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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
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Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
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16/11/2025
Société sur Thies info
Pendant deux ans, un homme a terrorisé les habitants de Keur Massar. P. M. Cissé, 47 ans, marié et père de quatre enfants, ancien émigré devenu chauffeur de taxi clandestin, est aujourd’hui jugé en chambre criminelle pour une série d’agressions sexuelles d’une violence glaçante. Le parquet requiert 20 ans de réclusion criminelle à son encontre.
Une femme seule, tôt le matin.
Une course en taxi clandestin qui semblait anodine.
Une déviation vers la forêt de Mbao ou les champs « Tolou Ablaye Wade ».
L’usage d’un couteau.
Un viol ou une tentative.
Le vol systématique des effets personnels, puis la fuite dans les fourrés.
Toutes les victimes décrivent le même mode opératoire, laissant penser à un prédateur méthodique.
L’étudiante qui déclenche l’enquête
L’affaire éclate en février 2019 avec R. Diédhiou, étudiante retrouvée en pleine brousse après un viol. Une passante lui tend 500 FCFA pour rentrer chez elle. L’examen gynécologique confirme le rapport imposé sous contrainte. Sa plainte déclenche une enquête qui fera remonter d’autres victimes :
N. M. Ndiaye, violée le 5 février.
T. Dabo, agressée six mois plus tôt.
F. Thiaw, d’abord convaincue d’un braquage.
Ramatoulaye, dont le témoignage permettra d’identifier le taxi et le prédateur.
Preuves accablantes
La perquisition dans la maison de Cissé révèle un arsenal inquiétant :
Un long couteau.
Deux téléphones portables.
Un tapis mousseux.
Un jouet en forme de cheval.
La paire de chaussures d’une victime, pièce à conviction décisive.
Toutes les victimes identifient sans hésitation le véhicule et l’homme.
Des aveux partiels puis complets
D’abord dans le déni, Cissé finit par avouer :
« J’en ai commis plusieurs, je ne sais plus combien… Peut-être sept ou huit mois. Toutes étaient majeures. Je les emmenais dans la forêt. Personne ne pouvait nous voir. »
Il reconnaît aussi voler systématiquement les victimes et garder certains objets comme “trophées”.
À la barre : déni et contradictions
Face aux juges, Cissé tente de minimiser ses actes : il évoque des problèmes de santé, nie l’usage du couteau, affirme que les femmes sollicitaient les courses et se contredit à plusieurs reprises. Pourtant, les témoignages concordants et les preuves matérielles confirment la gravité des faits.
Le procureur : « un prédateur méthodique »
Pour le ministère public, le dossier est accablant : récits identiques, certificats médicaux, objets saisis, aveux, identifications sans hésitation. Le procureur décrit Cissé comme « un maniaque sexuel méthodique, un prédateur qui a brisé des vies », et requiert 20 ans de réclusion criminelle. La défense invoque des troubles psychologiques, mais peine à convaincre.
Le tribunal correctionnel de Mbour a décidé de renvoyer au 5 janvier 2026 le jugement de l’affaire impliquant Ch. Anne, un maçon accusé de tentative de viol sur une fillette de 10 ans. Le prévenu, qui a déjà passé quatre ans en détention à la Maison d’arrêt et de correction de Mbour, risque une peine pouvant aller jusqu’à 10 ans de prison ferme.
Les faits se sont déroulés en 2021, dans la commune de Thiadiaye. Selon l’accusation, Ch. Anne aurait intercepté la jeune Y. Seck alors qu’elle rentrait de l’école. Profitant de l’isolement des ruelles, il l’aurait retenue de force.
Le prévenu l’aurait ensuite emmenée à son domicile, où il a tenté un acte répréhensible. Les parents de la fillette, alertés par un voisin, sont intervenus à temps. La fillette a été prise en charge médicalement et une plainte a été déposée à la gendarmerie de Thiadiaye.
Lors de l’enquête, Ch. Anne avait initialement reconnu les faits et exprimé des regrets. Malgré la médiation familiale, il avait été déféré au parquet et placé sous mandat de dépôt.
Présenté devant le tribunal le 1er décembre 2025, le prévenu a toutefois nié les faits qui lui étaient reprochés et contesté les tentatives de réconciliation évoquées par ses proches, créant une forte tension dans la salle d’audience.
Le procureur de la République a requis 10 ans de prison ferme, en s’appuyant sur les aveux initiaux, le témoignage du voisin et les constats médicaux.
En attendant le prononcé du jugement le 5 janvier 2026, Ch. Anne restera en détention préventive.
Une affaire judiciaire impliquant un mineur suscite l’attention à Mbacké. Un photographe domicilié au quartier Mbacké-Khewar a été placé sous mandat de dépôt après qu’un jeune élève coranique de 13 ans a déposé plainte pour des faits contraires à la loi.
Selon les informations recueillies par les enquêteurs, le garçon affirme s’être rendu au domicile du mis en cause pour solliciter une aide alimentaire. Il soutient alors avoir été entraîné dans une situation portant atteinte à son intégrité.
Le père du mineur, alerté par son enfant, a immédiatement saisi les autorités compétentes.
Une procédure a été ouverte et des éléments matériels ont été saisis à titre de pièces à conviction. L’exploitation du téléphone du suspect aurait également mis en évidence des échanges jugés sensibles.
Le mis en cause, entendu par les enquêteurs, conteste les accusations mais reconnaît avoir reçu le jeune garçon afin de lui remettre une pièce de 100 FCFA et des vêtements.
À la suite de son audition, il a été conduit en détention provisoire dans l’attente de la suite de la procédure. Le mineur, quant à lui, a bénéficié d’une prise en charge médicale conformément aux pratiques en vigueur.
L’affaire suit actuellement son cours au niveau du Commissariat urbain de Mbacké. Les autorités rappellent que l’enquête se poursuit et que la présomption d’innocence demeure jusqu’au jugement définitif.
Reconnu coupable de collecte illicite de données et de diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, le barman J. Mané a été condamné à deux ans de prison, dont trois mois ferme, et à une amende de 100 000 F CFA. Il devra également verser 250 000 F CFA de dommages et intérêts à son ancienne cliente, S. Gomez.
Selon Le Soleil, qui a assisté à l’audience devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, l’affaire reposait sur deux versions radicalement opposées. La plaignante, S. Gomez, a affirmé que J. Mané l’avait harcelée sexuellement pendant plusieurs mois. Après avoir été rejeté, il aurait accédé à son téléphone pour s’envoyer des photos intimes, qu’il aurait ensuite transmises à son petit ami, C. A. Bassène.
Le barman, lui, soutenait que c’était S. Gomez qui le harcelait et qu’elle avait même provoqué son divorce. Lassé, il aurait transmis les photos à C. A. Bassène pour lui « prouver que sa compagne n’était pas digne de confiance ».
Entendu comme témoin, C. A. Bassène a confirmé avoir bien reçu les clichés intimes de sa compagne de la part du barman.
La défense avait réclamé l’acquittement sur le chef de collecte illicite, arguant que S. Gomez aurait elle-même envoyé les images, et demandait une application clémente de la loi.
Selon des informations rapportées à Seneweb, il a été placé en garde à vue pour une escroquerie portant sur 400 000 francs CFA. Âgé de 53 ans et domicilié à Hamo 3, le responsable politique doit être déféré ce mardi au Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye, sauf changement de dernière minute.
Une affaire partie d’un contrat de location
La procédure a été déclenchée suite à la plainte d’une dame répondant aux initiales T. Camara.
Cette dernière affirme avoir versé 400 000 F CFA à Bougazelli en septembre 2025 dans le cadre de la location d’un appartement.
Pourtant, malgré l’encaissement du montant, aucun logement ne lui a été remis.
Désespérée, la locataire lésée révèle que cette situation lui a causé un important préjudice :
elle dit avoir déménagé ses enfants dans une école située près du domicile de l’agent immobilier, convaincue qu’elle prendrait possession du bien dans les plus brefs délais.
Un retour médiatique sous tension
Cette arrestation intervient à un moment délicat pour Bougazelli, dont le nom reste associé à de lourds soupçons judiciaires depuis l’affaire du faux monnayage. Une réalité qui questionne autour de la récurrence des démêlés de l’ancien parlementaire avec la loi.
La suite se jouera désormais devant la justice, qui décidera de son sort dans ce nouveau dossier d’escroquerie immobilière.
Selon nos sources, il a été placé en garde à vue pour une escroquerie portant sur 400 000 francs CFA. Âgé de 53 ans et domicilié à Hamo 3, le responsable politique doit être déféré ce mardi au Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye, sauf changement de dernière minute.
La procédure a été déclenchée suite à la plainte d’une dame répondant aux initiales T. Camara.
Cette dernière affirme avoir versé 400 000 F CFA à Bougazelli en septembre 2025 dans le cadre de la location d’un appartement.
Pourtant, malgré l’encaissement du montant, aucun logement ne lui a été remis.
Désespérée, la locataire lésée révèle que cette situation lui a causé un important préjudice :
elle dit avoir déménagé ses enfants dans une école située près du domicile de l’agent immobilier, convaincue qu’elle prendrait possession du bien dans les plus brefs délais.
Cette arrestation intervient à un moment délicat pour Bougazelli, dont le nom reste associé à de lourds soupçons judiciaires depuis l’affaire du faux monnayage. Une réalité qui questionne autour de la récurrence des démêlés de l’ancien parlementaire avec la loi.
La suite se jouera désormais devant la justice, qui décidera de son sort dans ce nouveau dossier d’escroquerie immobilière.
Tout commence quand I. D., un charlatan né en 1962, se présente à la brigade de Diourbel. Il signale le vol de deux téléphones portables et d’une somme d’argent. Une plainte ordinaire… en apparence.
Sur instruction de l’adjudant-chef Diop, une réquisition est aussitôt déclenchée. Trois receveurs sont interpellés, puis leurs déclarations mènent les gendarmes vers F. N., 20 ans. Le jeune homme, pris dans l’étau, reconnaît le vol sans hésiter.
Mais l’histoire ne fait que commencer.
Lors de son audition, F.N lâche une bombe : il révèle l’existence d’un réseau criminel structuré, très actif dans la région de Diourbel. Il fournit aux enquêteurs des noms, des détails précis, et même des informations sensibles sur l’organisation.
Dans le viseur des enquêteurs : 18 suspects déjà arrêtés, selon des sources très fiables :
3 pour recel
15 pour leur implication présumée dans le réseau, dont plusieurs ressortissants gambiens
Les investigations montrent une bande de jeunes âgés de 17 à 25 ans, bien organisée, avec de surprenantes ramifications. Des personnalités influentes de Diourbel seraient même dans l’ombre de cette affaire explosive.
La première vague de mis en cause a déjà été déférée au parquet.
Mais l’enquête, elle, continue. Et tout indique que de nouveaux rebondissements viendront encore secouer Diourbel…
Tout commence quand I. D., un charlatan né en 1962, se présente à la brigade de Diourbel. Il signale le vol de deux téléphones portables et d’une somme d’argent. Une plainte ordinaire… en apparence.
Sur instruction de l’adjudant-chef Diop, une réquisition est aussitôt déclenchée. Trois receveurs sont interpellés, puis leurs déclarations mènent les gendarmes vers F. N., 20 ans. Le jeune homme, pris dans l’étau, reconnaît le vol sans hésiter.
Mais l’histoire ne fait que commencer.
Lors de son audition, F.N lâche une bombe : il révèle l’existence d’un réseau criminel structuré, très actif dans la région de Diourbel. Il fournit aux enquêteurs des noms, des détails précis, et même des informations sensibles sur l’organisation.
Dans le viseur des enquêteurs : 18 suspects déjà arrêtés, selon des sources très fiables :
3 pour recel
15 pour leur implication présumée dans le réseau, dont plusieurs ressortissants gambiens
Les investigations montrent une bande de jeunes âgés de 17 à 25 ans, bien organisée, avec de surprenantes ramifications. Des personnalités influentes de Diourbel seraient même dans l’ombre de cette affaire explosive.
La première vague de mis en cause a déjà été déférée au parquet.
Mais l’enquête, elle, continue. Et tout indique que de nouveaux rebondissements viendront encore secouer Diourbel…
Selon les premiers éléments, tout serait parti d’un différend sur la prise en charge d’un passager. Les mots auraient rapidement laissé place aux coups, obligeant leurs pairs à intervenir pour séparer les deux hommes, en plein cœur de leur lieu de travail.
Plainte contre plainte
Loin de vouloir apaiser les tensions après coup, chacun des deux chauffeurs a décidé de porter plainte. Ils se sont mutuellement accusés de violences volontaires et de voies de fait, entraînant leur interpellation puis leur défèrement devant le tribunal d’instance de Thiès.
Inculpés pour violences réciproques, ils ont tous deux reconnu les faits lors de leur audience. G. Mbaye comme E. Fall ont manifesté des regrets et plaidé pour la clémence du tribunal, évoquant un moment d’égarement et la pression quotidienne que connaît leur profession.
Le procureur réclame l’application de la loi
Le représentant du ministère public a, de son côté, estimé que les éléments du dossier ne laissaient aucun doute sur leur responsabilité. Il a ainsi requis une application stricte de la loi, considérant qu’aucune circonstance ne justifiait de tels comportements dans un cadre professionnel.
Le tribunal a pris l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 8 décembre 2025, une décision qui pourrait servir de rappel à l’ordre dans un secteur régulièrement confronté à des tensions liées à la concurrence et à la précarité.
Selon les premiers éléments, tout serait parti d’un différend sur la prise en charge d’un passager. Les mots auraient rapidement laissé place aux coups, obligeant leurs pairs à intervenir pour séparer les deux hommes, en plein cœur de leur lieu de travail.
Plainte contre plainte
Loin de vouloir apaiser les tensions après coup, chacun des deux chauffeurs a décidé de porter plainte. Ils se sont mutuellement accusés de violences volontaires et de voies de fait, entraînant leur interpellation puis leur défèrement devant le tribunal d’instance de Thiès.
Inculpés pour violences réciproques, ils ont tous deux reconnu les faits lors de leur audience. G. Mbaye comme E. Fall ont manifesté des regrets et plaidé pour la clémence du tribunal, évoquant un moment d’égarement et la pression quotidienne que connaît leur profession.
Le procureur réclame l’application de la loi
Le représentant du ministère public a, de son côté, estimé que les éléments du dossier ne laissaient aucun doute sur leur responsabilité. Il a ainsi requis une application stricte de la loi, considérant qu’aucune circonstance ne justifiait de tels comportements dans un cadre professionnel.
Le tribunal a pris l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 8 décembre 2025, une décision qui pourrait servir de rappel à l’ordre dans un secteur régulièrement confronté à des tensions liées à la concurrence et à la précarité.
Une enquête sur une vaste fraude à l’état-civil a été ouverte après un signalement de la Direction de l’automatisation des fichiers (DAF). Au centre du dossier : une académie de football basée à Thiès.
Tout est parti de la découverte de cinq extraits de naissance falsifiés. Ces documents auraient été fabriqués dans une commune du sud du pays, au profit de pensionnaires de l’académie. Alertée par ces irrégularités, la DAF a saisi la Sûreté urbaine, qui a immédiatement déclenché des investigations.
Interpellations et garde à vue
Les bénéficiaires des faux documents ont été arrêtés.
Un dirigeant de l’académie, ainsi que trois personnes travaillant avec lui, ont également été interpellés et placés en garde à vue afin de déterminer leur niveau d’implication dans la fraude.
Ce responsable a assuré aux enquêteurs qu’il ne gérait pas les formalités administratives des jeunes joueurs, une tâche qui relèverait selon lui du directeur de l’établissement.
Un phénomène à surveiller
Cette affaire survient dans un contexte où plusieurs cas de falsification d’actes d’état-civil ont déjà été signalés dans le pays. Outre les risques de manipulation d’âge dans le domaine sportif, de telles pratiques peuvent entraîner de graves conséquences : questions de nationalité, accès aux droits, scolarisation ou déplacements internationaux.
L’enquête se poursuit
Les autorités cherchent désormais à déterminer :
Qui a fabriqué les documents falsifiés ?
Comment ces actes ont pu être validés ?
Dans quel but la fraude a été organisée ?
Les responsabilités exactes devraient être connues à l’issue des auditions et des vérifications administratives.
Une affaire qui pourrait révéler un réseau de fraude plus large et qui reste, pour l’heure, suivie avec la plus grande attention par les services compétents.
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