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			  Thiès-Ville : Réunion de rentrée 2025-2026 sous le signe de la performance
			27/10/2025
 
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			  Réussir ensemble avec Habib Vitin
			24/10/2025
 
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			  Thiès : Ouverture du Forum Islamique pour la Paix
			18/10/2025
 
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			  L’école n’est pas une caserne : repensons la rentrée autrement Par Lamine Aysa Fall
			15/10/2025
 
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			15/10/2025
			  Hommage à Mohamed NDIAYE, comme si Robert nous était conté
			14/10/2025
 
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			14/10/2025
			  
		 Société sur Thies info
Une tragédie a frappé Sédhiou : le Lieutenant Ndour, officier du service régional des Eaux et Forêts, a été retrouvé sans vie dans sa chambre. Selon Sudfm, ce sont des proches, inquiets de son silence et de ses appels restés sans réponse, qui ont donné l’alerte.
Le corps a immédiatement été transféré à la morgue de l’hôpital régional de Sédhiou, où une autopsie sera effectuée pour déterminer les circonstances exactes de ce décès. Pour l’instant, les autorités restent très discrètes sur les causes possibles. 
    
Le Lieutenant Ndour était reconnu pour son engagement dans la protection des ressources forestières et hydriques de la région. Sa disparition soudaine laisse collègues, amis et famille dans une profonde tristesse. 
    
La population locale, encore sous le choc, espère que l’enquête permettra de clarifier cette tragédie et de rendre justice à un fonctionnaire apprécié de tous. 
  
					 
Un drame a secoué, hier, l’hôpital régional de Ndiarème, suscitant l’émotion et l’indignation parmi les patients et le personnel. Une femme en travail a été contrainte d’accoucher à l’entrée de l’établissement, faute de prise en charge immédiate. Le nouveau-né, né dans des conditions précaires, n’a pas survécu.
D’après le témoin, la patiente, en travail, est restée plusieurs minutes à l’entrée de l’hôpital avant qu’une salle ne soit enfin dégagée. Les proches et les autres patients ont assisté impuissants à la naissance tragique. Cet incident met en lumière, selon nos sources, de graves lacunes dans la prise en charge des urgences obstétricales dans la région : manque de personnel, infrastructures insuffisantes et absence de moyens de transport pour les cas critiques. 
    
La direction de l’hôpital, contactée, a indiqué attendre le rapport officiel avant d’ouvrir toute enquête et de déterminer les responsabilités. Mais la population locale et les associations de défense des droits des patients dénoncent déjà cette situation : « Une mère ne doit jamais accoucher à l’entrée d’un hôpital. Des mesures urgentes doivent être prises pour éviter que de tels drames se reproduisent », a déclaré un membre de la famille. 
    
Ce drame tragique rappelle une fois de plus l’urgence de renforcer les capacités des maternités régionales et d’assurer une prise en charge rapide et sécurisée des femmes enceintes, même en situation critique. 
  
					 
Dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 octobre 2025, un meurtre a secoué le quartier École 8 de Ngaye Mékhé. La victime, surnommée « Ndabé », a été mortellement agressée par un jeune récemment sorti de prison, identifié comme Badara. L’auteur présumé a été rapidement interpellé par la police.
Un nouveau drame a frappé la commune de Ngaye Mékhé dans la nuit du 18 au 19 octobre 2025. Dans le quartier École 8, une violente altercation entre deux hommes a tourné au drame. La victime, connue sous le surnom de « Ndabé », a été mortellement agressée par Badara, un jeune récemment sorti de prison. 
    
Selon des témoins, la bagarre aurait éclaté pour des raisons encore indéterminées. Badara aurait asséné plusieurs coups à son adversaire avant de le laisser sans vie sur place. Après les faits, le suspect a pris la fuite mais a été rapidement retrouvé et interpellé au marché aux poissons par les policiers de Ngaye Mékhé, quelques heures seulement après le drame. 
    
Le corps de la victime a été évacué pour autopsie afin de déterminer les causes exactes du décès. Quant à l’auteur présumé, il est actuellement en garde à vue en attendant les suites de l’enquête. Les autorités locales appellent à la vigilance et au calme dans le quartier. 
  
					 
Une vive polémique secoue la localité de Bambilor, près de Mbour, où la Caisse des Dépôts et Consignations (CDC) est accusée d’avoir arraché de force 25 hectares de terres aux héritiers de l’homme d’affaires défunt Diallo Pithie. Selon les héritiers, les terres leur appartiennent légalement depuis plus de 40 ans, mais des gendarmes étaient présents lors de l’opération, aggravant les tensions.
D’après les informations recueillies, la CDC aurait entrepris une expulsion sur le terrain, délogeant les gardiens et empêchant les héritiers d’accéder à leurs cultures. La famille affirme posséder des documents légaux attestant de leur propriété depuis les années 1980, signés par la mairie locale. 
    
Selon la famille, cette opération viserait à intégrer les terres dans un projet immobilier lancé en 2019, destiné à livrer plus de 4 400 parcelles, dont seulement un millier ont été attribuées jusqu’à présent. 
    
Abou Diallo, héritier principal, accuse la CDC de chercher à spolier les terres de manière illégale. Assi Diallo, fille du défunt, témoigne : « Nos cultures, papayes, arachides et citronniers, sont détruites de nuit par des tracteurs. Nous voulons défendre l’héritage de notre père, quitte à risquer notre vie. » 
    
La famille dénonce une action arbitraire et réclame l’intervention urgente de l’État et des autorités judiciaires pour mettre fin à ce qu’elle considère comme une spoliation foncière flagrante. 
    
Pour l’instant, la CDC n’a pas fourni de réaction officielle face à ces accusations. La famille espère que le président de la République et la justice pourront trancher rapidement ce dossier sensible. 
  
					 
				 Le quartier Darou Salam, situé dans la commune de Thiès-Est, a vécu ce week-end une forte mobilisation citoyenne à l’occasion de la Journée d’investissement humain.
				 
				 Sous la direction des conseils de quartier, les habitants se sont unis pour une cause essentielle : réhabiliter et assainir l’école élémentaire Darou Salam 2, un établissement fréquenté par 999 élèves issus d’une communauté de plus de 6 000 ménages.
			 
			 Dès le lever du jour, des dizaines de volontaires — enseignants, élèves, femmes et jeunes des ASC — ont pris part à une vaste opération de nettoyage, désensablement, peinture et reboisement au sein de l’école.
  Cette initiative citoyenne a permis de redonner vie à l’établissement, au cœur d’un quartier qui compte plus de 6 000 ménages. 
   
  « Nous avons fait notre part. Maintenant, il appartient aux autorités d’assainir et de moderniser l’école pour en faire un cadre d’excellence », a déclaré le président des conseils de quartier de Darou Salam. 
    
Mais au-delà de l’entretien, les habitants de Darou Salam ont exprimé une demande pressante : la construction d’un lycée public dans le quartier.
  Aujourd’hui, les collégiens et lycéens de Darou Salam doivent parcourir plusieurs kilomètres pour rejoindre les établissements de Thiès, une situation jugée injuste et pénalisante pour les familles. 
   
  « Nos enfants quittent très tôt la maison pour aller au lycée dans d’autres quartiers, parfois à pied. Darou Salam mérite son propre lycée », plaide le Directeur de l'ecole.
  « Nous avons la population, les élèves, et la volonté. Il ne manque que la décision politique. » 
    
Les conseils de quartier appellent ainsi la mairie de Thiès-Est, le Conseil départemental et le ministère de l’Éducation nationale à inscrire la construction d’un lycée à Darou Salam dans leurs priorités budgétaires de 2026. 
    
  
    
La Journée d’investissement humain a rappelé à Darou Salam la valeur de l’unité communautaire et du travail collectif.
  Les habitants espèrent désormais que leur engagement sera accompagné par des mesures concrètes des autorités pour transformer l’école Darou Salam 2 en établissement d’excellence et pour offrir un lycée à cette population dynamique de plus de 6 000 ménages. 
  
					 
La Brigade de gendarmerie territoriale de Saraya a procédé à l’arrestation de Seydou Coulibaly, plus connu sous le surnom de « Baba », âgé de 24 ans et domicilié à Batankhoto, dans la commune de Bembou. L’individu est poursuivi pour exercice illégal de la médecine, vente illicite de médicaments et mise en danger de la vie d’autrui.
Selon les informations recueillies, Seydou Coulibaly, formé comme aide-soignant, se faisait passer pour médecin auprès de la population locale. Il proposait des consultations et administrait des traitements sans aucune autorisation ni compétence reconnue, mettant ainsi en péril la santé des habitants de la région. 
    
Des alertes émises par des habitants inquiets face à ses pratiques douteuses ont conduit les forces de l’ordre à ouvrir une enquête. Celle-ci a permis de déterminer l’étendue de ses activités et de procéder à son arrestation. Seydou Coulibaly a été placé en garde à vue ce vendredi à 16h30, le temps que les investigations se poursuivent. 
    
Cette affaire souligne une fois de plus les risques liés aux pratiques médicales illégales, particulièrement dans les zones rurales où le manque d’infrastructures sanitaires peut pousser certains individus à se substituer aux professionnels de santé. 
    
Les autorités compétentes supervisent désormais l’enquête afin de recenser toutes les victimes potentielles et d’évaluer la gravité des faits. Les habitants de Saraya et des communes environnantes sont invités à rester vigilants et à signaler toute activité suspecte dans le domaine médical. 
  
					 
À Kaolack, les mototaxis “Jakarta” sont devenus une véritable bouée de sauvetage pour les jeunes, offrant emploi, mobilité et identité urbaine à la région.
  
    
À Kaolack, les mototaxis, communément appelés “Jakarta”, sont devenus bien plus qu’un simple moyen de transport : ils constituent aujourd’hui une véritable source de revenus pour une grande partie de la jeunesse locale. Dans cette région où le taux d’emploi plafonne à 22,5 % selon l’Agence nationale de la statistique et de la démographie (ANSD), cette activité représente une issue face au manque d’opportunités professionnelles. 
    
Le vrombissement des “Jakarta” rythme la vie de la capitale du Saloum. Dans le centre-ville animé comme dans les quartiers périphériques, ces motos sont omniprésentes. Partout, des groupes de conducteurs attendent des passagers, contribuant à animer les artères urbaines. 
    
“Ce métier me permet de nourrir ma famille et de satisfaire mes besoins quotidiens”, témoigne Oumar Dia, conducteur depuis cinq ans. Pour beaucoup de jeunes comme lui, cette activité s’impose comme une planche de salut dans un marché du travail saturé. Les “Jakarta”, souvent décorées et personnalisées, assurent un service rapide et flexible, comblant les failles du transport public local. “Elles vont partout, même dans les quartiers où les taxis refusent de se rendre”, souligne Ndèye Anta Sow, vendeuse en pharmacie au quartier Léona. 
    
Sur la route nationale n°4 menant à la gare interurbaine de Nioro, le va-et-vient constant des motos, voitures et charrettes illustre l’ampleur de ce phénomène économique. 
    
Au “garage Nioro”, Abdou Salam, président de l’association des conducteurs de mototaxis, rappelle que “la pénurie d’emplois pousse les jeunes à adopter ce métier”. Selon lui, les revenus quotidiens peuvent varier entre 5 000 et 15 000 francs CFA selon les journées. “Le +Jakarta+ est un vrai métier. Il faut seulement distinguer les conducteurs responsables des quelques indisciplinés”, précise-t-il. Il invite également les autorités à renforcer la formation des conducteurs et à améliorer l’état des routes pour réduire les accidents. 
    
Au-delà de son aspect économique, le “Jakarta” est devenu une marque identitaire de Kaolack. Pionnière dans ce mode de transport, la ville a inspiré d’autres localités du pays. Toutefois, le secteur demeure largement informel. Sa formalisation permettrait non seulement de garantir une meilleure sécurité financière aux jeunes, mais aussi d’élargir la base fiscale de l’État. 
    
En attendant ces réformes, les “Jakarta” continuent de parcourir la ville, incarnant la débrouillardise et la vitalité d’une jeunesse qui refuse la résignation. 
  
					 
Ce matin à Sinthiou Malème, un marché très fréquenté a été le théâtre d’un braquage audacieux qui a semé la panique parmi les commerçants et les clients. Selon les premiers témoignages, plusieurs individus armés ont fait irruption dans le marché aux alentours de 9h30, ciblant principalement les stands de vente d’argent liquide et de produits de valeur.
Les assaillants, selon les témoins, ont menacé les commerçants et les clients avant de se saisir d’une somme importante. Le bilan provisoire fait état de plusieurs blessés, certains grièvement, qui ont été transportés d’urgence à l’hôpital régional. Selon des sources locales, environ 6 millions de francs CFA ont été dérobés lors de ce braquage. 
    
Les forces de sécurité ont rapidement bouclé la zone et lancé des recherches pour retrouver les auteurs, mais jusqu’à présent, aucune arrestation n’a été signalée. Les habitants expriment leur inquiétude face à la recrudescence de ce type de violence, rappelant que le marché constitue le principal lieu d’approvisionnement de la population locale. 
    
Les autorités ont promis un renforcement de la sécurité et appellent toute personne disposant d’informations à se manifester. Une enquête est en cours pour identifier les responsables et récupérer l’argent volé. 
  
					 
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