| 
 Le Portail de Thiès sur le Web 
 | 
 | 
 
			 Thiès-Ville : Réunion de rentrée 2025-2026 sous le signe de la performance
			27/10/2025
			 
 
			 Réussir ensemble avec Habib Vitin
			24/10/2025
			 
 
			 Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
			18/10/2025
			 
 
			 L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
			15/10/2025
			 
 
			 Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
			14/10/2025
			 Société sur Thies info
Le styliste A. C. Guèye, âgé de 31 ans, risque une peine de trois mois de prison ferme si le tribunal d’instance de Thiès suit le réquisitoire du procureur de la République. Il est poursuivi pour violences et voies de fait sur le capitaine Ndiassé Dioum, commissaire du poste de police des Parcelles-Assainies de Thiès.
Les faits remontent au 26 septembre 2025, alors que le commissaire Dioum se rendait aux funérailles d’une nièce dans un quartier de Thiès. Ayant perdu ses repères, il a demandé son chemin à A. C. Guèye, à hauteur du cimetière de Grand-Thiès. Le jeune homme est monté dans le véhicule pour le guider jusqu’à la maison mortuaire. 
    
En cours de route, A. C. Guèye a appelé un ami pour qu’il le rejoigne. Le commissaire Dioum lui a alors expliqué qu’ils étaient déjà cinq personnes dans le véhicule, et qu’il ne pouvait pas prendre un autre passager. Une fois arrivé à hauteur de son ami, le styliste a demandé à descendre. Le commissaire lui a alors demandé d’obtempérer, signalant que son comportement n’était pas correct. A. C. Guèye a répondu qu’il était un homme digne et qu’il ne pouvait pas abandonner son ami. 
    
Le commissaire a décliné son identité et invité le styliste à rectifier son langage. Mais A. C. Guèye a persisté dans son attitude. Lorsque le capitaine de police s’est approché, le jeune homme l’a empoigné. Les deux hommes ont failli en venir aux mains, si des passants n’étaient pas intervenus. 
    
Devant les témoins, A. C. Guèye s’est mis à vociférer et à gesticuler, ce qui a conduit le commissaire Dioum à ordonner son arrestation pour violences et voies de fait. Le styliste a été placé sous mandat de dépôt. 
    
Ce lundi, lors de son passage à la barre du tribunal d’instance de Thiès, le prévenu a nié les accusations, alors qu’il avait pourtant reconnu à l’enquête avoir empoigné le commissaire à la suite de l’altercation. 
  
					 
Un drame a endeuillé ce dimanche 6 octobre 2025 la localité de Gainth Pathé, dans le département de Koungheul. Un jeune supporter a perdu la vie après avoir été poignardé à l’issue d’un match de football opposant l’ASC Walidane de Gainth Pathé à l’ASC Jëf Jël de Ceppo, comptant pour le championnat local des Navétanes.
Selon des sources locales relayées par Emedia, les faits se sont produits peu après le coup de sifflet final. La rencontre s’était soldée par la victoire de l’équipe locale, l’ASC Walidane, sur le score de 1-0. C’est dans ce contexte post-match que la victime, supporter de l’équipe gagnante, a été la cible d’une agression à l’arme blanche. 
    
Gravement touché, le jeune homme a rapidement perdu une grande quantité de sang. Malgré son évacuation d’urgence vers le poste de santé local, il n’a pas survécu et est décédé à son arrivée. Les habitants de la localité, encore sous le choc, décrivent une atmosphère tendue autour du stade et de ses environs. 
    
Pour l’instant, les circonstances exactes de l’attaque restent floues. Une enquête a été ouverte par les autorités compétentes afin d’identifier et de traduire en justice l’auteur de cet acte. Les forces de l’ordre ont également lancé un appel au calme, exhortant les habitants à éviter toute escalade de violence. 
    
Cet incident rappelle une fois de plus la nécessité de mesures de sécurité renforcées lors des rencontres sportives, notamment les matchs de Navétanes, très suivis par les populations locales et parfois le théâtre de tensions entre supporters. Les autorités locales ont indiqué qu’elles suivront de près l’évolution de la situation afin de prévenir tout risque de nouveaux incidents. 
  
					 
				 Un drame d’une rare violence a secoué ce samedi 4 octobre 2025 le village de Tognataba, dans la commune de Baghère (région de Sédhiou).
				 
				 Le corps sans vie d’un berger, D. Ba, âgé de 56 ans, marié à trois femmes et père de 22 enfants, a été découvert au milieu de son troupeau.
			 
			 Son fusil de chasse, retrouvé non loin de lui, contenait encore des cartouches non utilisées, ce qui écarte pour l’instant la thèse d’un accident. 
    
Aucune trace de lutte n’a été observée sur place. Le corps a été retrouvé gisant dans un pâturage, tandis que les animaux erraient autour, visiblement perturbés. 
    
Aucune bête manquante
Les premières pistes évoquaient un vol de bétail ayant mal tourné, un phénomène courant dans la région.
  Mais les proches du défunt affirment qu’aucune bête ne manque dans le troupeau.
  Cette précision renforce le mystère autour de la mort brutale de ce père de famille. 
    
« D. Ba était un homme sans histoires. Il ne s’est jamais disputé avec personne », témoigne un habitant du village, encore sous le choc.
Une enquête ouverte
Le corps a été transporté à l’hôpital régional de Kolda pour autopsie, afin de déterminer les circonstances exactes du décès.
  Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour identifier d’éventuels suspects et comprendre le mobile du crime. 
    
Pour l’instant, aucune arrestation n’a été signalée. 
    
Stupeur et peur dans le village
Dans le village de Tognataba, c’est la stupeur.
  Les habitants peinent à réaliser ce qui s’est passé.
  La famille du défunt, effondrée, demande justice et espère que la lumière sera faite sur cette mort inexpliquée. 
    
« Il est sorti pour nourrir ses bêtes comme tous les jours. On l’a retrouvé sans vie… Pourquoi ? » se lamente une de ses épouses.
Ce drame remet sur la table la question de la sécurité des éleveurs dans les zones reculées du sud du pays, où plusieurs meurtres similaires ont été enregistrés ces dernières années. 
    
Le mystère demeure entier à Tognataba.
  Les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour retrouver le ou les auteurs de ce meurtre qui bouleverse toute la région de Sédhiou. 
  
					 
Les habitants de Fass n’ont jamais connu pareille intensité de violences. Depuis trois jours, des affrontements répétés opposent le groupe local Lébougui à la faction JAD, dans ce qui est décrit comme une escalade sans précédent.
Les scènes de bagarre se succèdent, provoquant panique et exodes temporaires dans certains quartiers. Les forces de l’ordre ont été déployées et ont utilisé des gaz lacrymogènes pour tenter de disperser les groupes, mais la situation reste extrêmement tendue. Plusieurs témoins rapportent des jets de pierres, des incendies et des violences ciblées entre les factions. 
    
Pour l’heure, aucune victime officielle n’a été annoncée, mais des riverains signalent des blessés et d’importants dégâts matériels. Les autorités locales appellent à la retenue et promettent une intervention plus musclée si la situation venait à perdurer. 
    
Cette crise marque un tournant dans l’histoire récente de Rufisque, où la rivalité entre factions de quartiers voisins semble atteindre un point critique. La population, elle, espère un retour rapide au calme et dénonce ces violences qui perturbent la vie quotidienne. 
  
					 
Enterré jeudi dans un cimetière , un homme présenté comme présumé homosexuel suscite la colère d’une partie des habitants.
À Touba, l’enterrement d’un homme présumé homosexuel, survenu jeudi, a provoqué une vive polémique.
  Le défunt, résidant de la cité religieuse, a été inhumé selon les rites musulmans dans l’un des cimetières de la localité. Peu après la cérémonie, des informations sur sa vie privée ont commencé à circuler, alimentant la colère de plusieurs habitants. 
    
Dans cette ville considérée comme le cœur spirituel du mouridisme, certains estiment que l’inhumation d’une personne soupçonnée d’homosexualité constitue une atteinte à la sacralité des lieux.
  La situation a suscité de fortes tensions dans certains quartiers, poussant les autorités religieuses à intervenir pour appeler au calme et à la retenue. 
    
L’affaire a rapidement pris de l’ampleur sur les réseaux sociaux, où elle continue de susciter des débats autour de la tolérance, de la foi et du respect des défunts.
  Pour l’heure, aucune mesure officielle n’a été prise, mais la situation demeure suivie de près par les autorités locales. 
  
					 
Face à la rentrée scolaire, le désespoir d’un père a tourné au drame judiciaire.
La rentrée scolaire ne sera pas joyeuse pour O. Sène et son fils. Pour pouvoir payer les frais d’inscription, ce père de famille a tenté une solution illégale qui lui a coûté cher. 
    
En septembre dernier, O. Sène s’est introduit chez une dame sous prétexte que son téléphone était éteint. Il a demandé à emprunter l’appareil pour passer un appel urgent… et ne l’a jamais rendu. Il a rapidement revendu le téléphone sur le marché noir de Mbour pour 35 000 FCfa. 
    
La victime a porté plainte immédiatement. La police, après enquête, a retrouvé le voleur et récupéré le téléphone. Jugé pour vol, O. Sène a été condamné à six mois de prison ferme. 
    
Cette affaire illustre les risques liés au désespoir et rappelle que les solutions illégales entraînent des conséquences lourdes, non seulement pour les auteurs, mais aussi pour leurs proches. 
  
					 
				 L’affaire Ngoné Saliou Diop franchit une nouvelle étape. Après l’audition des plaignants samedi, la journaliste est convoquée ce lundi à la Division spéciale de la cybercriminalité (DSC).
				 
				 Selon Seneweb, cette convocation fait suite à une plainte déposée pour propos offensants tenus le 30 septembre dernier lors d’une émission sur la plateforme Sans Limites.
			 
			 
				 Les déclarations, jugées injurieuses et discriminatoires envers la communauté pulaar, ont suscité une vague d’indignation sur les réseaux sociaux.
  Le procureur Ibrahima Ndoye a confié le dossier à la DSC après la plainte déposée par Me Abou Alassane Diallo, pour le compte du Collectif pour la Défense de la Cohésion Nationale, qui regroupe plusieurs organisations dont ARP Tabital Pulaagu, Kisal Deeyirde Pulaagu et le MEEF. 
    
Cette affaire remet au cœur du débat la responsabilité des acteurs médiatiques et les limites du discours public dans l’espace numérique sénégalais. 
    
  Affaire à suivre ce lundi… 
  
					 
Ce samedi aux environs de 18 heures, Mahmadan Sèye, âgé de 7 ans, a tragiquement perdu la vie par noyade près du marché de Nguiranène, à Touba. L’enfant, qui revenait de l’école, a été surpris par les eaux en furie causées par les récentes pluies.
L’enfant revenait de son école coranique lorsqu’il s’est aventuré dans une zone inondée, connue pour abriter des poissons vivants. Selon des témoins, il aurait tenté de pêcher avant de glisser et de disparaître dans les eaux. 
    
Alertés, les sapeurs-pompiers sont rapidement intervenus et ont repêché le corps sans vie de l’enfant, transporté ensuite à la morgue de l’hôpital Matlabul Fawzeini de Touba. 
    
Ce drame relance les inquiétudes sur les dangers que représentent les zones inondées pour les enfants, surtout en période de fortes pluies. Les autorités locales appellent à une vigilance accrue pour éviter de nouvelles tragédies. 
  
					 
Actualité à Thiès
				 
					 Thiès : la 2ᵉ édition des Rencontres économiques et commerciales des femmes du Sénégal lancée en présence du représentant du ministre Aliou Dione
				 
			
			 
			 
			 
				 
					 Habib Vitain dévoile son programme : “Thiès d’Abord” veut redonner souffle à la cité du rail
				 
			
			 
			 
			 Actualités
				 
					 hiès : Dispute nocturne dégénère, motard frappe à la machette son passager – 2 ans requis
				 
			
			 
			 
			 
				 
					 le président Bassirou Diomaye Faye appelle à une exploitation minière responsable et conforme à la loi
				 
			
			 
			 
			 Service Commercial: 772150237 - Email: seyelatyr@hotmail.com
  








