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Société sur Thies info
La brigade territoriale de la compagnie de gendarmerie de Diourbel a procédé à l’arrestation de 15 personnes présumées homosexuelles dans le cadre d’une enquête pour actes contre nature, selon Seneweb. Parmi elles figurent un maître coranique, un marabout et une personne séropositive. Tous étaient membres d’un groupe WhatsApp et ont été placés en garde à vue.
L’affaire a débuté lorsqu’un marabout de 63 ans, I. Djitté, a déposé plainte pour le vol de ses deux téléphones iPhone. L’enquête, appuyée par une réquisition auprès d’un opérateur téléphonique, a permis d’identifier trois receleurs, qui ont conduit les gendarmes jusqu’au voleur, F. Guèye, âgé de 20 ans.
Ce dernier a reconnu le vol et expliqué avoir eu des rapports sexuels avec le marabout, lequel aurait refusé de le rémunérer, prétextant un manque d’argent. Cette situation aurait motivé le vol, et le marabout, initialement plaignant, est ainsi devenu mis en cause.
F. Guèye a également livré l’identité des autres membres de son réseau. Entre jeudi et vendredi, 13 autres personnes ont été interpellées à Diourbel, portant à 15 le nombre total de suspects arrêtés, dont le maître coranique M. Niang. Tous auraient reconnu les faits qui leur étaient reprochés.
Les personnes considérées comme passives lors des relations sexuelles ont été soumises à des examens médicaux, qui ont révélé des lésions anales. Parmi les suspects, l’un est porteur du VIH et suivait un traitement médical. Les enquêteurs ont également saisi une importante quantité de préservatifs et de lubrifiants.
Par ailleurs, trois individus ont été placés en garde à vue pour recel de téléphones et pourraient être déférés dès lundi.
Un drame familial a secoué Pikine où une première femme a ébouillanté son mari, provoquant sa mort. Selon des sources de Seneweb, le crime serait lié à une crise de jalousie, mais la famille a tenté dans un premier temps d’étouffer l’affaire avant que la police ne soit informée.
Le drame commence à l’hôpital
Le commissariat d’arrondissement de Pikine a été saisi suite à une réquisition du directeur de l’hôpital Général Idrissa Pouye de Grand-Yoff, après le décès de Bacary Badji, âgé de 67 ans et domicilié à Pikine Colobane.
Le sexagénaire avait été évacué aux urgences de l’hôpital le 24 novembre 2025, souffrant de graves brûlures thermiques. Son fils, D. S. Badji, a expliqué aux enquêteurs que son père avait été ébouillanté dans son sommeil le 18 novembre, vers 1 h du matin, par sa femme, M. M. Coly, qui selon lui, ne jouirait pas de toutes ses facultés mentales.
Aucune déclaration n’ayant été faite au commissariat à ce moment-là, la police a d’abord auditionné le fils pour comprendre les circonstances du décès.
Interpellation de l’épouse et de complices
La brigade de recherches a ensuite interpellé M. M. Coly, de nationalité gambienne et âgée de 51 ans, mère de sept enfants. Les deux fils de la victime, D. S. Badji (29 ans, ouvrier) et A. Badji (23 ans, électricien bâtiment), ont également été arrêtés pour complicité, pour ne pas avoir signalé l’agression aux autorités.
Lors de son interrogatoire, M. M. Coly a reconnu avoir versé une marmite d’eau bouillante sur son mari pendant qu’il dormait, précisant que leur relation était devenue très tendue depuis que ce dernier avait épousé une seconde femme. Elle n’a toutefois pas fourni de mobile précis au-delà des tensions conjugales.
La complicité familiale et la dissimulation
Les deux fils ont affirmé avoir été réveillés par les cris de douleur de leur père. Ils l’auraient d’abord conduit au centre de santé Baye Talla Diop de Pikine, puis au domicile d’un proche, H. Ndiaye, où la victime est restée plusieurs jours avant son évacuation à l’hôpital. Selon eux, ils ont gardé le silence sur demande de leur père. H. Ndiaye, convoqué pour enquête, a également été arrêté pour complicité.
Déférés pour meurtre et complicité
À l’issue de l’enquête, M. M. Coly a été déférée au tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye pour meurtre. Ses deux fils ainsi que leur voisin H. Ndiaye ont été déférés pour complicité.
Même si l’un des fils a évoqué des troubles mentaux de leur mère, aucun document médical n’a été présenté pour étayer cette affirmation.
Une scène d’une rare violence s’est déroulée, mercredi 27 novembre, au cœur même du Palais de Justice de Dakar. Ce qui devait être une simple audience s’est transformé en un chaos total lorsque Sory Sawané, plaignant dans une affaire d’escroquerie au visa, a été pris à partie et passé à tabac par des proches du prévenu.
Les faits sont survenus au sortir de la salle 1, où se tenait une audience des flagrants délits opposant Sory Sawané à Daouda Pène, actuellement en détention pour escroquerie au visa.
À peine l’audience levée, plusieurs membres de la famille du prévenu ont encerclé le plaignant avant de le frapper violemment, et ce en plein Palais de Justice — lieu pourtant dédié à la protection des justiciables et au respect de la loi.
Alertés par les cris, les gendarmes ont aussitôt mis fin à l’agression.
Grièvement blessé, Sory Sawané a été pris en charge par les sapeurs-pompiers. Son certificat médical fait état d’une incapacité temporaire de travail (ITT) de 3 jours.
Deux assaillants — Allou Pène et Mbacké-Guye — ont été immédiatement interpellés puis remis à la Division des Investigations Criminelles (DIC). Ils ont été déférés au parquet pour :
Association de malfaiteurs
Coups et blessures volontaires ayant entraîné une ITT de 3 jours
Un troisième individu impliqué dans l’agression, Modou Pène, oncle du prévenu, a réussi à prendre la fuite et est activement recherché par les enquêteurs.
La communauté est sous le choc après un drame survenu ce matin. Aida Diallo, élève au CEM de Tassette, s’est jetée dans un puits situé dans la concession familiale, après avoir fait tomber son chien domestique dans le puits avant de s’y introduire. Heureusement, le chien a été retrouvé vivant grâce à l’intervention rapide des pompiers.
Selon ses proches, Aida, 25 ans, traversait une période difficile depuis environ 8 ans . Une souffrance psychique profonde qui, selon la famille, s’est intensifiée après un mariage. Malgré les efforts pour la soutenir, elle a ouvert le couvercle du puits seule, avant de s’y jeter, geste tragique qui traduit un désespoir extrême.
Alertés, les pompiers de la commune de Tassette sont arrivés promptement. Malheureusement, Aida était déjà décédée à leur arrivée. Son chien, quant à lui, a survécu. Ce drame laisse la communauté sous le choc.
Ce décès met cruellement en lumière l’urgence d’un soutien psychologique adapté pour les personnes en détresse, mais aussi la nécessité de sécuriser les puits et points d’eau autour des habitations. Une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances exactes, tandis que la famille et les habitants appellent à la solidarité dans cette douloureuse épreuve.
Un drame a frappé le quartier Hersant, à Thiès, ce samedi matin. Un homme âgé d’environ 70 ans a été retrouvé sans vie au bord de la route, suscitant l’émoi des habitants du quartier. Selon les premiers éléments, la victime aurait été surprise dans un endroit fréquenté par les passants et conducteurs, avant que les pompiers ne soient alertés et interviennent rapidement pour récupérer le corps.
Transporté à la morgue de l’hôpital régional de Thiès, l’homme n’a pas encore été identifié. Les circonstances exactes de sa mort demeurent inconnues, et aucune piste ne semble privilégiée pour le moment. Les autorités locales ont ouvert une enquête afin de faire la lumière sur cette affaire et déterminer les causes du décès.
Les habitants du quartier Hersant, profondément choqués, témoignent d’un climat d’inquiétude. Certains évoquent la nécessité de renforcer la sécurité dans la zone, tandis que d’autres appellent à la prudence et à la collaboration avec les forces de l’ordre pour aider à identifier la victime et comprendre ce qui s’est passé.
Ce drame rappelle l’importance de la vigilance et de la solidarité dans les quartiers de Thiès, où des incidents similaires, bien que rares, peuvent profondément marquer la communauté. La police et les autorités sanitaires poursuivent leurs investigations pour fournir des réponses à la population.
Dans la nuit du 29 novembre 2025, aux environs de 2 heures du matin, l’usine Oasis Drinks Africa, implantée à Porokhane dans le département de Nioro du Rip, a été la cible d’une attaque violente menée par une dizaine d’individus cagoulés et lourdement armés.
Selon les premiers éléments recueillis, les assaillants ont neutralisé le dispositif de sécurité du site avant de forcer le grillage pour accéder à l’intérieur de l’usine. Repérés par les agents de sécurité et les gendarmes en faction, ils ont aussitôt ouvert le feu, déclenchant un échange nourri de tirs.
Un agent de sécurité a été blessé au cours de l’affrontement. Il a été rapidement évacué au district sanitaire de Nioro du Rip pour y recevoir des soins appropriés. Son état, bien que jugé préoccupant sur le moment, serait actuellement stabilisé selon une source médicale.
Alerté dès les premiers instants, l’Adjudant-chef Souleymane Thior, commandant de la Brigade de Nioro, a mis en branle un dispositif de riposte et dépêché en urgence des éléments du Peloton d’intervention et de surveillance, qui ont lancé des patrouilles intensives pour quadriller toute la zone et tenter d’intercepter les malfaiteurs en fuite.
Pour l’heure, les motivations des assaillants restent inconnues. Les enquêteurs privilégient toutefois la piste d’une tentative de vol orchestrée par un groupe criminel bien organisé.
Une enquête judiciaire est ouverte pour retrouver les auteurs de cette attaque et déterminer les circonstances exactes des faits. Les forces de défense et de sécurité appellent toute personne disposant d’informations utiles à les contacter afin de faire avancer les investigations.
Abdoulaye Diagne Mbodj, âgé de 22 ans, a été inculpé et placé sous mandat de dépôt à Ziguinchor pour homicide involontaire. Cette décision judiciaire marque un nouveau tournant dans l’affaire liée au décès tragique de Mouhamed Ndiaye.
Déféré par la brigade territoriale de Ziguinchor, le jeune homme a passé sa première nuit en détention. Lors de sa première audition, Mbodj avait affirmé aux enquêteurs que lui et la victime, conducteur de la moto au moment des faits, avaient été attaqués par trois individus non identifiés. Il soutenait alors que Mouhamed Ndiaye avait perdu le contrôle de l’engin après avoir été touché par un coup de bâton.
Cependant, de nouveaux éléments recueillis par les enquêteurs ont conduit à son interpellation et à un changement radical de version. Face aux preuves, Abdoulaye Diagne Mbodj est finalement passé aux aveux. Il a reconnu avoir inventé l’agression, par crainte d’assumer que la moto ne disposait d’aucun papier administratif.
Son procès est programmé pour jeudi prochain devant le tribunal des flagrants délits de Ziguinchor, indiquent les mêmes sources.
Le Commissariat d’Arrondissement de Malika a procédé, ce 27 novembre 2025, à l’interpellation de quatre individus impliqués dans un trafic dangereux de produits alimentaires destinés à la destruction. Selon la Police nationale, ils sont poursuivis pour association de malfaiteurs, vente de produit alimentaire de volaille impropre à la consommation et mise en danger de la vie d’autrui.
Les mis en cause ont été surpris en train de décharger une importante quantité de déchets alimentaires provenant d’une usine spécialisée dans la fabrication d’aliments pour élevages avicoles. Ce produit, qui avait été déclaré impropre et destiné à l’incinération, devait être reconditionné dans des sacs pour être revendu illicitement sur le marché.
Face aux enquêteurs, les suspects ont reconnu les faits et désigné leur commanditaire, lequel avait déjà passé commande de plus d’une dizaine de sacs. Il ne faudra que quelques minutes de filature pour que le destinataire des marchandises toxiques se présente sur les lieux afin de récupérer sa commande... avant d’être aussitôt interpellé.
La Police nationale rappelle que ce type de pratique représente un grave danger pour la santé publique, en exposant les populations à des produits susceptibles de contenir des éléments hautement nocifs.
Une enquête est en cours afin de démanteler l’ensemble du réseau impliqué dans ce commerce clandestin.
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