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Société sur Thies info
L’horreur s’est invitée, ce mercredi, dans le quartier populaire de Thially à Thiès. Alors que les habitants se préparaient à célébrer un baptême dans une ambiance joyeuse, une découverte macabre est venue bouleverser la fête : un nouveau-né, encore en vie mais en état critique, a été retrouvé emballé dans un sachet plastique noir et déposé devant la maison où devait se tenir la cérémonie.
Selon des témoins interrogés, c’est une femme du voisinage qui a fait la macabre découverte aux environs de 14 h . « Je traversais quand j’ai vu un sachet bouger légèrement. En m’approchant, j’ai entendu un petit cri étouffé… », raconte-t-elle encore sous le choc.
Alertés, les habitants du quartier ont immédiatement interrompu le baptême pour porter secours au nourrisson. L’enfant, enveloppé dans un tissu léger et placé dans un sachet plastique, respirait difficilement. Il a été transporté d’urgence à l’hôpital régional de Thiès, où il a été pris en charge par les services pédiatriques.
Les éléments de la police se sont rapidement rendus sur les lieux pour ouvrir une enquête. Les premières constatations laissent penser à un abandon volontaire, mais les circonstances exactes restent à déterminer.
Une forte émotion règne dans le quartier Thially, où les habitants peinent à comprendre comment un tel acte a pu être commis, d’autant plus devant une maison en fête, symbole de naissance et de joie. « C’est comme si quelqu’un voulait se débarrasser de son bébé, en le déposant là où il y avait du monde pour qu’on le retrouve vite », estime un voisin.
La consternation est totale à Maka Dané, un paisible village de la commune de Nganda, situé à la frontière entre le Sénégal et la Gambie. Ce lundi, la localité a été secouée par un drame d’une rare violence : Dame Diané, jeune homme de 25 ans et petit-fils du célèbre marabout Babacar Diané, a été poignardé à mort par un talibé de son grand-père.
Selon plusieurs sources concordantes, tout serait parti d’une banale dispute sur un champ d’arachides appartenant au marabout. Ce jour-là, Dame et son aîné Adji Diané, âgé de 40 ans, travaillaient côte à côte à déterrer les arachides. Mais la tension est montée lorsque le plus âgé aurait reproché à son cadet de mal tenir la machine utilisée pour la récolte.
La réponse jugée insolente du jeune homme aurait mis le feu aux poudres. Sous l’effet de la colère et de la fatigue, Adji aurait alors brandi un couteau et porté un violent coup à la gorge de Dame Diané. La victime, mariée et père de deux enfants, est morte sur le coup, sous le regard impuissant de quelques témoins présents sur les lieux.
Alertés, les habitants du village ont rapidement maîtrisé le meurtrier présumé avant de le remettre aux forces de l’ordre. Adji Diané se trouve actuellement entre les mains de la justice, tandis qu’une enquête a été ouverte pour éclaircir les circonstances exactes de ce drame qui plonge toute la communauté de Maka Dané dans le deuil.
Une violente dispute entre épouses dégénère au point qu’un quinquagénaire exhibe une arme et menace sa première épouse. La gendarmerie intervient et découvre deux armes de guerre à son domicile.
Article :
À Kadam, dans le département de Diourbel, un drame familial a conduit à l’arrestation de Mb. Diagne, un cultivateur de 50 ans, lundi dernier. Poursuivi pour "menace de mort et détention d’armes à feu", il a été placé sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Diourbel.
Les faits trouvent leur origine dans une violente altercation entre les deux épouses de Mb. Diagne. Nd. Diop, la seconde épouse, aurait proféré des injures à l’encontre de A. Faye, la première épouse. Selon les voisins, la dispute a rapidement dégénéré, se déroulant devant les enfants et la communauté.
Plutôt que de calmer la situation, Mb. Diagne est intervenu pour soutenir sa seconde épouse, ce qui a provoqué la colère des enfants de sa première épouse. La tension a atteint un point critique lorsque chaque partie a déposé une plainte auprès de la gendarmerie locale.
Dans un accès de colère, Mb. Diagne a brandi une arme à feu et menacé sa première épouse. Alertée par l’un des enfants, militaire de formation, la gendarmerie est intervenue. Une perquisition au domicile du quinquagénaire a permis de découvrir deux armes de guerre cachées dans sa chambre.
Mb. Diagne a déclaré avoir hérité ces armes de son père, mais cela n’a pas empêché son arrestation. Il demeure placé sous mandat de dépôt en attente de son jugement.
Un fait divers d’une rare tragédie a bouleversé, ce mardi matin, le petit village de Bambadinka, dans l’arrondissement de Missirah (région de Tambacounda).
Deux frères, unis par le sang mais séparés par la colère, se sont disputés pour une simple histoire d’âne. L’issue a été fatale : le cadet, âgé de 15 ans, a perdu la vie sous les coups de couteau de son aîné
Tout commence lundi 27 octobre, vers 14 heures, lorsque M. Keïta, 22 ans, demande à son jeune frère G. Keïta d’aller s’occuper de leur âne.
Une demande apparemment banale, mais que le plus jeune prend mal.
Les mots fusent, le ton monte, et la dispute dégénère en bagarre. Les voisins interviennent à temps pour les séparer. L’incident semble clos… du moins en apparence.
Quelques heures plus tard, vers 17 heures, les deux frères se retrouvent à la boutique du village.
L’aîné relance le sujet de l’âne. Le cadet lui répond sur un ton jugé insolent. Une nouvelle altercation éclate, mais les témoins s’interposent à nouveau.
Frustré, M. Keïta préfère rester un moment sur place avant de rentrer au domicile familial.
Le mardi 28 octobre, vers 8 heures du matin, le jeune G. Keïta, toujours en colère, se rend dans la chambre de leur mère où se trouve son frère aîné.
Armé d’un couteau, il se jette sur lui. Une violente lutte s’engage entre les deux jeunes hommes.
Selon le récit de M. Keïta, il serait parvenu à désarmer son frère au cours de la bagarre. Dans le feu de l’action, il lui assène un coup fatal avec la même arme. Le cadet s’effondre, mortellement touché.
Alertés, les éléments de la brigade de proximité de Dialacoto se rendent rapidement sur les lieux du drame.
Le corps sans vie du jeune garçon est découvert, tandis que M. Keïta est arrêté et placé en garde à vue.
Le cultivateur de 22 ans est poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Ce samedi 25 octobre 2025, aux alentours de 5 heures du matin, une femme a été victime d’une violente agression au couteau à Kolda, alors qu’elle se rendait à son lieu de travail. Les assaillants, encore inconnus des autorités, l’ont attaquée sans raison apparente, semant la panique dans le quartier.
Rapidement secourue par des passants, la victime a été transportée d’urgence à l’hôpital régional de Kolda, où elle a reçu des soins appropriés. Les médecins confirment que son état est désormais stable et qu’elle est hors de danger.
Cet incident relance les inquiétudes concernant la sécurité dans la région du Fouladou. Les habitants réclament une surveillance accrue et des mesures concrètes pour protéger les citoyens, notamment aux premières heures de la journée.
Les forces de l’ordre ont ouvert une enquête afin d’identifier et de retrouver les auteurs de cette agression. Les autorités locales appellent la population à la vigilance et à signaler tout comportement suspect dans les rues de Kolda.
Un meurtre choquant a eu lieu à Madina Ndiathbé, dans le département de Podor, impliquant deux jeunes amis âgés de 18 ans. H. Th. Bâ, jeune berger, a ôté la vie à son meilleur ami, Abdoulaye Ousmane Sow, dans des circonstances effroyables.
Selon Wal Fadjri, les deux adolescents se trouvaient en brousse pour conduire leurs troupeaux lorsqu’une dispute éclata. Une altercation initiale avait déjà nécessité l’intervention de passants pour les séparer, mais la tension persistait. Plus tard, alors qu’Abdoulaye effectuait sa prière du crépuscule, H. Th. Bâ l’a attaqué avec une machette, lui portant un coup fatal au cou. La violence de l’attaque a provoqué la décapitation immédiate de la victime.
Le meurtrier a pris la fuite, mais sa cavale fut de courte durée. Il a été appréhendé par la gendarmerie à Boké Dialloubé le lendemain, avant d’être transféré et déféré à la Maison d’arrêt et de correction de Saint-Louis. La victime a été enterrée le matin même à Madina Ndiathbé.
Ce drame relance le débat sur la prolifération des armes blanches dans les zones sylvopastorales du nord du Sénégal. Les machettes et autres armes tranchantes y sont couramment utilisées et parfois sources de violences graves.
Les habitants de Madina Ndiathbé restent sous le choc, peinés par la brutalité de l’acte et la perte tragique d’un jeune dont la vie a été fauchée de façon dramatique.
Veuve depuis 2022, Aissatou Diatta vit un cauchemar à Dakar. Sa belle-sœur aurait vendu la maison familiale sans son accord. Entre trahison, détresse et courage, elle raconte son combat pour la dignité.
Aissatou Diatta, veuve depuis 2022, y vivait avec ses quatre enfants. Leur maison familiale, symbole de stabilité après la perte du père, s’est transformée en champ de bataille.
« On m’a proposé deux millions pour ma part… Deux millions pour une maison qui vaut vingt ! Je ne pouvais pas accepter », confie-t-elle, la voix brisée.
Avant son décès, le mari d’Aissatou se querellait souvent avec sa sœur au sujet de la maison héritée de leurs parents. Des disputes fréquentes, bruyantes, connues de tout le voisinage.
Après sa mort, les rancunes n’ont pas disparu. Au contraire, elles se sont aggravées.
« Mon mari disait toujours : “Ma sœur veut tout contrôler.” Je pensais qu’après sa mort, la famille allait nous protéger. J’avais tort », soupire Aissatou.
Tout bascula un matin. La belle-sœur d’Aissatou se présenta, accompagnée d’hommes venus la faire partir.
«Les enfants pleuraient, nos affaires étaient jetées dehors », raconte-t-elle en essuyant ses larmes.
L’objectif : la faire signer un document de cession de part. Une signature qu’elle a toujours refusée.
« Mon mari avait sa part. Moi, j’ai mes droits. Je ne laisserai pas passer ça », répète-t-elle avec détermination.
Les quatre enfants, portent aujourd’hui le poids de cette crise. Depuis l’expulsion, ils peinent à dormir, refusent de manger et craignent de retourner à la maison.
Pour Aissatou, il ne s’agit plus seulement de défendre une maison, mais de sauver ses enfants du traumatisme d’une injustice familiale.
« Je ne peux pas attendre. Mes enfants ne doivent pas payer pour ces conflits », déclare-t-elle, le regard déterminé.
« Vous n’aurez pas ce que vous voulez, pas tant que j’aurai la force de protéger mes enfants », lui a répondu Aissatou, courageuse malgré la peur.
« Pour mes enfants, je vais me battre jusqu’au bout. Nous avons le droit de rester ici », assure-t-elle.
Son histoire, malheureusement, n’est pas un cas isolé. Au Sénégal, les litiges familiaux liés à l’héritage continuent de briser des vies, souvent au détriment des femmes et des enfants.
Tout a commencé comme une promesse. Une opportunité professionnelle, une chance de changer sa vie. D B, jeune Sénégalais, pensait avoir trouvé un emploi grâce à I. L, ressortissante bissau-guinéenne. Elle lui assurait qu’un avenir meilleur l’attendait au Sénégal.
Mais une fois arrivé à Saly-Carrefour, dans un appartement transformé en bureau QNET, la réalité s’est imposée à lui comme un choc. On lui proposa d’acheter un produit censé lui rapporter 150 000 FCFA par semaine, mais à une condition : recruter six autres personnes.
D. B se sentit piégé. Chaque jour, il voyait ses espoirs s’éloigner, enfermé dans un système qui lui promettait richesse et liberté mais qui ne livrait que tromperie et pression.
C’est alors qu’une décision courageuse s’imposa : porter plainte. Grâce à sa démarche, les autorités locales ont pu intervenir. Une opération policière, menée a permis d’interpeller dix-huit individus impliqués et de fermer le bureau QNET. Les principaux responsables, y compris I. L et B. M, ont été arrêtés.
Mais ce n’était pas la fin de l’angoisse. D B raconte que certains jeunes, victimes de ces réseaux, sont envoyés jusqu’au Ghana, séduits par la promesse d’un emploi ou d’une formation. Le trajet est long, incertain, et parfois dangereux. Des histoires tragiques comme celles de Cheikh Touré ou Alassane Diallo montrent que les dangers sont réels et qu’il faut rester vigilant.
Aujourd’hui, D B. est libre, mais son témoignage reste un avertissement : derrière les promesses de richesse rapide, certains réseaux exploitent la vulnérabilité des jeunes. Les autorités sénégalaises sont appelées à agir pour protéger les victimes et démanteler ces filières.
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