|
Le Portail de Thiès sur le Web
|
|
Thiès-Ville : Réunion de rentrée 2025-2026 sous le signe de la performance
27/10/2025
Réussir ensemble avec Habib Vitin
24/10/2025
Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
18/10/2025
L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
15/10/2025
Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
14/10/2025
Société sur Thies info
La cité Mixta, située au cœur de Dakar, a été le théâtre d’un événement tragique ce samedi matin. Une jeune fille, dont l’âge exact n’a pas été communiqué, a été grièvement blessée après être tombée du troisième étage d’un immeuble résidentiel. Selon les premiers éléments de l’enquête, il ne s’agirait pas d’un accident, mais d’une tentative de suicide motivée par des problèmes sentimentaux.
Vers 8 heures, les voisins ont entendu un bruit sourd provenant du troisième étage. À leur arrivée, ils ont découvert la jeune fille au sol, gravement blessée. Les secours, alertés immédiatement, l’ont transportée dans un état critique à l’hôpital le plus proche. Selon les premiers témoignages, la victime venait de vivre une rupture amoureuse difficile, ce qui pourrait expliquer son geste désespéré.
La police et les services de sécurité de la cité Mixta ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de la chute. Selon les informations recueillies par les enquêteurs, des messages et des notes trouvés sur le téléphone et le carnet de la jeune fille suggèrent un état de grande détresse psychologique. Les premiers éléments indiquent donc que cette chute ne serait pas le fruit d’un accident, mais d’une tentative volontaire de mettre fin à ses jours.
Le voisinage est sous le choc. Plusieurs résidents évoquent le stress et les pressions auxquelles sont confrontés les jeunes dans les grandes villes, notamment en matière de relations amoureuses et de gestion des émotions. Les psychologues soulignent l’importance de l’accompagnement des jeunes dans ces situations, et la nécessité de créer des structures d’écoute et de soutien accessibles.
La jeune fille est actuellement sous surveillance médicale à l’hôpital et reçoit un soutien psychologique. Les autorités locales appellent à la vigilance des familles et des proches pour détecter les signes de détresse chez les adolescents et jeunes adultes.
Cet incident dramatique rappelle l’importance de la santé mentale et de l’accompagnement émotionnel, notamment face aux ruptures amoureuses qui peuvent parfois déclencher des comportements extrêmes. Les enquêtes se poursuivent pour confirmer les motivations exactes et prévenir de futurs incidents similaires.
La Cité Mixta, habituellement animée par ses terrasses et ses rues commerçantes, a été le théâtre d’une scène dramatique ce vendredi soir. Aux environs de 20 heures, une jeune femme est tombée du troisième étage d’un immeuble, sous les yeux médusés de plusieurs riverains.
Selon des témoins, la victime se trouvait sur le balcon de son appartement lorsqu’elle a perdu l’équilibre en pleine conversation téléphonique. Certains affirment avoir entendu un cri bref avant de la voir basculer dans le vide.
Quelques instants plus tard, les habitants du quartier se sont précipités vers le corps étendu sur le sol, choqués par la brutalité de la chute. « On a tous accouru en pensant au pire », confie un jeune homme encore bouleversé.
Alertés, les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus sur les lieux. Une vidéo, largement partagée sur les réseaux sociaux, montre un attroupement compact autour de la victime, pendant que les secouristes prodiguaient les premiers soins.
Miraculeusement, la jeune femme était consciente malgré la violence de l’impact. Elle a été transportée en urgence vers un établissement hospitalier de Dakar pour y recevoir les soins appropriés. Son état exact reste à ce stade inconnu.
Les circonstances de cette chute demeurent floues. Accident domestique, geste imprudent ou autre situation ? Les enquêteurs ont ouvert une investigation afin de déterminer les causes exactes du drame.
En attendant, le quartier reste marqué par la scène, qui a suscité une vive émotion parmi les habitants de la Cité Mixta.
Une scène pour le moins inhabituelle secoue la ville de Kolda. Deux jeunes hommes, tous deux persuadés d’être le père d’un enfant à naître, en sont venus à se disputer violemment devant le commissariat urbain.
La protagoniste de cette affaire, une jeune femme prénommée Kouta, est enceinte de six mois. D’après les témoignages recueillis, elle aurait entretenu des relations parallèles avec A. Sow, conducteur de moto-taxi, et B. Baldé, apprenti mécanicien. À chacun, elle aurait affirmé qu’il était le géniteur de son futur bébé.
Convaincus de leur paternité, les deux jeunes hommes ont pris en charge, séparément, une partie des dépenses liées à la grossesse : consultations prénatales, frais médicaux et même une partie des besoins quotidiens de Kouta. Mais le stratagème n’a pas tardé à s’effondrer.
La supercherie fut découverte lorsqu’A. Sow et B. Baldé, par un concours de circonstances, se sont retrouvés face à face à la maternité. Chacun revendiquait alors son rôle de père, affirmant financer les soins de Kouta. La dispute a rapidement dégénéré en altercation verbale musclée, obligeant les forces de l’ordre à intervenir.
Conduits au commissariat urbain de Kolda, les deux rivaux ont persisté dans leurs déclarations contradictoires. Quant à Kouta, elle n’a pas encore livré de version claire des faits, entretenant le doute et alimentant la confusion.
Selon une source policière, l’affaire pourrait être tranchée uniquement par un test de paternité, une fois l’enfant venu au monde.
Ce fait divers rappelle un autre incident récent qui avait déjà agité la capitale du Fouladou, preuve que la ville n’est pas épargnée par des histoires sentimentales et familiales aux allures de feuilleton.
Une affaire familiale aux allures de drame continue de secouer l’opinion. Une adolescente de 17 ans avait accusé son propre père de viol. Quelques jours plus tard, elle a fini par avouer avoir menti. Pourtant, l’homme est toujours derrière les barreaux, dans l’attente de la suite judiciaire.
Un père arrêté sur la base d’une plainte
Dès la plainte déposée, la police a agi rapidement. Le père, stupéfait par de telles accusations, a été arrêté et placé en détention provisoire. L’affaire a immédiatement provoqué un choc dans le quartier, tant l’homme n’avait jamais été mêlé à des histoires de violence.
La fille change de version
Lors des premiers interrogatoires, la jeune fille maintenait ses accusations, affirmant que son père l’avait agressée sexuellement. Après plusieurs heures , elle a craqué et reconnu avoir inventé toute l’histoire pour protéger son petit ami, soupçonné par sa famille d’entretenir une relation avec elle.
Un aveu tardif… mais des conséquences lourdes
Malgré cette volte-face, le père n’a pas recouvré la liberté. La procédure judiciaire suit son cours et le juge d’instruction devra trancher sur son sort. En attendant, il reste en prison, alors même que la prétendue victime a retiré ses accusations.
Indignation et appel à la prudence
Cette situation suscite l’indignation. Les voisins, la famille élargie et même certaines associations locales estiment qu’il est injuste de maintenir un homme en détention sur la base d’accusations reconnues comme mensongères.
« Une dénonciation calomnieuse ne doit pas ruiner une vie. Il faut que la justice réagisse vite », martèle un habitant du quartier.
L’affaire met en lumière la gravité des fausses accusations de viol, qui peuvent non seulement détruire des réputations, mais aussi plonger des innocents derrière les barreaux, dans un contexte où chaque plainte doit pourtant être prise au sérieux.
Un père de famille a été arrêté suite à une dénonciation l’accusant d’avoir vi0lé sa fille lorsqu’elle avait 9 ans. Si l’épouse et la fille de l’homme ont nié en bloc ces accusations devant la police, les examens médicaux réalisés sur la jeune fille viennent toutefois corroborer la thèse de violences subies dans l’enfance.
Un jeune homme qui rentrait d’une soirée dansante, tombe dans une embuscade tendue par deux individus armés circulant à moto.
Une affaire de bigamie secoue actuellement Dakar. Une femme, mariée légalement à Mbour, est accusée d’avoir contracté un second mariage avec un tradipraticien de la capitale, qui l’avait soignée.
Un héritier spirituel de Maodo
Né en 1904, Serigne Abdou Aziz Sy, affectueusement appelé Mame Abdou, incarne la bonté et l’ouverture. Fils d’El Hadji Malick Sy et de Mame Safiétou Niang, il grandit dans un environnement marqué par l’enseignement religieux. Enfant, il s’initie aux sciences islamiques auprès de son père et de maîtres comme Serigne Hady Touré, fidèle disciple de Maodo.
Son éducation, rigoureuse et profondément ancrée dans la tradition tidiane, fait de lui un érudit respecté.
De disciple à khalife
Après le rappel à Dieu de ses frères aînés, Serigne Babacar Sy (25 mars 1957) et Serigne Mansour Sy (29 mars 1957), il devient le troisième khalife de Cheikh El Hadji Malick Sy.
Son califat sera placé sous le signe de l’unité et de la fraternité, guidé par le verset coranique :
« Et cramponnez-vous tous ensemble au câble d’Allah et ne soyez pas divisés… » (Aal-i-Imraan, 103).
Dès ses débuts, il s’attelle à renforcer la cohésion entre confréries, familles religieuses et même avec les communautés chrétiennes.
« 40 ans, zéro faute »
De 1957 à 1997, Mame Abdou dirige la Tidjaniyya avec clairvoyance. Ses contemporains résument son califat en une formule restée célèbre :
« 40 ans, zéro faute ».
Sans distinction entre le religieux et le politique, il interpelle gouvernements et présidents sur la nécessité de justice, d’éducation et de préservation des valeurs. Son franc-parler, allié à une sagesse rare, en a fait un repère moral pour tout le pays.
Un savant respecté dans le monde islamique
Savant discret mais érudit, Mame Abdou se distingue lors du congrès islamique de 1965 à La Mecque, où il impressionne par sa maîtrise de la langue arabe. Ses écrits – notamment sur le Prophète (PSL), sur Cheikh Ahmad At-Tidiane et ses nombreux tawassul – témoignent de son savoir et de sa dévotion.
Le chantre de l’unité
Toujours humble, il se définissait avant tout comme disciple et non maître. Sa maxime devenue populaire, « tappé xol yi » (ouvrir les cœurs), symbolise sa mission : rapprocher les âmes, apaiser les tensions, bâtir la fraternité.
Ses nombreuses visites dans les foyers religieux – de Touba à Ndiassane, de Niassène à Diamalaye, de Thiénaba à Halwar, jusqu’au foyer de la chrétienté à Dakar – lui valent un respect unanime.
Un héritage vivant
Le 14 septembre 1997, Mame Abdou est rappelé à Dieu à l’âge de 93 ans. Mais son héritage spirituel demeure : son diwaan (recueil de ses œuvres), ses discours et surtout son exemple d’humilité et de tolérance continuent de guider des générations entières.
Qu’Allah déverse sur lui Ses pluies de grâces.
Actualité à Thiès
Thiès : la 2ᵉ édition des Rencontres économiques et commerciales des femmes du Sénégal lancée en présence du représentant du ministre Aliou Dione
Habib Vitain dévoile son programme : “Thiès d’Abord” veut redonner souffle à la cité du rail
Actualités
Grève de 72 heures à l’Agence de Réglementation Pharmaceutique : le SAMES exprime son mécontentement
hiès : Dispute nocturne dégénère, motard frappe à la machette son passager – 2 ans requis
Service Commercial: 772150237 - Email: seyelatyr@hotmail.com







