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COMMUNIQUÉ GUEUM SA BOPP « LES JAMBAARS » SOUTIENT LA CAUSE DES ÉTUDIANTS
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Thiès : Babacar Diop lance les grands travaux
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16/11/2025
Société sur Thies info
La commune de Suelle Diakoye, dans le département de Bignona, est sous le choc. Ce lundi 6 octobre 2025, un double drame a frappé une même famille, plongeant tout le village dans la consternation.
Selon les premiers témoignages recueillis sur place, un enseignant, originaire de la localité, a été victime d’un malaise soudain alors qu’il se trouvait à son domicile. Malgré l’intervention rapide de ses proches, l’homme a succombé avant d’être évacué vers une structure sanitaire.
Quelques instants plus tard, la tragédie s’est aggravée. Le frère aîné du défunt, profondément bouleversé par la nouvelle, a lui aussi été terrassé par un malaise fatal. En l’espace de quelques heures, la famille a perdu deux de ses fils, laissant derrière eux un village abasourdi.
Les deux corps ont été acheminés à l’hôpital régional de Ziguinchor pour autopsie, tandis qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de ces décès successifs.
Dans la commune, c’est la désolation totale. Les habitants décrivent deux hommes paisibles, très respectés, dont la disparition soudaine marque durement la communauté éducative et tout le département de Bignona.
La petite localité de Nguékhokh, dans le département de Mbour, est sous le choc. Ce lundi matin, les habitants ont découvert avec stupeur le corps sans vie de Khalifa Babacar Sy, plus connu sous le nom de Mbaye Sy, un ancien policier devenu agent immobilier. Le septuagénaire a été retrouvé pendu dans sa chambre, dans des circonstances qui laissent planer de lourds soupçons.
Selon les premiers témoignages recueillis par L’Observateur, c’est la première épouse de la victime qui a fait la macabre découverte. Après la prière de l’aube, inquiète de ne pas voir son mari descendre comme à son habitude, elle est montée à l’étage pour s’enquérir de sa situation. À sa grande stupeur, elle est tombée sur le corps inerte de Mbaye Sy, adossé contre le mur, un morceau de tissu légèrement noué autour du cou.
Sous le choc, la vieille dame a aussitôt alerté les voisins et les membres de la famille. Très vite, les gendarmes de Nguékhokh et les sapeurs-pompiers de Mbour ont été dépêchés sur les lieux.
Mais dès les premières constatations, plusieurs zones d’ombre ont attiré l’attention des enquêteurs et des témoins. En effet, la position du corps, ainsi que le nœud du tissu, attaché par l’extérieur de la fenêtre, rendent hautement improbable la thèse d’un suicide. D’autant plus que Mbaye Sy, décrit comme un homme de forte corpulence, aurait difficilement pu s’infliger la mort dans une telle position, avec un dispositif aussi précaire.
Les rumeurs d’un assassinat déguisé en suicide se multiplient donc à Nguékhokh. Plusieurs proches affirment que la victime vivait ces derniers temps dans une atmosphère d’insécurité. Selon des sources concordantes, il aurait été victime d’un cambriolage à main armée il y a peu, au cours duquel environ 3 millions de francs CFA lui auraient été dérobés.
Pour l’heure, le médecin légiste de l’hôpital de Mbour a effectué des prélèvements et l’autopsie devrait permettre d’en savoir plus sur les circonstances exactes du décès. La brigade de gendarmerie reste prudente et n’a pas encore confirmé la thèse du suicide.
Dans la localité, les habitants sont partagés entre incrédulité et colère. Beaucoup refusent de croire que cet ancien policier, connu pour sa rigueur et sa foi, ait pu mettre fin à ses jours de manière aussi troublante.
Mbaye Sy laisse derrière lui deux veuves et une fille unique, inconsolables face à cette disparition entourée de mystère.
Le milieu de terrain international sénégalais soutient la rentrée scolaire des enfants de sa ville natale et encourage l’éducation.
Thiès a été le théâtre d’un geste généreux de Pape Matar Sarr, le jeune footballeur international sénégalais évoluant en Europe, qui a offert plus de 600 kits scolaires à des élèves de différents établissements de la ville. Cette initiative vise à alléger la charge financière des familles à l’approche de la rentrée scolaire 2025-2026 et à promouvoir l’éducation auprès des enfants.
Les kits distribués comprenaient cahiers, stylos, crayons, trousses, sacs à dos et autres fournitures indispensables. La distribution a concerné aussi bien les élèves des écoles primaires que ceux du secondaire, touchant ainsi plusieurs centaines d’enfants issus de milieux modestes.
Lors de l’événement,Sidath Sarr, oncle de Pape Matar Sarr a pris le temps de rencontrer les enfants et d’échanger avec eux, leur prodiguant des conseils et des encouragements :
« L’éducation est la clé de notre avenir. Je souhaite que ces enfants puissent étudier dans de bonnes conditions et croire en leurs rêves. Le travail, la discipline et la persévérance leur permettront de réussir », a déclaré le footballeur, visiblement ému par les sourires des élèves.
Les parents et enseignants présents n’ont pas caché leur satisfaction et leur gratitude. Pour eux, ce geste dépasse le simple soutien matériel : il inspire et motive les enfants à se concentrer sur leurs études.
Cette action philanthropique s’inscrit dans la continuité de l’engagement social de Pape Matar Sarr, qui multiplie les initiatives au Sénégal, notamment en faveur de la jeunesse et de l’éducation. Selon plusieurs observateurs, ce type de soutien contribue à renforcer le lien entre les sportifs sénégalais de renom et leurs communautés d’origine.
Le geste de Pape Matar Sarr à Thiès rappelle que le succès professionnel peut se transformer en impact social positif, en inspirant la nouvelle génération à croire en elle et à viser l’excellence, sur le terrain comme dans la vie scolaire.
Le styliste A. C. Guèye, âgé de 31 ans, risque une peine de trois mois de prison ferme si le tribunal d’instance de Thiès suit le réquisitoire du procureur de la République. Il est poursuivi pour violences et voies de fait sur le capitaine Ndiassé Dioum, commissaire du poste de police des Parcelles-Assainies de Thiès.
Les faits remontent au 26 septembre 2025, alors que le commissaire Dioum se rendait aux funérailles d’une nièce dans un quartier de Thiès. Ayant perdu ses repères, il a demandé son chemin à A. C. Guèye, à hauteur du cimetière de Grand-Thiès. Le jeune homme est monté dans le véhicule pour le guider jusqu’à la maison mortuaire.
En cours de route, A. C. Guèye a appelé un ami pour qu’il le rejoigne. Le commissaire Dioum lui a alors expliqué qu’ils étaient déjà cinq personnes dans le véhicule, et qu’il ne pouvait pas prendre un autre passager. Une fois arrivé à hauteur de son ami, le styliste a demandé à descendre. Le commissaire lui a alors demandé d’obtempérer, signalant que son comportement n’était pas correct. A. C. Guèye a répondu qu’il était un homme digne et qu’il ne pouvait pas abandonner son ami.
Le commissaire a décliné son identité et invité le styliste à rectifier son langage. Mais A. C. Guèye a persisté dans son attitude. Lorsque le capitaine de police s’est approché, le jeune homme l’a empoigné. Les deux hommes ont failli en venir aux mains, si des passants n’étaient pas intervenus.
Devant les témoins, A. C. Guèye s’est mis à vociférer et à gesticuler, ce qui a conduit le commissaire Dioum à ordonner son arrestation pour violences et voies de fait. Le styliste a été placé sous mandat de dépôt.
Ce lundi, lors de son passage à la barre du tribunal d’instance de Thiès, le prévenu a nié les accusations, alors qu’il avait pourtant reconnu à l’enquête avoir empoigné le commissaire à la suite de l’altercation.
Un drame a endeuillé ce dimanche 6 octobre 2025 la localité de Gainth Pathé, dans le département de Koungheul. Un jeune supporter a perdu la vie après avoir été poignardé à l’issue d’un match de football opposant l’ASC Walidane de Gainth Pathé à l’ASC Jëf Jël de Ceppo, comptant pour le championnat local des Navétanes.
Selon des sources locales relayées par Emedia, les faits se sont produits peu après le coup de sifflet final. La rencontre s’était soldée par la victoire de l’équipe locale, l’ASC Walidane, sur le score de 1-0. C’est dans ce contexte post-match que la victime, supporter de l’équipe gagnante, a été la cible d’une agression à l’arme blanche.
Gravement touché, le jeune homme a rapidement perdu une grande quantité de sang. Malgré son évacuation d’urgence vers le poste de santé local, il n’a pas survécu et est décédé à son arrivée. Les habitants de la localité, encore sous le choc, décrivent une atmosphère tendue autour du stade et de ses environs.
Pour l’instant, les circonstances exactes de l’attaque restent floues. Une enquête a été ouverte par les autorités compétentes afin d’identifier et de traduire en justice l’auteur de cet acte. Les forces de l’ordre ont également lancé un appel au calme, exhortant les habitants à éviter toute escalade de violence.
Cet incident rappelle une fois de plus la nécessité de mesures de sécurité renforcées lors des rencontres sportives, notamment les matchs de Navétanes, très suivis par les populations locales et parfois le théâtre de tensions entre supporters. Les autorités locales ont indiqué qu’elles suivront de près l’évolution de la situation afin de prévenir tout risque de nouveaux incidents.
Un drame d’une rare violence a secoué ce samedi 4 octobre 2025 le village de Tognataba, dans la commune de Baghère (région de Sédhiou).
Le corps sans vie d’un berger, D. Ba, âgé de 56 ans, marié à trois femmes et père de 22 enfants, a été découvert au milieu de son troupeau.
Son fusil de chasse, retrouvé non loin de lui, contenait encore des cartouches non utilisées, ce qui écarte pour l’instant la thèse d’un accident.
Aucune trace de lutte n’a été observée sur place. Le corps a été retrouvé gisant dans un pâturage, tandis que les animaux erraient autour, visiblement perturbés.
Aucune bête manquante
Les premières pistes évoquaient un vol de bétail ayant mal tourné, un phénomène courant dans la région.
Mais les proches du défunt affirment qu’aucune bête ne manque dans le troupeau.
Cette précision renforce le mystère autour de la mort brutale de ce père de famille.
« D. Ba était un homme sans histoires. Il ne s’est jamais disputé avec personne », témoigne un habitant du village, encore sous le choc.
Une enquête ouverte
Le corps a été transporté à l’hôpital régional de Kolda pour autopsie, afin de déterminer les circonstances exactes du décès.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour identifier d’éventuels suspects et comprendre le mobile du crime.
Pour l’instant, aucune arrestation n’a été signalée.
Stupeur et peur dans le village
Dans le village de Tognataba, c’est la stupeur.
Les habitants peinent à réaliser ce qui s’est passé.
La famille du défunt, effondrée, demande justice et espère que la lumière sera faite sur cette mort inexpliquée.
« Il est sorti pour nourrir ses bêtes comme tous les jours. On l’a retrouvé sans vie… Pourquoi ? » se lamente une de ses épouses.
Ce drame remet sur la table la question de la sécurité des éleveurs dans les zones reculées du sud du pays, où plusieurs meurtres similaires ont été enregistrés ces dernières années.
Le mystère demeure entier à Tognataba.
Les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour retrouver le ou les auteurs de ce meurtre qui bouleverse toute la région de Sédhiou.
Les habitants de Fass n’ont jamais connu pareille intensité de violences. Depuis trois jours, des affrontements répétés opposent le groupe local Lébougui à la faction JAD, dans ce qui est décrit comme une escalade sans précédent.
Les scènes de bagarre se succèdent, provoquant panique et exodes temporaires dans certains quartiers. Les forces de l’ordre ont été déployées et ont utilisé des gaz lacrymogènes pour tenter de disperser les groupes, mais la situation reste extrêmement tendue. Plusieurs témoins rapportent des jets de pierres, des incendies et des violences ciblées entre les factions.
Pour l’heure, aucune victime officielle n’a été annoncée, mais des riverains signalent des blessés et d’importants dégâts matériels. Les autorités locales appellent à la retenue et promettent une intervention plus musclée si la situation venait à perdurer.
Cette crise marque un tournant dans l’histoire récente de Rufisque, où la rivalité entre factions de quartiers voisins semble atteindre un point critique. La population, elle, espère un retour rapide au calme et dénonce ces violences qui perturbent la vie quotidienne.
Enterré jeudi dans un cimetière , un homme présenté comme présumé homosexuel suscite la colère d’une partie des habitants.
À Touba, l’enterrement d’un homme présumé homosexuel, survenu jeudi, a provoqué une vive polémique.
Le défunt, résidant de la cité religieuse, a été inhumé selon les rites musulmans dans l’un des cimetières de la localité. Peu après la cérémonie, des informations sur sa vie privée ont commencé à circuler, alimentant la colère de plusieurs habitants.
Dans cette ville considérée comme le cœur spirituel du mouridisme, certains estiment que l’inhumation d’une personne soupçonnée d’homosexualité constitue une atteinte à la sacralité des lieux.
La situation a suscité de fortes tensions dans certains quartiers, poussant les autorités religieuses à intervenir pour appeler au calme et à la retenue.
L’affaire a rapidement pris de l’ampleur sur les réseaux sociaux, où elle continue de susciter des débats autour de la tolérance, de la foi et du respect des défunts.
Pour l’heure, aucune mesure officielle n’a été prise, mais la situation demeure suivie de près par les autorités locales.
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