La suspension s'applique aux personnes provenant des douze pays dont les ressortissants n'avaient plus le droit de se rendre aux États-Unis depuis juin et aux ressortissants de sept autres pays frappés jusqu'à présent par des restrictions dans la délivrance de visas, selon un mémorandum des services de l'immigration.
Les demandes de « cartes vertes » des ressortissants des pays concernés tout comme les demandes de naturalisation sont interrompues. La liste comprend certains des pays les plus pauvres et les plus instables du monde.
En juin dernier, Donald Trump avait ordonné l'interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants d'Afghanistan, de Birmanie, du Tchad, de la République du Congo, de Guinée équatoriale, d'Érythrée, d'Haïti, d'Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen.
Les sept autres pays concernés sont le Burundi, Cuba, le Laos, la Sierra Leone, le Togo, le Turkménistan et le Venezuela.
La ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem avait indiqué, lundi 1er décembre sur X, avoir recommandé au président Donald Trump « une interdiction d'entrée totale pour les ressortissants de chaque satané pays qui a inondé notre nation de meurtriers, de sangsues et d'accros aux aides sociales. [...] Nous ne voulons pas d'eux, pas d'un seul d'entre eux », avait-elle dit.
Les demandes de « cartes vertes » des ressortissants des pays concernés tout comme les demandes de naturalisation sont interrompues. La liste comprend certains des pays les plus pauvres et les plus instables du monde.
En juin dernier, Donald Trump avait ordonné l'interdiction d'entrée aux États-Unis pour les ressortissants d'Afghanistan, de Birmanie, du Tchad, de la République du Congo, de Guinée équatoriale, d'Érythrée, d'Haïti, d'Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen.
Les sept autres pays concernés sont le Burundi, Cuba, le Laos, la Sierra Leone, le Togo, le Turkménistan et le Venezuela.
La ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem avait indiqué, lundi 1er décembre sur X, avoir recommandé au président Donald Trump « une interdiction d'entrée totale pour les ressortissants de chaque satané pays qui a inondé notre nation de meurtriers, de sangsues et d'accros aux aides sociales. [...] Nous ne voulons pas d'eux, pas d'un seul d'entre eux », avait-elle dit.
