Plusieurs organisations féministes et associations communautaires ont saisi le procureur de la République pour exiger l’ouverture d’une enquête judiciaire indépendante afin de faire la lumière sur cette tragédie.
Une plainte collective déposée
Parmi les signataires de la plainte, publiée le 21 novembre 2025, figurent :
Le Collectif des féministes du Sénégal,
Jigen Sénégal,
Le Réseau des féministes du Sénégal,
Le collectif Dafadoy,
Les Bajenu Gokh de Ouakam,
L’association Mères actives,
L’Association Actrices culturelles ensemble (ACE),
Sénégal Action Féministe,
L’association Molaadé,
Alercom/Manoore,
La Ligue des soignantes sénégalaises pour l’accès à des soins humanisés.
Ces organisations dénoncent les « zones d’ombre » entourant la mort de Nogaye Thiam et réclament une investigation rigoureuse pour identifier les causes exactes de son décès.
Des faits inquiétants
Selon ces associations, la jeune femme a été retrouvée morte deux jours après son décès, son enfant mineur resté seul à ses côtés. Elles mettent en avant un possible climat d’isolement et de conflit familial au sein du domicile de la belle-famille, soulevant la question de la non-assistance à personne en danger et de la responsabilité de tiers.
Le communiqué précise que ces conditions pourraient indiquer des violences ou négligences ayant contribué au drame. L’affaire met en lumière le risque auquel sont exposées certaines jeunes femmes dans leur environnement conjugal, notamment lorsqu’elles sont isolées ou en conflit avec leur belle-famille.
Les demandes adressées au procureur
Les associations exigent :
La réalisation d’une autopsie complète pour déterminer les causes exactes du décès.
L’audition de toutes les personnes présentes dans le domicile et ayant connaissance du conflit familial.
La clarification des responsabilités concernant la non-assistance ou la négligence pouvant avoir touché la victime et son enfant.
La protection de l’enfant survivant, exposé à un traumatisme psychologique grave.
Un drame révélateur d’un malaise social
Au-delà du fait divers, cette affaire révèle des problèmes structurels liés aux violences intrafamiliales et à l’isolement des femmes. Elle soulève des questions sur la protection des mères et des enfants dans leur environnement familial et sur la responsabilité collective de la société face à ces situations.
Les organisations féministes, par cette démarche judiciaire, veulent mettre fin à l’impunité et sensibiliser l’opinion publique sur l’importance de protéger les femmes et enfants vulnérables au sein du foyer.
Une plainte collective déposée
Parmi les signataires de la plainte, publiée le 21 novembre 2025, figurent :
Le Collectif des féministes du Sénégal,
Jigen Sénégal,
Le Réseau des féministes du Sénégal,
Le collectif Dafadoy,
Les Bajenu Gokh de Ouakam,
L’association Mères actives,
L’Association Actrices culturelles ensemble (ACE),
Sénégal Action Féministe,
L’association Molaadé,
Alercom/Manoore,
La Ligue des soignantes sénégalaises pour l’accès à des soins humanisés.
Ces organisations dénoncent les « zones d’ombre » entourant la mort de Nogaye Thiam et réclament une investigation rigoureuse pour identifier les causes exactes de son décès.
Des faits inquiétants
Selon ces associations, la jeune femme a été retrouvée morte deux jours après son décès, son enfant mineur resté seul à ses côtés. Elles mettent en avant un possible climat d’isolement et de conflit familial au sein du domicile de la belle-famille, soulevant la question de la non-assistance à personne en danger et de la responsabilité de tiers.
Le communiqué précise que ces conditions pourraient indiquer des violences ou négligences ayant contribué au drame. L’affaire met en lumière le risque auquel sont exposées certaines jeunes femmes dans leur environnement conjugal, notamment lorsqu’elles sont isolées ou en conflit avec leur belle-famille.
Les demandes adressées au procureur
Les associations exigent :
La réalisation d’une autopsie complète pour déterminer les causes exactes du décès.
L’audition de toutes les personnes présentes dans le domicile et ayant connaissance du conflit familial.
La clarification des responsabilités concernant la non-assistance ou la négligence pouvant avoir touché la victime et son enfant.
La protection de l’enfant survivant, exposé à un traumatisme psychologique grave.
Un drame révélateur d’un malaise social
Au-delà du fait divers, cette affaire révèle des problèmes structurels liés aux violences intrafamiliales et à l’isolement des femmes. Elle soulève des questions sur la protection des mères et des enfants dans leur environnement familial et sur la responsabilité collective de la société face à ces situations.
Les organisations féministes, par cette démarche judiciaire, veulent mettre fin à l’impunité et sensibiliser l’opinion publique sur l’importance de protéger les femmes et enfants vulnérables au sein du foyer.
