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Le DG de l’ACBEP, Baye Niass, a inauguré à Sédhiou l’antenne régionale de l’Inspection du travail, un édifice de 200 millions FCFA destiné à renforcer la régulation et la médiation sociale.
Le directeur général de l’Agence de construction des bâtiments et édifices publics (ACBEP), Baye Niass, a présidé, vendredi, à Sédhiou, la cérémonie officielle de réception de l’antenne régionale de l’Inspection du travail et de la sécurité sociale, a constaté l’APS.
Réalisé pour un montant de 200 millions de francs CFA, ce nouvel édifice marque une étape importante dans la modernisation de l’administration du travail dans la région de Sédhiou.
Selon Baye Niass, ce bureau régional a pour objectif de rapprocher l’administration des citoyens, notamment des travailleurs et des employeurs de la région sud. Il offrira un cadre institutionnel adapté à la régulation du marché du travail, à la médiation sociale et à la protection des droits professionnels.
« Ce n’est pas une simple cérémonie protocolaire. C’est une avancée majeure dans la promotion du dialogue social et la dignité des travailleurs », a déclaré le DG de l’ACBEP.
Ce projet s’inscrit dans la Vision 2050 prônée par le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko, qui œuvrent pour un Sénégal prospère, inclusif et solidaire, a-t-il précisé.
Lors du dernier Conseil des ministres, tenu le 2 octobre, le chef du gouvernement a rappelé la nécessité de sérénité, rapidité et durabilité dans l’exécution des projets publics.
L’ACBEP, bras technique de l’État pour la construction d’infrastructures administratives, a réaffirmé son engagement à concrétiser ces orientations à travers la qualité des travaux, le respect des délais et la transparence dans l’attribution des marchés.
Le projet, initialement confié à une première entreprise dont le contrat a été résilié pour non-respect des clauses, a été repris par Ibrahima Guèye Construction (IBG). Cette société a mené les travaux dans les délais impartis, respectant les normes techniques exigées.
« Toute entreprise incapable de respecter ses engagements verra son contrat résilié. C’est une règle désormais intangible pour l’ACBEP », a martelé Baye Niass.
Selon lui, cette antenne régionale constitue un pilier régulateur et un instrument de justice sociale, offrant un espace de confiance pour les acteurs du monde du travail. Elle contribuera à renforcer la médiation entre employeurs et employés, à encadrer les relations professionnelles et à garantir une application équitable du droit du travail.
aps
La Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) dévoilera le calendrier du championnat ce samedi 4 octobre au stade Léopold Sédar Senghor, avant le coup d’envoi prévu le 26 octobre.
La Ligue sénégalaise de football professionnel (LSFP) a annoncé que le calendrier du championnat national sera officiellement rendu public ce samedi 4 octobre 2025 lors d’une cérémonie prévue au stade Léopold Sédar Senghor, à partir de 10 heures.
Dans un communiqué diffusé sur sa page Facebook, l’instance précise que cette rencontre réunira les acteurs du football sénégalais et servira également de cadre pour présenter la feuille de route du début de saison.
La LSFP prévoit en outre de dévoiler le programme des premières journées de Ligue 1 et de Ligue 2, dont le coup d’envoi est fixé au 26 octobre prochain.
La région de Saint-Louis déplore 54 cas de fièvre de la vallée du Rift et 8 décès. Quatre districts sanitaires sont désormais touchés.
La direction régionale de la Santé de Saint-Louis rapporte, dans un communiqué, la confirmation de 54 cas positifs de fièvre de la vallée du Rift, dont 8 décès.
Parmi les cas détectés, 18 patients présentent des symptômes légers et sont suivis à domicile, tandis que 25 personnes sont guéries. Trois malades restent hospitalisés à Ndioum et Saint-Louis.
La maladie touche désormais quatre des cinq districts sanitaires de la région, précise la direction régionale. Le premier cas avait été enregistré le 21 septembre dernier à Saint-Louis, marquant le début de cette épidémie.
Une femme de 66 ans a été arrêtée à Touba avec plusieurs kilos de chanvre indien. L’affaire intrigue par son ampleur inattendue.
À Touba, ville connue pour sa ferveur religieuse et sa discipline quotidienne, une découverte inattendue vient troubler la sérénité des habitants. Une commerçante de 66 ans a été arrêtée après avoir été surprise au cœur d’un trafic de chanvre indien, une situation qui a tout d’un scénario improbable.
Une surveillance minutieuse
Les membres du « Kurel sam wormay Touba », un collectif de Baye Fall engagé dans la lutte contre les comportements jugés déviants, avaient reçu plusieurs dénonciations à son sujet. Après une période d’observation, ils ont fini par l’intercepter alors qu’elle transportait un demi-bloc de chanvre dissimulé dans un seau, en pleine rue.
Une cache découverte à son domicile
L’affaire a rapidement pris une dimension plus sérieuse lors de la perquisition à son domicile. Les autorités y ont découvert huit blocs supplémentaires de chanvre indien, pour un total de 4,7 kilos, confirmant ainsi l’importance du trafic.
Un mystérieux complice évoqué
Placée en garde à vue au commissariat spécial de Touba, la sexagénaire a affirmé qu’un certain « Ousseynou » lui aurait confié la drogue. Mais l’absence d’informations précises sur ce prétendu fournisseur laisse planer de nombreuses zones d’ombre sur cette affaire.
À Saint-Louis, le colonel Alioune Samassa a officiellement pris le commandement de la zone militaire n°2 et appelle à une vigilance renforcée face à la menace terroriste.
Le colonel Alioune Samassa, nouveau commandant de la zone militaire n°2, a appelé mercredi à plus de vigilance face à la menace terroriste, peu après son installation officielle à Saint-Louis.
« Nous sommes dans un contexte géopolitique particulier et perturbé, avec des acteurs perturbateurs. Les frontières sont à la fois des points d’application de la sécurité et de l’insécurité », a-t-il déclaré devant la presse.
Insistant sur la nécessité d’une vigilance accrue, il a rappelé que la menace terroriste exige davantage de force et d’anticipation. Dès son arrivée, il a ainsi instruit les chefs de corps placés sous son autorité de développer une véritable culture de la vigilance et de privilégier des actions préventives.
Le colonel Samassa a exhorté ses hommes à se préparer à affronter tout adversaire susceptible de menacer les intérêts vitaux du pays, sa souveraineté et la tranquillité des populations. Son ambition est de faire de la zone militaire n°2 une région « sereine, prête au combat et capable d’anticiper sur toute éventualité ».
Il a également insisté sur l’importance du travail conjoint avec les autres forces de défense et de sécurité, mais aussi avec les populations, qu’il considère comme un pilier essentiel de la résilience.
La cérémonie d’installation, présidée par le général de corps d’armée Mbaye Cissé, chef d’état-major général des armées, a été marquée par une prise d’armes et un défilé militaire. Plusieurs autorités civiles et militaires, dont le gouverneur de région Al Hassan Sall et l’adjoint au préfet du département Abdou Khadre Dieylani Bâ, ont assisté à l’événement.
✅aps
À Dakar, les libraires de rue du marché Sandaga constatent une baisse de clientèle à l’approche de la rentrée scolaire, entre crise économique et concurrence du numérique.
À l’approche de la rentrée scolaire, le marché de Sandaga, habituellement animé, peine à retrouver son affluence. Les vendeurs de livres installés à même le sol, appelés par terre, observent une baisse notable de fréquentation. « Les années passées, à cette période, l’endroit était plein. Mais actuellement, rien ne va », confie Mouhamed Cissé, dit Djim. Si certains commerçants affichent leur inquiétude, d’autres, comme Cheikh Thiam, espèrent encore un afflux de parents de dernière minute.
Un rôle essentiel dans l’approvisionnement scolaire
Ces libraires de rue rappellent leur importance dans l’accès aux ouvrages scolaires. Contrairement aux grandes surfaces et librairies classiques, ils proposent une diversité qui séduit de nombreux parents. « Nous avons des ouvrages neufs, anciens, parfois introuvables ailleurs. Et surtout, nous permettons l’échange de livres, ce qui aide énormément les familles à faibles revenus », souligne Dame Samb, surnommé l’avocat des livres.
La menace du numérique
Au-delà de la crise économique, ces vendeurs font face à un autre défi : l’essor du numérique. Avec la multiplication des livres en ligne et l’avancée de l’intelligence artificielle, leurs ventes en pâtissent. « Les jeunes lisent de plus en plus sur écran, mais cela fatigue les yeux et réduit la concentration », expliquent-ils, en défendant la valeur durable du livre physique, jugé plus propice à l’apprentissage et à la culture.
Préserver la lecture traditionnelle
À quelques jours de la rentrée 2025-2026, les commerçants de Sandaga lancent un appel aux parents : continuer à investir dans les livres physiques. Pour eux, cet acte ne se limite pas à soutenir leur commerce, mais contribue aussi à préserver le goût et la richesse de la lecture traditionnelle face à la montée du digital.
dakaractu
Les policiers de Karang saisissent 150 kg de chanvre indien à Djinack Bara. Un mineur de 8 ans impliqué et une révolte villageoise compliquent l’opération.
L’affaire ressemble à un scénario digne d’un film. Les éléments du commissariat spécial de Karang, en poste avancé à Djinack Bara, ont mis la main sur une cargaison de 150 kilogrammes de chanvre indien, dans des conditions particulièrement mouvementées.
Une charrette piégée
Tout commence lundi dernier, après l’exploitation d’un renseignement signalant un trafic entre Ka Diatta, en Gambie, et Djinack Bara, au Sénégal. Les enquêteurs suivent la piste pendant plusieurs heures avant d’intercepter une charrette chargée de dix sacs suspects. À la fouille, la découverte est claire : 150 kilos de chanvre indien.
Un mineur au cœur de l’affaire
L’histoire prend une tournure inattendue lorsque les policiers constatent que le conducteur de la charrette n’est autre qu’un enfant âgé de 8 ans, qui réussit à s’échapper dans la confusion. Le propriétaire présumé de la drogue, un homme de 33 ans, est quant à lui arrêté et placé en garde à vue.
Une révolte communautaire
Rapidement, la nouvelle de l’arrestation se propage et les habitants des villages concernés se mobilisent. Imams, notables et jeunes se rendent au poste pour réclamer la libération du suspect. Face au refus des policiers, la tension monte et les forces de l’ordre, en sous-effectif malgré l’appui de deux agents des Parcs nationaux, se retrouvent sous pression.
Une stratégie pour éviter l’affrontement
Afin d’éviter un affrontement violent, le commandement ordonne aux policiers de sécuriser la drogue dans un lieu secret, puis de relâcher provisoirement les personnes interpellées après identification et prise de photos, avec convocation prévue ultérieurement.
Acheminement sous haute surveillance
La cargaison est ensuite discrètement transportée par pirogue, avec l’appui des agents des Parcs nationaux, jusqu’au quai de Massarinko, où des renforts venus de Karang prennent le relais. Les 150 kilos de chanvre indien sont mis en sécurité, tandis que l’enquête se poursuit pour retrouver le propriétaire présumé et ses complices.
dakaractu
La 14e session de l’AMCOW s’est tenue à Dakar. Le maire Abass Fall appelle à une gouvernance décentralisée et solidaire de l’eau en Afrique.
La capitale sénégalaise a abrité ce lundi la 14e session ordinaire de l’Assemblée générale du Conseil des ministres africains chargés de l’eau (AMCOW). La cérémonie d’ouverture a été présidée par Cheikh Tidiane Dieye, ministre sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement, en présence de plusieurs responsables africains.
Le maire de Dakar, Abass Fall, a profité de l’occasion pour défendre une approche décentralisée de la gestion des ressources hydriques. Selon lui, « les collectivités territoriales se trouvent en première ligne face aux besoins quotidiens en eau et en assainissement ». Il a ainsi plaidé pour une gouvernance territoriale soutenue par des politiques nationales, afin de bâtir des sociétés plus justes, durables et résilientes.
L’édile dakarois a également mis en avant la nécessité d’une coopération renforcée entre États, tout en rappelant le rôle des grandes villes, à l’image de Dakar, dans la transformation de ce défi majeur en opportunité de solidarité et de développement durable.
Créé en 2002 par l’Union africaine, l’AMCOW se présente comme un cadre stratégique de concertation autour des politiques de l’eau sur le continent. La session de Dakar s’inscrit dans l’élaboration d’une vision africaine de l’eau à l’horizon 2063, en phase avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Elle constitue un moment clé pour définir des orientations capables d’assurer l’accès universel à l’eau et à l’assainissement dans les prochaines décennies.
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