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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
03/12/2025
Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
La 14e session de l’AMCOW s’est tenue à Dakar. Le maire Abass Fall appelle à une gouvernance décentralisée et solidaire de l’eau en Afrique.
La capitale sénégalaise a abrité ce lundi la 14e session ordinaire de l’Assemblée générale du Conseil des ministres africains chargés de l’eau (AMCOW). La cérémonie d’ouverture a été présidée par Cheikh Tidiane Dieye, ministre sénégalais de l’Hydraulique et de l’Assainissement, en présence de plusieurs responsables africains.
Le maire de Dakar, Abass Fall, a profité de l’occasion pour défendre une approche décentralisée de la gestion des ressources hydriques. Selon lui, « les collectivités territoriales se trouvent en première ligne face aux besoins quotidiens en eau et en assainissement ». Il a ainsi plaidé pour une gouvernance territoriale soutenue par des politiques nationales, afin de bâtir des sociétés plus justes, durables et résilientes.
L’édile dakarois a également mis en avant la nécessité d’une coopération renforcée entre États, tout en rappelant le rôle des grandes villes, à l’image de Dakar, dans la transformation de ce défi majeur en opportunité de solidarité et de développement durable.
Créé en 2002 par l’Union africaine, l’AMCOW se présente comme un cadre stratégique de concertation autour des politiques de l’eau sur le continent. La session de Dakar s’inscrit dans l’élaboration d’une vision africaine de l’eau à l’horizon 2063, en phase avec l’Agenda 2063 de l’Union africaine. Elle constitue un moment clé pour définir des orientations capables d’assurer l’accès universel à l’eau et à l’assainissement dans les prochaines décennies.
Le maire de Keur Massar Sud dénonce un manque de concertation lors de l’opération de désencombrement, affirmant que sa commune avait déjà engagé des actions et propose un plan de recasement pour les marchands ambulants.
À la suite de l’opération de désencombrement menée ce dimanche sous le pont de Keur Massar, le maire de la commune de Keur Massar Sud a exprimé ses vives réserves. Présent sur les lieux, il a regretté l’attitude de certains acteurs locaux : selon lui, l’annonce de la venue du ministre de l’Intérieur a poussé plusieurs responsables à se précipiter sur le terrain « pour faire semblant », alors que sa mairie avait déjà entamé ce travail depuis longtemps. Il accuse même ces mêmes acteurs d’avoir contribué par le passé à l’anarchie observée dans la zone.
Le maire insiste sur le fait que le déguerpissement n’est pas un problème en soi, mais qu’il nécessite un véritable suivi pour être efficace. Concernant les marchands ambulants affectés, il défend la mise en place d’un plan de recasement. « Nous avons déjà une solution en ce sens », affirme-t-il, tout en déplorant que sa commune n’ait pas été consultée. Il rappelle enfin que cette opération de déguerpissement était initialement prévue pour le 1er octobre prochain.
À Ndoulo, une coupure d’électricité paralyse le poste de santé depuis trois jours. Habitants et maire s’opposent sur la responsabilité du paiement des factures.
À Ndoulo, commune du département de Diourbel, des habitants ont manifesté vendredi pour dénoncer la coupure d’électricité qui paralyse depuis trois jours le poste de santé local. Ils imputent la situation au non-paiement de factures par la municipalité.
« Nous sommes réunis pour dénoncer la fermeture du poste de santé de Ndoulo à cause du non-paiement de deux factures d’électricité d’un montant global de plus de 300 000 francs CFA », a déclaré Dr Djily Mbaye, porte-parole des manifestants. Il a rappelé que, selon les textes en vigueur, le règlement des factures des structures sanitaires relève des collectivités territoriales, tout en soulignant que ce poste de santé couvre une cinquantaine de villages.
Réunis en sit-in devant les locaux, les habitants ont exigé le paiement immédiat des factures afin d’assurer la continuité des soins. Ils ont aussi interpellé les autorités pour pousser le maire à régler la situation. Awa Bèye, habitante de la commune, a critiqué le refus de la municipalité, depuis deux ans, d’accorder au poste de santé ses subventions pour l’achat de médicaments et de carburant.
Le maire de Ndoulo, Mamadou Kany Bèye, a rejeté ces accusations dans un entretien téléphonique avec l’APS. « Aucun décret ne stipule que les collectivités doivent payer les factures d’électricité des structures sanitaires », a-t-il affirmé, estimant que cette charge incombe au comité de développement sanitaire. Il a ajouté avoir déjà réglé personnellement une facture antérieure de plus d’un million de francs CFA.
aps
Visé par un mandat d’arrêt international, le journaliste Madiambal Diagne affirme depuis la France qu’il compte rentrer au Sénégal pour se présenter à la justice.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé, vendredi, avoir reçu notification d’un mandat d’arrêt international décerné contre Madiambal Diagne. Ce mandat a été délivré par le Président du Collège des juges d’instruction du pool judiciaire financier.
Le principal intéressé a réagi dès samedi. Sur son compte X, il a déclaré : « Je prends note de l’annonce d’un mandat d’arrêt international émis contre moi. Je rappelle que c’est moi-même qui ai informé de ma présence en France et de mon prochain retour au Sénégal ».
Le patron du Groupe Avenir Communication a ajouté qu’il entend revenir au pays pour répondre devant la justice : « J’affirme qu’avant l’exécution d’un tel mandat, je me présenterai à la justice de mon pays ».
seneweb
Le ministre Moussa Bala Fofana a visité la décharge de Mbeubeuss où se poursuit le projet de réhabilitation de 22 milliards F CFA, dont l’achèvement est prévu en juillet 2026.
Un projet de transformation d’envergure
Le ministre de l’Urbanisme, des Collectivités territoriales et de l’Aménagement du territoire, Moussa Bala Fofana, s’est rendu sur le site de Mbeubeuss pour constater l’avancement du projet de réhabilitation de la plus grande décharge du Sénégal.
D’un coût de 22 milliards de francs CFA, ce chantier concerne 40 hectares sur les 115 que couvre la décharge.
Travaux déjà réalisés
Les services techniques indiquent que :
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des opérations de terrassement, compactage et remodelage ont été engagées sur 25 hectares ;
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6,2 hectares font actuellement l’objet d’aménagements spécifiques avec la mise en forme du site, l’installation d’un centre de tri et de transfert et la construction d’une unité de compostage.
Vers une décharge modernisée
À terme, le site laissera place à un espace modernisé et végétalisé, doté d’un centre de traitement des déchets et de zones sportives.
La fin des travaux est prévue pour juillet 2026.
Un projet environnemental et social
Moussa Bala Fofana a rappelé que cette initiative s’inscrit dans une démarche de protection de l’environnement, d’amélioration du cadre de vie et d’éradication progressive des décharges nuisibles, en lien avec un plan de renouveau urbain autour du lac et des infrastructures collectives.
Face aux inquiétudes des récupérateurs de déchets, le ministre a assuré qu’ils seront prioritaires dans les emplois générés, grâce à un système plus organisé et structuré.
« Il ne s’agit pas seulement de transformer le site, mais aussi les mentalités pour accompagner le développement durable du Sénégal », a-t-il souligné.
En marge de la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU, le président Bassirou Diomaye Faye a échangé avec le Prince héritier du Koweït, Cheikh Sabah al-Khaled al-Sabah, sur le renforcement des relations bilatérales.
Une rencontre diplomatique à l’ONU
Le Président de la République, Bassirou Diomaye Faye, a eu ce jour un entretien avec Son Altesse Cheikh Sabah al-Khaled al-Sabah, Prince héritier du Koweït, en marge de la 80ᵉ session de l’Assemblée générale des Nations Unies.
Un partenariat fondé sur l’amitié et la coopération
Les échanges ont porté sur le raffermissement des liens d’amitié historique et de coopération entre le Sénégal et le Koweït. La rencontre s’est tenue dans un esprit de confiance et de solidarité, traduisant une volonté commune de consolider un partenariat bénéfique aux deux nations et à leurs peuples.
La Fédération nationale des associations d’écoles coraniques du Sénégal (FNAECS) et le ministère de l’Éducation ont organisé à Thiès un forum préparatoire aux assises nationales des daaras, axé sur la gouvernance, la modernisation et les conditions des maîtres coraniques.
Trois thématiques au cœur du forum
La Fédération nationale des associations d’écoles coraniques du Sénégal (FNAECS), en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, a tenu jeudi à Thiès un Forum national consacré aux problématiques des daaras, en prélude aux assises nationales du sous-secteur.
Selon Adama Seck, premier vice-président de la FNAECS, les échanges ont porté sur trois thématiques :
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la gouvernance des daaras,
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la modernisation et la refondation du système éducatif coranique,
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l’amélioration des conditions de vie et de travail des maîtres coraniques (serignes daaras).
Des difficultés récurrentes soulevées
Adama Seck a déploré les difficultés rencontrées lors de la Journée nationale des daaras organisée chaque année par le ministère. Il a notamment pointé les problèmes d’hébergement et de restauration pour les maîtres venant de l’intérieur du pays, souvent laissés pour compte pendant et après l’événement.
Le forum ambitionne de proposer des solutions durables à ces préoccupations. Les recommandations issues des débats seront transmises aux autorités compétentes, à commencer par le ministre de l’Éducation nationale.
Une étape clé vers les assises nationales
De son côté, Babacar Samb, directeur des daaras au ministère, a souligné l’importance de ce forum, organisé à la veille du lancement des phases départementales des assises nationales prévues le 25 septembre.
L’objectif, selon les organisateurs, est de réfléchir collectivement sur les enjeux et les perspectives liés aux daaras, afin d’intégrer les conclusions dans le cadre plus large des assises et d’en transmettre les rapports à la présidence de la République.
À la tribune de l’ONU, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a dénoncé la catastrophe humanitaire en Palestine et appelé à un multilatéralisme plus juste pour une paix durable.
Un discours engagé à l’ONU
Devant l’Assemblée générale des Nations Unies, le président du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, a livré un message fort en dénonçant avec gravité la situation humanitaire en Palestine, en particulier à Gaza.
« Gaza, terre de larmes »
Ému, il a décrit la bande de Gaza comme une « prison à ciel ouvert », devenue un enfer pour des millions d’âmes, victimes de larmes, de sang et de souffrance.
Appel pour un État palestinien
Réaffirmant la position constante du Sénégal, le chef de l’État a condamné les violences et rappelé que la seule voie vers une paix durable reste la création d’un État palestinien indépendant et viable. En tant que président du Comité pour l’exercice des droits inaliénables du peuple palestinien, il a insisté sur la responsabilité morale et politique de la communauté internationale.
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