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À Thiès, 192 candidats ont entamé les épreuves du bac technique dans un centre unique. Un taux de présence élevé et une logistique bien huilée marquent cette session 2025.
Dans l’Académie de Thiès, les épreuves du baccalauréat technique ont officiellement débuté ce lundi, avec 192 candidats inscrits dans un centre unique, selon les informations recueillies auprès des autorités locales.
C’est au centre Monseigneur François Xavier Ndione, affecté au jury 1.109, que tous les candidats de la région se sont réunis. Lors d’une visite sur les lieux, le gouverneur adjoint chargé des affaires administratives, Georges Faye, a souligné que toutes les mesures nécessaires avaient été prises pour garantir un bon déroulement de l’examen.
« Cette année, nous enregistrons une baisse de 18 candidats par rapport à l’édition précédente, mais on observe une forte participation féminine », a-t-il indiqué, tout en regrettant le faible engouement pour les filières scientifiques.
M. Faye a réaffirmé l’engagement de l’administration à mener des campagnes de sensibilisation auprès des élèves et des familles pour les encourager à s’orienter vers les séries scientifiques, essentielles selon lui pour tout projet de développement durable. « Sans sciences, il ne peut y avoir de véritable progrès », a-t-il insisté.
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Abdourahmane Diouf, avait récemment rappelé que les candidats au bac technique représentent à peine 2 % des effectifs globaux du baccalauréat général, soulignant l’importance de revaloriser ces filières.
Pour sa part, la secrétaire générale de l’inspection d’académie de Thiès, Khady Sow Diop, a salué la coordination entre les autorités académiques et administratives dans la préparation de l’examen. « Le centre a été entièrement aménagé : nettoyage effectué, infirmerie fonctionnelle, et sécurité assurée par les forces de l’ordre », a-t-elle précisé.
Au final, seuls trois absents ont été enregistrés, dont deux garçons et une fille, ce qui porte le taux de présence à 98,44 %. Une performance notable qui reflète le sérieux accordé à cet examen par les candidats et les autorités.
Un accord entre le FONGIP et le CMIA prévoit 800 milliards FCFA pour soutenir les PME, femmes et jeunes dans le cadre de l’Agenda Sénégal 2050. Un levier économique majeur.
Le 28 mai dernier, le Fonds de Garantie des Investissements Prioritaires (FONGIP) et le Conseil Mondial des Investissements pour l’Afrique (CMIA) ont signé un accord stratégique d’un montant colossal de 800 milliards de francs CFA. Répartie sur les cinq années à venir, cette enveloppe vise à élargir l’accès au financement pour les petites et moyennes entreprises, les jeunes entrepreneurs et les groupements féminins, en soutien à la mise en œuvre de la Vision Sénégal 2050.
Ce partenariat inédit repose sur un mécanisme innovant de cofinancement avec garantie partagée. Selon les termes de l’accord, les membres du CMIA prendront en charge jusqu’à 80 % du coût des projets – notamment pour l’acquisition d’équipements – tandis que les partenaires financiers du FONGIP couvriront le reste, soit entre 20 % et 50 %, avec une garantie bancaire fournie par le FONGIP pour sécuriser les prêts.
« Il s’agit d’une impulsion majeure à notre économie locale, en faveur des porteurs de projets et des territoires. Les retombées attendues incluent la création d’emplois, le renforcement des capacités et une meilleure répartition de la richesse », a affirmé Ndèye Fatou Mbodj Diattara, Administratrice générale du FONGIP. Elle a par ailleurs souligné l’importance de sélectionner des projets viables, accompagnés d’évaluations régulières pour en mesurer les effets réels.
Le Dr Idrissa Doucouré, président exécutif du CMIA, a, pour sa part, salué ce partenariat comme un modèle de coopération Sud-Sud. « Ce programme s’inscrit dans une démarche de diplomatie économique, en positionnant le Sénégal comme un carrefour d’innovation et d’investissement en Afrique de l’Ouest », a-t-il indiqué.
L’initiative va bien au-delà du simple apport financier. Elle se veut un catalyseur de transformation structurelle, axée sur l’autonomisation des jeunes et des femmes, l’intégration régionale, et le renforcement du secteur privé national. En combinant innovation, rigueur financière et objectifs de développement durable, le projet entend ancrer une croissance inclusive sur le long terme.
Par cette alliance, le Sénégal confirme son ambition de bâtir une économie résiliente, compétitive et profondément ancrée dans les réalités locales.
Une randonnée a été organisée à Tivaouane pour sensibiliser les habitants aux maladies chroniques comme le diabète, l'hypertension et les AVC. Une initiative portée par les autorités sanitaires.
Ce dimanche, une marche de sensibilisation s’est tenue à Tivaouane à l’initiative des responsables sanitaires de la ville. L’objectif était d’informer les populations sur les risques liés aux maladies chroniques telles que le diabète, l’hypertension artérielle et les accidents vasculaires cérébraux.
La randonnée, dirigée par Yoro Diagne, directeur de l’Hôpital Mame Abdou Aziz Sy Dabakh, a sillonné plusieurs quartiers de la ville. Elle visait à insister sur l’importance de la prévention et à encourager des comportements favorables à la santé.
« Il ne suffit pas de soigner, il faut aussi prévenir », a déclaré M. Diagne. Il a souligné le rôle central de l’activité physique, notamment la marche, dans la lutte contre ces pathologies, tout en appelant les populations à adopter une meilleure hygiène de vie.
L’adjoint au préfet de Tivaouane, Mamadou Thiam, a salué cette initiative. Selon lui, les actions de sensibilisation menées par les professionnels de santé ont un impact fort et direct sur les citoyens. Il a plaidé pour la répétition régulière de ce type d’activités dans la commune.
Le Sénégal lance UniverSalon, un salon inédit dédié à l'orientation et à la formation des élèves après le bac. Un événement pour mieux choisir son parcours.
Ce vendredi, le Centre international du commerce extérieur du Sénégal (CICES) a été le théâtre d’un événement majeur : la première édition du salon UniverSalon, entièrement consacré à l’orientation, à la formation et à l’apprentissage. Organisé par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, ce salon ambitionne de transformer en profondeur la manière dont les jeunes planifient leur avenir après le baccalauréat.
Un cadre structuré pour orienter les élèves
En présidant la cérémonie d’ouverture, le ministre Dr Abdourahmane Diouf a souligné l’urgence de mettre à disposition des jeunes un véritable cadre d’information pour les aider à choisir leur parcours de façon éclairée. Il a regretté que l’orientation ait longtemps été négligée, obligeant les élèves à s’engager dans des filières sans réelle adéquation avec leurs aptitudes. UniverSalon vise ainsi à rompre avec cette logique d’improvisation en fournissant les clés d’une orientation réfléchie.
Un salon à portée nationale et internationale
Réunissant plus de 85 institutions de divers horizons – universités, écoles professionnelles, établissements publics et privés – l’événement a accueilli des représentants venus du Burkina Faso, du Royaume-Uni ou encore des Émirats Arabes Unis. De nombreux élèves venus de Dakar, Thiès, Rufisque ou Ouakam ont afflué, trouvant dans ce salon une occasion unique de confronter leurs projets à la réalité des filières proposées.
Soutien à l’orientation professionnelle et technique
Le ministre de la Formation professionnelle, Amadou Moustapha Njek Sarré, a également salué l’initiative. Pour lui, UniverSalon représente un outil précieux pour redonner confiance à une jeunesse souvent désorientée face à la complexité du monde professionnel. Il a aussi mis l’accent sur la nécessité de mieux promouvoir les filières techniques et professionnelles, trop souvent dévalorisées malgré leur rôle crucial dans le tissu économique national.
Vers une institutionnalisation du salon
Les organisateurs souhaitent pérenniser l’initiative et faire d’UniverSalon un événement annuel incontournable dans le paysage éducatif sénégalais. L’orientation devient ainsi un processus structuré, au service d’une jeunesse mieux préparée, informée et capable de faire des choix rationnels en accord avec ses ambitions.
Validation à Thiès des guides pédagogiques d’éducation religieuse traduits en arabe, destinés aux cases des tout-petits, pour renforcer l’accès et la qualité de l’enseignement religieux au Sénégal.
L’Agence nationale de la petite enfance et de la case des tout-petits (ANPECTP) a tenu, ce vendredi à Thiès, un atelier visant à valider les outils didactiques d’éducation religieuse traduits en langue arabe, a constaté l’APS.
Le secrétaire général de l’ANPECTP, El Hadj Habib Kandji, a rappelé que l’éducation religieuse a été introduite dans le système éducatif sénégalais depuis 2004. Avec le soutien de la Banque mondiale, l’agence a élaboré des guides et cahiers d’activités validés par les autorités, intégrés par la suite dans les établissements.
Suite à leur mise en œuvre, des enseignants en langue arabe ont exprimé le besoin d’avoir ces outils traduits, afin de faciliter leur utilisation dans les cases des tout-petits.
Selon M. Kandji, la validation de ces versions arabes contribuera à élargir l’accès à l’éducation religieuse, en diversifiant et en adaptant l’offre éducative aux attentes des communautés.
Après cette étape, une formation sera organisée à l’intention des enseignants en langue arabe chargés de dispenser les cours religieux.
Toutefois, il a souligné que le manque d’enseignants en arabe oblige parfois l’agence à faire appel, de manière limitée, à l’implication communautaire pour combler les besoins. Des discussions sont en cours avec le ministère de l'Éducation pour trouver des solutions durables à cette problématique.
Sidy Yahya Kounta, représentant la Division de l’enseignement arabe au ministère de l’Éducation nationale, a salué cette initiative. Il a estimé que l’harmonisation des guides pédagogiques est essentielle pour améliorer l’enseignement religieux, et que leur traduction en arabe viendra renforcer la qualité des apprentissages.
Le Premier ministre Ousmane Sonko appelle à une gestion exemplaire de la commande publique, avec un accent sur la transparence, le respect des délais et la formation systématique des agents concernés.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a insisté ce mercredi sur l’importance cruciale du respect des normes dans l’exécution des marchés publics. Lors du Conseil des ministres, il a mis en avant la nécessité d’une exécution rigoureuse et ponctuelle des commandes publiques, soulignant que cette exigence représente un indicateur fondamental de performance pour chaque structure étatique et chaque gestionnaire public.
Il a appelé à plus d'efficacité et à une transparence renforcée dans tous les processus de passation et de gestion des marchés publics. Pour ce faire, il a mandaté le ministre, secrétaire général du gouvernement, à collaborer avec la Direction centrale des marchés publics (DCMP) et l’Autorité de régulation de la commande publique (ARCOP), afin d’élaborer des termes de référence pour une formation spécialisée en commande publique.
Cette formation devra être complète et adaptée aux besoins concrets des différents intervenants, couvrant toutes les étapes du processus, depuis la planification jusqu’à l’exécution et le contrôle. Un mécanisme rigoureux de suivi et d’évaluation des compétences acquises sera également mis en place.
Pour garantir la mise en œuvre efficace de ce programme, le Premier ministre a demandé au ministère des Finances et du Budget de veiller à la mobilisation des ressources financières nécessaires.
Ce renforcement des capacités s'inscrit dans le cadre des mesures correctives envisagées par le gouvernement, suite aux irrégularités relevées lors de la revue des contrats et conventions, où des cas de surfacturation et de graves manquements aux règles de passation de marchés ont été mis en évidence.
Le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye participera, du 17 au 19 juin 2025 à New York, à une conférence diplomatique de haut niveau visant à relancer le processus de paix au Proche-Orient.
Le président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye, prendra part à une conférence internationale consacrée à la question palestinienne, prévue du 17 au 19 juin 2025 à New York. L’annonce a été faite ce mercredi, lors du Conseil des ministres qui s’est tenu au palais présidentiel.
Selon le communiqué officiel publié à l’issue de la réunion gouvernementale, cette conférence de haut niveau sera coprésidée par la France et l’Arabie Saoudite. Elle vise à raviver les efforts diplomatiques pour parvenir à une solution pacifique au conflit israélo-palestinien, qui continue d’alimenter les tensions dans la région du Proche-Orient.
La participation du chef de l’État sénégalais à ce sommet souligne l’engagement du Sénégal en faveur d’un dialogue constructif et d’une paix durable entre les parties en conflit.
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