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24/10/2025
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14/10/2025
Société sur Thies info
Un Livre blanc remis au président sénégalais dénonce le massacre « prémédité » et « camouflé » de tirailleurs africains par l’armée française en 1944, ces soldats réclamant leurs soldes après avoir combattu en Europe
Le traumatisme lié à ce massacre est toujours vif au Sénégal et dans les autres pays concernés. Ces tirailleurs étaient originaires de plusieurs pays ouest-africains (Sénégal, Côte d’Ivoire, Guinée, Haute Volta - devenue aujourd’hui le Burkina Faso). Rapatriés après avoir combattu pour l’armée française en Europe lors de la Seconde Guerre mondiale, ils réclamaient le paiement d’arriérés de soldes avant de rentrer chez eux.
Un nombre de morts sans doute dix fois plus important
Selon le bilan des autorités coloniales françaises à l’époque, au moins 35 tirailleurs avaient trouvé la mort lors de ce massacre au camp de Thiaroye, près de Dakar, où ils étaient rassemblés. Un bilan sans doute très largement sous-estimé, affirme le comité de chercheurs auteurs du rapport. Selon eux, les « estimations les plus crédibles avancent les chiffres de 300 à 400 » morts.
Un jeune garçon âgé de moins de 14 ans a été retrouvé en état d’ivresse et sous l’influence de substances comme le « souss » sous un pont situé dans une zone réputée dangereuse de la ville. Selon les témoins, l’enfant, visiblement désorienté, a failli tomber dans la mer, risquant un accident tragique.
Les habitants de Saint-Louis expriment leur inquiétude face à ce type d’incidents, soulignant la nécessité d’une surveillance accrue des zones à risque et d’une sensibilisation aux dangers liés à l’alcool et aux drogues chez les mineurs.
Les autorités locales rappellent aux familles l’importance de veiller à la sécurité des enfants et annoncent qu’elles renforceront les actions de prévention contre l’usage de substances illicites.
À l’occasion de la Journée mondiale de l’alimentation, nutritionnistes et autorités alertent sur les dérives alimentaires qui menacent la santé des Sénégalais. Entre traditions culinaires et fast-foods, le pays est à un tournant.
Longtemps, ces recettes traditionnelles à base de produits locaux — mil, poisson, arachide, légumes — ont constitué une alimentation équilibrée et nourrissante.
Mais depuis quelques années, les habitudes évoluent à grande vitesse. Sous l’effet de l’urbanisation, du manque de temps et de la mondialisation, les repas faits maison cèdent du terrain aux produits importés, raffinés ou transformés. Le riz blanc a remplacé le mil et le fonio ; les boissons sucrées et les plats rapides ont envahi le quotidien.
Les nutritionnistes parlent d’une “transition alimentaire à risque”.
La plupart des Sénégalais consomment aujourd’hui trop de sel, trop d’huile et trop de sucre.
L’huile d’arachide est utilisée en excès dans la cuisine quotidienne.
Le sel est ajouté systématiquement, même dans les aliments déjà salés.
Le célèbre ''attaya'', symbole d’hospitalité, est souvent préparé avec plusieurs cuillères de sucre.
Et les jeunes citadins, séduits par la “street food”, se nourrissent de shawarmas, sandwichs omelette-mayonnaise et hamburgers à longueur de journée.
Conséquence directe : les maladies non transmissibles explosent. Selon nos recherches, près de 30 % des adultes sénégalais sont en surpoids et le diabète touche environ 6 % de la population — souvent sans diagnostic.
Le paradoxe sénégalais est saisissant : dans les villes, on mange trop gras, trop sucré, trop salé ; dans les campagnes, beaucoup peinent encore à manger à leur faim.
Le pays affronte ainsi une double charge nutritionnelle : la malnutrition infantile persiste pendant que les maladies liées à la surconsommation progressent.
Cette situation reflète une fracture alimentaire entre classes sociales, régions et modes de vie.
Le tribunal de grande instance de Mbour a rendu son verdict dans l’affaire qui opposait le directeur du centre de football de Bandia, D. Faye, à un jeune pensionnaire de 18 ans et à son père. Poursuivi pour agressions sexuelles et escroquerie, l’homme a finalement été innocenté, au terme d’un procès très médiatisé.
Selon ses déclarations, ces massages se seraient transformés à plusieurs reprises en gestes déplacés, à son insu et sans son consentement.
… mais un différend financier en toile de fond
Derrière ces accusations, l’affaire révèle aussi un conflit d’argent. Le père du jeune joueur avait versé 400 000 FCFA pour un voyage d’essai en Espagne. Mais son fils fut finalement écarté du projet. En outre, trois mois de frais de pension, soit 225 000 FCFA, restaient impayés.
À la barre, D. Faye a fermement rejeté les accusations, dénonçant une « machination » visant à récupérer les sommes versées sans solder les dettes dues au centre.
Une relaxe prononcée, faute de preuves
Après plusieurs audiences, la justice a constaté l’absence de preuves matérielles étayant les accusations du plaignant : aucun certificat médical n’a été produit, et plusieurs incohérences ont été relevées dans les témoignages.
Le tribunal a donc décidé de relaxer purement et simplement D. Faye, qui retrouve désormais sa liberté et son poste.
S’il savoure sa victoire judiciaire, le directeur du centre n’a pas caché son ressentiment. Devant les journalistes, il a confié :
« Je remets tout entre les mains de Dieu. »
Cette affaire, qui aura profondément secoué le petit monde du football amateur sénégalais, pose une fois encore la question de la gestion éthique des centres privés de formation et de la protection des jeunes sportifs.
Mercredi 15 octobre 2025, les artistes Mohamed Fall, connu sous le nom de scène 10.000 Problèmes, et Lamine Kangam ont été placés en garde à vue pour « chantage, diffusion de fausses nouvelles et extorsion de fonds », suite à une plainte déposée par Serigne Abdou Fall.
Selon les informations relayées par Libération et Seneweb, le duo aurait accusé Serigne Abdou Fall d’homosexualité dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Ils lui auraient ensuite demandé plus d’un million de FCFA pour retirer cette vidéo compromettante. Après avoir versé 300 000 FCFA, Serigne Abdou Fall aurait été de nouveau sollicité pour un montant de 10 millions FCFA.
Face à ces pressions répétées, la victime a saisi la justice, qui a décidé de placer les deux suspects en garde à vue pour enquêter sur ces faits graves. L’affaire est actuellement entre les mains des autorités judiciaires et pourrait aboutir à des poursuites pénales.
Cette arrestation suscite de vives réactions sur les réseaux sociaux, où de nombreux internautes dénoncent ces pratiques de chantage et d’extorsion de fonds. Les autorités, quant à elles, insistent sur l’importance de signaler ce type de comportement pour préserver la sécurité et l’intégrité des citoyens.
Le décès tragique d'A. Diémé, jeune peintre originaire du village de Bassada dans la commune d'Inor (département de Bounkiling), a été confirmé le mercredi 15 octobre 2025. Il a perdu la vie dans un accident de la route survenu sur la nationale N°4, au croisement de Kandiallo, alors qu'il se rendait à Bignona pour acheter de nouveaux seaux de peinture après avoir épuisé son stock.
D'après les informations disponibles, A. Diémé était descendu du tricycle transportant sa marchandise pour reprendre sa moto Jakarta qu'il avait garée sur place. Le tricycle devait le suivre vers son village, où il prévoyait de terminer les travaux de peinture de son domicile. Malheureusement, il a été mortellement heurté par un bus. Son corps a été transporté au centre de santé de Bounkiling, et une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de ce drame.
Pour rappel, A. Diémé était également le coordonnateur communal de Pastef dans la commune d'Inor, et il était connu sous le surnom de "Lindo bu SONKO". Des hommages ont été rendus en sa mémoire sur les réseaux sociaux, notamment sur la page officielle de Pastef Les Patriotes
L’affaire qui a secoué la paisible localité de Nguékhokh, dans le département de Mbour, vient de connaître un nouveau tournant. L’autopsie pratiquée sur le corps de Mbaye Sy, ancien policier et agent immobilier âgé d’environ 70 ans, a confirmé la thèse du suicide par pendaison.
Le drame est survenu le lundi 6 octobre, lorsque le septuagénaire a été retrouvé pendu dans sa chambre, dans des circonstances jugées étranges par ses proches. Selon les premiers éléments recueillis sur place, le défunt avait été découvert debout, dos au mur, le cou noué à l’aide d’un morceau de tissu accroché à la grille extérieure de la fenêtre.
Une position inhabituelle et un dispositif jugé fragile avaient immédiatement semé le doute dans l’esprit des voisins et de la famille, convaincus qu’il ne pouvait s’agir d’un suicide. Certains évoquaient même une mise en scène, réclamant une enquête approfondie.
Mais les conclusions du rapport médico-légal établi à l’hôpital de Mbour ont levé toute ambiguïté :
« Le décès est consécutif à une pendaison », indique le document cité par L’Observateur.
Ces résultats confirment donc les premiers constats de la gendarmerie de Nguékhokh, écartant pour l’instant toute piste criminelle.
Selon des sources proches de l’enquête, Mbaye Sy, ancien élément de la Police nationale reconverti dans l’immobilier, vivait seul et aurait traversé une période de profonde détresse morale. Les enquêteurs cherchent désormais à comprendre les raisons intimes qui ont pu pousser cet homme, décrit comme calme et discret, à commettre l’irréparable.
Une enquête est toujours en cours pour éclaircir les dernières zones d’ombre autour de ce drame qui laisse la communauté de Nguékhokh sous le choc.
Une scène de ménage pour le moins inhabituelle a conduit une femme de Keur Birima, localité de Notto Diobass (région de Thiès), devant la barre du tribunal d’instance.
Y. Fall, épouse de K. Diagne, était poursuivie pour coups et blessures volontaires sur son mari, dans une affaire qui a fait grand bruit dans la communauté.
Selon les éléments du dossier, tout serait parti d’un simple désaccord sur l’utilisation… d’un ventilateur.
Le mari, K. Diagne, aurait refusé que son épouse utilise l’appareil. Une querelle éclate, les esprits s’échauffent, et la tension monte rapidement dans le foyer.
Dans un accès de colère, Y. Fall s’empare du ventilateur et frappe son mari, provoquant des blessures.
Devant le juge, la prévenue n’a pas nié les faits. Elle a toutefois affirmé avoir agi en légitime défense, soutenant qu’elle avait été battue en premier par son époux.
Les débats ont mis en lumière un climat conjugal tendu, marqué par des disputes récurrentes.
Après délibération, le tribunal a reconnu Y. Fall coupable des faits reprochés.
Cependant, tenant compte des circonstances et de l’absence d’antécédents judiciaires, le juge a prononcé une amende de 20 000 FCFA assortie du sursis.
La femme a été libérée à l’issue de l’audience, sous les regards soulagés de ses proches.
Cet épisode a relancé dans la localité de Notto Diobass le débat sur les violences conjugales et la gestion des conflits domestiques.
Beaucoup appellent à plus de médiation familiale et de sensibilisation pour éviter que de simples désaccords ne se transforment en drames judiciaires.
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