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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
03/12/2025
Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
23/11/2025
Thiès : Deux Nouvelles Machines d’Imagerie Médicale Modernisent l’Hôpital Régional Amadou Sakhir Ndiéguéne
23/11/2025
Réforme hospitalière : Dr Fatou Mbaye Sylla explique les enjeux de la nouvelle réorganisation après 26 ans d’attente
17/11/2025
Deux Hommes de Valeur se Rencontrent à Thiès : Abdoulaye Dièye et Habib Vitin scellent une vision commune pour la Ville
16/11/2025
Le ministère de la Santé finalise le recrutement de 220 sages-femmes d’État pour renforcer les services de santé maternelle et infantile dans tout le pays, grâce au Projet SWEDD+ Sénégal.
Le ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a annoncé l’achèvement du recrutement de 220 sages-femmes d’État dans le cadre du Projet SWEDD+ Sénégal, une initiative lancée en août 2025 pour renforcer l’accès aux soins sur l’ensemble du territoire. Cette étape marque un progrès important dans les efforts nationaux visant à améliorer la prise en charge de la santé maternelle, néonatale, infantile et des adolescents.
Sélectionnées et désormais affectées dans les structures sanitaires publiques, ces professionnelles contribueront à améliorer l’offre de soins, en particulier dans les zones où les besoins en personnel qualifié sont les plus élevés. Leur présence doit permettre de renforcer les services dédiés à la santé reproductive et d’appuyer les équipes en place pour répondre efficacement à la demande croissante.
Le Projet SWEDD+ Sénégal, qui combine appui sanitaire, accompagnement des adolescentes et développement des compétences, compte sur cette nouvelle cohorte pour accélérer les avancées. D’après le ministère, l’intégration de ces 220 sages-femmes permettra un suivi plus complet des femmes enceintes, un accompagnement renforcé des jeunes mères et une réduction durable des risques liés à la santé maternelle et infantile.
Les autorités sanitaires invitent également les populations à soutenir ces nouvelles recrues et à s’impliquer dans les efforts visant à améliorer les indicateurs de santé dans tout le pays.
À l’approche de la CAN Maroc-2025, la presse sportive sénégalaise se mobilise avec 280 demandes d’accréditation, dont 175 validées par la CAF. L’ANPS prévoit une Maison de la presse pour accompagner les reporters.
À quelques jours du lancement de la CAN Maroc-2025, les médias sportifs sénégalais intensifient leurs préparatifs pour assurer une large couverture de la compétition. Cette année, l’intérêt est particulièrement notable avec 280 demandes d’accréditation soumises à la Confédération africaine de football (CAF).
D’après Abdoulaye Thiam, président de l’Association nationale de la presse sportive (ANPS), 175 demandes ont été approuvées, un chiffre qui illustre la progression et le dynamisme du paysage médiatique sénégalais.
Il rappelle qu’à l’édition précédente, 126 journalistes avaient obtenu leur accréditation. Cette hausse significative témoigne, selon lui, de la reconnaissance accordée au travail des reporters sénégalais :
« La CAF a pris en considération l’importance de la presse sportive du Sénégal. Le pays figure désormais dans le top 10 des 54 États représentés. L’ANPS peut intervenir à l’avance pour faciliter les démarches des reporters », a-t-il précisé lors d’un point de presse mardi.
Une Maison de la presse sénégalaise installée au Maroc
Selon les estimations de l’ANPS, une couverture complète de la CAN nécessite un budget d’environ 1 050 000 F CFA, incluant hébergement, restauration, connexion Internet et transport, hors billet d’avion.
Pour soutenir les professionnels sur place, l’association mettra à disposition une Maison de la presse sénégalaise au Maroc. Les journalistes souhaitant y séjourner devront toutefois verser une caution de 500 000 F CFA, une mesure destinée à garantir le respect des engagements logistiques et organisationnels.
Le budget du ministère du Commerce et de l’Industrie connaît une hausse exceptionnelle pour 2026, portée par cinq grands programmes stratégiques.
Pour l’année 2026, le ministère du Commerce et de l’Industrie bénéficiera d’une enveloppe largement revue à la hausse, selon les données présentées à l’Assemblée nationale. Les crédits prévus pour cet exercice atteignent 355 933 222 920 francs CFA en autorisations d’engagement et 150 134 635 433 francs CFA en crédits de paiement.
Cette évolution représente une augmentation globale de 305 774 693 468 francs CFA, soit une progression de 609,62 % par rapport au budget précédent. Ce renforcement budgétaire accompagne la mise en œuvre de cinq programmes stratégiques pilotés par le ministère, d’après le rapport de la commission des finances présenté par la députée Marie Hélène Ndoffène Diouf.
Le programme dédié au développement des pôles et filières industrielles concentre la plus grande part, avec 109 019 819 918 francs CFA. Il est suivi par celui axé sur l’accessibilité des produits et services, la modernisation du commerce et la lutte contre la vie chère, qui reçoit 33 143 048 087 francs CFA.
Les trois autres programmes se répartissent les crédits restants :
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la défense commerciale et le renforcement de la présence du Sénégal sur les marchés extérieurs (2 233 608 160 francs CFA),
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l’appui et le financement dédiés aux PME/PMI (3 290 355 607 francs CFA),
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ainsi que les actions de pilotage et de coordination du ministère (2 447 803 661 francs CFA).
Avec ces montants, le département dirigé par Serigne Guèye Diop disposera en 2026 d’un budget triplé par rapport à celui de 2025, fixé à 50 158 529 452 francs CFA.
Greenpeace Afrique appelle à des explications sur l’incident du navire Mersin au large de Dakar et demande un renforcement des mesures pour mieux protéger le milieu marin.
Greenpeace Afrique a réagi à l’incident impliquant le navire pétrolier Mersin au large de Dakar, estimant qu’il s’ajoute à une série d’événements industriels survenus en mer ces derniers mois. L’organisation souligne que cette avarie intervient après une fuite de gaz signalée en mars 2025 près de Saint-Louis, alors que des préoccupations subsistent concernant le projet d’usine de désalinisation.
Dans sa déclaration, l’ONG demande aux autorités de clarifier les raisons exactes de l’avarie, l’état réel du navire et les éventuels risques pour l’écosystème marin. Greenpeace Afrique souhaite également obtenir des précisions sur l’efficacité du dispositif antipollution installé autour du tanker ainsi que sur les mesures envisagées pour son retrait ou sa prise en charge.
L’organisation estime que ces informations sont indispensables pour comprendre pleinement la situation et assurer un suivi transparent des risques liés aux activités industrielles en mer.
Le Sénégal affrontera la Zambie le 13 décembre au stade Abdoulaye Wade, dans le cadre de sa préparation pour la prochaine Coupe d’Afrique au Maroc.
Le journal Le Quotidien informe que la sélection sénégalaise disputera une rencontre amicale contre la Zambie, le 13 décembre, au stade Abdoulaye Wade de Diamniadio. Ce test s’inscrit dans la dernière phase de préparation avant la Coupe d’Afrique des nations.
Les Lions débuteront leur stage le 8 décembre, soit quelques jours avant le début de la compétition prévue à partir du 21 décembre au Maroc. Cette date avait déjà été annoncée à la mi-novembre par Abdoulaye Seydou Sow, secrétaire général de la Fédération sénégalaise de football, qui avait confirmé l’organisation de ce match de préparation à Dakar.
Pour le tournoi continental, le Sénégal évoluera dans le groupe D aux côtés du Bénin, du Botswana et de la République démocratique du Congo. La Zambie, quant à elle, fera partie du groupe A, en compagnie du pays organisateur, le Maroc, ainsi que du Mali et des Comores.
Lors de la commémoration de Thiaroye, le président Faye souligne l’importance de transmettre aux jeunes les épisodes liés aux tirailleurs et de renforcer leur place dans l’enseignement national.
Lors de la cérémonie marquant la commémoration de Thiaroye, le président de la République a insisté sur la nécessité d’enseigner aux jeunes générations la valeur de la résistance ainsi que les mécanismes de domination qui ont conduit aux événements survenus le 1ᵉʳ décembre 1944. Il a rappelé que les enfants doivent connaître les faits, les acteurs et les récits liés à cet épisode, afin d’alimenter la conscience nationale et l’engagement panafricain.
Selon lui, cet épisode ne constitue pas seulement un moment de l’histoire, mais représente un symbole majeur pour le pays et pour l’Afrique. Il a réaffirmé l’engagement du gouvernement à accorder une place plus importante à cette page historique dans les programmes scolaires.
Le chef de l’État a également exprimé sa volonté de préserver la mémoire de ceux qui ont été touchés en 1944, afin qu’elle reste vivante dans la conscience collective et auprès des futures générations. Il a rappelé la dignité et la détermination des tirailleurs face aux violences subies à cette époque.
Il a en outre souligné l’importance d’honorer ces soldats issus de divers territoires africains et a présenté cette démarche comme un engagement pour l’âme du Sénégal et du continent. Selon lui, il s’agit d’un combat visant à garantir que plus aucun peuple ne soit dépossédé de son histoire, de sa dignité ou de son droit à exister librement.
Pour le chef de l’État, rappeler ces événements revient à reconnaître que les pays d’origine des tirailleurs sont liés par un destin commun. Il a indiqué que cette commémoration représente un socle de solidarité panafricaine et un pilier pour construire l’avenir.
Dans cette logique, il estime que se souvenir de cet épisode revient à réaffirmer une volonté collective de bâtir une Afrique consciente de son passé et confiante dans son futur. Il a aussi mis en avant la question de la réparation et de la justice comme éléments essentiels des relations entre la France et les familles touchées par cette période.
Le président a salué le travail du comité d’organisation, des historiens, des chercheurs, des associations et des artistes qui ont œuvré pour faire avancer la recherche et rendre plus accessible une mémoire longtemps restée difficile à aborder. Grâce à leurs efforts, de nouvelles pistes ont été explorées et certains aspects jusque-là méconnus ont pu être mis en lumière.
La cérémonie s’est déroulée en présence du président gambien, de représentants de plusieurs pays africains concernés par l’histoire des tirailleurs, ainsi que de responsables sénégalais issus du gouvernement, du corps diplomatique, du Parlement et des collectivités territoriales.
Lors de l’ouverture d’ECOFEST, Ousmane Sonko a insisté sur le rôle essentiel de la culture pour renforcer la cohésion, la paix et le développement en Afrique de l’Ouest.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a rappelé dimanche la place centrale de la culture dans la stabilité et le développement des sociétés, soulignant qu’aucun acquis politique ou économique ne peut durer s’il n’est solidement ancré dans un socle culturel.
Présidant la cérémonie d’ouverture de la première édition du Festival ouest-africain des arts et de la culture (ECOFEST) au Grand Théâtre national Doudou Ndiaye Rose, il représentait le chef de l’État, Bassirou Diomaye Faye. La rencontre a réuni de nombreuses personnalités, dont les représentants de l’UEMOA et de la CEDEAO, initiateurs de l’événement.
Selon Ousmane Sonko, le thème de cette édition — “Mutations et crises politiques en Afrique de l’Ouest : que peut faire la culture ?” — reflète parfaitement les défis actuels de la région. Il a estimé que la culture détient un pouvoir unique : « rassembler là où la politique divise », « réparer là où les conflits déchirent » et « inspirer là où le doute s’installe ».
Le Premier ministre a rappelé que ce festival vise à promouvoir l’intégration, la cohésion sociale, la paix et le développement par le biais de la culture. Une ambition qui rejoint les orientations du gouvernement sénégalais, illustrées récemment par le premier Forum du livre et de la lecture et l’hommage national rendu au professeur Amadou Makhtar Mbow, figure du panafricanisme.
Soulignant la volonté des autorités de faire de la culture un pilier du développement économique et social, Ousmane Sonko a salué le travail des équipes de l’organisation, de la CEDEAO, de l’UEMOA et des responsables du ministère de la Culture. Il a adressé une mention spéciale à la commissaire Fatou Sow Sarr pour son rôle déterminant dans la tenue de cette première édition.
La cérémonie d’ouverture a offert un moment fort de créativité et de partage, marqué par les performances de Sidiki Diabaté, Ismaël Lo, Gyakie, Solange Cesarovna et la Compagnie nationale Daniel Sorano, avec le spectacle “Pour que jamais le pagne ne s’effiloche”.
Le Premier ministre a encouragé le public, particulièrement les jeunes, à investir pleinement ce festival qui se déroule jusqu’au 6 décembre, et invité la CEDEAO et l’UEMOA à renforcer leur soutien aux industries culturelles et créatives. Car, a-t-il rappelé, « la culture est le chemin le plus court d’un peuple à un autre ».
Prince enchaîne une huitième victoire d’affilée en s’imposant face à Mor Kang Kang lors du gala d’ouverture de la saison de lutte.
Lors du gala marquant l’ouverture de la saison de lutte avec frappe, organisé dimanche à l’arène nationale, Prince de l’écurie Pikine Guinaw Rails s’est imposé face au lutteur Mor Kang Kang de l’écurie Baol. Le combat, présenté comme l’un des grands rendez-vous des espoirs, a tourné en faveur du pensionnaire de Pikine.
Grâce à sa puissance et à ses qualités physiques, Prince a rapidement pris l’avantage, empêchant son adversaire de mettre en place sa stratégie. Le duel s’est conclu par la chute de Mor Kang Kang, offrant ainsi un nouveau succès au jeune lutteur de Pikine.
Avec cette victoire, Prince signe sa huitième réussite consécutive, poursuivant une trajectoire ascendante dans l’arène. Celui que ses supporters voient comme la relève d’une grande figure de la discipline continue ainsi d’affirmer son potentiel. Depuis le début de sa carrière, il n’a connu qu’un seul revers.
En face, Mor Kang Kang enregistre sa deuxième défaite, malgré un parcours marqué par douze succès.
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