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Le ministère de l’Environnement et l’OFNAC ont signé une déclaration conjointe pour intensifier la lutte contre la corruption dans le secteur environnemental. Découvrez les mesures clés et les engagements pris.
Le ministère de l’Environnement et de la Transition écologique et l’Office national de lutte contre la fraude et la corruption (OFNAC) ont officialisé, mardi à Dakar, une collaboration stratégique pour renforcer la lutte contre la corruption dans le secteur environnemental. Cette initiative a été concrétisée par la signature d’une déclaration conjointe entre le ministre Daouda Ngom et le président de l’OFNAC, Serigne Bassirou Guèye, en présence de leurs équipes et de représentants de la GIZ, partenaire allemand du Sénégal.
Cette déclaration fait suite à un atelier organisé en janvier dernier, consacré à la cartographie des vulnérabilités à la corruption au sein des services publics environnementaux. Cet atelier s’inscrit dans le cadre de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption, visant à prévenir et à combattre les pratiques frauduleuses.
Parmi les mesures annoncées, les deux parties ont décidé de créer un comité chargé de suivre et de mettre en œuvre les recommandations issues de l’atelier. Elles prévoient également l’élaboration d’un manuel de procédures administratives, comptables et financières, ainsi que le renforcement des capacités de contrôle des services du ministère.
La déclaration conjointe inclut des actions spécifiques telles que la réglementation du marché carbone, la promotion du contrôle citoyen dans le secteur environnemental, et la mise à jour du registre des établissements classés. Elle prévoit aussi la dématérialisation des procédures de délivrance des permis de coupe de produits forestiers et des cartes professionnelles pour les exploitants forestiers.
Daouda Ngom a appelé les agents de son ministère à œuvrer pour la transparence et à lutter activement contre la corruption. Il s’est engagé à assurer le suivi des recommandations issues de l’atelier, soulignant l’importance de préserver la confiance du public.
De son côté, Serigne Bassirou Guèye a salué cette collaboration, y voyant une avancée vers une gouvernance transparente et responsable. Il a rappelé que combattre la corruption dans le secteur environnemental est essentiel pour protéger les forêts, les zoos et les terres du Sénégal.
Cette coopération marque une étape importante dans la modernisation des pratiques et la préservation des ressources naturelles, tout en renforçant la crédibilité des institutions publiques.
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«Nous souhaitons la bienvenue au meilleur entraîneur d’Afrique, Aliou_Cissé, nouveau sélectionneur de l’équipe nationale libyenne jusqu’en 2027», a annoncé mardi soir la fédération libyenne sur Facebook.
L’entraîneur sénégalais sera présenté aux médias le 13 mars à Tripoli avant d’entamer ses fonctions. Pressenti pour ce poste depuis fin février, sa nomination est désormais officielle, bien que les détails de son contrat n’aient pas été précisés.

D’après la présidence, ce dernier est venu réaffirmer au Président Bassirou Diomaye Faye la disponibilité de la BOAD à accompagner la mise en œuvre de l’agenda Sénégal 2050.
« Les secteurs visés par ce partenariat stratégique sont l’agriculture, les infrastructures, l’énergie, les logements sociaux et l’emploi des jeunes », poursuit la même source.
Signé le 17 décembre 2004 à Rabat, cet accord vise à renforcer la coopération judiciaire entre les deux pays. La ministre de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall, défendra ce projet de loi devant les parlementaires.
À l’issue de cette séance, l’Assemblée procédera à l’élection des députés sénégalais qui siégeront au Parlement de la CEDEAO, à 12 heures.
Selon le professeur Elhadj Malick Kane, une révolution numérique réussie exige que chaque acteur ait un rôle bien défini. Les États ont la responsabilité de promouvoir un marché numérique large, accessible et sécurisé, tandis que les entreprises sont invitées à créer de la valeur par l’innovation et l’agilité. Toutefois, il prévient que l’échec est inévitable pour ceux qui manquent de priorisation et de cohérence, citant que « qui trop embrasse, risque de ne rien réussir ».
Le Sénégal, confronté à une accessibilité internet coûteuse et un déficit de protection des données, doit relever plusieurs défis clés. Actuellement, le coût de l’internet mobile est sept fois plus élevé qu’en France et 80 fois plus qu’en Israël, se classant ainsi à la 139ème place mondiale. Pour un développement économique solide, M. Kane préconise une baisse de ces tarifs par cinq d’ici 2030, permettant ainsi au Sénégal de prendre la tête du continent africain.
Il souligne également l’importance d’améliorer les infrastructures afin d’assurer un réseau numérique fiable et performant sur tout le territoire. Un débit faible entrave le développement des start-ups en limitant la productivité et freinant l’innovation.
En outre, l’article de Sud Quotidien rapporte que pour une gouvernance efficace du secteur numérique, la transparence et la démocratisation sont essentielles. Cela éviterait que le secteur ne tombe aux mains d’intérêts restreints. Enfin, il est primordial que chaque citoyen puisse accéder à son identité numérique et en garder le contrôle.

Selon Tine, cette expulsion, prévue pour août, n’est fondée sur aucune base légale solide et ne respecte pas les principes de continuité de l’État. Il a rappelé que les hauts fonctionnaires avaient bénéficié de logements dans la Cité Fayçal depuis l’époque de Léopold Sédar Senghor, soulignant que ces droits acquis ne doivent pas être remis en question. « Certains propriétaires de la Cité Fayçal mont saisi pour exprimer leur sidération face à cette injonction de quitter en Août et qui ne repose pas sur une base légale. Il faut que la notion de continuité de l’état ait du sens. Ce n’est pas la première fois que des hauts fonctionnaires de l’état aient bénéficié d’un tel avantage, cela a existé du temps de Senghor. »
Il a insisté sur le fait que la récupération des biens immobiliers de l’État doit être faite avec discernement, en tenant compte des droits légitimes des occupants. « Il ne faut pas revenir sur les droits acquis », a-t-il ajouté, appelant à un traitement juste et respectueux des anciens fonctionnaires qui ont servi l’État.
Un étudiant de Thiès a perdu 3,7 millions FCFA aux paris sportifs en tentant de combler un trou de 550 000 FCFA. Jugé pour détournement, il risque un mois de prison.
Les paris sportifs continuent de faire des ravages. Cette fois, c’est un étudiant de Thiès qui en a payé le prix fort après avoir tenté de combler un déficit financier par le jeu. F. Diop, gérant d’un point de transfert d’argent, a misé 3 700 000 FCFA sur XBet pour récupérer un trou de 550 000 FCFA dans ses comptes. Mais au lieu du jackpot espéré, il a tout perdu… y compris sa liberté.
Un pari risqué qui tourne au cauchemar
Tout commence par un manque de 550 000 FCFA dans la caisse. Plutôt que d’informer son employeur C. Diop, l’étudiant choisit une solution risquée : les paris sportifs. Son objectif ? Miser gros pour récupérer la somme disparue. Mais, pris dans l’engrenage du jeu, il enchaîne les mises et finit par engloutir 3,7 millions FCFA.Lorsque son employeur découvre l’ampleur du détournement, il alerte la police, qui interpelle l’étudiant et le place sous mandat de dépôt.
Un procès en attente de verdict
Lors de son audience au tribunal des flagrants délits de Thiès, F. Diop a reconnu les faits sans chercher à se justifier :« J’avais un trou de 550 000 FCFA. Pour combler ce manque, j’ai joué sur XBet en espérant gagner beaucoup d’argent et recouvrer tout le manque. Mais ça n’a pas marché. »Son patron, qui a récupéré 470 000 FCFA, exige toujours le remboursement du reste. De son côté, le procureur a requis un mois de prison ferme contre l’étudiant.
Le verdict sera rendu le 14 mars 2025. Cette affaire met une fois de plus en lumière les dangers des paris sportifs, qui transforment parfois une simple tentative de rattrapage en véritable descente aux enfers.
DAKARACTU

Tout commence avec une quittance fiscale remise par Aee Power Sénégal dans le cadre d’un contrat avec l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (Aser). Ce document, portant le numéro 5699889 et daté du 16 février 2024, attestait du paiement de 918.339.800 FCFA au titre des droits d’enregistrement du marché public numéro T0296/24 Dk. Cependant, après vérification, il s’est avéré que cette quittance était un faux.
Jean-Michel Sène, directeur général de l’Aser, a été le premier à alerter les autorités, dénonçant publiquement la falsification. Parallèlement, Aee Power Espagne, en conflit avec sa filiale sénégalaise suite à la dissolution de leur partenariat, a également porté plainte, ajoutant ainsi de la complexité à l’affaire.
L’alerte a conduit les services fiscaux sénégalais à ouvrir une enquête, supervisée par la Direction du contrôle interne de la Direction générale des impôts et domaines (Dgid). Les résultats des investigations ont rapidement confirmé que la quittance en question n’avait jamais été enregistrée dans les bases de données fiscales officielles.
Mais les découvertes ne se sont pas arrêtées là. Les enquêteurs ont également mis au jour une autre attestation fiscale falsifiée, délivrée à un autre contribuable. Ces révélations ont mis en lumière l’existence d’un réseau de fraude au sein même du Centre des services fiscaux de Dakar-Liberté. Face à l’ampleur de la fraude, l’Agent judiciaire de l’État a déposé une plainte pour détournement de deniers publics et faux et usage de faux en écritures publiques. L’affaire a été transmise à la Division des investigations criminelles (Dic), qui est en charge de l’enquête.
Dans le cadre de cette enquête, une employée du bureau de la gestion et du contrôle des contribuables du centre de Dakar-Liberté, identifiée sous le nom de A. Guèye, a été arrêtée et déférée devant la justice. D’autres arrestations pourraient suivre alors que les investigations se poursuivent afin d’identifier tous les responsables impliqués dans ce scandale de fraude fiscale.
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