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Société sur Thies info
À l’occasion d’Octobre Rose, le mouvement PAMASY a tenu un forum à Thiès pour sensibiliser sur le cancer du sein et promouvoir la solidarité féminine. Madame Sy, présidente du mouvement, a dénoncé le manque de matériel médical et les difficultés que rencontrent les malades pour se soigner, tout en appelant les jeunes à se former pour réussir et servir.
Le mouvement PAMASY a organisé à Thiès un Forum Octobre Rose consacré à la prévention du cancer du sein et à la promotion du leadership communautaire.
Devant un public composé d’acteurs de santé, de femmes leaders et de jeunes, Madame Sy, présidente du mouvement, est revenue sur la signification du sigle PA.MA.SY, un hommage à son frère Pape Matar Sy, symbole d’un engagement fraternel et citoyen.
« PA.MA.SY, c’est le symbole d’un lien fort et d’un rêve partagé pour Thiès », a-t-elle confié, émue, avant de lancer un appel fort :
« Il est urgent de renforcer les moyens destinés aux structures de santé. Beaucoup de femmes malades ont des problèmes pour se soigner faute de matériel et de ressources. On ne peut pas parler de lutte efficace contre le cancer si les structures manquent de moyens. »
Cette déclaration a été particulièrement saluée par l’assistance, soulignant la nécessité d’un soutien concret pour les malades et d’une meilleure prise en charge médicale.
Dans le même élan, Madame Sy a exhorté la jeunesse Thiessoise à s’investir davantage dans la formation et le développement local :
« Les jeunes doivent se former pour réussir et servir », a-t-elle martelé, insistant sur le rôle central de la jeunesse dans la transformation sociale et économique du pays.
Le forum a également été marqué par des séances de dépistage, des témoignages de femmes survivantes et des ateliers de sensibilisation, le tout dans une ambiance d’engagement et de solidarité.
En s’inscrivant dans la dynamique nationale d’Octobre Rose, PAMASY réaffirme son ambition : vendre l’image de Thiès à travers des actions sociales, culturelles et communautaires, tout en mettant l’accent sur la santé et le bien-être des femmes.
Les étudiants ressortissants de Tivaouane sont descendus dans la rue ce mercredi pour réclamer le paiement de leurs subventions municipales, en souffrance depuis deux ans, couvrant les années scolaires 2023-2024 et 2024-2025.
La journée de protestation a débuté par le délogement de certains établissements moyen-secondaire, avant que les manifestants ne se dirigent en nombre vers la mairie de Tivaouane. Sur place, les étudiants ont scandé le nom du maire Demba Diop Sy, exigeant une rencontre directe avec lui.
Deux représentants du collectif des étudiants ressortissants de Tivaouane ont finalement été reçus par le deuxième adjoint au maire, tandis que le reste des manifestants patientait dans le hall de la mairie.
Mais la tension est vite montée : lorsque les agents municipaux ont tenté de faire quitter les étudiants, des échanges vifs ont éclaté, entraînant des vitres brisées, des jets de pierres et quelques blessés légers.
La police est intervenue pour disperser la foule et rétablir le calme aux abords de la mairie.
Plusieurs étudiants affirment traverser une situation financière critique, évoquant des loyers impayés et des risques d’expulsion de leurs logements à Dakar, faute du versement de leurs allocations.
Cette manifestation met en lumière le malaise persistant entre la mairie et les étudiants de la commune, dans un contexte où les aides locales représentent souvent une bouée de survie pour de nombreux jeunes issus de familles modestes.
Mboro-sur-Mer est plongée dans le deuil après la noyade tragique d’un garçon âgé de 10 ans survenue ce mardi lors d’une baignade. Selon les témoins présents, l’enfant se trouvait en train de profiter de la mer lorsqu’il a été surpris par une vague et s’est retrouvé en difficulté. Malgré l’intervention rapide des secours alertés par les proches, les tentatives de réanimation ont été vaines.
Les autorités locales et les services de secours ont rappelé l’importance de la vigilance autour des zones de baignade, particulièrement pour les enfants. Les accidents en mer, souvent liés à l’imprudence ou à l’absence de surveillance, restent malheureusement fréquents, même sur des plages réputées sûres.
Les familles et les accompagnateurs sont encouragés à respecter strictement les consignes de sécurité : ne jamais laisser les enfants sans surveillance, privilégier les zones surveillées par des maîtres-nageurs, et équiper les plus jeunes de dispositifs de flottaison adaptés.
La communauté de Mboro-sur-Mer est sous le choc, et les habitants expriment leur solidarité envers la famille endeuillée. Ce drame rappelle également la nécessité pour les autorités de renforcer les mesures de sécurité sur les plages et de sensibiliser davantage le public aux risques liés à la baignade en mer.
En mémoire du jeune garçon, des appels à la prudence et à la responsabilité sont lancés afin d’éviter que de tels incidents ne se reproduisent.
L’association « Cœur Citoyen », dirigée par Mouhamed Seck, a procédé ce week-end à sa 13ᵉ collecte humanitaire en faveur des détenus de la Maison d’arrêt et de correction (MAC) de Thiès. Une initiative saluée par les autorités pénitentiaires, mais également marquée par un cri du cœur du responsable de l’association, qui a dénoncé les conditions de détention et la lenteur des procédures judiciaires au Sénégal.
Lors de la remise du don, composé de vivres, de produits d’hygiène et de matériel sanitaire, Mouhamed Seck a rappelé que la privation de liberté ne doit jamais signifier la perte de dignité.
« Nous avons rencontré des jeunes qui sont en détention depuis plus de deux ans sans jugement. C’est une situation profondément injuste. La détention préventive prolongée est une souffrance morale et sociale », a-t-il déclaré devant la presse.
Le militant social a appelé les autorités judiciaires à réformer le système de traitement des dossiers afin de réduire les délais d’attente des prévenus. Selon lui, la lenteur de la justice ne fait qu’alimenter la frustration et compromettre la réinsertion sociale des détenus.
Les représentants de l’administration pénitentiaire, présents à la cérémonie, ont salué la régularité de ces collectes qui permettent d’améliorer le quotidien des pensionnaires de la MAC de Thiès.
Cette 13ᵉ édition a mobilisé plusieurs partenaires locaux, des entreprises et des particuliers sensibles à la cause carcérale.
« Ce que fait l’association Cœur Citoyen va au-delà de la charité : c’est une leçon d’humanité et de solidarité », a souligné le régisseur adjoint de la prison.
En conclusion, Mouhamed Seck a réaffirmé son engagement à poursuivre cette œuvre sociale, tout en plaidant pour une humanisation du système judiciaire et pénitentiaire sénégalais, où, selon lui, « la justice doit aller de pair avec la dignité humaine ».
Arona Ngaïdo, déjà poursuivi pour « coups et blessures volontaires » sur son frère A. Kane, est de nouveau au centre d’une affaire judiciaire à Matam. Selon le journal L’Observateur, l’homme avait été mis en liberté provisoire jeudi dernier, en attendant sa comparution devant le tribunal de grande instance, après avoir ligoté et battu son frère au sang, l’accusant de vol.
À peine de retour chez lui, Arona Ngaïdo s’en est pris à trois de ses voisins, S. Konté, A. A. Kane et S. Konté. Convaincu qu’ils étaient responsables de sa détention précédente, il les a accusés d’avoir alerté la gendarmerie. Armé d’une machette, il a tenté de les agresser physiquement, provoquant un échange de coups avant que les victimes ne réussissent à le maîtriser.
Les victimes, conscientes de la dangerosité du mis en cause, se sont rendues à la gendarmerie de Semme pour déposer plainte. Lors de sa convocation, Arona Ngaïdo a reconnu les faits et a expliqué que sa réaction était motivée par une volonté de vengeance contre ses voisins, qu’il tenait pour responsables de son incarcération.
Après sa garde à vue, le cultivateur a été déféré au parquet de Matam lundi dernier, où un mandat de dépôt a été prononcé à son encontre. L’affaire est désormais en cours d’instruction, et le suspect restera détenu en attendant son procès.
Le Tribunal de grande instance de Mbour a rendu, ce lundi, son verdict dans une affaire de mœurs qui a secoué la localité de Thiadiaye. Deux individus, un commerçant et un jeune homme, ont été reconnus coupables d’« actes contre nature ».
Le principal accusé, I. Niane, commerçant bien connu dans la zone, a écopé de trois ans de prison ferme. Son coaccusé, N. S., âgé de 18 ans, a pour sa part été condamné à trois mois d’emprisonnement.
Selon les informations , les faits remontent à plusieurs semaines. Originaire de Touba, le jeune N. S. aurait été placé sous l’influence de Niane, décrit comme un homme manipulateur recourant à des pratiques mystiques pour attirer sa victime. Sous cette emprise, le commerçant aurait entretenu avec lui des rapports sexuels à plusieurs reprises.
Lors du procès, une vidéo compromettante a été produite devant la barre, confirmant la nature de leur relation. Le procureur, évoquant « l’influence néfaste et dégradante » exercée par le commerçant sur le jeune homme, a requis des peines exemplaires.
La défense, de son côté, a tenté d’obtenir la clémence du tribunal en invoquant de prétendus troubles psychologiques chez Niane — un argument rejeté par la cour.
Au terme des débats, le tribunal a reconnu la culpabilité des deux prévenus, estimant que les faits étaient suffisamment établis par les éléments du dossier, notamment la vidéo versée aux débats.
Plus de trente ans après leurs premiers versements, les membres du Collectif des souscripteurs spoliés de la SN-HLM de Thiès continuent de réclamer justice. Malgré des manifestations répétées, des sit-in et des points de presse, leur rêve d’accéder enfin à leurs parcelles demeure un mirage.
Selon lui, toutes les autorités compétentes ont été saisies :
« Le maire de Thiès-Est nous a reçus et est même descendu sur le site. Nous avons écrit au président de la République, au ministre de l’Urbanisme, au directeur de l’Urbanisme, au directeur régional des Domaines de Thiès, au gouverneur, à tous les maires de la ville et à tous les responsables politiques… Mais aucune suite. Seul le Premier ministre Ousmane Sonko nous a répondu, en nous mettant en rapport avec le ministre de l’Urbanisme, qui, jusqu’à présent, ne nous a jamais reçus. »
Un combat vieux de trois décennies
Créé en 2018, le collectif se bat pour corriger une injustice née au début des années 1990. À l’époque, plusieurs citoyens avaient cotisé auprès de la Société nationale des habitations à loyer modéré (SN-HLM) pour obtenir des parcelles à Thiès.
Mais, un jour, la direction générale de la SN-HLM leur annonce qu’elle ne leur doit rien. Motif : leurs versements auraient été détournés par un ancien chef d’agence à Thiès, aujourd’hui décédé.
« Son successeur nous a demandé de reverser les mêmes montants, ce que beaucoup ont fait, espérant voir la situation régularisée. Mais rien n’a changé », confie Alioune Ndiaye, amer.
Plus de 156 millions de francs CFA en jeu
Selon le collectif, les souscripteurs ont versé au total 156 798 710 F CFA dans les caisses de la SN-HLM.
« Jusqu’à présent, aucun engagement n’a été respecté », martèle son président, qui appelle les autorités à rétablir les victimes dans leurs droits.
Un grave accident s’est produit dans la nuit du dimanche au lundi à Mékhé, dans le département de Tivaouane. Deux motos Jakarta sont entrées en collision à vive allure, provoquant la mort d’un jeune homme de 25 ans et blessant grièvement un autre, âgé d’une vingtaine d’années.
Le drame est survenu vers 23h30, à l’intersection entre la Route nationale n°2 (RN2) et la voie reliant Mékhé à Mérina Dakhar, Pékesse et Thilmakha. Selon les premiers éléments recueillis sur place, l’accident aurait été causé par un croisement dangereux entre les deux engins roulant à grande vitesse.
Les sapeurs-pompiers de Mékhé, alertés par les habitants, sont intervenus pour évacuer les victimes. Le corps sans vie du conducteur décédé a été déposé à la morgue du centre de santé local, tandis que le blessé a été pris en charge en urgence par le personnel médical.
Mais un fait étrange retient particulièrement l’attention des forces de l’ordre. D’après plusieurs témoins présents au moment du drame, la moto du défunt aurait disparu peu après la collision. Une disparition jugée suspecte par les enquêteurs, qui cherchent à savoir s’il s’agit d’un vol ou d’une tentative de camoufler des preuves.
Une enquête est ouverte pour faire la lumière sur les circonstances exactes de cet accident mortel et sur la disparition inexpliquée de l’un des engins impliqués.
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