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Air Sénégal annonce le lancement de la ligne Dakar-Bruxelles dès le 9 décembre 2025, avec trois vols hebdomadaires et un tarif aller-retour à partir de 354 000 FCFA.


Air Sénégal ouvre une nouvelle ligne Dakar-Bruxelles à partir du 9 décembre 2025

 

La compagnie nationale Air Sénégal a annoncé le lancement officiel de la ligne Dakar-Bruxelles à compter du 9 décembre 2025. Cette nouvelle destination s’inscrit dans la stratégie d’expansion du réseau intercontinental de la compagnie et vise à renforcer la connectivité entre l’Afrique de l’Ouest et l’Europe.

Selon le communiqué reçu, Air Sénégal proposera trois vols par semaine, opérés les mardi, jeudi et samedi, afin d’offrir plus de flexibilité à ses passagers. Le tarif aller-retour est fixé à partir de 354 000 FCFA TTC (environ 540 euros), avec une franchise bagage de 23 kg.

Avec cette ouverture, Bruxelles devient la deuxième destination européenne desservie par Air Sénégal, après Paris Charles de Gaulle. La compagnie souligne que cette nouvelle liaison répond à une forte demande des voyageurs et contribuera à renforcer les échanges culturels et économiques entre le Sénégal et la Belgique.

« Cette ligne illustre notre volonté d’offrir de nouveaux choix de mobilité aux voyageurs tout en consolidant notre hub de Diass. Nous sommes fiers de pouvoir connecter la capitale de l’Europe à l’Afrique de l’Ouest », a déclaré Tidiane Ndiaye, Directeur Général d’Air Sénégal.

Grâce à son hub stratégique à l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), les passagers en provenance de Banjul, Nouakchott, Conakry ou Bamako pourront désormais rejoindre Bruxelles avec un temps de transit réduit, précise la compagnie aérienne.



Lundi 3 Novembre 2025 |

Le président Bassirou Diomaye Faye plaide à Dakar pour une intégration de l’enseignement supérieur africain afin de promouvoir l’autonomie scientifique du continent.


Bassirou Diomaye Faye appelle à une intégration panafricaine de l’enseignement supérieur pour renforcer l’autonomie des savoirs

 

Le président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a lancé un appel fort en faveur d’une intégration panafricaine de l’enseignement supérieur, estimant qu’elle constitue une étape essentielle vers l’autonomisation des savoirs sur le continent.

Prenant la parole lors de l’ouverture de la 19ᵉ Assemblée générale de l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), couplée à la 5ᵉ Semaine mondiale de la francophonie scientifique, le chef de l’État a insisté sur la nécessité d’une approche globale de l’éducation et de la recherche.

“L’autonomisation des savoirs doit commencer par l’enseignement à tous les niveaux, y compris dans l’enseignement supérieur et la recherche”, a déclaré le président Faye à Dakar, avant d’ajouter :
“Au-delà de l’intégration politique et économique, il nous faut penser à une intégration de l’enseignement supérieur et des savoirs africains.”

Une vision pour une Afrique intellectuellement souveraine

Le président a souligné que l’intégration africaine, notamment en Afrique de l’Ouest francophone, doit passer par la mise en place de programmes communs de formation, de recherche et d’innovation à l’échelle régionale. Il a aussi encouragé les États africains à investir massivement dans la science et la technologie, considérées comme des piliers de l’autonomie intellectuelle.

Héritage et continuité du savoir africain

Bassirou Diomaye Faye a rappelé que la circulation du savoir faisait partie intégrante de la tradition ouest-africaine, citant en exemple les anciens centres intellectuels que furent l’université Khaly Amar Fall de Pire au Sénégal, Chinguetti en Mauritanie — surnommée “la Sorbonne du désert” — et Tombouctou, jadis berceau du savoir africain aux XVe et XVIe siècles.

Selon lui, ces foyers de connaissance témoignent d’une longue tradition de promotion des sciences et de partage du savoir, dont l’Afrique contemporaine doit s’inspirer.

Un plaidoyer pour la coopération francophone

Le président Faye a salué le rôle de l’AUF dans la promotion de la recherche, de l’inclusion et de la coopération scientifique au sein de l’espace francophone. Il a rappelé que le Sénégal, membre fondateur de la Francophonie institutionnelle, abrite depuis 1974 le siège de l’Agence universitaire de la Francophonie.

Pour conclure, il a affirmé que “le lien du savoir est sans doute le plus solide à côté des liens du sang, car il se fonde sur la volonté naturelle de partage et d’ouverture à l’autre”.



Lundi 3 Novembre 2025 |

La saison 2025-2026 de rugby débute ce dimanche au Camp général Mountaga Diallo à Bel Air avec le championnat national de rugby à VII élite, GOOR7’s, réunissant quinze équipes réparties en trois zones.


Lancement de la saison 2025-2026 de rugby au Sénégal : coup d’envoi du championnat GOOR7’s à Bel Air

 

La saison 2025-2026 de rugby au Sénégal sera officiellement lancée ce dimanche au Camp général Mountaga Diallo à Bel Air, avec le début du championnat national de rugby à VII élite, baptisé GOOR7’s, selon un communiqué de la Fédération sénégalaise de rugby reçu par l’APS.

Cette nouvelle saison du ballon ovale se déroulera jusqu’au 22 décembre 2025 et réunira quinze équipes réparties en trois zones géographiques :

  • Zone Dakar : ASFA, S’en Fout le Score, Requins XV, Panthères de Yoff, Jambars XV, Dragons VP et Pikine INSEPS ;

  • Zone Centre : KRAC de Thiès, Koutal, Gandiaye et Jang RC ;

  • Zone Sud : Acanton, Kadiakéne Mlomp et Casamaçaise RC.

Chaque équipe disputera quatre matchs dans sa zone. À l’issue de ces rencontres, huit formations se qualifieront pour le tournoi final national : cinq issues de la Zone Dakar, deux de la Zone Centre et une de la Zone Sud.

La première journée de la Zone Dakar opposera notamment ASFA, S’en Fout le Score, Jambars XV et Dragons VP.

En plus du championnat à VII élite, la commission d’organisation des compétitions nationales a prévu d’autres tournois : le championnat à XV, la Coupe du Sénégal et le championnat féminin.

Ces compétitions seront complétées par le championnat à VII U18, pour filles et garçons, en préparation des Jeux olympiques de la jeunesse Dakar 2026, prévus du 31 octobre au 13 novembre.



Samedi 1 Novembre 2025 |

Avec plus de 700 détenus, la Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis se positionne comme la deuxième prison la plus surpeuplée du Sénégal, selon la ministre de la Justice, Yassine Fall.


La prison de Saint-Louis, deuxième plus peuplée du Sénégal après Rebeuss

 

La Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Saint-Louis, dans le nord du pays, est la deuxième prison la plus peuplée du Sénégal après celle de Rebeuss à Dakar, avec plus de 700 détenus. L’information a été donnée ce vendredi à Saint-Louis par la ministre de la Justice, Garde des Sceaux, Yassine Fall.

« Nous sommes venus à la prison de Saint-Louis pour nous enquérir des conditions de détention, mais aussi écouter les personnes incarcérées. Cette prison compte aujourd’hui plus de 700 détenus, ce qui en fait la deuxième plus peuplée après Rebeuss », a-t-elle déclaré.

La ministre effectuait une visite de travail dans la capitale du Nord. Accueillie au Palais de justice peu après 17 heures par le gouverneur Al Hassan Sall et les autorités judiciaires régionales, elle a rencontré les magistrats, notamment le président de la Cour d’appel de Saint-Louis, ainsi que le parquet et les juges du tribunal de grande instance.

Au cours de ces échanges, Yassine Fall s’est également entretenue avec le personnel sur les conditions de travail, la situation des détenus et l’état des infrastructures judiciaires. « Nous avons rencontré de nombreux jeunes et des personnes âgées en détention. Mais ce qui nous fend le cœur, c’est de voir des mineurs parmi eux », a-t-elle confié à la sortie de sa visite à la prison.

La ministre a tenu à saluer le travail du personnel pénitentiaire qui veille quotidiennement au bien-être des détenus. La Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis, rappelons-le, a été construite en 1863 dans la partie nord de l’île.

aps



Samedi 1 Novembre 2025 |

L’Organisation de l’Aviation civile internationale (OACI) a conclu son audit au Sénégal, notant une nette amélioration de la supervision de la sécurité aérienne, désormais à 88,35 %.


Sécurité aérienne : l’OACI salue les progrès du Sénégal avec un taux de supervision porté à 88,35 %

L’Organisation de l’Aviation civile internationale (OACI) a achevé, ce vendredi 31 octobre 2025, une Mission de validation coordonnée (ICVM) au Sénégal. Cette mission visait à évaluer la performance de l’Autorité nationale de l’aviation civile et de la météorologie (ANACIM) dans la supervision de la sécurité aérienne.

Les résultats de l’audit sont jugés très positifs : le domaine des services de navigation aérienne (ANS) a enregistré un score de 94,34 %, contre 77 % en 2019. Ce bond significatif permet de porter le taux global de supervision de la sécurité aérienne du Sénégal de 85,26 % en 2024 à 88,35 % en 2025.

Lors de la cérémonie de clôture, le Directeur général de l’ANACIM, Dr Diaga Basse, a salué la mobilisation collective des acteurs du secteur, citant notamment l’ASECNA, AIBD SA et l’Armée de l’air, ainsi que le soutien constant des autorités nationales.

Il a rappelé que, dans la continuité de la 42e Assemblée de l’OACI, le Secrétariat général du gouvernement et le ministère des Transports terrestres et aériens ont contribué à l’adoption, lors du Conseil des ministres du 9 octobre 2025, de plusieurs textes réglementaires essentiels.

Ces nouveaux textes concernent notamment :

  • la création et l’organisation des Services de Recherches et de Sauvetage (SAR) en temps de paix,

  • la fixation des redevances et produits dus pour les services rendus par l’Autorité de l’Aviation civile,

  • et la définition des amendes et pénalités aéronautiques.

L’ANACIM entend poursuivre cette dynamique de progrès, renforcer la coopération avec les partenaires du secteur et appliquer les recommandations de l’OACI, afin de consolider la position du Sénégal comme référence régionale en matière de sécurité aérienne.

 
 


Samedi 1 Novembre 2025 |

Le Sénégal et la KOICA s’associent pour créer un centre de transformation par l’intelligence artificielle à Diamniadio, un projet de 14,5 millions de dollars destiné à renforcer les compétences numériques du pays.


Sénégal : un centre de transformation par l’intelligence artificielle verra le jour à Diamniadio grâce à la coopération coréenne

Un pas décisif vient d’être franchi dans la stratégie de transformation numérique du Sénégal. Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Pr Daouda Ngom, a présidé jeudi une réunion d’échanges avec une délégation d’experts de la KOICA (Agence coréenne de coopération internationale), axée sur la mise en place d’un centre de transformation par l’intelligence artificielle à Diamniadio.

Le projet, dont la mise en œuvre s’étalera de 2026 à 2033, représente un investissement total de 14,5 millions de dollars américains, soit environ 8,22 milliards de francs CFA. Il s’inscrit dans le cadre du programme de renforcement des compétences numériques du Sénégal et vise à faire du pays un pôle régional d’innovation et de recherche en intelligence artificielle.

Selon le ministre Daouda Ngom, cette initiative s’intègre pleinement dans les priorités du New Deal Technologique et dans l’Agenda national de transformation de l’enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation (ANTESRI). Elle illustre également la coopération fructueuse entre le Sénégal et la République de Corée, déjà concrétisée par la construction et l’équipement de l’ISEP de Diamniadio.

Le ministre a exprimé la reconnaissance du gouvernement sénégalais envers la Corée du Sud et la KOICA, pour leur soutien constant au développement de l’éducation et des technologies au Sénégal.

Ce futur centre de transformation par l’intelligence artificielle devrait jouer un rôle central dans la formation des jeunes, le développement de la recherche appliquée, ainsi que la promotion de l’innovation numérique au service du progrès économique et social du pays.



Vendredi 31 Octobre 2025 |

Le préfet de Dakar a autorisé la marche du Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR), tout en modifiant son itinéraire. Le départ est prévu à 15h depuis Score Liberté 1, pour se terminer au Rond-point Jet d’eau vers 18h.


Dakar : la marche du Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) autorisée, mais avec un nouvel itinéraire

Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) a obtenu l’autorisation du préfet de Dakar pour organiser sa marche. Cependant, l’autorité administrative a apporté une modification à l’itinéraire initialement prévu.

Selon les nouvelles dispositions, les participants se rassembleront à Score Liberté 1, sur l’avenue Bourguiba, où le départ sera donné à 15 heures. Le cortège empruntera ensuite un trajet défini par la préfecture pour s’achever au Rond-point Jet d’eau aux environs de 18 heures.

Cette marche, encadrée par les forces de l’ordre, s’inscrit dans la continuité des actions du FDR visant à défendre les principes démocratiques et républicains dans le pays.



Vendredi 31 Octobre 2025 |

Le projet PADAES a été officiellement lancé à Saint-Louis. Il prévoit l’électrification, l’extension et la densification du réseau dans 23 localités, sous la supervision de l’entreprise ETM.


Saint-Louis : lancement du projet PADAES pour l’électrification de 23 localités

Le Projet d’amélioration de l’accès à l’électricité au Sénégal (PADAES) a été officiellement lancé dans le département de Saint-Louis, marquant une nouvelle étape vers l’objectif d’un accès universel à l’électricité dans le pays.

Selon Souleymane Diouf, directeur technique de l’entreprise des Travaux Modernes (ETM) et responsable du lot 1, cette initiative permettra l’électrification, l’extension et la densification du réseau électrique dans 23 localités de la circonscription.

Lors de la cérémonie de lancement, présidée par l’adjoint au préfet Abdou Khadre Dieylani Bâ, M. Diouf a assuré que l’entreprise ETM mettra tout en œuvre pour respecter les délais contractuels.

Ce projet, déjà amorcé dans le département de Dagana, s’inscrit dans le cadre du programme national d’accès universel à l’électricité. Il est financé par la Banque mondiale et exécuté par la SENELEC, la Société nationale d’électricité du Sénégal.

La cérémonie s’est tenue dans la salle du Conseil départemental de Saint-Louis, en présence des autorités locales et des représentants du secteur énergétique.



Vendredi 31 Octobre 2025 |
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