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Société sur Thies info
La nouvelle est tombée comme un couperet samedi dernier à 14h00 : Mouhamed Gueye, 26 ans, jeune Sénégalais installé à Ajaccio, a été abattu par un policier sur le cours Napoléon, en pleine journée. À Dakar, son père, Moumar Gueye, proviseur dans un grand lycée, peine à accepter l’impensable.
Selon le procureur d’Ajaccio, le policier aurait tenté de neutraliser le jeune homme après que celui-ci se soit montré menaçant envers des passants avec un couteau.
Trois balles ont été tirées, tuant Mouhamed sur le coup.
« Certes, il fallait le maîtriser, mais il était possible de viser des points non mortels, comme les bras ou les jambes. Le tuer ainsi, comme un animal, c’est lâche et ignoble », confie, la voix brisée, Moumar Gueye.
La famille insiste sur le caractère pacifique et sérieux de Mouhamed. Arrivé en France en 2020 avec un visa étudiant, il travaillait dans la restauration et avait obtenu un CDI. Ses proches évoquent un jeune homme « sans problème », marqué seulement par un court séjour à l’hôpital psychiatrique en 2024, lié au stress et au surmenage.
« Le jour même de sa mort, j’ai parlé avec son patron. Il m’a répondu : ‘C’est un jeune sérieux, travailleur, exemplaire.’ Parmi tous les employés, c’est le seul à avoir un CDI », explique son père.
Aucune plainte n’a encore été déposée, mais Moumar Gueye envisage de saisir la justice française pour homicide volontaire. Dans une lettre aux autorités sénégalaises, il demande au président Bassirou Diomaye Faye de « prendre ses responsabilités » et de l’aider à faire toute la lumière sur ce drame.
Pour la famille et les proches, ce drame était évitable, et il laisse un goût amer : « C’est un sentiment de dégoût et d’injustice », confie Moumar Gueye.
L’enquête sur la mort tragique de Binetou Guèye, âgée de 33 ans, prend une tournure décisive. La jeune femme a été tuée par balle, samedi dernier, à Keur Mbaye Fall, par son époux P. M. Diop. Après l’écrou du principal suspect, la brigade de gendarmerie de la Zone franche industrielle (ZFI) a procédé à quatre nouvelles arrestations, compliquant un peu plus la situation du mari de la victime.
Les personnes interpellées sont : le père et la mère du suspect, un ami venu le voir quelques heures avant le drame, ainsi qu’une dame soupçonnée d’être la petite-amie du mis en cause. Ces développements viennent contredire la thèse d’un accident avancée par P. M. Diop.
Selon nos sources, l’exploitation du téléphone portable du suspect et les témoignages recueillis par les enquêteurs indiquent que le meurtre serait lié à une histoire de jalousie.
Le mari de Binetou Guèye aurait loué un appartement à Thiaroye pour cette maîtresse présumée.
La famille de la défunte, qui ne croyait pas à la version accidentelle du drame, se montre soulagée par ces avancées. La mère de Binetou Guèye a affirmé qu’elle espère que justice sera rendue à sa fille, tandis qu’une sœur a révélé dans L’Observateur : « Il la harcelait régulièrement. Nous savions tous qu’elle n’était pas heureuse dans son mariage, mais Binetou ne voulait se confier à personne. »
Autre élément crucial de l’enquête : le téléphone de P. M. Diop a mystérieusement disparu. Plusieurs médias rapportent que ce sont ses parents qui l’auraient dissimulé, d’où leur interpellation.
À ce stade, le mari de Binetou Guèye n’est plus poursuivi pour homicide involontaire mais pour meurtre, détention illégale d’arme et défaut de papiers administratifs afférents à l’arme. L’enquête se poursuit et devrait permettre d’éclaircir les zones d’ombre de ce drame conjugal qui a bouleversé Keur Mbaye Fall.
Une opération rapide de la police a permis d’éviter la commercialisation d’une viande impropre à la consommation. Le suspect a été interpellé en flagrant délit.
Une activité jugée dangereuse pour la santé publique a été stoppée net, dimanche 21 décembre 2025, dans le quartier de Golf Sud, grâce à l’intervention diligente du Commissariat d’arrondissement de la localité. Un individu a été interpellé pour abattage clandestin et mise en danger de la vie d’autrui.
Selon les informations communiquées par la police, l’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement précis signalant la récupération suspecte d’une carcasse animale. Le mis en cause aurait transporté le cadavre d’un mouton jusqu’à son domicile avec l’intention de le dépecer avant de mettre la viande sur le marché, malgré son caractère manifestement impropre à la consommation.
Alertée, la Brigade de recherche s’est immédiatement rendue sur les lieux. Les agents ont surpris le suspect en plein dépeçage à son domicile. Il a été interpellé sur-le-champ et conduit dans les locaux de la police pour les besoins de l’enquête.
La carcasse du mouton a été saisie afin d’empêcher toute tentative de commercialisation et de protéger les populations contre d’éventuels risques sanitaires.
Entendu par les enquêteurs, le mis en cause est passé aux aveux, reconnaissant avoir agi dans le but d’écouler la viande auprès de consommateurs.
Une enquête est en cours pour déterminer s’il agissait seul ou s’il existait un réseau de distribution impliqué dans cette pratique illégale.
L’interpellation, le 21 décembre 2025, de cinq individus dans un appartement du quartier Escale continue de susciter interrogations et débats. Au-delà du fait divers, cette affaire met en lumière plusieurs zones d’ombre : le rôle du renseignement, les conditions de l’intervention policière, les suites judiciaires attendues et surtout les implications sanitaires révélées par l’enquête.
Selon des sources policières concordantes, l’opération menée par la brigade de recherches du commissariat du premier arrondissement de Thiès fait suite à l’exploitation d’un renseignement jugé crédible. Celui-ci faisait état d’un regroupement suspect dans un appartement discret du quartier Escale, une zone résidentielle réputée calme de la capitale du Rail.
Après une phase de surveillance, les enquêteurs décident d’intervenir. À leur arrivée sur les lieux, cinq personnes sont trouvées à l’intérieur de l’appartement.
Les personnes interpellées ont été identifiées comme O. Guèye, tailleur et occupant de l’appartement, A. Thiam, styliste, N. Seck, photographe, D. Sarr, également tailleur, et P. M. Faye.
D’après les premiers éléments de l’enquête, seul l’hôte réside de façon permanente à Thiès. Les autres, venus de Dakar et d’autres localités, séjournaient temporairement dans la ville.
Face aux enquêteurs, les mis en cause ont expliqué leur présence par des préparatifs liés à un défilé de mode prévu dans un restaurant de la place, une version actuellement examinée par la police.
La perquisition effectuée dans l’appartement a conduit à la saisie de plusieurs objets considérés comme compromettants par les forces de l’ordre, notamment des lubrifiants et des comprimés.
Ces éléments constituent aujourd’hui une partie essentielle du dossier transmis au parquet, qui devra apprécier leur portée juridique.
L’un des aspects les plus sensibles de l’affaire concerne la révélation faite par l’un des prévenus, D. Sarr, qui a déclaré être porteur du VIH. Selon des sources proches de l’enquête, il aurait reconnu ne pas avoir informé ses partenaires de son statut médical.
Ce point, distinct des faits initiaux, ouvre un volet sanitaire et juridique délicat. Des spécialistes rappellent que la question de l’information du partenaire relève à la fois de la responsabilité individuelle et du cadre légal encadrant la protection de la santé publique, tout en exigeant une extrême prudence pour éviter toute stigmatisation.
À ce stade, aucune communication officielle détaillée n’a encore été faite par le parquet de Thiès. Les cinq personnes interpellées ont été placées en garde à vue pour les besoins de l’enquête, en attendant leur éventuelle déferrement.
Des sources judiciaires indiquent que le dossier est en cours d’examen et que les qualifications pénales définitives dépendront des éléments matériels, des auditions et des textes applicables.
Au-delà du cadre judiciaire, cette affaire intervient dans un contexte social sensible, où les questions liées aux mœurs, à la vie privée et à la santé publique suscitent de fortes réactions. Plusieurs observateurs appellent à un traitement responsable de l’information, rappelant la nécessité de respecter la présomption d’innocence et la dignité humaine.
De nombreuses questions demeurent :
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Quelle sera la position finale du parquet ?
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Les éléments saisis suffiront-ils à étayer les charges ?
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Le volet sanitaire donnera-t-il lieu à une procédure distincte ?
Autant d’interrogations qui trouveront réponse dans les prochains jours, à mesure que la justice fera la lumière sur cette affaire qui continue de faire parler à Thiès et au-delà.
Le Commissariat du 1er arrondissement de Thiès a procédé, ce samedi 21 décembre 2025, à l’interpellation de cinq (05) individus pour des faits qualifiés d’actes contre nature, à l’issue d’une opération de police menée dans le quartier Escale.
L’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel fiable, faisant état d’un regroupement jugé suspect dans un appartement de la localité. Informée de la situation, la Brigade de Recherches (BR) a rapidement été mobilisée et a effectué une descente ciblée sur les lieux indiqués.
À l’arrivée des forces de l’ordre, cinq personnes ont été trouvées à l’intérieur de l’appartement et immédiatement interpellées.
La fouille de la chambre occupée par les mis en cause a permis la saisie de plusieurs éléments, notamment :
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de la vaseline ;
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des comprimés, dont la nature exacte n’a pas encore été précisée par les enquêteurs.
Bien qu’aucun flagrant délit n’ait été constaté sur place, les éléments recueillis ont été jugés suffisants pour justifier leur placement en garde à vue.
Lors de leur audition, les cinq individus ont reconnu leur appartenance à la communauté homosexuelle. Ils ont expliqué leur présence dans l’appartement par une invitation lancée par l’un d’entre eux, dans le cadre de la préparation d’un défilé de mode prévu dans un restaurant de la ville.
Toutefois, ces explications n’ont pas permis de dissiper les soupçons des enquêteurs, qui poursuivent leurs investigations.
Un fait jugé particulièrement sensible a été versé au dossier : l’un des individus interpellés a déclaré être séropositif, affirmant ne pas avoir informé les autres personnes présentes de son statut sanitaire. Cet élément a été officiellement consigné dans la procédure d’enquête.
Les cinq mis en cause demeurent en garde à vue, tandis que l’enquête se poursuit afin de déterminer précisément les faits reprochés, les responsabilités individuelles et d’éventuelles infractions connexes prévues par la loi.
Un incident inhabituel s’est produit le 19 décembre 2025 au rond‑point de la station Apide Diakhao, dans la ville de Thiès. Adama Guèye, un conducteur de moto Jakarta âgé de 24 ans et domicilié à la Zac Nord de Nguinth, a été arrêté lors d’un contrôle routier pour non-respect du port du casque.
La cybercriminalité continue de faire des ravages au Sénégal et au sein de la diaspora. Cette fois-ci, c’est l’image de la célèbre influenceuse Mamysta la Tigresse qui a été exploitée par un individu sans scrupules pour soutirer des millions de francs CFA à plusieurs victimes, principalement des Sénégalais vivant à l’étranger.
La Division spéciale de la cybersécurité (DSC) a mis fin à cette escroquerie en procédant à l’arrestation d’un jeune homme de 24 ans, nommé Amadou Diallo, domicilié à Thiaroye-sur-Mer. Le mis en cause est poursuivi pour usurpation d’identité, escroquerie et manipulation via les réseaux sociaux.
Pour parvenir à ses fins, Amadou Diallo a créé un faux compte Facebook au nom d’Aminata Joop, se faisant passer pour la très médiatisée Mamysta la Tigresse. Grâce à des échanges réguliers, des messages affectueux et une stratégie de séduction savamment entretenue, il a réussi à gagner la confiance de plusieurs hommes.
Les victimes, convaincues de dialoguer avec l’influenceuse, ont été entraînées dans de fausses relations amoureuses, ponctuées de promesses de rencontres et de projets communs.
L’un des cas les plus marquants concerne un Sénégalais de la diaspora, K. Niang, établi en Italie. Persuadé d’entretenir une relation réelle avec Mamysta la Tigresse, il a accepté de verser près de 3 millions de francs CFA via des transferts Wave. Mieux encore, la victime a quitté l’Espagne pour se rendre au Maroc, espérant y rencontrer celle qu’il croyait être sa compagne. Une rencontre qui n’a évidemment jamais eu lieu.
Face à la multiplication des faux profils et aux plaintes indirectes, la véritable Mamysta la Tigresse a saisi la Division spéciale de la cybersécurité. Les enquêteurs ont rapidement remonté la piste du numéro de téléphone utilisé pour recevoir les fonds.
Les investigations ont révélé que le compte du suspect avait encaissé au moins 4 millions de francs CFA, laissant supposer l’existence de plusieurs autres victimes, encore non identifiées.
Interpellé à Thiaroye-sur-Mer, Amadou Diallo a reconnu les faits lors de son audition. Il est actuellement entre les mains de la justice, tandis que la DSC poursuit ses investigations afin d’identifier l’ensemble des personnes flouées et déterminer l’ampleur réelle de cette escroquerie numérique.
Cette affaire relance le débat sur les arnaques sentimentales en ligne, de plus en plus fréquentes et sophistiquées. Les autorités appellent les internautes à la vigilance, rappelant qu’aucune personnalité publique ne demande de l’argent via des comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Le tribunal d’instance de Thiès a été le théâtre, ce lundi, d’une affaire de violences conjugales mettant en cause un homme identifié sous le nom de T. Bal, âgé de 32 ans et exerçant comme conducteur de moto-taxi. L’homme a été traîné à la barre par son épouse, qui l’accuse de coups et de mauvais traitements répétés.
À la barre, la plaignante, A. Guèye, n’a pas mâché ses mots. Elle affirme avoir été violemment battue par son mari à la suite d’une dispute conjugale. Selon ses déclarations, il ne s’agirait pas d’un incident isolé. Elle soutient que c’est la troisième fois qu’elle subit des violences de la part de son époux, précisant avoir déjà porté plainte à deux reprises par le passé.
Plus grave encore, la jeune femme a confié au tribunal que ces violences ont conduit à une rupture définitive du couple, son mari l’ayant répudiée après trois années de mariage.
Face aux accusations, T. Bal a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés. Dans sa défense, il a tenté d’inverser les rôles, affirmant que son épouse serait à l’origine des tensions au sein du foyer.
Selon lui, la plaignante l’aurait menacé avec un couteau, provoquant une altercation. Il a également évoqué des comportements qu’il juge inacceptables, l’accusant de jalousie excessive, d’espionnage, de destruction de ses vêtements et de manquements à ce qu’il considère comme ses responsabilités domestiques.
Malgré les dénégations du prévenu, le procureur de la République a estimé que les éléments du dossier étaient suffisamment sérieux pour justifier des poursuites. Il a requis l’application rigoureuse de la loi, rappelant la gravité des faits reprochés dans un contexte où les violences conjugales demeurent une préoccupation majeure.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 29 décembre prochain, date à laquelle T. Bal sera fixé sur son sort.
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