|
Le Portail de Thiès sur le Web
|
|
Réussir ensemble avec Habib Vitin
24/10/2025
Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
18/10/2025
L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
15/10/2025
Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
14/10/2025
Crise au Cyclisme Sénégalais : La Fédération Sortante Déchue, l’Espoir d’un Nouveau Départ
24/09/2025
La Croix-Rouge forme 71 instructeurs et moniteurs à Thiès pour mieux répondre aux urgences dans tout le pays.
À Thiès, la Croix-Rouge sénégalaise a ouvert ce lundi un camp national de formation visant à renforcer ses capacités en premiers secours. Du 14 au 22 juillet, 71 participants — dont 45 futurs moniteurs et 26 instructeurs — bénéficient de cette session organisée à l’école Moundiaye Thiaw, dans le quartier Takhikao.
Tous les comités départementaux de l'organisation, au nombre de 46, sont représentés à cette formation. L’objectif principal est double : améliorer le niveau des formateurs existants et élargir le nombre de personnel qualifié dans chaque département du pays.
Ibrahima Baal, coordonnateur des projets de développement des premiers secours, a souligné que chaque comité départemental devra disposer, à terme, d’au moins un moniteur et un instructeur opérationnels. Les moniteurs auront pour tâche de former les secouristes sur le terrain, tandis que les instructeurs encadreront ces derniers et géreront les aspects pédagogiques.
Ce projet est soutenu financièrement par la Croix-Rouge de Belgique flamande, avec l’appui du Comité international de la Croix-Rouge et de la Croix-Rouge de Belgique francophone.
La formation aborde plusieurs volets essentiels : techniques de premiers secours, pédagogie, gestion des conflits, et diffusion des valeurs de l’organisation humanitaire. Elle prépare les formateurs à encadrer efficacement des volontaires capables d’intervenir en cas de catastrophe naturelle, d’accident ou lors d’opérations de protection civile.
La Croix-Rouge sénégalaise a également élaboré un manuel dédié aux premiers secours routiers, en réponse aux nombreux accidents de la circulation. Environ 300 chauffeurs et conducteurs de moto-taxis ont déjà été formés dans les régions de Thiès, Fatick, Gossas et Foundiougne.
Forte de ses 45 comités, l’organisation dispose d’un réseau de volontaires mobilisables à tout moment, notamment lors d’inondations. Ces derniers interviennent rapidement, aussi bien dans l’évaluation des besoins que dans l’assistance directe aux populations touchées.
Badara Gadiaga, chroniqueur à TFM, a été placé sous mandat de dépôt ce 14 juillet 2025 après son audition au Tribunal de Dakar. Il était en garde à vue pour des propos controversés dans "Jakaarlo Bi".
À Dakar, ce lundi 14 juillet 2025, le juge d’instruction a ordonné le placement sous mandat de dépôt de Badara Gadiaga, chroniqueur bien connu de la chaîne TFM. Cette décision est intervenue à l’issue de sa comparution devant le magistrat instructeur.
Badara Gadiaga avait été appréhendé et gardé à vue durant plusieurs jours par la Division Spéciale de la Cybersécurité (DSC), en raison de propos jugés contraires aux bonnes mœurs, tenus dans le cadre de l’émission télévisée "Jakaarlo Bi".
Ses avocats, mobilisés depuis le début de l’affaire, ont annoncé une déclaration publique imminente pour commenter cette évolution judiciaire.
Trois hommes ont été arrêtés par la police de Grand Yoff pour des vols ciblant les automobilistes, principalement des femmes, sur le pont de l’Émergence. Ils simulaient des accidents pour dérober des téléphones.
Le Commissariat d’arrondissement de Grand Yoff a procédé, ce 12 juillet 2025 vers 20 heures, à l’interpellation de trois individus près de la Cité Millionnaire. Ils sont accusés d’association de malfaiteurs et de vol en réunion commis la nuit.
Un comportement suspect qui alerte les policiers
Les trois suspects ont attiré l’attention d’une patrouille par leur attitude jugée suspecte. Lors de leur fouille, un des individus était en possession de trois téléphones portables, dont il n’a pu justifier la provenance. Deux des appareils ont été immédiatement reconnus par leurs propriétaires, qui ont contacté les lignes et déclaré avoir été agressés plus tôt sur le pont de l’Émergence.
Un stratagème bien établi
Au cours de leur interrogatoire, les suspects ont avoué leur mode opératoire : ils simulaient un accident de la circulation pour détourner l’attention des automobilistes, ciblant en particulier les femmes. Profitant de la confusion, ils s’introduisaient discrètement dans les véhicules pour y dérober des téléphones ou objets de valeur.
Ils ont également reconnu agir régulièrement sur les ponts de l’Émergence et de la Foire, en particulier aux heures de pointe.
Garde à vue et poursuite de l’enquête
Les trois hommes ont été placés en garde à vue en attendant leur présentation au parquet. L’enquête se poursuit afin d’identifier d’éventuelles autres victimes ou complices impliqués dans ce réseau.
dakaractu
Djiby Gueye, devenu aveugle après la 6e, entre dans l’histoire en obtenant le bac à Saint-Louis. Un parcours inspirant marqué par la résilience et l’éducation inclusive.
Djiby Gueye a réalisé un exploit historique en devenant le premier élève déficient visuel à obtenir le baccalauréat dans l’académie de Saint-Louis, selon une information relayée par l’Inspection d’Académie.
Le jeune homme a perdu la vue après la classe de 6e et a dû rester un temps à la maison, dans son village de Ndioug Mberesse, ignorant l’existence d’un programme d’éducation inclusive spécialisé à Saint-Louis.
Grâce à une information reçue plus tard, il intègre l’école Boly Diaw, établissement adapté aux besoins des élèves non-voyants. Il y bénéficie d’un programme de rééducation et de mobilité, selon M. Ndiaye, agent de l’Institut national de l’éducation et de la formation des jeunes aveugles (INEFJA) et coordinateur du programme à Saint-Louis.
Formé à l’écriture et à la lecture braille, Djiby poursuit sa scolarité au collège Guillabert, où il décroche son BFEM, avant d’être orienté au Lycée De Gaulle. Ses enseignants y saluent unanimement son engagement et sa détermination exceptionnels.
Pour passer son baccalauréat, Djiby a dû se rendre à Thiès, qui abrite le seul centre d’examen adapté aux élèves déficients visuels du pays.
Deux autres élèves aveugles de l’académie s’apprêtent à passer leur BFEM le 16 juillet, preuve que l’éducation inclusive continue de progresser au Sénégal.
aps
Après un malentendu sur une supposée expulsion, la mairie de Tivaouane confirme que les vendeuses de fruits installées sur la route de Mboro peuvent poursuivre leurs activités en toute légalité.
La mairie de Tivaouane a finalement autorisé les vendeuses de fruits installées le long de la route de Mboro à rester sur les lieux, malgré une sommation adressée en début de semaine leur demandant de quitter l’espace. L’information a été confirmée ce vendredi par un agent municipal dépêché sur place.
Selon ce dernier, la situation a connu une « évolution positive ». Il a précisé, lors d’un échange parfois tendu avec les vendeuses, que sa présence visait essentiellement à évaluer les risques liés à la circulation de camions transportant du sable et d’autres matériaux de construction. Ces derniers sont utilisés pour l’érection d’un mur de clôture mitoyen à une boulangerie proche du site occupé par les vendeuses.
Il a également tenu à clarifier un malentendu, affirmant qu’il n’a jamais été question d’une expulsion officielle. « La municipalité n’a jamais cédé cet espace public au propriétaire de la boulangerie, et aucune décision d’expulsion n’a été prise », a-t-il assuré.
En conclusion, les vendeuses peuvent continuer leurs activités sur place en toute légitimité, a rassuré le représentant de la mairie.
À Grand Thiès, le calme des nuits est troublé par un inquiétant phénomène. Un chien sauvage s’introduit régulièrement dans le cimetière de Keur Madocky pour déterrer des tombes. Depuis plusieurs nuits, les habitants vivent dans la peur et dorment à peine.
À proximité du cimetière, un parking est gardé par Baye Siny, qui a donné l’alerte après avoir surpris l’animal en pleine action. Préoccupés, les riverains se sont aussitôt tournés vers l’imam de la mosquée pour trouver une solution et stopper les agissements de cet animal qui continue de terroriser le quartier.
« Le chien vient toutes les nuits, on est sous le choc. Nous lançons un appel aux autorités compétentes car la situation nous dépasse », témoigne Baye Siny, le gardien du parking.
Les habitants espèrent une intervention rapide pour mettre fin à ce drame qui trouble la quiétude du quartier et porte atteinte au repos des défunts.
À Tunis, les ministres de la Défense du Sénégal et de la Tunisie ont réaffirmé leur volonté de renforcer les liens militaires, en misant sur la formation, l’expertise et de nouveaux axes de coopération.
Le ministre sénégalais des Forces armées, Général Birame Diop, a rencontré ce vendredi à Tunis son homologue tunisien Khaled Shili, afin de discuter du renforcement de la coopération militaire entre leurs deux pays.
Cette rencontre a permis aux deux responsables de réaffirmer leur engagement commun en faveur d’un partenariat renforcé, notamment dans les domaines de la formation militaire, du partage d’expertises et des visites croisées entre les armées des deux nations.
D’après un communiqué émanant du ministère tunisien de la Défense, cité par plusieurs médias, cette réunion a mis en lumière les liens historiques qui unissent Dakar et Tunis dans le domaine militaire. Le ministre tunisien a souligné l’importance de consolider cette coopération à travers un cadre juridique clair et structurant, afin de faciliter la mise en œuvre de projets conjoints.
Pour sa part, le Général Birame Diop a exprimé le souhait du Sénégal de diversifier les axes de coopération, en explorant de nouveaux domaines stratégiques au service de la sécurité régionale.
La visite du ministre sénégalais à Tunis s’inscrit dans le cadre d’une conférence internationale consacrée à la thématique : « Bâtir une confiance mutuelle avec les populations civiles est essentielle ». Il a salué cette initiative portée par la Tunisie en partenariat avec les Nations Unies, la qualifiant de contribution significative à la consolidation de la paix.
Un transhumant a perdu la vie avec ses deux ânes après avoir été percuté par un camion sur la route nationale n°1 à Maleme Niani, ce 10 juillet 2025. Le chauffeur est en garde à vue.
Un grave accident de la circulation s’est produit ce jeudi 10 juillet 2025, aux alentours de 16 heures, sur la route nationale n°1, à hauteur de Maleme Niani, dans le département de Koumpentoum.
Un transhumant, dont l’identité n’a pas encore été révélée, a été mortellement fauché par un camion alors qu’il traversait la chaussée avec sa charrette tirée par deux ânes, en direction d’un forage pour y chercher de l’eau. Le choc, particulièrement violent, a causé la mort instantanée de l’homme ainsi que celle de ses deux animaux.
Les éléments de la gendarmerie de Koumpentoum, rapidement dépêchés sur les lieux, ont procédé aux constatations d’usage. Le conducteur du poids lourd, identifié comme Ibrahima Ba, a été placé en garde à vue pour homicide involontaire, en attendant l’issue de l’enquête ouverte par les autorités.
Actualité à Thiès
Thiès : Vives réactions des marchands après le déguerpissement
L’AICS soutient la jeunesse et la biodiversité dans trois régions clés du Sénégal
Actualités
Touba : mise en service de la nouvelle ligne ferroviaire reliant Touba, Mbacké et Ngabou
À Matam, les éleveurs toujours en attente des vaccins contre la fièvre de la Vallée du Rift
Service Commercial: 772150237 - Email: seyelatyr@hotmail.com







