjugale aurait éclaté entre Mariama et son mari, Baldé. Dans un accès de rage, celui-ci l’aurait rouée de coups, provoquant de graves blessures et hématomes visibles.

Depuis cette agression, Mariama s’est progressivement affaiblie. Les douleurs se sont intensifiées, mais aucune assistance médicale ne lui a été fournie. Son époux, au lieu d’assumer ses responsabilités, a déserté le foyer conjugal quelques jours plus tard, laissant sa compagne dans un état critique.

Le 20 juillet, Mariama rend l’âme seule, après deux semaine d’agonie laissant dérriére elle 3 enfants dont deux fillettes et un garçon. 
Le voisinage, choqué, alerte les autorités. Le corps est évacué vers le district sanitaire de Keur Massar, puis transféré à l’hôpital Idrissa Pouye de Grand-Yoff (ex-CTO) pour une autopsie, qui conclut à une péritonite aiguë.

Bien que la cause immédiate du décès soit médicale, les habitants de Keur Massar Nord ne cachent pas leur conviction :

« Elle est morte des suites de ses blessures. Baldé l’a battue, il l’a abandonnée, il savait ce qu’il faisait », déclare une voisine.

La disparition prématurée du mari, avant même le décès de sa femme, alimente la thèse d’une fuite délibérée, peut-être pour échapper à la justice. Les autorités ont ouvert une enquête et l’homme est activement recherché pour violences conjugales ayant entraîné la mort ou non-assistance à personne en danger. Pour l'instant, les enfants sont avec sa voisine en attendant que sa famille se manifeste.

Mariama a été enterrée samedi dernier, dans la tristesse et la colère. Ce drame relance le débat sur la protection des femmes, notamment celles venues de l’étranger, souvent isolées et sans soutien familial.

 

 


Lundi 4 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Un drame conjugal d’une rare violence a secoué ce dimanche la localité de Sinthiou Boye, un paisible village situé dans le département de Koumpentoum, à l’est du Sénégal. Une jeune femme de 25 ans, M. Ka, a été sauvagement tuée par son mari à la suite d’une banale dispute liée à un repas non préparé.


Féminicide à Sinthiou Boye : une dispute sur un repas vire au drame conjugal

Les faits se sont produits en fin d’après-midi. Selon les premiers éléments de l’enquête, le mari, S. Ka, cultivateur de profession, serait rentré des champs avant de s’en prendre violemment à son épouse. Le différend aurait éclaté après qu’il lui ait reproché l’absence de dîner. La tension verbale a rapidement dégénéré.

Pris d’une colère incontrôlable, l’homme se serait saisi d’une hache et aurait porté un coup fatal à sa conjointe. Le geste brutal a semé l’émoi dans tout le village. Alertés par les cris, des voisins ont découvert l’horreur avant de prévenir les forces de sécurité.

Les éléments de la brigade de gendarmerie de Koumpentoum, dépêchés sur les lieux, ont procédé à l’interpellation du présumé auteur, retrouvé sur place. Le corps sans vie de la victime a été transféré au centre hospitalier régional de Tambacounda pour autopsie. Le mis en cause est actuellement en garde à vue.

Vague d’indignation

L’affaire suscite une vive émotion à Sinthiou Boye et dans toute la région. La jeune femme, mère d’un enfant en bas âge, était décrite comme calme et sans histoire. Le couple, marié depuis quelques années, n’avait jamais fait l’objet d’alerte officielle concernant des violences domestiques.

Des voix commencent à s’élever pour dénoncer l’absence de mécanismes de prévention dans les zones rurales. « C’est une tragédie évitable. Il faut que les femmes aient des recours, même à l’intérieur du pays », a réagi une militante associative de Tambacounda.

Enquête en cours

Le parquet de Tambacounda a ouvert une enquête pour homicide volontaire. L’auteur présumé devrait être présenté dans les prochains jours au juge d’instruction.

Ce féminicide relance le débat sur les violences faites aux femmes au Sénégal, alors que plusieurs cas similaires ont été signalés ces derniers mois, souvent dans l’indifférence générale.


 


Lundi 4 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

À la Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis, un élève de 3e, en détention provisoire, a brillamment obtenu son Brevet de Fin d’Études Moyennes (BFEM) 2025. Une réussite exceptionnelle, rendue possible grâce à une mobilisation conjointe de la justice, de l’administration pénitentiaire et de l’éducation nationale.


  Saint-Louis : Un adolescent incarcéré décroche son BFEM, l’école triomphe derrière les barreaux   ---

Une victoire sur l’exclusion

C’est un fait rare, mais porteur d’un message fort. Un adolescent en classe de 3e, actuellement incarcéré à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Saint-Louis, a obtenu son BFEM cette année. Malgré sa situation carcérale, le jeune candidat a pu participer à l’examen national, encadré avec dignité et sécurité.

Son succès témoigne de la puissance transformatrice de l’école, même dans les lieux de privation de liberté.


Une mobilisation à saluer

Ce résultat remarquable est le fruit d’un engagement collectif. Le juge d’instruction Abdoulaye Gueye, l’administration pénitentiaire et l’Inspection de l’Éducation et de la Formation (IEF) de Saint-Louis ont tout mis en œuvre pour permettre à ce jeune détenu de suivre les épreuves dans des conditions respectueuses.

Son encadrement pédagogique, sa préparation en détention et l’organisation logistique ont permis une participation équitable à l’examen.



Une cérémonie pleine d’émotion

Pour marquer cette réussite hors du commun, une cérémonie a été organisée au sein de la MAC. Étaient présents :

le Directeur de la Maison d’arrêt,

le Directeur régional de l’administration pénitentiaire,

Mme Ndeye Coura Diop, chargée des projets à l’IEF,

le juge d’instruction,

une représentante de la famille du lauréat.


Des cadeaux symboliques ont été remis au jeune diplômé. Son regard, empreint de fierté et d’espoir, a bouleversé l’assistance.


Un message d’espoir pour tous les jeunes détenus

Au-delà de cette réussite individuelle, ce moment symbolise une conviction : chaque jeune, même en détention, peut devenir acteur de son propre avenir. À condition que les institutions jouent pleinement leur rôle.

L’éducation ne doit pas s’arrêter aux portes de la prison. Elle y entre désormais comme un outil de réinsertion, de dignité et de transformation.


Une leçon de Saint-Louis au reste du pays

En accompagnant ce parcours, les autorités de Saint-Louis ont démontré que l’école appartient à tous les enfants, sans exception. Et que derrière les murs, il peut exister une seconde chance.

Un message fort, à méditer.


Lundi 4 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Alors que plusieurs médias avaient rapporté que le décès de Ndoumbé Ndiaye faisait suite à une agression survenue à Darou Salam, dans la ville de Thiès, de nouvelles informations médicales viennent contredire cette version.


---  Thiès – Le décès de Ndoumbé Ndiaye n’est pas lié à son agression, selon l’autopsie
Selon des sources proches du dossier, les conclusions de l’autopsie, réalisée à l’hôpital général Idrissa Pouye de Grand-Yoff, indiquent que la victime est décédée des suites d’une cardiomyopathie hypertrophique et ischémique. Il s’agit d’une maladie cardiaque grave pouvant provoquer une mort subite. La thèse d’un décès consécutif à des coups reçus est donc écartée par les médecins légistes.

Ndoumbé Ndiaye avait été agressée une semaine avant son décès. L’auteur présumé de l’agression, M. Sarr, avait été arrêté par les enquêteurs du commissariat du 1er arrondissement de Thiès, dirigé par le commissaire Moussa Fall, puis placé sous mandat de dépôt le 23 juillet dernier. Aucun autre suspect n’a été interpellé dans cette affaire.

Malgré les nouvelles données médicales, le suspect reste en détention. Il sera extrait de sa cellule ce lundi pour être réentendu dans le cadre de l’enquête, désormais orientée vers une requalification des faits.

Une décision du parquet est attendue dans les jours à venir concernant une éventuelle évolution des charges retenues contre le mis en cause. 



 


Dimanche 3 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Un crime d’une rare sauvagerie a bouleversé la ville de Mbour ce samedi 2 août, vers cinq heures du matin. Le gardien d’une mosquée située au quartier Aynoumane, dans le secteur de Diamaguène, a été retrouvé mort, la tête séparée du corps, après avoir été violemment agressé par un individu en état d’ébriété.


Un gardien de mosquée tué : Bafou Diop arrêté par la police de Diamaguène

Selon nos informations, la victime, un homme d’une cinquantaine d’années, assurait la sécurité des lieux lorsque l’auteur des faits a tenté de s’introduire dans l’enceinte du lieu de culte. S’en est suivi un affrontement brutal. Face à la vive résistance du gardien, l’agresseur lui aurait asséné un coup à la tête à l’aide d’une grosse pierre. Le choc, d’une extrême violence, a été fatal.

L’auteur présumé du meurtre a rapidement été identifié. Il s’agit de Bafou Diop, un homme d’une trentaine d’années connu dans le quartier. Les éléments du commissariat de Diamaguène, alertés par les témoins et les riverains, ont procédé à son arrestation quelques heures après les faits.

Le quartier Aynoumane est sous le choc. La victime, décrite comme un homme pieux, respecté et serviable, laisse derrière lui une communauté en deuil. Les habitants dénoncent un acte barbare et réclament justice.

Une enquête a été ouverte pour faire toute la lumière sur les circonstances exactes du drame. Bafou Diop est actuellement en garde à vue et devra répondre des faits d’homicide volontaire avec une extrême violence.

Ce drame relance les débats sur la sécurité nocturne dans certains quartiers de Mbour et sur la nécessité de mieux encadrer la consommation d’alcool, souvent à l’origine de faits divers tragiques.


Dimanche 3 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (1)

Une affaire pour le moins troublante a conduit à l’arrestation d’un artiste de 31 ans, Tapha Ndiaye, domicilié à Tabanogoye. Il est actuellement gardé à vue au commissariat central de Kaolack, à la suite d’une plainte impliquant un jeune garçon âgé de moins de 13 ans.


Kaolack : Un artiste interpellé pour des faits présumés sur un jeune talibé
  
Tout est parti d’une intervention d’un citoyen, E. Dia, qui dit avoir aperçu un enfant torse nu escaladant le mur d'une maison dans la nuit du 26 au 27 juillet. Intrigué, il l’a interpellé pour l’interroger. L’enfant, se présentant comme un talibé, a expliqué qu’il se serait introduit dans cette maison après y avoir été invité par un homme.

Ne recevant pas de réponse après avoir frappé à la porte, et face aux propos du garçon, E. Dia décide de l’accompagner au commissariat pour signaler l’incident.

Une équipe de la Brigade de recherches s’est rendue sur les lieux pour vérification. Sur place, les policiers trouvent Tapha Ndiaye, nu dans son lit, profondément endormi. À son réveil, il aurait déclaré avoir consommé un mélange d’alcool la veille au soir.

L’homme a été interpellé et placé en garde à vue. Des examens médicaux ont été réalisés sur l’enfant afin d’éclaircir les circonstances de cette affaire. Selon Libération, les premières constatations médicales ont été jugées suffisantes pour engager des poursuites préliminaires.

Le suspect fait désormais l’objet d’une enquête pour séquestration présumée, mise en danger d’un mineur et actes contre nature, selon les termes du dossier. L’instruction suit son cours.



 


Samedi 2 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)

Âgée de 19 ans, M.D. a été surprise par son père avec un touriste belge dans une posture intime dans la chambre parentale. L'affaire fait scandale à Thiès.


Tourisme sexuel ou trahison familiale ? Une jeune fille surprise en plein ébats avec un Belge dans le lit conjugal de sa mère

Dans le quartier calme de Thies Azur à Thiès, ce qui devait être une soirée ordinaire a viré au cauchemar familial. Le père de M.D., rentré plus tôt que prévu du travail, découvre sa fille dans le lit conjugal, en plein ébats avec un homme blanc, plus âgé qu’elle.

L’homme, identifié comme Marc D., est de nationalité belge. Il serait en vacances au Sénégal depuis une semaine. Il aurait entamé une relation avec la jeune fille via les réseaux sociaux et logeait depuis quelques jours discrètement au domicile familial… sans que la mère n’en soit informée.
 

  Une trahison symbolique : le lit conjugal

Le détail qui choque l’opinion locale n’est pas seulement la relation elle-même, mais le lieu de l’acte : le lit conjugal de la mère, absente pour un séjour à Kaolack.

> « Même des adultes ne se permettraient pas une telle audace. Là, on parle d’une transgression profonde des normes familiales », déplore un voisin.

 

Face à la scène, le père se serait effondré, pris de vertiges, selon plusieurs témoins. L’homme a été pris en charge par un voisin médecin.

  Une fuite précipitée à Grand Standing

M.D., confrontée à son père et à la colère qui a suivi, a fui en courant. Elle aurait trouvé refuge chez sa tante à Grand Standing, un quartier plus huppé de Thiès. Depuis, elle garde le silence. Son téléphone est coupé. Les parents, eux, n’ont toujours pas réussi à la joindre.

Sa mère, contactée d’urgence, a interrompu son voyage et serait attendue à Thiès dès ce samedi

 

  Tourisme sexuel ou relation sincère ?

Derrière ce fait divers, c’est la question du tourisme sexuel et de ses zones grises qui refait surface. Les jeunes filles, parfois en quête de reconnaissance ou d’une vie meilleure, nouent des relations avec des étrangers souvent bien plus âgés.
Mais quand ces liaisons se vivent dans l’ombre des foyers familiaux, elles peuvent virer à la catastrophe.

Dans ce cas précis, aucun dépôt de plainte n’a été effectué. La police n’a pas été saisie. Mais les services sociaux pourraient s’y intéresser, notamment si des questions de vulnérabilité psychologique ou d’exploitation sont soulevées.



Vendredi 1 Août 2025 | Lat Soukabé Fall | Commentaires (0)
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