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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
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Société sur Thies info
Le tribunal d’instance de Thiès a condamné, ce lundi 8 décembre, F. Diop à un mois de prison ferme pour le vol d’une bouteille de gaz.
Selon les éléments de l’enquête, l’homme s’est introduit dans une maison afin d’y dérober une bouteille de gaz qu’il comptait revendre. Il aurait agi sous la pression de difficultés financières, cherchant désespérément de quoi payer les ordonnances de sa mère malade.
Interpellé puis placé sous mandat de dépôt, F. Diop a comparu à la barre où il a reconnu les faits. Il a expliqué avoir voulu obtenir rapidement de l’argent pour couvrir les frais médicaux urgents de sa mère.
Le procureur de la République a estimé que les faits étaient constants et a requis l’application stricte de la loi. Le juge a suivi les réquisitions et a prononcé une peine d’un mois de prison ferme.
Le quartier Aynina Fall de Thiès a été secoué ce lundi par un drame poignant survenu en fin d’après-midi. Un bébé âgé de seulement huit mois a perdu la vie à la crèche intégrée à l’école élémentaire Les Aiglons. Les faits se sont déroulés aux alentours de 17 heures, plongeant le personnel et les familles du quartier dans la consternation.
D’après les informations recueillies auprès du capitaine Khoudia Ibra Mar, commandant de la brigade des sapeurs-pompiers de Thiès, les secours ont été alertés pour un cas qualifié de “sommeil profond” concernant un nourrisson de sexe masculin. Une équipe a immédiatement été dépêchée sur place, mais à leur arrivée, les sapeurs-pompiers n’ont pu que constater le décès de l’enfant.
La police s’est ensuite rendue sur les lieux pour procéder au constat d’usage. Le corps du bébé a été transféré à la morgue de l’hôpital régional de Thiès pour les besoins de l’autopsie.
Selon la source, les parents de la victime résident au quartier Mbour 3 de Thiès. Le bébé effectuait ce jour-là sa toute première journée à la crèche, ce qui rend le choc d’autant plus douloureux pour sa famille.
Une enquête a été ouverte par les services de police afin de déterminer les circonstances exactes du drame : problème médical, défaillance dans la surveillance, ou tout autre facteur pouvant éclairer ce décès brutal.
La communauté d’Aynina Fall et l’ensemble de la ville de Thiès restent sous le choc, en attente des conclusions de l’enquête pour comprendre comment une telle tragédie a pu se produire.
Âgée de 29 ans, M. Gningue a été reconnue coupable de coups et blessures volontaires (CBV) occasionnant une incapacité temporaire totale (ITT) de 10 jours et condamnée à une peine de 6 mois avec sursis par le tribunal d’instance de Thiès.
Les faits se sont déroulés à Ngoudiane, dans le cadre d’une dispute domestique autour d’une bonbonne de gaz. Selon la partie civile, S. Thiaw, belle-sœur de la prévenue, la querelle aurait éclaté lorsqu’elle a constaté que sa bonbonne de gaz avait été déplacée. La situation aurait dégénéré lorsque M. Gningue l’aurait attaquée avec des injures avant de la poignarder au visage à l’aide d’une cuillère.
À la barre, M. Gningue a contesté cette version : « C’est elle qui est venue m’attaquer dans ma chambre. Je lui ai demandé de sortir et elle a refusé. Nous nous sommes battues et c’est mes ongles qui l’ont blessée. Je ne l’ai pas poignardée », a-t-elle affirmé.
Le procureur de la République a estimé que les faits étaient établis et a requis l’application de la loi. Le juge a finalement déclaré M. Gningue coupable de coups et blessures volontaires et l’a condamnée à une peine de 6 mois de sursis, évitant ainsi une incarcération immédiate.
Le maçon O. Diamé a été condamné par le tribunal d’instance de Thiès à une peine d’un mois d’emprisonnement ferme. Poursuivi pour vol, il est accusé d’avoir dérobé trois planches sur un chantier de la ville. Suite à son arrestation, il avait été placé sous mandat de dépôt.
À la barre, O. Diamé a reconnu les faits. Il a expliqué qu’il se trouvait en état d’ivresse au moment du vol. Il a précisé avoir revendu les planches pour 4 000 FCFA afin d’acheter un plat de « thiébou dieune » (riz au poisson) et des cigarettes.
La partie civile, représentée par T. Guèye, a estimé la valeur des planches à 15 000 FCFA chacune et a réclamé 45 000 FCFA en dédommagement.
Le procureur de la République, considérant les faits établis, a requis l’application de la loi. Le juge a finalement déclaré le prévenu coupable et l’a condamné à un mois de prison ferme, en plus de verser 45 000 FCFA à la partie civile pour réparation.
Un drame a secoué le village de Nguith, situé à proximité de la commune de Ndiaganiao, dans la région de Thiès. Le samedi 29 novembre 2025, un jeune pêcheur du nom de Souleymane Tine aurait mortellement frappé son ami Ablaye Ndione au cours d’un battage collectif de paille d’arachide. Les circonstances exactes du geste fatal alimentent encore les débats au sein de la communauté.
En pleine période de récoltes, le cultivateur Diégane Tine avait sollicité le soutien des jeunes du village pour l’aider au battage de sa paille d’arachide. Comme le veut la tradition, plusieurs générations se sont réunies dans son champ, formant un cercle autour des tas de foin et armées de barres de fer ou de râteaux.
L’activité, habituellement animée et collective, se déroulait dans une ambiance rythmée, entre poussière dense, bruit continu et mouvements coordonnés.
Selon les premiers éléments recueillis, c’est un différend mineur qui aurait déclenché l’incident.
Ablaye Ndione, l’un des participants, aurait égaré sa barre de fer dans le tas d’arachides. En tentant de la retrouver, il se serait disputé avec Souleymane Tine, situé à proximité.
Les deux jeunes, amis dans la vie quotidienne, se seraient brièvement accrochés. Pendant que les autres participants continuaient les mouvements de battage, Souleymane, toujours muni de sa barre de fer, aurait porté un coup violent à la tête d’Ablaye.
Certains témoins y voient un geste agressif.
Souleymane, lui, affirme qu’il s’agissait d’un accident provoqué par la poussière, qui l’aurait empêché de voir son camarade au moment du mouvement.
Grièvement blessé, Ablaye Ndione a été évacué sur une charrette jusqu’au poste de santé de Ndiaganiao. Le trajet, long et difficile, a ralenti la prise en charge.
Arrivé en état critique, le jeune homme a finalement succombé à ses blessures, plongeant le village dans la consternation.
L’annonce de son décès a mis fin aux travaux et provoqué une grande émotion dans la communauté, où les deux protagonistes étaient bien connus et appréciés.
Interpellé dans les heures qui ont suivi, Souleymane Tine a été placé en garde à vue puis déféré au parquet de Mbour pour meurtre.
Face aux enquêteurs, il reconnaît avoir frappé son ami, mais insiste sur le caractère involontaire du geste.
Les enquêteurs devront clarifier si le coup porté relevait d’un acte impulsif lié à la dispute ou d’un accident dramatique dans le contexte chaotique du battage.
La ville de Thiès a vécu des moments de grande confusion ce dimanche 7 décembre 2025, à la sortie du combat de lutte organisé au champ de courses Ndiaw Macodou Diop, près du camp Gmi Tropical.
À la fin de l’événement, une foule compacte a envahi les rues, transformant plusieurs artères en zones de forte insécurité.
Pendant une trentaine de minutes, l’axe rond-point champ de courses – station Total, reliant Hersent, Diamaguène et Mbambara Alé Lo, a été le théâtre de scènes troublantes.
Des groupes d’individus opportunistes, profitant de la bousculade, s’en prenaient aux passants et s’emparaient d’objets personnels : téléphones, sacs, accessoires.
Certains étaient équipés d’armes blanches, accentuant la panique.
Même les conducteurs de motos-taxis ont dû abandonner leurs passagers pour éviter d’être pris dans le tumulte.
Il a fallu une intervention rapide et coordonnée des unités du commissariat central, du commissariat du 1er arrondissement et du poste des Parcelles-Assainies pour rétablir le calme dans la zone.
Les habitants ont pointé du doigt plusieurs dysfonctionnements :
– non-respect des horaires de fin du combat,
– manque d’encadrement sur les itinéraires,
– absence d’un dispositif de sécurité suffisant.
Selon eux, ces failles ont contribué à amplifier le désordre et la peur qui ont secoué le secteur.
Les enquêteurs de la Brigade de recherche de Diamaguène Sicap Mbao ont procédé à l’arrestation de Doudou Ndiaye, 37 ans, se présentant comme agent de sécurité à la cité Scat Urbam. L’homme est soupçonné d’avoir posé des actes très graves envers une enfant de 11 ans et de l’avoir intimidée.
Le 5 décembre 2025, aux environs de 21 heures, la mère de la fillette, N. Diouf, se présente au commissariat pour signaler une situation préoccupante concernant sa fille F. B. N., née en 2014. Elle dit avoir découvert que l’enfant subissait des comportements inappropriés de la part de son cousin, domicilié dans la même zone.
Entendue en présence de sa mère, la fillette explique que ces situations dureraient depuis plusieurs années. Elle ajoute qu’elle n’osait rien dire parce que le mis en cause la menaçait, utilisant même parfois un couteau pour la terroriser.
Ce même jour, la mère remarque des manifestations physiques inhabituelles chez l’enfant. Intriguée et inquiète, elle l’interroge. C’est à ce moment-là que la fillette raconte ce qu’elle vivait depuis longtemps.
Dès réception de la plainte, une équipe se met en mouvement. L’homme tentait déjà de quitter le quartier après avoir appris que l’affaire avait éclaté. Les agents l’interpellent avant qu’il ne réussisse à disparaître.
Interrogé brièvement, Doudou Ndiaye admet les faits, selon les informations rapportées par Libération.
La communauté locale, choquée d’apprendre qu’une telle situation se déroulait au sein d’une même famille, attend désormais la sui
La Section de Recherches de la gendarmerie de Colobane a mis fin aux activités d’un réseau criminel spécialisé dans le piratage des comptes Orange Money et Wave, pour un préjudice estimé à plus de 100 millions de francs CFA.
Selon les informations révélées par L’Observateur, tout est parti d’un faisceau de plaintes provenant à la fois de la Sonatel et de particuliers victimes de retraits frauduleux sur leurs comptes. Très vite, les enquêteurs comprennent qu’ils n’ont pas affaire à de simples escrocs isolés, mais à une organisation structurée, dotée de compétences multiples et complémentaires.
Le “cerveau opérationnel” identifié
La filature et les investigations préliminaires ont conduit à l’interpellation de Al. Gueye, âgé de 42 ans, présenté comme le cerveau du réseau.
À ses côtés, les gendarmes ont arrêté M.D Baye, 34 ans, décrite comme la faussaire en chef.
Cette dernière a reconnu avoir pu se procurer une dizaine de cartes d’identité utilisées pour ouvrir frauduleusement des comptes Orange Money.
Deux autres complices, S. Mbacké et Kh. Tine, ont également été appréhendés.
Une méthode bien huilée
D’après les aveux recueillis, leur mode opératoire se déroulait en plusieurs étapes :
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Fabrication de fausses pièces d’identité.
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Usurpation d’identités en ligne pour faire suspendre les lignes réelles des victimes.
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Récupération des nouvelles cartes SIM dans des agences d’opérateurs.
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Réinitialisation des codes Wave et Orange Money, une fois la ligne contrôlée.
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Vidange des comptes en quelques minutes.
Un système simple en apparence, mais redoutablement efficace.
De lourdes charges
Les quatre mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt.
Ils doivent répondre de plusieurs infractions graves, notamment :
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association de malfaiteurs
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faux et usage de faux
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usurpation d’identité en ligne
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accès frauduleux à un système informatique
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blanchiment de capitaux
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