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Société sur Thies info
Un drame a frappé le quartier Hamdallay 1 à Diamaguène ce week-end. Pape Ndiaga Sall, un adolescent âgé d’environ 17 ans, a été mortellement poignardé pour une dette dérisoire de 200 FCFA. L’acte a profondément choqué la population locale et relancé le débat sur la violence entre jeunes dans la région.
Lors de son interrogatoire, il a reconnu les faits, précisant que la victime l’aurait insulté lors de la réclamation de son argent.
L’enquête se poursuit pour déterminer toutes les circonstances du drame.
Les habitants dénoncent un passage à l’acte extrême qui pourrait avoir été évité. Pour beaucoup, cette tragédie met en lumière la vulnérabilité des jeunes, les problèmes de socialisation, et l’urgence de renforcer l’encadrement et la prévention contre la violence juvénile.
Dans la nuit du samedi 20 décembre 2025, un drame conjugal a endeuillé le quartier de Keur Mbaye Fall, dans la banlieue dakaroise. Bintou Guèye, résidente de Yeumbeul Nord, a été mortellement atteinte par balle à son domicile, plongeant ses proches et le quartier dans l’émoi.
Les autorités policières insistent sur la nécessité de laisser l’enquête suivre son cours, afin de faire toute la lumière sur ce drame familial.
Les voisins et connaissances de la famille déplorent la prolifération des violences conjugales et appellent à une plus grande vigilance des autorités pour prévenir de tels drames.
Le Commissariat Central de Kaolack a mené, le 17 décembre 2025, une vaste opération de contrôle dans les quartiers de Thiofack et Bongré, mettant au jour un réseau illégal de production et de distribution de produits de boulangerie et de pâtisserie. Cinq personnes ont été interpellées pour des infractions graves menaçant directement la santé publique.
Selon les services de police, cette opération ciblée visait à sanctionner plusieurs violations majeures de la réglementation en vigueur, notamment :
la violation des règles encadrant la production et la distribution des denrées alimentaires ;
le défaut d’agrément technique et l’absence d’autorisation administrative d’ouverture ;
la mise en danger de la vie d’autrui par la commercialisation de produits potentiellement corrompus ou toxiques ;
le non-respect total des normes de salubrité dans les locaux de préparation.
Les investigations menées sur les différents sites ont révélé une situation particulièrement préoccupante. Les unités contrôlées exerçaient dans une illégalité totale, sans aucun cadre légal, ni agrément technique, ni inscription au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM).
À cela s’ajoutaient des conditions d’insalubrité notoire, incompatibles avec toute activité liée à l’alimentation humaine. Les locaux inspectés ne répondaient à aucune exigence d’hygiène, exposant ainsi les consommateurs à des risques sanitaires majeurs.
Autre facteur aggravant relevé par les enquêteurs : l’utilisation du charbon de bois comme principal combustible, en violation flagrante des normes de sécurité incendie et de protection de l’environnement. Une pratique jugée extrêmement dangereuse, tant pour les travailleurs que pour les riverains.
Face à l’urgence sanitaire, les autorités ont ordonné :
l’arrêt immédiat de toutes les activités de production ;
la mise sous scellés des sites clandestins ;
le placement en garde à vue des cinq mis en cause.
L’enquête se poursuit en étroite collaboration avec les services régionaux du Commerce et de l’Hygiène, afin d’identifier d’éventuelles complicités et d’empêcher toute reprise de ces activités illicites.
Dans le cadre de sa mission régalienne de lutte contre la criminalité et la délinquance, la Brigade de proximité de la Gendarmerie de Hann Maristes a porté un coup dur à un réseau de trafic de drogue opérant activement dans le quartier des Maristes, à Dakar.
L’opération, menée à l’issue d’un travail de renseignement et de surveillance minutieux, s’est soldée par l’interpellation de six individus, parmi lesquels deux étudiants, ainsi que par la saisie de 95 cornets de chanvre indien.
Les personnes arrêtées ont été identifiées comme S. N., maçon domicilié aux Maristes, O. Touré, livreur résidant dans le même quartier, S. M. Kane, électricien également domicilié aux Maristes, M. Faye, livreur habitant la zone, ainsi que deux étudiants : S. N., domicilié aux Maristes, et S. F., résidant à Grand Mbao.
Tous ont été placés en garde à vue pour association de malfaiteurs et trafic de drogue, selon des sources proches de l’enquête.
L’intervention fait suite à un renseignement faisant état de l’existence d’un réseau structuré de vente de drogue dans le secteur des Maristes. En réaction, les gendarmes ont mis en place une planque et conduit plusieurs jours de surveillance discrète, permettant d’observer des allers-retours suspects et d’identifier progressivement les vendeurs ainsi que leurs clients.
Les investigations ont révélé un mode opératoire ingénieux : les trafiquants enterraient un sachet plastique contenant les cornets de chanvre indien dans un endroit précis. Ils restaient ensuite à distance de la cache. À chaque arrivée d’un client, l’un d’eux se rendait sur les lieux pour déterrer un cornet et procéder à la transaction à un point convenu.
Après avoir formellement identifié les suspects, les gendarmes ont déclenché une intervention ciblée et musclée, conduisant à l’arrestation des six individus. Les fouilles corporelles, ainsi que celle de la cache, ont permis la saisie de 95 cornets de chanvre indien.
Entendus sur procès-verbal, la majorité des mis en cause ont reconnu les faits, invoquant des difficultés financières pour justifier leur implication dans le trafic. En revanche, S. N. et S. M. Kane ont tenté de nier toute participation, malgré leur identification formelle lors des déplacements répétés entre la cache et les clients.
Au terme de l’enquête, les six suspects ont été déférés hier vendredi devant le Tribunal de grande instance hors classe de Dakar, où ils devront répondre des faits qui leur sont reprochés.
Une femme originaire de Touba est portée disparue depuis une semaine à Thiès, plongeant sa famille et son entourage dans l’inquiétude. Son mari, A. Diallo, venu de Guinée et résident de la Cité Senghor, s’est confié à Thiès Info TV sur cette disparition mystérieuse.
Selon son témoignage, le couple travaillait à la gare routière de Thiès, où la jeune fille aurait récemment rencontré son ex-partenaire, qui est également son cousin. Cette rencontre aurait accentué les tensions au sein du foyer. Le mari affirme que son épouse souhaitait chercher du travail, tandis qu’il lui proposait de le suivre dans son commerce de fruits. Elle aurait refusé et quitté le domicile.
Il explique également qu’elle refusait de partager la chambre, précisant qu’il n’a pas pu y accéder pendant cinq jours. Selon lui, l’adolescente lui aurait même proposé de dormir chez son ex-partenaire avant de partir.
Depuis son départ, M. Diouldé D. n’a donné aucun signe de vie.
Un élément nouveau est toutefois apparu : un proche de la famille affirme l’avoir rencontrée à Kaolack, une information qui n’a pas encore été confirmée mais qui entretient l’espoir qu’elle soit en vie.
De son côté, la famille de la jeune fille reproche au mari une négligence, estimant qu’il n’aurait pas pris la mesure de la situation ni assuré une protection suffisante, compte tenu de l’âge de l’adolescente. Ces reproches traduisent le climat de tension et d’inquiétude qui entoure cette disparition.
La mère de M. Diouldé D., qui vit en Guinée, est également sans nouvelles de sa fille.
La famille lance un appel à toute personne disposant d’informations fiables pouvant aider à localiser l’adolescente.
À Thiès, la disparition de cette mineure de 17 ans continue de susciter émotion et inquiétude, tandis que ses proches espèrent un dénouement rapide et rassurant.
La Brigade Régionale des Stupéfiants (BRS) de Kolda, relevant de l’Office Central pour la Répression du Trafic Illicite des Stupéfiants (OCRTIS), a procédé au déferrement d’une convoyeuse de drogue à l’issue d’une opération minutieusement menée, ayant permis la saisie combinée de produits psychotropes et de chanvre indien.
Après ouverture, la surprise est de taille : les tubes renfermaient 200 plaquettes de Tapentadol, soit 2 000 comprimés, ainsi que huit seringues, soigneusement dissimulées à l’intérieur des conduits métalliques.
Interrogé sur l’origine des tubes, le chauffeur a indiqué qu’ils lui avaient été confiés par un intermédiaire, tout en précisant être en contact direct avec la propriétaire de la marchandise. Sous la coordination des forces de sécurité, un rendez-vous piégé est alors organisé au garage de Manda Douane.
Pensant récupérer sa cargaison sans encombre, la convoyeuse se présente sur les lieux. Après avoir confirmé être la propriétaire des tubes saisis, elle est immédiatement interpellée par des agents en civil, mettant fin à sa tentative de récupération.
Conduite dans les locaux de la BRS de Kolda pour la poursuite de l’enquête, la suspecte voit l’ensemble de ses bagages soumis à une fouille approfondie. Les enquêteurs de l’OCRTIS remarquent rapidement un extincteur présentant des traces de soudure récente et un polissage suspect à sa base.
L’ouverture forcée de l’appareil permet la découverte d’une seconde cache ingénieusement aménagée, contenant deux (02) kilogrammes de chanvre indien, confirmant le caractère organisé et sophistiqué du trafic.
Entendue sur procès-verbal, la mise en cause a reconnu l’ensemble des faits, indiquant que la drogue était destinée au marché de Diamniadio. Elle a été déférée devant le parquet pour trafic international de drogue et de produits psychotropes.
Les investigations se poursuivent afin d’identifier les fournisseurs basés dans le pays frontalier ainsi que les ramifications éventuelles de ce réseau criminel sur le territoire national.
La Division spéciale de cybersécurité (DSC) a procédé à l’interpellation de Cheikh Ahmadou Sakho, 21 ans, connu sur TikTok sous un pseudonyme considéré comme provocateur. Le jeune homme, qui se présente comme boulanger, a été arrêté puis déféré ce vendredi pour outrage public à la pudeur, diffusion de contenus contraires aux bonnes mœurs et racolage actif sur les réseaux sociaux.
D’après des informations du journal Libération, cette arrestation s’inscrit dans le cadre de la surveillance accrue des plateformes numériques menée par la DSC, notamment sur TikTok où les diffusions en direct se multiplient, parfois au mépris des règles sociales et morales.
Les enquêteurs ont repéré un compte très suivi, actif principalement lors de lives nocturnes, au contenu jugé obscène. À l’origine, le compte diffusait des informations sportives sous le nom « Frankie De Jong ». Mais après avoir intégré des réseaux érotiques en ligne, son détenteur aurait progressivement changé de cap.
Profitant de sa notoriété croissante, le mis en cause aurait intensifié ses diffusions en direct, ciblant essentiellement un public féminin, avec pour objectif d’établir des contacts privés via des applications de messagerie. Ces pratiques ont été assimilées par les enquêteurs à du racolage numérique.
Localisé à Golf Sud, Cheikh Ahmadou Sakho a été interpellé puis auditionné par la DSC. Il a reconnu les faits, déclarant avoir agi dans l’espoir de nouer des relations avec certaines spectatrices, tout en affirmant ne pas être allé au-delà de simples échanges virtuels.
L’enquête se poursuit. Les autorités entendent désormais élargir les investigations aux personnes ayant participé activement à ces diffusions ou tenté d’entrer en contact avec le jeune influenceur, que ces échanges aient eu lieu dans un cadre rémunéré ou non.
Cette affaire remet sur la table la question de la régulation des contenus sur les réseaux sociaux et de la responsabilité des créateurs numériques, à l’heure où TikTok s’impose comme un média d’influence majeur au Sénégal.
Un accident mortel s’est produit ce vendredi 19 décembre au marché Ockass, dans la commune de Touba, lors de travaux d’installation électrique. Le drame a coûté la vie à un jeune homme âgé de 25 ans.
Informé de la situation, le commissariat spécial de Touba a immédiatement dépêché ses agents sur les lieux afin d’effectuer les premières constatations. Les policiers ont identifié le véhicule impliqué dans l’accident ainsi que son conducteur, H. Thiané.
D’après les éléments recueillis sur place, le conducteur, employé de la société Global Ingénierie, sous-traitante de la SENELEC, procédait à une manœuvre technique dans le cadre de la mise en place d’un poteau électrique. Au cours de l’opération, la structure se serait accrochée à des câbles déjà en place.
En tentant de dégager le poteau, l’ouvrier aurait perdu le contrôle de celui-ci. La structure s’est alors brutalement affaissée et a mortellement heurté un homme qui venait de sortir d’une habitation voisine, selon des sources concordantes.
La victime, identifiée comme A. Guèye, 25 ans, n’a pas survécu à ses blessures. Les sapeurs-pompiers, arrivés rapidement sur les lieux, ont constaté le décès.
La dépouille a été transférée à la morgue du Centre hospitalier Matlaboul Fawzaïni de Touba. Une réquisition médicale a été délivrée afin de déterminer les causes exactes de la mort.
Une enquête a été ouverte par les services de police pour établir les responsabilités et élucider les circonstances précises de ce drame survenu en plein centre urbain.
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