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La liste des 30 nominés pour le Ballon d’Or 2025 révèle un mélange de jeunes talents et de figures établies. La cérémonie se tiendra le 28 octobre à Paris.
La liste des 30 joueurs en lice pour le Ballon d’Or 2025 a été dévoilée, illustrant un mélange entre figures emblématiques et nouvelles stars du football mondial. Cette édition reflète un tournant générationnel, avec la présence remarquée de jeunes prodiges aux côtés de joueurs expérimentés. La cérémonie, prévue le 28 octobre à Paris, désignera le successeur de Rodri, vainqueur en 2024.
Parmi les révélations, Lamine Yamal, 16 ans, joyau du FC Barcelone, et Désiré Doué, nouveau visage du Paris Saint-Germain, impressionnent déjà par leur maturité. Le Ballon d’Or 2025 souligne également la diversité des origines, avec des représentants de tous les continents, notamment les Africains Achraf Hakimi (Maroc), Serhou Guirassy (Guinée), Mohamed Salah (Égypte) et Ousmane Dembélé (France/Sénégal).
Le Paris Saint-Germain se distingue particulièrement cette année, avec neuf joueurs sélectionnés : Ousmane Dembélé, Gianluigi Donnarumma, Désiré Doué, Fabian Ruiz, Achraf Hakimi, Joao Neves, Khvicha Kvaratskhelia, Nuno Mendes et Vitinha. Le club égale ainsi un record détenu par le Real Madrid en 2003 et 2018.
Si aucun grand favori ne se détache, plusieurs noms comme Vinicius Jr., Declan Rice, Khvicha Kvaratskhelia ou Alexis Mac Allister se sont illustrés par des performances marquantes en Ligue des Champions et lors de compétitions internationales.
Liste des 30 nominés :
Jude Bellingham, Ousmane Dembélé, Gianluigi Donnarumma, Désiré Doué, Denzel Dumfries, Serhou Guirassy, Viktor Gyökeres, Erling Haaland, Achraf Hakimi, Harry Kane, Khvicha Kvaratskhelia, Robert Lewandowski, Alexis Mac Allister, Lautaro Martinez, Kylian Mbappé, Scott McTominay, Nuno Mendes, Joao Neves, Michael Olise, Cole Palmer, Pedri, Raphinha, Declan Rice, Fabian Ruiz, Mohamed Salah, Virgil van Dijk, Vinicius Jr., Vitinha, Florian Wirtz et Lamine Yamal.
Le suspense reste entier : qui brandira le prestigieux trophée cette année ?
Le PADERAU investit 13 milliards de FCFA à Sédhiou pour électrifier 190 localités, bénéficiant à 67 000 ménages et améliorant les services de base.
Un programme d’électrification rurale de 13 milliards de francs CFA a été présenté jeudi lors d’un Comité régional de développement (CRD) à Sédhiou. Ce projet, qui concernera 190 localités rurales, vise à améliorer la vie de près de 67 000 ménages, soit environ 607 000 personnes.
Il s’inscrit dans le cadre du Programme d’appui au développement des énergies renouvelables pour l’accès universel (PADERAU), initié par l’État du Sénégal avec le soutien de l’Agence française de développement (AFD) et de l’Union européenne (UE). Doté d’un financement global de 58 milliards de francs CFA, le PADERAU couvre également les régions de Matam, Ziguinchor et Tambacounda.
À Sédhiou, les travaux permettront non seulement l’électrification de 190 villages, mais aussi l’installation de 6 877 branchements intérieurs dans les ménages, centres de santé, infrastructures publiques et petites entreprises. L’objectif est d’améliorer la qualité de vie et l’accès aux services sociaux de base.
Gor Sène, coordonnateur du PADERAU à la SENELEC, a expliqué que cette rencontre visait à partager les détails techniques du projet et à recueillir les préoccupations des acteurs locaux. Il a précisé que les remarques liées aux impacts environnementaux, économiques et sociaux seraient prises en compte pour ajuster la mise en œuvre.
Le maire de Sansamba, Ousmane Badji, a salué cette initiative, y voyant une réponse concrète à la forte demande d’électricité en milieu rural, tout en insistant sur l’intégration des localités encore non desservies pour éviter toute frustration.
L’atelier a également permis de présenter les aspects techniques, sociaux et environnementaux du programme. L’adjoint au gouverneur, Ba Ousmane Danfakha, a rappelé l’importance de l’implication des collectivités territoriales, du respect des normes de sécurité et d’un suivi rigoureux des travaux.
Au total, le PADERAU prévoit d’électrifier environ 200 000 ménages dans les régions concernées. À Sédhiou, il représente une étape déterminante pour le développement local, l’autonomisation économique et l’amélioration durable des conditions de vie.
L’ANAQ-Sup affirme que les doctorats délivrés par les établissements privés ne sont pas reconnus par l’État du Sénégal, car non conformes à la réglementation.
L’Autorité nationale d’assurance qualité de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ANAQ-Sup) a annoncé, jeudi, qu’elle ne reconnaît pas les diplômes de doctorat — PhD, doctorat unique, d’université ou d’ingénieur — délivrés par les établissements privés d’enseignement supérieur.
Selon son secrétaire exécutif, Pr Massamba Diouf, ces diplômes ne respectent pas les exigences fixées par le décret n°2012-1116 relatif au diplôme de doctorat et par le décret n°2021-1790 modifiant le décret n°2015-582 sur la reconnaissance, le classement et l’équivalence des diplômes.
L’ANAQ-Sup rappelle que l’habilitation à délivrer un doctorat doit être accordée par le ministre de l’Enseignement supérieur après évaluation de l’offre de formation, conformément aux articles 15 et 16 du décret. Or, d’après l’instance, les établissements privés concernés ne se conforment pas à ces dispositions.
En conséquence, ces diplômes ne sont pas reconnus par l’État du Sénégal, et leurs titulaires ne peuvent se prévaloir du titre de docteur, que ce soit au niveau national ou international. L’ANAQ-Sup ordonne aux établissements privés de cesser immédiatement cette délivrance jugée illégale et de se conformer aux textes en vigueur.
Les diplômes d’État de docteur en médecine, pharmacie et chirurgie dentaire ne sont toutefois pas concernés par cette mesure. L’Autorité invite par ailleurs le public à consulter son site officiel pour vérifier l’habilitation et l’accréditation des formations et diplômes.
En visite officielle en Turquie, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a rendu hommage à Mustafa Kemal Atatürk à Ankara. Une tournée de cinq jours axée sur le renforcement des relations bilatérales.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a lancé ce jeudi matin sa visite officielle en Turquie par un hommage appuyé à Mustafa Kemal Atatürk, figure emblématique et fondateur de la République turque. Il s’est rendu au mausolée Anitkabir, situé sur la colline d’Anit à Ankara, selon le reportage de l’envoyé spécial de l’APS.
Ce haut lieu de mémoire expose divers objets ayant appartenu à Atatürk – sabres, uniformes, pipes – dans une atmosphère marquée par des chants patriotiques et des discours nationalistes.
Arrivé mercredi à 17h GMT à l’aéroport d’Ankara, Ousmane Sonko a été accueilli par le ministre turc du Commerce, Omar Bolat. Il est accompagné d’une délégation gouvernementale composée de plusieurs ministres : Yassine Fall (Intégration africaine et Affaires étrangères), Abdourahmane Sarr (Économie, Plan et Coopération), Serigne Guèye Diop (Industrie et Commerce), Birame Soulèye Diop (Énergie, Pétrole et Mines), Mabouba Diagne (Agriculture, Souveraineté alimentaire et Élevage), et Birame Diop (Forces armées).
Cette visite de cinq jours prévoit notamment un entretien avec le président turc Recep Tayyip Erdogan, des rencontres avec le secteur privé à Istanbul, ainsi que la signature d’accords bilatéraux visant à intensifier la coopération entre Dakar et Ankara. Le chef du gouvernement sénégalais rencontrera également la communauté sénégalaise vivant en Turquie avant de regagner Dakar le 11 août.
Une violente attaque s’est produite à la résidence « Les Diamantines » à Saly. Cambriolage, viol collectif, violence extrême : les détails d’un drame qui bouleverse la Petite-Côte.
La nuit du mardi 5 au mercredi 6 août 2025 a été marquée par une violence sans précédent à Saly Portudal, au sein de la résidence « Les Diamantines », située derrière le complexe hôtelier La Tanière. Ce qui devait être une nuit tranquille s’est transformé en cauchemar, lorsque des individus armés ont fait irruption dans la villa appartenant à l’architecte béninoise Lydia Assani, absente du pays au moment des faits.
Il est environ 2 heures du matin lorsque les assaillants, encagoulés et armés de fusils de chasse, de machettes et d’objets contondants, pénètrent dans la résidence. Les cinq vigiles chargés de la sécurité sont rapidement maîtrisés et ligotés avec violence. Les malfaiteurs se dirigent ensuite vers la maison principale, où dorment une domestique et une fillette de 7 ans.
Réveillées brutalement, les deux occupantes sont agressées. La peur pousse l’enfant à révéler l’emplacement du coffre-fort. À l’intérieur, les cambrioleurs découvrent plus de 10 millions de francs CFA en espèces, des bijoux en or et en diamant ainsi que des pierres précieuses. La villa est ensuite saccagée, chaque pièce fouillée avec acharnement.
Mais le cambriolage dégénère en acte de barbarie. Dans une autre chambre se trouve J. A. Ndiaye, 28 ans, fille adoptive de Mme Assani. Elle subit un viol collectif d’une rare violence de la part de cinq des assaillants. Traînée ensuite jusqu’à la cave, elle est de nouveau agressée sexuellement, loin de tout secours. Elle sera retrouvée inconsciente dans la cour arrière de la villa, dans un état critique.
Les malfaiteurs prennent ensuite la fuite à bord de la voiture de la propriétaire, une Ford Limited, qu’ils abandonnent quelques heures plus tard près de Nguékokh, probablement pour éviter une localisation par GPS.
Informée de la situation par les victimes elles-mêmes, Lydia Assani prévient aussitôt son chauffeur resté à Mbour. Ce dernier alerte les autorités locales, et une enquête est immédiatement ouverte par le commissariat de Saly, en collaboration avec la Brigade de recherches.
Les enregistrements du système de vidéosurveillance de la villa ont permis d’identifier plusieurs visages parmi les agresseurs. Des pistes sont en cours d’exploitation par les enquêteurs.
Les cinq vigiles, initialement suspectés de complicité, ont été placés en garde à vue avant d’être relâchés, leur implication directe n’ayant pas été confirmée.
Quant à J. A. Ndiaye, elle a été transférée dans une structure médicale spécialisée, où elle reçoit un suivi médical et psychologique.
dakaractu
Le centre de santé de Koungheul a reçu un appareil de radiographie numérique offert par l'opérateur économique Moussa Seck, un don estimé à plus de 30 millions de FCFA, en présence des autorités locales.
Le centre de santé de Koungheul, situé dans la région de Kaffrine, a été doté d’un appareil de radiographie numérique de dernière génération, gracieusement offert par Moussa Seck, un opérateur économique originaire de la localité, a constaté l’APS ce mercredi.
La cérémonie de remise s’est tenue en présence de nombreuses personnalités, parmi lesquelles le secrétaire d’État à l’Urbanisme, au Logement et à l’Hygiène publique, Momath Talla Ndao. Ce dernier a salué ce geste qu’il considère comme un acte patriotique, symbole de solidarité, et vecteur de progrès pour la santé communautaire.
Le matériel, estimé à plus de 30 millions de francs CFA, inclut des dispositifs de protection, un gilet de sécurité et un régulateur électrique. Pour les autorités sanitaires, cet équipement représente une avancée significative dans le renforcement des capacités diagnostiques de la structure, améliorant ainsi l’accès aux soins pour les populations locales.
Le préfet de Koungheul, Souleymane Ndiaye, le directeur régional de la santé de Kaffrine, Dr Mbaye Thiam, le médecin chef de district, El Hadji Malick Niang, ainsi que des parlementaires et élus locaux, ont tous pris part à l’événement.
Momath Talla Ndao a souligné que cette acquisition permettra de réduire les fréquents déplacements des patients vers l’hôpital régional Thierno Birahim Ndao de Kaffrine et d’accélérer les délais de prise en charge. Il a vivement félicité le donateur pour ce qu’il qualifie d’acte hautement citoyen, encourageant d’autres acteurs à suivre son exemple.
Il a également insisté sur la nécessité de veiller à une utilisation responsable de l’équipement et à sa maintenance régulière pour en garantir la durabilité. De son côté, le secrétaire exécutif du comité de développement sanitaire, Mamadou Diouf, a recommandé le recrutement d’un technicien supérieur qualifié afin d’assurer le bon fonctionnement de l’appareil.
En préparation du Gamou de Tivaouane, le gouverneur Saër Ndao annonce un dispositif sécuritaire renforcé et met en garde contre les aliments préparés transportés par les pèlerins.
Un comité régional de développement (CRD) préparatoire au Gamou de Tivaouane s’est tenu ce mercredi à la gouvernance de Thiès. À cette occasion, le gouverneur Saër Ndao a confirmé l’engagement des différents services pour assurer le bon déroulement de l’événement. « Nous ferons en sorte que le Maouloud se déroule dans d’excellentes conditions », a-t-il affirmé.
Il a indiqué que le dispositif sécuritaire serait renforcé, en tirant les leçons des manquements constatés lors de l’édition précédente. Sur le plan sanitaire, Saër Ndao a lancé un appel à la prudence concernant le transport d’aliments préparés, à l’origine de nombreux cas sévères d’intoxication chaque année.
Selon lui, ces incidents peuvent être évités grâce à une communication renforcée, aussi bien par le comité d’organisation que par le Khalife, afin de sensibiliser les pèlerins à ne pas transporter ce type de nourriture, souvent souillée durant le trajet et présentant un risque important pour la santé publique.
Condamné à dix ans de prison et libérable depuis juillet, A. Diallo refuse de sortir, affirmant qu’il doit encore purger cinq ans, sans preuve judiciaire.
Incarcéré depuis 2015 et condamné à dix ans de réclusion, A. Diallo aurait dû retrouver la liberté en juillet dernier. Pourtant, à la surprise du personnel pénitentiaire, il refuse de quitter sa cellule, affirmant qu’il lui reste encore cinq années à purger, une déclaration non confirmée par les documents officiels.
Les registres judiciaires consultés par l’administration pénitentiaire indiquent que la totalité de la peine a été accomplie et ne mentionnent aucune prolongation. Malgré cela, le détenu maintient sa position et poursuit son quotidien derrière les barreaux comme si de rien n’était.
Cette situation inhabituelle soulève des interrogations : s’agit-il d’une incompréhension sur la durée réelle de la peine, d’un trouble psychologique ou d’une difficulté à envisager la réinsertion après une décennie d’incarcération ? L’affaire reste sans explication claire pour l’instant.
senego
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