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Société sur Thies info
Une sexagénaire arrêtée avec près de 5 kilos de chanvre
La police du commissariat spécial de Touba a placé en garde à vue une dame de 66 ans, M. Diongue, résidant à Guédé. Présentée comme commerçante, elle est soupçonnée de trafic de chanvre indien.
Selon le journal Libération, c’est le « Kurel sam wormay Touba », une unité de la communauté Baye Fall chargée de veiller à l’ordre moral dans la cité religieuse, qui a mis la main sur la sexagénaire. Informés de ses activités suspectes, les membres du « Kurel » l’ont suivie discrètement.
La filature a permis de la surprendre en flagrant délit : elle transportait un demi-bloc de chanvre indien dissimulé dans un seau. Une perquisition à son domicile a ensuite conduit à la découverte de huit autres blocs, soit 4,7 kilos de drogue au total.
Remise à la police, M. Diongue a reconnu avoir reçu la marchandise d’un certain Ousseynou, sans plus de détails. Elle a été placée en garde à vue dans le cadre de l’enquête ouverte.
Le Tribunal de grande instance de Mbour a été le théâtre, cette semaine, d’un procès qui a attiré de nombreux curieux : Ibrahima N., 36 ans, et Ndiaga S., 18 ans, sont poursuivis pour actes contre nature et association d’une tierce personne dans des relations filmées, rapporte L’Observateur.
Une disparition qui alerte
L’affaire remonte à fin août, lorsque Racine S. signale à la gendarmerie de Mbour la disparition de son jeune frère, Ndiaga S. Rapidement, il suspecte Ibrahima N., qui entretenait alors le contact avec lui, évoquant la nécessité de prières pour faire revenir le jeune homme à Thiadiaye.
La découverte de l’orgie filmée
Lors de l’enquête, Ndiaga S. est retrouvé à Thiès. La fouille des téléphones des deux commerçants révèle des vidéos compromettantes : une orgie à trois, où Ibrahima N., marié et père, est en relation sexuelle avec le jeune homme, la scène étant filmée par une jeune femme et son partenaire homosexuel. Ces pratiques se seraient répétées entre août et septembre.
Manipulation et rites mystiques
À la barre, Ndiaga S. décrit un contexte de manipulation : Ibrahima N. l’aurait soumis à des rites mystiques et à des « bains protecteurs », renforçant son emprise et expliquant sa docilité lors des rapports.
Réquisitions et attente du verdict
Le procureur a requis cinq ans de prison et une amende de 1,5 million de francs CFA contre Ibrahima N., et deux ans de prison contre Ndiaga S. Le délibéré est attendu le 7 octobre, conclut L’Observateur.
e Tribunal de grande instance de Mbour a examiné, mardi, une affaire sensible mettant en cause I. Niane, commerçant de 36 ans, et N. S., un jeune homme de 18 ans originaire de Touba. Tous deux sont poursuivis pour actes contre nature, dans un dossier mêlant manipulation spirituelle, emprise psychologique et rapports sexuels. Le délibéré est attendu pour le 7 octobre 2025.
Un lien de confiance détourné
Les faits remontent à 2019. Arrivé à Thiadiaye pour aider son frère dans le commerce, le jeune N. S. aurait croisé la route du commerçant I. Niane, connu dans la localité comme fournisseur de marchandises. Selon le plaignant, l’homme l’aurait approché sous couvert de spiritualité, lui proposant de l’aider à « se protéger » à travers des talismans mystiques.
« Il m’a dit qu’il me mettrait en rapport avec un vieux pour qu’il m’aide à me protéger. Un jour, il m’a remis deux bouteilles, l’une pour me laver et l’autre pour m’asperger avant d’aller au marché », a raconté N. S. à la barre.
Mais derrière cette apparente bienveillance se cachait, selon l’accusation, un processus d’influence et de domination.
Des rituels à la dérive sexuelle
Au fil du temps, les relations entre les deux hommes se sont intensifiées. Le commerçant aurait d’abord organisé des rencontres sexuelles impliquant une femme, avant de passer à des rapports exclusifs entre lui et le jeune.
« En un moment, c’était entre lui et moi seulement. Nous l’avons fait plusieurs fois », a reconnu N. S., visiblement éprouvé.
L’enquête a révélé l’existence d’une vidéo compromettante montrant le commerçant en train de pratiquer une fellation sur un homme. Interrogé sur cette preuve, I. Niane a d’abord tenté de nier, avant d’admettre, à voix basse, avoir eu des relations homosexuelles, tout en soutenant que la personne filmée n’était pas N. S..
Ce dernier affirme, au contraire, qu’il figure bien sur la vidéo.
Le parquet dénonce une « influence néfaste »
Pour le procureur, il ne fait aucun doute que le commerçant a abusé de sa position d’aîné et de sa réputation pour soumettre le jeune homme à son emprise.
« I. Niane a exercé une influence néfaste sur un garçon vulnérable. Il l’a manipulé sous couvert de protection mystique pour satisfaire ses désirs personnels », a soutenu le représentant du parquet.
Le ministère public a requis 5 ans de prison ferme et 1 million de FCFA d’amende contre le commerçant, et 2 ans fermes et 100 000 FCFA d’amende contre N. S., estimant que ce dernier, bien que victime d’influence, a participé aux faits reprochés.
La défense plaide la compassion
L’avocat d’I. Niane a tenté d’obtenir la clémence du tribunal, invoquant l’état psychologique de son client.
« Mon client a davantage besoin d’un suivi médical que d’une longue détention », a-t-il plaidé.
De son côté, Me Ayi, conseil du jeune N. S., a insisté sur son statut de victime.
« Ce garçon venait à peine d’entrer dans l’adolescence lorsqu’il a rencontré I. Niane. Il a été manipulé, influencé et abusé. La loi doit s’appliquer avec bienveillance. »
Un drame social et moral
L’affaire a profondément ému le public présent à l’audience. Pour de nombreux observateurs, elle illustre les dangers d’une foi naïve exploitée à des fins immorales, ainsi que la vulnérabilité de certains jeunes face à des figures d’autorité ou à des promesses mystiques.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré pour le mardi 7 octobre 2025.
En attendant le verdict, Thiadiaye reste sous le choc de cette histoire, qui soulève des interrogations sur la protection des jeunes, les dérives des pratiques spirituelles et les limites du consentement dans des relations d’emprise.
Le calme habituel du quartier Diamaguène, à Mbour, a été brisé par une scène de violence qui a profondément choqué les habitants. Ce qui n’était au départ qu’une simple dispute entre enfants s’est transformé en affrontement familial, impliquant plusieurs membres d’un même foyer, et se terminant au Tribunal d’instance de Mbour.
Une altercation qui dérape
Les faits remontent à la soirée du 18 septembre dernier, vers 21 heures. Ce soir-là, le petit frère de Daro Sarr, une jeune femme enceinte, rentrait tranquillement du domicile de leur grande sœur. En passant devant la maison de leurs voisins, il aurait eu un échange houleux avec Bineta Dia, 16 ans, fille de Pape Alassane Dia et Mariama Diallo.
Selon le témoignage recueilli à la barre, la jeune fille aurait subitement giflé le garçon avant de le frapper à plusieurs reprises, sans que l’on sache réellement l’origine du différend.
Alertée par les cris, Daro Sarr est aussitôt sortie de chez elle pour défendre son frère. Mais face à la colère de Bineta, la situation dégénère rapidement. La mineure, loin de reculer, s’en prend de nouveau à l’enfant, sous les yeux de sa sœur enceinte.
Une bagarre qui vire au lynchage
C’est alors que le drame prend une tournure inattendue. Le père, la mère et la grande sœur de Bineta, voyant la scène, accourent et se joignent à la rixe. Au lieu d’apaiser les tensions, ils s’en prennent directement à Daro Sarr.
Tirée, bousculée, frappée à coups de poing et de pied, la jeune femme tombe au sol, incapable de se défendre. Des témoins racontent une scène d’une rare brutalité, où la future mère aurait été rouée de coups par toute une famille avant que des voisins ne s’interposent pour la sauver.
Transportée d’urgence à l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro, la victime obtient un certificat médical de 7 jours d’incapacité temporaire de travail (ITT). Le lendemain matin, encore marquée physiquement et moralement, elle se rend au commissariat de Diamaguène, accompagnée de son mari, pour déposer plainte contre la famille Dia.
Une famille entière face à la justice
La plainte conduit à l’arrestation immédiate des membres de la famille Dia. Le père, la mère et la fille aînée sont placés sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt de Mbour, tandis que Bineta, encore mineure, est confiée à la justice des enfants.
Devant le tribunal, les trois adultes ont nié les faits, soutenant qu’ils n’avaient fait que tenter de “séparer une bagarre d’enfants”. Une version battue en brèche par la victime, qui, malgré les blessures, a maintenu fermement ses accusations.
Des excuses et un pardon
Lors de l’audience, un moment d’émotion a marqué la salle : Mariama Diallo, la mère de Bineta, s’est levée pour présenter ses excuses publiques à sa voisine. Touchée par ce geste, Daro Sarr, dans un esprit de conciliation, a accepté de leur accorder son pardon.
Mais ce pardon n’a pas suffi à effacer la gravité des faits.
Le verdict du tribunal
Le procureur, dans son réquisitoire, a rappelé que “la grossesse de la victime rendait les coups encore plus dangereux et moralement inacceptables”. Il a demandé l’application stricte de la loi.
Après délibération, le tribunal a reconnu les trois adultes coupables de coups et blessures volontaires, tout en tenant compte de leur repentir et des excuses présentées.
Pape Alassane Dia,
Mariama Diallo,
et leur fille aînée
ont été condamnés à trois mois de prison avec sursis.
Quant à Bineta, la mineure, elle sera jugée séparément par le Tribunal pour enfants dans les prochains jours.
Un incident parti d’une simple dispute entre adolescents, mais qui rappelle à quel point la colère et l’esprit de clan peuvent transformer un différend banal en drame humain.
Le tribunal de grande instance de Mbour a été le théâtre, ce mardi, d’un procès très attendu sur la Petite-Côte. Au cœur du dossier : une présumée escroquerie immobilière portant sur 76 millions de francs CFA, une somme colossale échangée contre un terrain… qui n’existait pas.
Une promesse dorée sur la côte
Tout commence en 2021. Mariama M., commerçante bien connue dans la zone côtière, approche Mamadou D., un entrepreneur à la recherche d’un grand terrain pour un projet agricole. D’un ton confiant, la dame lui parle d’une opportunité rare : neuf hectares à Warang, un site idéalement situé, proche de la route et non loin de la mer.
Pour le convaincre, elle ne se contente pas de paroles. Une visite est organisée sur les lieux. Devant les yeux de Mamadou D., Mariama M. présente les parcelles, pointant du doigt des repères dans le sable, des bornes et même des “voisins” supposés. Rien ne semble suspect.
Séduit par la proposition et rassuré par l’assurance de la vendeuse, Mamadou D. signe sans hésiter. L’affaire est conclue pour 76 millions de FCFA, versés en trois tranches. En retour, la commerçante promet de remettre les documents administratifs “dans les plus brefs délais”.
Une vendeuse introuvable, un silence de quatre ans
Mais les semaines passent, puis les mois. Aucune trace des papiers. À chaque appel, Mariama trouve une excuse : “le notaire est en voyage”, “le plan de lotissement est en cours”, “l’administration tarde à signer”.
Jusqu’au jour où le téléphone cesse de sonner. Numéro hors service. Boutique fermée. Adresse introuvable. Mariama M. semble s’être volatilisée.
Pendant quatre longues années, Mamadou D. tente en vain de la retrouver. C’est finalement en août 2025, après plusieurs fausses pistes, qu’il décide de porter plainte pour escroquerie. L’enquête ouverte par la brigade territoriale de Mbour permet de localiser la suspecte, qui est arrêtée et placée sous mandat de dépôt à la Maison d’arrêt de Mbour.
À la barre : une commerçante déconcertée
Ce mardi, devant le tribunal, Mariama M. se présente en robe sobre, le visage tendu. Interrogée sur les faits, elle nie toute intention frauduleuse.
“Je voulais vraiment lui vendre un terrain à Warang, mais les démarches n’ont pas abouti. J’ai essayé de trouver une autre solution pour le rembourser, mais je n’arrivais plus à le joindre”, explique-t-elle d’une voix basse.
Pourtant, au fil de l’interrogatoire, un détail trouble la salle : la prévenue admet avoir utilisé les 76 millions… pour acheter d’autres terrains à Djilakh. Des terrains inscrits en son nom propre, sans lien avec Mamadou D.
Un aveu lourd de sens, qui suscite des murmures parmi les spectateurs.
Le réquisitoire du procureur
Pour le ministère public, il ne fait aucun doute : Mariama M. a monté une opération frauduleuse de bout en bout. “Elle a simulé une vente, organisé une visite fictive, encaissé une somme considérable, puis disparu pendant quatre ans. Ce n’est pas de la négligence, c’est de la tromperie”, martèle le procureur.
Convaincu de la mauvaise foi de la prévenue, il requiert un an de prison ferme et 100 000 FCFA d’amende.
La voix de la victime
Face au tribunal, Mamadou D. reste digne, mais sa colère est palpable. “J’ai tout perdu. Cet argent représentait mes économies de dix ans. Elle m’a fait croire à un rêve, et je me suis retrouvé sans rien”, déclare-t-il, la voix serrée.
Son avocat réclame 90 millions de francs CFA de dommages et intérêts, pour réparer le préjudice moral et financier subi.
Un verdict attendu
Après plusieurs heures d’audience et de plaidoiries, le tribunal a décidé de mettre l’affaire en délibéré. Le jugement est attendu dans la journée.
Dans la salle, les regards se croisent : certains voient en Mariama une manipulatrice, d’autres une commerçante dépassée par ses propres combines. Mais une chose est sûre : à Warang, les 9 hectares promis ne sont que des traces dans le sable.
La commune d’Orkodiéré, dans le département de Kanel, a été le théâtre d’une triste découverte dans la nuit d’hier. Aux environs de 23h, le corps sans vie d’un homme âgé d’environ 40 ans a été retrouvé dans une chambre de l’hôtel Bilbassi, suscitant stupeur et inquiétude parmi les habitants et le personnel de l’établissement.
Une simple affaire de téléphone a pris des allures de scandale mystico-judiciaire dans le quartier de Pikine, comme le rapporte L’Observateur. Ndèye Seynabou N., commerçante âgée de 40 ans, s’est retrouvée devant le tribunal pour des accusations graves : atteinte à la vie privée et copie frauduleuse de données informatiques.
Tout a commencé par la découverte de messages vocaux compromettants. Dans ces enregistrements, son nom apparaissait dans une conversation entre sa voisine, Maguette N., et un charlatan, qui évoquait l’intention de jeter un sort contre elle. « J’ai été bouleversée, terrorisée. J’ai pensé à toutes les souffrances étranges que j’ai vécues par le passé », confie Ndèye Seynabou N., encore profondément troublée.
Impossible de garder ces révélations pour elle seule, la commerçante avoue avoir copié les messages et les avoir partagés avec son mari, sa mère et plusieurs proches. Une réaction qui va provoquer l’intervention du parquet. « Avait-elle reçu l’autorisation de lire ces messages ? » interroge le procureur. « Non », admet la prévenue.
Le magistrat souligne alors la gravité des faits : violation de la vie privée et diffusion de conversations personnelles. « Au lieu de chercher des explications auprès de la concernée, vous avez transformé ces messages en scandale familial », martèle-t-il. La longue amitié entre voisines du quartier s’est ainsi effondrée, et l’affaire a été portée devant le Tribunal des flagrants délits de Pikine-Guédiawaye.
Selon la prévenue, l’affaire est née d’un simple emprunt de téléphone pour appeler sa fille. Mais devant les juges, elle précise qu’à l’occasion du Gamou de Tivaouane, elle aurait conservé les téléphones de plusieurs femmes hébergées chez elle et manipulé celui de Maguette. C’est en ouvrant la boîte vocale qu’elle est tombée sur un message mentionnant son nom dans une discussion avec un charlatan, évoquant un sort.
À la barre, Maguette N. nie avoir prêté son téléphone, tout en affirmant avoir pardonné à sa voisine. La défense, consciente de la gravité des faits, insiste sur le contexte : les deux femmes, influentes dans le quartier et à la tête de groupements de tontine souvent rivaux, ont agi dans un cadre de tensions locales. « Ma cliente a été tétanisée par ces messages mystiques d’une extrême gravité. Elle a agi sous le choc, pas par malveillance », plaide l’avocat.
Le parquet, lui, maintient sa position : les faits doivent être jugés selon la loi, et seules les préventions légales — atteinte à la vie privée et copie frauduleuse de données informatiques — doivent être considérées. Après délibéré, le tribunal condamne Ndèye Seynabou N. à trois mois d’emprisonnement avec sursis, conclut L’Observateur.
La commune de Pire, dans le département de Tivaouane (région de Thiès), a été secouée par une découverte macabre ce lundi.
Un homme âgé d’un peu plus de 30 ans a été retrouvé pendu à un arbre, dans une forêt du village de Keur Assane.
Un corps en état de décomposition avancée
Selon les premières constatations rapportées par la RFM, le corps de la victime se trouvait dans un état de putréfaction très avancé au moment de la découverte.
Tout porte à croire que le drame remonterait à plusieurs jours, ce qui laisse penser à un acte de suicide prémédité ou accompli dans l’isolement.
Des habitants de la localité, alertés par une odeur inhabituelle, auraient fait la découverte avant de prévenir les autorités compétentes.
Intervention des secours et décision du parquet
Informés, les sapeurs-pompiers et les agents du service d’hygiène se sont immédiatement rendus sur les lieux pour procéder aux constats d’usage.
Sous la supervision du procureur de la République, la dépouille a été inhumée sur place, conformément aux protocoles appliqués dans les cas de décomposition avancée.
Une enquête ouverte pour élucider les circonstances
Les autorités judiciaires et policières ont ouvert une enquête afin d’éclaircir les circonstances exactes du drame.
Les enquêteurs cherchent à déterminer les motivations qui auraient pu pousser l’homme à un tel acte désespéré, et à identifier formellement la victime.
Ce nouveau cas, survenu dans une zone rurale, vient rappeler la montée des drames liés à la détresse psychologique et la nécessité pour les communautés locales de renforcer l’écoute et l’accompagnement social.
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