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Les recherches engagées depuis dimanche soir pour retrouver le corps d’un garçon de 12 ans, noyé dans un bassin de rétention d’eaux pluviales à Mont-Rolland (ouest), se poursuivaient encore lundi matin, sans succès.

Le drame s’est produit dimanche vers 19 heures. L’adolescent, qui se baignait avec des camarades, a été happé par les eaux. Alertés, les sapeurs-pompiers de Thiès et les éléments de la gendarmerie de Notto se sont aussitôt rendus sur place. Malgré plusieurs heures de fouilles, le corps n’avait pas encore été retrouvé lundi matin.
“Nous avons mobilisé des équipes de secours et fouillé le bassin jusqu’à la tombée de la nuit, mais nos efforts n’ont pas encore permis de localiser l’enfant”, a confié un responsable local.
Prières et recueillement
La nouvelle a plongé Mont-Rolland dans la consternation. Des veillées et prières ont été organisées par les habitants pour soutenir la famille de la victime et implorer la grâce divine. L’émotion reste vive dans la commune, où chacun exprime sa solidarité face à cette tragédie.
Des bassins dangereux mais vitaux
Ce drame met en lumière les risques que représentent les bassins de rétention et mares, devenus des lieux de baignade pour de nombreux jeunes, surtout en période de forte chaleur. En l’absence de surveillance, ces espaces peuvent se transformer en pièges mortels.
Des habitants témoignent avoir évité de justesse plusieurs noyades ces dernières années. “Il faut sensibiliser les familles et les communautés pour que ces espaces, indispensables à l’irrigation, ne deviennent pas des lieux de mort”, souligne l’un d’eux.
Face à ces incidents, les appels à sécuriser ces zones se multiplient : clôtures, panneaux de mise en garde, surveillance et éducation des enfants sont autant de mesures nécessaires pour prévenir de nouveaux drames.
Les opérations de recherche se poursuivent, alors que Mont-Rolland retient son souffle dans l’attente de nouvelles sur le sort du jeune garçon.
Lundi 18 Août 2025 | Lat Soukabé Fall
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À Darou Salam, un quartier populaire de Thiès, une maison intrigue et effraie. Depuis plusieurs mois, ses habitants affirment vivre un phénomène surnaturel : des incendies éclatent sans explication.

« Tous nos biens brûlent et on ignore toujours la cause », raconte Abou Sy, chef de famille, visiblement épuisé. L’homme se souvient d’un épisode glaçant : « Le père de famille a pris feu, un jour ici. »
Sa sœur, Fatou Sy, confirme le quotidien infernal : « Les djinns parfois brûlent nos habits. On est très fatigués, les chambres brûlent sans cause palpable. »
La liste des pertes est longue et douloureuse. Abib Sy, un autre membre de la famille, ajoute d’une voix résignée :
« On a tous perdu, même des voitures. »
Ces récits, mêlant peur et désespoir, nourrissent les rumeurs dans le quartier. Les voisins parlent de djinns, d’esprits malveillants, voire d’une malédiction. Mais aucune expertise technique n’a encore été menée pour expliquer l’origine des flammes.
En attendant, la famille vit dans l’angoisse permanente, oscillant entre croyances mystiques et attente d’une aide concrète. À Darou Salam, l’affaire alimente les discussions et laisse planer une question lancinante : malédiction ou phénomène scientifique inexpliqué ?
C’était une opération discrète, menée comme une traque de film noir. Depuis plusieurs jours, les enquêteurs de la Sûreté urbaine (SU) de Dakar surveillaient un appartement ordinaire situé à Ouakam. Derrière cette porte banale se cachait un réseau bien huilé de prostitution en ligne, mêlant jeunes femmes, annonces Facebook, et une logistique digne d’une petite entreprise.

Tout est parti de publications explicites sur le réseau social : photos obscènes, propositions directes, numéros de téléphone à l’appui. Le tarif était clair : 5 000 F CFA pour “un coup”, fixé comme on annoncerait une promo sur un marché virtuel.
En creusant, les policiers sont rapidement remontés à la tête du réseau : Rouguiatou Barry, la « patronne ». C’est elle qui avait recruté trois jeunes femmes, Doussou Guirassy, Marème Kandji et Fatou Diatié, pour assurer les prestations. Le deal était précis : 60 000 F CFA par semaine pour chacune des filles. Fatou Diatié, elle, avait une mission particulière : standardiste. C’est elle qui décrochait les appels des clients, organisait les rendez-vous, et encaissait 40 000 F CFA par mois pour ce rôle.
Le jour de la descente, l’équipe de la SU a découvert dans l’appartement :
des dizaines de préservatifs usagés,
dix boîtes neuves encore scellées,
14 téléphones portables utilisés pour gérer les contacts et planifier les rencontres.
Les quatre femmes ont été déférées au parquet pour proxénétisme, incitation à la débauche, outrage public à la pudeur, et diffusion d’images à caractère pornographique. Un coup de filet qui met en lumière une nouvelle réalité : la prostitution au Sénégal se digitalise, s’organise et se déplace sur les réseaux sociaux, brouillant les frontières entre le virtuel et la rue.
En creusant, les policiers sont rapidement remontés à la tête du réseau : Rouguiatou Barry, la « patronne ». C’est elle qui avait recruté trois jeunes femmes, Doussou Guirassy, Marème Kandji et Fatou Diatié, pour assurer les prestations. Le deal était précis : 60 000 F CFA par semaine pour chacune des filles. Fatou Diatié, elle, avait une mission particulière : standardiste. C’est elle qui décrochait les appels des clients, organisait les rendez-vous, et encaissait 40 000 F CFA par mois pour ce rôle.
Le jour de la descente, l’équipe de la SU a découvert dans l’appartement :
des dizaines de préservatifs usagés,
dix boîtes neuves encore scellées,
14 téléphones portables utilisés pour gérer les contacts et planifier les rencontres.
Les quatre femmes ont été déférées au parquet pour proxénétisme, incitation à la débauche, outrage public à la pudeur, et diffusion d’images à caractère pornographique. Un coup de filet qui met en lumière une nouvelle réalité : la prostitution au Sénégal se digitalise, s’organise et se déplace sur les réseaux sociaux, brouillant les frontières entre le virtuel et la rue.
Un crime d’une rare violence a secoué le village de Sinthiou Ngoye, dans la commune de Maka Colibantang (Tambacounda).
Dimanche dernier, Sankoum Diop, récemment rapatrié d’Italie et souffrant de troubles psychiatriques, a porté un coup fatal de hache à son petit frère consanguin âgé de seulement 4 ans

Selon les premiers éléments, le drame s’est produit devant la demeure familiale, en l’absence des autres membres de la famille, qui se trouvaient à l’intérieur de la maison. Profitant de ce moment, le jeune homme s’est saisi de l’arme et a frappé l’enfant, qui est décédé sur le coup.
Alertés, les gendarmes de la brigade de Maka Colibantang se sont immédiatement rendus sur les lieux, mais n’ont pu que constater le décès. Le corps de la victime a été transporté par les sapeurs-pompiers à la morgue du centre hospitalier régional de Tambacounda, en vue d’une autopsie.
L’auteur présumé, qui n’a ni tenté de fuir ni opposé de résistance, a été interpellé et placé en garde à vue avant d’être déféré ce mardi au parquet.
Des sources proches de l’enquête indiquent que Sankoum Diop avait déjà été interné au centre psychiatrique de Djinkoré, situé à 7 km de Tambacounda. Sa prise en charge psychiatrique antérieure n’aura malheureusement pas empêché la tragédie.
Alertés, les gendarmes de la brigade de Maka Colibantang se sont immédiatement rendus sur les lieux, mais n’ont pu que constater le décès. Le corps de la victime a été transporté par les sapeurs-pompiers à la morgue du centre hospitalier régional de Tambacounda, en vue d’une autopsie.
L’auteur présumé, qui n’a ni tenté de fuir ni opposé de résistance, a été interpellé et placé en garde à vue avant d’être déféré ce mardi au parquet.
Des sources proches de l’enquête indiquent que Sankoum Diop avait déjà été interné au centre psychiatrique de Djinkoré, situé à 7 km de Tambacounda. Sa prise en charge psychiatrique antérieure n’aura malheureusement pas empêché la tragédie.
À chaque saison des pluies, dans plusieurs quartiers de Thiès, une pratique aussi ancienne que risquée refait surface : certains habitants profitent des fortes averses pour vider leurs fosses septiques directement dans la rue ou dans les caniveaux.

Sous prétexte que l’eau de pluie « emportera tout », ces déversements libèrent des eaux chargées de matières fécales et de bactéries, contaminant l’environnement immédiat. Les flaques stagnantes deviennent alors des foyers idéaux pour la prolifération des moustiques, aggravant les risques de paludisme et de dengue. Pire encore, le ruissellement transporte ces eaux souillées vers les nappes phréatiques, exposant les populations à des maladies hydriques comme le choléra ou la typhoïde.
Au-delà de l’incivisme, c’est l’absence de contrôle et de gestion efficace des eaux usées qui alimente ce phénomène. Faute de services d’assainissement accessibles et abordables, certaines familles considèrent encore cette méthode comme « pratique » et « gratuite », ignorant ou minimisant ses conséquences sanitaires.
Les autorités municipales et les services d’hygiène tirent régulièrement la sonnette d’alarme, mais les campagnes de sensibilisation restent insuffisantes. Une politique ferme combinant éducation citoyenne, renforcement de l’assainissement public et sanctions pourrait inverser la tendance.
En attendant, chaque pluie devient non seulement un soulagement pour les cultures, mais aussi une menace invisible qui se répand dans les rues de Thiès.
Au-delà de l’incivisme, c’est l’absence de contrôle et de gestion efficace des eaux usées qui alimente ce phénomène. Faute de services d’assainissement accessibles et abordables, certaines familles considèrent encore cette méthode comme « pratique » et « gratuite », ignorant ou minimisant ses conséquences sanitaires.
Les autorités municipales et les services d’hygiène tirent régulièrement la sonnette d’alarme, mais les campagnes de sensibilisation restent insuffisantes. Une politique ferme combinant éducation citoyenne, renforcement de l’assainissement public et sanctions pourrait inverser la tendance.
En attendant, chaque pluie devient non seulement un soulagement pour les cultures, mais aussi une menace invisible qui se répand dans les rues de Thiès.
Un drame s’est produit ce vendredi 8 août 2025, en pleine mi-journée, sur la route des Niayes, à hauteur du village de Ngadiaga, dans la commune de Notto-Gouye-Diama (département de Tivaouane), à proximité de l’échangeur de l’autoroute à péage Dakar–Tivaouane–Saint-Louis, un axe réputé dangereux et très fréquenté.

La victime, un cultivateur d’une quarantaine d’années, domicilié à Beureup Ba, marié et père d’un enfant, a été mortellement percutée par un camion-citerne transportant du carburant pour le compte des Industries Chimiques du Sénégal (ICS). Le choc, d’une extrême violence, ne lui a laissé aucune chance : il est décédé sur le coup.
Alertés, les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps sans vie à la morgue du centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguène de Thiès, après les constatations effectuées par la brigade de gendarmerie de Notto-Gouye-Diama.
Le chauffeur du poids lourd a été interpellé et placé en garde à vue. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce nouvel accident sur cet axe meurtrier.
Alertés, les sapeurs-pompiers ont acheminé le corps sans vie à la morgue du centre hospitalier régional Ahmadou Sakhir Ndiéguène de Thiès, après les constatations effectuées par la brigade de gendarmerie de Notto-Gouye-Diama.
Le chauffeur du poids lourd a été interpellé et placé en garde à vue. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce nouvel accident sur cet axe meurtrier.
Pour Siméon Gomis, rien ne justifie que l'on s’en prenne à sa femme, même dans une banale dispute de voisinage. Mais sa réaction a franchi toutes les limites.

Les faits remontent au 21 juillet dernier à Saly Portudal. Ce jour-là, une vive altercation éclate entre son épouse et la voisine, Amy Collé Sarr, autour d’une affaire de jouets d’enfants. Au lieu d’apaiser les tensions, Siméon Gomis s’invite brutalement dans la dispute… et s’en prend violemment à Amy Collé.
Selon le rapport médical présenté devant le tribunal, la victime souffrait de blessures sérieuses nécessitant 15 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). C’est munie de ce certificat et soutenue par sa plainte déposée au commissariat urbain de Saly, qu’elle a obtenu justice.
Jugé ce mardi au tribunal de grande instance de Mbour, Siméon Gomis a été sévèrement taclé par le procureur de la République, qui l’a qualifié d’"irresponsable". Il a été reconnu coupable de violences volontaires aggravées et condamné à six mois de prison ferme.
Un verdict qui résonne comme un avertissement à tous ceux qui croient pouvoir régler les conflits domestiques par la violence.
Selon le rapport médical présenté devant le tribunal, la victime souffrait de blessures sérieuses nécessitant 15 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). C’est munie de ce certificat et soutenue par sa plainte déposée au commissariat urbain de Saly, qu’elle a obtenu justice.
Jugé ce mardi au tribunal de grande instance de Mbour, Siméon Gomis a été sévèrement taclé par le procureur de la République, qui l’a qualifié d’"irresponsable". Il a été reconnu coupable de violences volontaires aggravées et condamné à six mois de prison ferme.
Un verdict qui résonne comme un avertissement à tous ceux qui croient pouvoir régler les conflits domestiques par la violence.
Jugés à Mbour après une soirée de débauche, huit jeunes connaîtront des lendemains bien différents.

Ce mardi, le tribunal de grande instance de Mbour a tranché dans une affaire aussi troublante que révélatrice. Huit jeunes, quatre garçons et quatre filles, âgés de moins de 21 ans en moyenne, ont comparu pour usage et détention de drogue. À la clé : des peines de prison pour les hommes et une relaxe totale pour leurs compagnes.
Les faits remontent à un week-end du mois de juillet, dans une résidence cossue de Saly. Les huit jeunes avaient loué un appartement pour “faire la fête”. Selon les éléments recueillis par L’Observateur, la soirée a rapidement viré au chemsex – une pratique consistant à consommer drogues et alcool en grande quantité pour intensifier les rapports sexuels.
Alertée par les voisins, excédés par le vacarme et les comportements suspects, la police du commissariat urbain de Saly a fait irruption dans l'appartement. Sur place : un véritable chaos. Des restes de cocaïne et de chanvre indien ont été saisis.
Une défense bien rodée, un verdict inégal
Devant le juge, les quatre jeunes filles – M. Fall, B. Leclercq, M.D. Mbaye et B. Badji – ont adopté une ligne de défense commune : tout appartenait à leurs compagnons. Elles auraient uniquement été présentes sans toucher aux substances interdites.
Le tribunal a suivi leur version. Elles ont été relaxées. En revanche, leurs partenaires – P. Guèye, Th. Ndao, A. Babou et O. Cissé – ont écopé de peines allant de 15 jours à un mois de prison ferme, pour détention et usage de drogue.
Entre insouciance, excès et justice à deux vitesses ?
Ce verdict a suscité de vives réactions, tant sur les réseaux sociaux que dans les milieux judiciaires. Certains y voient une justice à deux vitesses, d'autres une conséquence logique du manque de preuves contre les jeunes femmes.
Mais au-delà des condamnations, cette affaire met surtout en lumière une réalité préoccupante : la banalisation des drogues dures dans certains cercles juvéniles, et l’émergence de pratiques à haut risque dans des lieux pourtant touristiques comme Saly.
Un signal d’alarme pour la jeunesse sénégalaise ?
Avec cette affaire, un tabou est brisé. Le chemsex, encore marginal au Sénégal, semble gagner du terrain. Il interpelle sur la santé mentale et sexuelle des jeunes, mais aussi sur la nécessité d’un accompagnement préventif, tant familial que sociétal.
Les autorités doivent-elles renforcer les contrôles dans les zones balnéaires ? Les établissements scolaires doivent-ils intégrer l’éducation sur les risques liés aux drogues et aux addictions sexuelles ? Autant de questions qu’il devient urgent de poser.
Les faits remontent à un week-end du mois de juillet, dans une résidence cossue de Saly. Les huit jeunes avaient loué un appartement pour “faire la fête”. Selon les éléments recueillis par L’Observateur, la soirée a rapidement viré au chemsex – une pratique consistant à consommer drogues et alcool en grande quantité pour intensifier les rapports sexuels.
Alertée par les voisins, excédés par le vacarme et les comportements suspects, la police du commissariat urbain de Saly a fait irruption dans l'appartement. Sur place : un véritable chaos. Des restes de cocaïne et de chanvre indien ont été saisis.
Une défense bien rodée, un verdict inégal
Devant le juge, les quatre jeunes filles – M. Fall, B. Leclercq, M.D. Mbaye et B. Badji – ont adopté une ligne de défense commune : tout appartenait à leurs compagnons. Elles auraient uniquement été présentes sans toucher aux substances interdites.
Le tribunal a suivi leur version. Elles ont été relaxées. En revanche, leurs partenaires – P. Guèye, Th. Ndao, A. Babou et O. Cissé – ont écopé de peines allant de 15 jours à un mois de prison ferme, pour détention et usage de drogue.
Entre insouciance, excès et justice à deux vitesses ?
Ce verdict a suscité de vives réactions, tant sur les réseaux sociaux que dans les milieux judiciaires. Certains y voient une justice à deux vitesses, d'autres une conséquence logique du manque de preuves contre les jeunes femmes.
Mais au-delà des condamnations, cette affaire met surtout en lumière une réalité préoccupante : la banalisation des drogues dures dans certains cercles juvéniles, et l’émergence de pratiques à haut risque dans des lieux pourtant touristiques comme Saly.
Un signal d’alarme pour la jeunesse sénégalaise ?
Avec cette affaire, un tabou est brisé. Le chemsex, encore marginal au Sénégal, semble gagner du terrain. Il interpelle sur la santé mentale et sexuelle des jeunes, mais aussi sur la nécessité d’un accompagnement préventif, tant familial que sociétal.
Les autorités doivent-elles renforcer les contrôles dans les zones balnéaires ? Les établissements scolaires doivent-ils intégrer l’éducation sur les risques liés aux drogues et aux addictions sexuelles ? Autant de questions qu’il devient urgent de poser.
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