Selon les informations rapportées par L’Observateur, la victime, identifiée sous les initiales M. Fall, avait passé la matinée à aider sa mère avant de préparer le repas du jour. Une fois le déjeuner prêt, elle s’est retirée dans sa chambre pour se reposer.
Quelques instants plus tard, ses proches, ne la voyant pas ressortir, sont allés la chercher. Ils ont alors découvert l’irréparable : la jeune fille s’était pendue à l’aide d’un morceau de tissu attaché à une poutre.
Alertés, les habitants du quartier se sont précipités sur les lieux, bouleversés par la scène.
« Elle était douce, sérieuse, et toujours souriante. On ne comprend pas ce qui a pu se passer », témoigne une voisine, encore sous le choc.
Les autorités policières et judiciaires se sont immédiatement rendues sur place pour effectuer les premiers constats. Le corps sans vie de la jeune élève a été acheminé à la morgue de l’hôpital régional de Sédhiou pour autopsie.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame. Pour l’heure, aucune hypothèse n’est écartée.
Ce drame tragique relance la réflexion sur la détresse psychologique silencieuse que peuvent traverser certains adolescents, souvent sous pression à l’école ou à la maison.
À Moricounda comme ailleurs, l’émotion reste vive, et les appels à la vigilance se multiplient pour mieux écouter et accompagner les jeunes face à leurs difficultés.
Quelques instants plus tard, ses proches, ne la voyant pas ressortir, sont allés la chercher. Ils ont alors découvert l’irréparable : la jeune fille s’était pendue à l’aide d’un morceau de tissu attaché à une poutre.
Alertés, les habitants du quartier se sont précipités sur les lieux, bouleversés par la scène.
« Elle était douce, sérieuse, et toujours souriante. On ne comprend pas ce qui a pu se passer », témoigne une voisine, encore sous le choc.
Les autorités policières et judiciaires se sont immédiatement rendues sur place pour effectuer les premiers constats. Le corps sans vie de la jeune élève a été acheminé à la morgue de l’hôpital régional de Sédhiou pour autopsie.
Une enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes du drame. Pour l’heure, aucune hypothèse n’est écartée.
Ce drame tragique relance la réflexion sur la détresse psychologique silencieuse que peuvent traverser certains adolescents, souvent sous pression à l’école ou à la maison.
À Moricounda comme ailleurs, l’émotion reste vive, et les appels à la vigilance se multiplient pour mieux écouter et accompagner les jeunes face à leurs difficultés.