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Société sur Thies info
La brigade de recherches de la gendarmerie de Keur Massar a mis fin aux agissements d’un individu qui se faisait passer pour un procureur de la République et, à l’occasion, pour un haut responsable de l’État, afin d’escroquer de nombreux citoyens à travers le pays.
Une affaire particulièrement sensible est actuellement examinée par la justice à Tambacounda, où un tailleur âgé de 36 ans est poursuivi pour des faits graves impliquant une enfant de 9 ans.
Une affaire impliquant une adolescente de 16 ans secoue la commune de Sédhiou. Un jeune homme, identifié comme M. Camara, âgé de 23 ans et conducteur de moto Jakarta, a été interpellé par les éléments de la police centrale à la suite d’une plainte déposée par un proche de la jeune fille.
La banlieue de Keur Massar a été le théâtre d’un drame conjugal qui a choqué la communauté locale. Mariama Ba, vendeuse de poisson et mère de sept enfants, est décédée après avoir été violemment frappée par son époux.
La police de Thiès a procédé à l’arrestation de 35 personnes à la suite d’une série de « simol », des vols à l’arrachée perpétrés en groupe, survenus ce dimanche de décembre 2025, en marge du combat de lutte opposant 10 Milles Problèmes à Karara Junior.
À Thiès, dans le quartier Keur Seib Ndoye, une violente agression a secoué le voisinage. Une femme, mariée dans le cadre d’un mariage polygame, s’est rendue dans le champ de son mari situé à proximité de Pire pour cueillir du persil lorsque l’impensable est arrivé. Selon les témoins, elle a été attaquée par sa coépouse, venue de Tivaouane, accompagnée de son fils et de sa fille.
Le village de Deni Biram Ndao, dans la commune de Bambilor, est sous le choc après un crime tragique. Un jeune berger, Aliou Sow, également connu sous le nom d’Ibrahima, est accusé d’avoir mortellement poignardé Mamadou Ndiaye, alias « Toye », l’apprenti-chauffeur et fils de son employeur.
Originaire de Dahra Djolof, le présumé meurtrier a pris la fuite et reste activement recherché par la gendarmerie depuis près d’une semaine. Selon nos sources, Aliou Sow avait été recruté par le père de la victime et ne disposait pas de carte nationale d’identité à son arrivée dans le village. Sa mise en relation avec l’employeur aurait été facilitée par son grand-père.
D’après les témoignages, le jeune berger percevait un salaire mensuel de 50 000 francs CFA, dont une partie était envoyée à sa mère dans le Djolof. Le drame aurait éclaté suite à une dispute, au cours de laquelle Aliou Sow aurait porté trois coups de couteau à Mamadou Ndiaye. Gravement blessée, la victime n’a pas survécu.
Depuis l’incident, Aliou Sow demeure introuvable et aurait laissé son téléphone portable chez son employeur avant de disparaître. La gendarmerie de Bambilor a ouvert une enquête pour localiser le domicile familial du fugitif et procéder à son arrestation. Selon nos informations, il ne se serait pas rendu dans sa région natale du Djolof après le crime.
Après six années passées en prison, Mor Seck est sorti de détention avec un lourd sentiment d’injustice. Dans un témoignage récemment diffusé sur les réseaux sociaux, l’ancien détenu affirme avoir été condamné pour un crime qu’il n’a jamais commis, sur la base d’éléments qu’il juge insuffisants et contestables.
Selon ses déclarations, l’accusation portée contre lui reposait principalement sur la présence de sa photographie dans le téléphone portable d’un suspect impliqué dans l’affaire. Un élément que M. Seck considère comme le seul lien retenu contre lui au cours de la procédure judiciaire.
D’après son récit, aucune preuve matérielle directe ne l’aurait formellement impliqué dans les faits qui lui étaient reprochés. Il affirme n’avoir ni participé au crime ni entretenu de relation criminelle avec les personnes mises en cause, estimant que la simple présence de son image dans un téléphone ne pouvait, à elle seule, justifier une condamnation pénale.
« Ma photo était dans le téléphone d’un suspect, et cela a suffi pour me faire arrêter puis condamner », soutient-il, dénonçant ce qu’il qualifie de grave erreur judiciaire.
M. Seck explique que ces six années d’emprisonnement ont profondément bouleversé sa vie. Outre la privation de liberté, il évoque la rupture familiale, la perte d’opportunités professionnelles et les traumatismes psychologiques liés à l’incarcération prolongée.
À sa libération, il dit faire face à une société peu préparée à accueillir un homme marqué par une condamnation pénale, malgré les doutes qu’il continue de formuler sur la légitimité du verdict rendu contre lui.
Son témoignage ravive le débat sur les erreurs judiciaires et la nécessité d’une instruction rigoureuse fondée sur des preuves solides et contradictoires. Des spécialistes du droit rappellent régulièrement que toute condamnation doit reposer sur des éléments matériels, des témoignages concordants ou des aveux légalement obtenus, et non sur de simples associations indirectes.
Aujourd’hui libre, M. Seck dit vouloir rétablir son honneur et faire connaître son histoire afin d’éviter que d’autres ne vivent la même épreuve. Son récit, largement relayé, suscite des réactions contrastées mais soulève une interrogation essentielle : comment prévenir et réparer les erreurs judiciaires lorsque la justice a déjà rendu son verdict ?
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