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Société sur Thies info
Une opération rapide de la police a permis d’éviter la commercialisation d’une viande impropre à la consommation. Le suspect a été interpellé en flagrant délit.
Une activité jugée dangereuse pour la santé publique a été stoppée net, dimanche 21 décembre 2025, dans le quartier de Golf Sud, grâce à l’intervention diligente du Commissariat d’arrondissement de la localité. Un individu a été interpellé pour abattage clandestin et mise en danger de la vie d’autrui.
Selon les informations communiquées par la police, l’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement précis signalant la récupération suspecte d’une carcasse animale. Le mis en cause aurait transporté le cadavre d’un mouton jusqu’à son domicile avec l’intention de le dépecer avant de mettre la viande sur le marché, malgré son caractère manifestement impropre à la consommation.
Alertée, la Brigade de recherche s’est immédiatement rendue sur les lieux. Les agents ont surpris le suspect en plein dépeçage à son domicile. Il a été interpellé sur-le-champ et conduit dans les locaux de la police pour les besoins de l’enquête.
La carcasse du mouton a été saisie afin d’empêcher toute tentative de commercialisation et de protéger les populations contre d’éventuels risques sanitaires.
Entendu par les enquêteurs, le mis en cause est passé aux aveux, reconnaissant avoir agi dans le but d’écouler la viande auprès de consommateurs.
Une enquête est en cours pour déterminer s’il agissait seul ou s’il existait un réseau de distribution impliqué dans cette pratique illégale.
L’interpellation, le 21 décembre 2025, de cinq individus dans un appartement du quartier Escale continue de susciter interrogations et débats. Au-delà du fait divers, cette affaire met en lumière plusieurs zones d’ombre : le rôle du renseignement, les conditions de l’intervention policière, les suites judiciaires attendues et surtout les implications sanitaires révélées par l’enquête.
Selon des sources policières concordantes, l’opération menée par la brigade de recherches du commissariat du premier arrondissement de Thiès fait suite à l’exploitation d’un renseignement jugé crédible. Celui-ci faisait état d’un regroupement suspect dans un appartement discret du quartier Escale, une zone résidentielle réputée calme de la capitale du Rail.
Après une phase de surveillance, les enquêteurs décident d’intervenir. À leur arrivée sur les lieux, cinq personnes sont trouvées à l’intérieur de l’appartement.
Les personnes interpellées ont été identifiées comme O. Guèye, tailleur et occupant de l’appartement, A. Thiam, styliste, N. Seck, photographe, D. Sarr, également tailleur, et P. M. Faye.
D’après les premiers éléments de l’enquête, seul l’hôte réside de façon permanente à Thiès. Les autres, venus de Dakar et d’autres localités, séjournaient temporairement dans la ville.
Face aux enquêteurs, les mis en cause ont expliqué leur présence par des préparatifs liés à un défilé de mode prévu dans un restaurant de la place, une version actuellement examinée par la police.
La perquisition effectuée dans l’appartement a conduit à la saisie de plusieurs objets considérés comme compromettants par les forces de l’ordre, notamment des lubrifiants et des comprimés.
Ces éléments constituent aujourd’hui une partie essentielle du dossier transmis au parquet, qui devra apprécier leur portée juridique.
L’un des aspects les plus sensibles de l’affaire concerne la révélation faite par l’un des prévenus, D. Sarr, qui a déclaré être porteur du VIH. Selon des sources proches de l’enquête, il aurait reconnu ne pas avoir informé ses partenaires de son statut médical.
Ce point, distinct des faits initiaux, ouvre un volet sanitaire et juridique délicat. Des spécialistes rappellent que la question de l’information du partenaire relève à la fois de la responsabilité individuelle et du cadre légal encadrant la protection de la santé publique, tout en exigeant une extrême prudence pour éviter toute stigmatisation.
À ce stade, aucune communication officielle détaillée n’a encore été faite par le parquet de Thiès. Les cinq personnes interpellées ont été placées en garde à vue pour les besoins de l’enquête, en attendant leur éventuelle déferrement.
Des sources judiciaires indiquent que le dossier est en cours d’examen et que les qualifications pénales définitives dépendront des éléments matériels, des auditions et des textes applicables.
Au-delà du cadre judiciaire, cette affaire intervient dans un contexte social sensible, où les questions liées aux mœurs, à la vie privée et à la santé publique suscitent de fortes réactions. Plusieurs observateurs appellent à un traitement responsable de l’information, rappelant la nécessité de respecter la présomption d’innocence et la dignité humaine.
De nombreuses questions demeurent :
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Quelle sera la position finale du parquet ?
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Les éléments saisis suffiront-ils à étayer les charges ?
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Le volet sanitaire donnera-t-il lieu à une procédure distincte ?
Autant d’interrogations qui trouveront réponse dans les prochains jours, à mesure que la justice fera la lumière sur cette affaire qui continue de faire parler à Thiès et au-delà.
Le Commissariat du 1er arrondissement de Thiès a procédé, ce samedi 21 décembre 2025, à l’interpellation de cinq (05) individus pour des faits qualifiés d’actes contre nature, à l’issue d’une opération de police menée dans le quartier Escale.
L’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel fiable, faisant état d’un regroupement jugé suspect dans un appartement de la localité. Informée de la situation, la Brigade de Recherches (BR) a rapidement été mobilisée et a effectué une descente ciblée sur les lieux indiqués.
À l’arrivée des forces de l’ordre, cinq personnes ont été trouvées à l’intérieur de l’appartement et immédiatement interpellées.
La fouille de la chambre occupée par les mis en cause a permis la saisie de plusieurs éléments, notamment :
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de la vaseline ;
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des comprimés, dont la nature exacte n’a pas encore été précisée par les enquêteurs.
Bien qu’aucun flagrant délit n’ait été constaté sur place, les éléments recueillis ont été jugés suffisants pour justifier leur placement en garde à vue.
Lors de leur audition, les cinq individus ont reconnu leur appartenance à la communauté homosexuelle. Ils ont expliqué leur présence dans l’appartement par une invitation lancée par l’un d’entre eux, dans le cadre de la préparation d’un défilé de mode prévu dans un restaurant de la ville.
Toutefois, ces explications n’ont pas permis de dissiper les soupçons des enquêteurs, qui poursuivent leurs investigations.
Un fait jugé particulièrement sensible a été versé au dossier : l’un des individus interpellés a déclaré être séropositif, affirmant ne pas avoir informé les autres personnes présentes de son statut sanitaire. Cet élément a été officiellement consigné dans la procédure d’enquête.
Les cinq mis en cause demeurent en garde à vue, tandis que l’enquête se poursuit afin de déterminer précisément les faits reprochés, les responsabilités individuelles et d’éventuelles infractions connexes prévues par la loi.
Un incident inhabituel s’est produit le 19 décembre 2025 au rond‑point de la station Apide Diakhao, dans la ville de Thiès. Adama Guèye, un conducteur de moto Jakarta âgé de 24 ans et domicilié à la Zac Nord de Nguinth, a été arrêté lors d’un contrôle routier pour non-respect du port du casque.
La cybercriminalité continue de faire des ravages au Sénégal et au sein de la diaspora. Cette fois-ci, c’est l’image de la célèbre influenceuse Mamysta la Tigresse qui a été exploitée par un individu sans scrupules pour soutirer des millions de francs CFA à plusieurs victimes, principalement des Sénégalais vivant à l’étranger.
La Division spéciale de la cybersécurité (DSC) a mis fin à cette escroquerie en procédant à l’arrestation d’un jeune homme de 24 ans, nommé Amadou Diallo, domicilié à Thiaroye-sur-Mer. Le mis en cause est poursuivi pour usurpation d’identité, escroquerie et manipulation via les réseaux sociaux.
Pour parvenir à ses fins, Amadou Diallo a créé un faux compte Facebook au nom d’Aminata Joop, se faisant passer pour la très médiatisée Mamysta la Tigresse. Grâce à des échanges réguliers, des messages affectueux et une stratégie de séduction savamment entretenue, il a réussi à gagner la confiance de plusieurs hommes.
Les victimes, convaincues de dialoguer avec l’influenceuse, ont été entraînées dans de fausses relations amoureuses, ponctuées de promesses de rencontres et de projets communs.
L’un des cas les plus marquants concerne un Sénégalais de la diaspora, K. Niang, établi en Italie. Persuadé d’entretenir une relation réelle avec Mamysta la Tigresse, il a accepté de verser près de 3 millions de francs CFA via des transferts Wave. Mieux encore, la victime a quitté l’Espagne pour se rendre au Maroc, espérant y rencontrer celle qu’il croyait être sa compagne. Une rencontre qui n’a évidemment jamais eu lieu.
Face à la multiplication des faux profils et aux plaintes indirectes, la véritable Mamysta la Tigresse a saisi la Division spéciale de la cybersécurité. Les enquêteurs ont rapidement remonté la piste du numéro de téléphone utilisé pour recevoir les fonds.
Les investigations ont révélé que le compte du suspect avait encaissé au moins 4 millions de francs CFA, laissant supposer l’existence de plusieurs autres victimes, encore non identifiées.
Interpellé à Thiaroye-sur-Mer, Amadou Diallo a reconnu les faits lors de son audition. Il est actuellement entre les mains de la justice, tandis que la DSC poursuit ses investigations afin d’identifier l’ensemble des personnes flouées et déterminer l’ampleur réelle de cette escroquerie numérique.
Cette affaire relance le débat sur les arnaques sentimentales en ligne, de plus en plus fréquentes et sophistiquées. Les autorités appellent les internautes à la vigilance, rappelant qu’aucune personnalité publique ne demande de l’argent via des comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Le tribunal d’instance de Thiès a été le théâtre, ce lundi, d’une affaire de violences conjugales mettant en cause un homme identifié sous le nom de T. Bal, âgé de 32 ans et exerçant comme conducteur de moto-taxi. L’homme a été traîné à la barre par son épouse, qui l’accuse de coups et de mauvais traitements répétés.
À la barre, la plaignante, A. Guèye, n’a pas mâché ses mots. Elle affirme avoir été violemment battue par son mari à la suite d’une dispute conjugale. Selon ses déclarations, il ne s’agirait pas d’un incident isolé. Elle soutient que c’est la troisième fois qu’elle subit des violences de la part de son époux, précisant avoir déjà porté plainte à deux reprises par le passé.
Plus grave encore, la jeune femme a confié au tribunal que ces violences ont conduit à une rupture définitive du couple, son mari l’ayant répudiée après trois années de mariage.
Face aux accusations, T. Bal a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés. Dans sa défense, il a tenté d’inverser les rôles, affirmant que son épouse serait à l’origine des tensions au sein du foyer.
Selon lui, la plaignante l’aurait menacé avec un couteau, provoquant une altercation. Il a également évoqué des comportements qu’il juge inacceptables, l’accusant de jalousie excessive, d’espionnage, de destruction de ses vêtements et de manquements à ce qu’il considère comme ses responsabilités domestiques.
Malgré les dénégations du prévenu, le procureur de la République a estimé que les éléments du dossier étaient suffisamment sérieux pour justifier des poursuites. Il a requis l’application rigoureuse de la loi, rappelant la gravité des faits reprochés dans un contexte où les violences conjugales demeurent une préoccupation majeure.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 29 décembre prochain, date à laquelle T. Bal sera fixé sur son sort.
Une importante tentative de trafic de drogue a été déjouée à Yenne, dans la région de Dakar, grâce à la vigilance des forces de sécurité. Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 22 décembre 2025, aux alentours de 4h30 du matin, lors d’un contrôle routier effectué par la brigade de gendarmerie de Yenne, au niveau du croisement de Yenne Todd.
Selon des sources sécuritaires, deux véhicules suspects ont été repérés au cours de l’opération. Refusant d’obtempérer, l’un d’eux a réussi à prendre la fuite, tandis que le second a délibérément foncé sur le point de contrôle, mettant en danger la vie des gendarmes en service. Une course-poursuite s’est alors engagée.
Acculés, les occupants du véhicule ont finalement abandonné la voiture avant de s’échapper à pied, profitant de l’obscurité. La fouille du véhicule a permis aux gendarmes de découvrir une importante cargaison de drogue, estimée à 150 kilogrammes de chanvre indien, soigneusement dissimulée dans le coffre.
Cette saisie s’inscrit dans une série d’opérations menées récemment par la gendarmerie nationale contre le trafic de stupéfiants. Le même jour, la brigade de la Foire, appuyée par la Légion de Gendarmerie d’Intervention (LGI), a interpellé un individu en flagrant délit de vente de drogue, en possession de 255 comprimés d’ecstasy. La veille, à Tivaouane Peulh, un réseau structuré de trafiquants a été démantelé, conduisant à l’arrestation de neuf personnes.
La gendarmerie nationale réaffirme sa détermination à lutter contre le trafic de drogue sous toutes ses formes et appelle les populations à collaborer activement, en signalant toute information utile via les numéros verts mis à disposition.
Un drame a frappé le quartier Hamdallay 1 à Diamaguène ce week-end. Pape Ndiaga Sall, un adolescent âgé d’environ 17 ans, a été mortellement poignardé pour une dette dérisoire de 200 FCFA. L’acte a profondément choqué la population locale et relancé le débat sur la violence entre jeunes dans la région.
Lors de son interrogatoire, il a reconnu les faits, précisant que la victime l’aurait insulté lors de la réclamation de son argent.
L’enquête se poursuit pour déterminer toutes les circonstances du drame.
Les habitants dénoncent un passage à l’acte extrême qui pourrait avoir été évité. Pour beaucoup, cette tragédie met en lumière la vulnérabilité des jeunes, les problèmes de socialisation, et l’urgence de renforcer l’encadrement et la prévention contre la violence juvénile.
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