« The best is yet to come », le meilleur reste à venir. Cette phrase qui sonne comme une promesse a surtout, dans le contexte actuel de froid entre Donald Trump et l'Afrique du Sud, des airs de bras d'honneur.
Depuis ce lundi 1ᵉʳ décembre, c'est ce titre d'une chanson de Frank Sinatra qui s'affiche sur le site du G20, avec la photo en noir et blanc de Donald Trump, le poing levé, une casquette « USA » sur la tête. Dont la visière masque le regard, mais pas le petit sourire en coin du président américain.
Le site du G20 ne présente encore aucune page à consulter. Le prochain sommet Miami 2026 n'aura lieu que dans un an. Mais l'important, c'est surtout ce qu'il ne contient plus : les pages liées à la présidence sud-africaine et aux textes adoptés à Pretoria, fin novembre, ne sont même plus consultables. Lorsqu'on essaie, c'est un message d'erreur qui s'affiche.
Mesquinerie ou coup politique du président américain ? C'est selon. Après avoir boycotté le sommet sud-africain du G20, Donald Trump, qui accuse Pretoria de « persécuter la minorité blanche », a annoncé qu'il n'inviterait pas l'Afrique du Sud à la prochaine édition, organisée donc aux États-Unis. « L’Afrique du Sud est et restera un membre à part entière, actif et constructif du G20 », lui a répondu ce 30 novembre Cyril Ramaphosa qui une campagne de désinformation contre son pays, suggérant à son homologue américain de dialoguer « dans le respect et avec dignité. » Le meilleur ou le pire est donc peut-être bien à venir, comme souvent avec Donald Trump.
Depuis ce lundi 1ᵉʳ décembre, c'est ce titre d'une chanson de Frank Sinatra qui s'affiche sur le site du G20, avec la photo en noir et blanc de Donald Trump, le poing levé, une casquette « USA » sur la tête. Dont la visière masque le regard, mais pas le petit sourire en coin du président américain.
Le site du G20 ne présente encore aucune page à consulter. Le prochain sommet Miami 2026 n'aura lieu que dans un an. Mais l'important, c'est surtout ce qu'il ne contient plus : les pages liées à la présidence sud-africaine et aux textes adoptés à Pretoria, fin novembre, ne sont même plus consultables. Lorsqu'on essaie, c'est un message d'erreur qui s'affiche.
Mesquinerie ou coup politique du président américain ? C'est selon. Après avoir boycotté le sommet sud-africain du G20, Donald Trump, qui accuse Pretoria de « persécuter la minorité blanche », a annoncé qu'il n'inviterait pas l'Afrique du Sud à la prochaine édition, organisée donc aux États-Unis. « L’Afrique du Sud est et restera un membre à part entière, actif et constructif du G20 », lui a répondu ce 30 novembre Cyril Ramaphosa qui une campagne de désinformation contre son pays, suggérant à son homologue américain de dialoguer « dans le respect et avec dignité. » Le meilleur ou le pire est donc peut-être bien à venir, comme souvent avec Donald Trump.

