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Ndèye Ndack Touré fait l'objet d'un retour de parquet
Déférée hier, mercredi 7 juin, devant le procureur du tribunal de Dakar, Ndèye Ndack Touré a fait l'objet d'un retour de parquet. L'animatrice, après sa convocation avant - hier, mardi,  a été placée en garde à vue à la Section de recherche de la gendarmerie de Faidherbe. Selon notre source, l' ex - mannequin  a été interpellée à cause de ses déclarations dans des vidéos  publiées sur les réseaux sociaux.

Interrogée, elle soutenait devant les agents qu'elle avait le droit et le devoir de donner son point de vue sur ce qui se passe dans son pays.

​Après le grand banditisme dans les rues de Dakar, les masques commencent à tomber (Par Mohamed Lamine Massaly)
Notre cher pays le Sénégal, vient de traverser des jours très sombres, par la faute de vils politiciens, sans aucune vergogne, qui ont voulu hypothéquer l’avenir d’une nation, qui se trouve aujourd’hui devant un avenir prometteur.

Des groupe de bandits qui ont semé le mal, partout où ils sont passés, des apprentis sorciers dont le seul souci est de concrétiser des rêves puérils, même s’ils passent sur des cadavres, devant les ruines de leur propre pays, ont funestement agi pour tenter de saper les fondements de notre chère République.

Mais ils ont lamentablement échoué et ils doivent sentir la main lourde de la justice, en répondant de leurs actes.
Mais force est aussi de constater qu’après ce grand banditisme dans les rues de Dakar, les masques commencent à tomber. C’est ainsi que des leaders de l’opposition, après l’échec de ce projet machiavélique, commencent à prendre honteusement les jambes au cou, pour aller à l’extérieur, après avoir sacrifié les enfants des autres.

C’est le cas de Khalifa Sall, Déthié Diouf, etc., mais aussi de Dame Mbodji qui s’est lâchement terré depuis lors.
Je demande au Président Macky Sall de rester plus que jamais fort, parce qu’il a la majorité, qui reste ancrée derrière lui.
Notre conviction, notre soutien, notre accompagnement politique ne lui feront jamais défaut et nous serons toujours à ses côtés, dans le cadre de la mise en mouvement de ses ambitions pour le Sénégal et qu’il ne recule devant quoi que ce soit.

Il faut que tous les fautifs et les traitres, de quelque bord qu’ils se situent, soient sanctionnés à la dimension des actes posés. C’est parce qu’ils sont ainsi participé au coup, qui a conduit à ce désordre mortel.

Tout homme d’affaires, Directeur Général, Haut fonctionnaire, cités dans le cadre des accointances avec le fauteur de troubles Ousmane Sonko, doivent être traqués et mis en prison, pour haute trahison. C’est parce qu’ils ont une pleine responsabilité dans les casses qui se sont opérées. Et si leur objectif était atteint son Excellence Macky Sall ne serait plus aujourd’hui Président de la République, alors qu’il a été élu démocratiquement.

Le comportement de Sonko et ses ouailles montre à suffisance qu’ils ne sont pas loin de la démence. Mais qu’ils se le tiennent pour dit, les sénégalais dans leur écrasante majorité continuent de croire et continueront de croire au Président Macky Sall, assis sur un boulevard de réalisations qui font la fierté de toute une nation.

Bâtisseur infatigable, il a admirablement gagné le pari du désenclavement et l’amélioration de la voirie urbaine des différentes villes du Sénégal, avec des milliers de routes revêtues, sans compter, les pistes, les autoroutes, les ponts, les autoponts, etc. Pendant ce temps, l’équation de la mobilité urbaine à Dakar est en train d’être résolue avec le Train Express Régional (TER), sans compter les chantiers du BRT qui ont malheureusement subi les assauts de la bande de lâches dirigée par Ousmane Sonko. Tous les secteurs stratégiques de l’économie ont fait l’objet d’investissements conséquents depuis 2012 et c’est pourquoi, tous les sénégalais épris de paix et de justice, doivent se dresser, pour barrer la route à cette bande de coyotes, qui ne savent rien d’autres que détruire le patrimoine national

Dans le cadre de cette crise, il convient de féliciter encore très vivement, les forces de défense et de sécurité, pour leur gestion très professionnelle de la situation.

Mouhamadou Lamine Massaly
Président du parti Union pour une Nouvelle République (UNR)
Président du Conseil d’Administration de l’ONFP


Tags : massaly
Jeudi 8 Juin 2023 | Commentaires (1)

Le ministre de l' Enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation, Pr Moussa Baldé, a effectué hier, en compagnie des autorités de l'Université Cheikh Anta Diop ( Ucad). Il a analysé les impactés lors des manifestations violentes de jeudi dernier. Il a constaté les dégâts causés dans le campus social et pédagogique et annoncé la reprise des cours bientôt.


Université Cheikh Anta Diop : Pr Moussa Baldé annonce la reprise des cours "le plus rapidement possible"
 A l' Université Cheikh Anta Diop les dégâts sont énormes au niveau des six facultés qui composent ce temple du savoir. A la Faculté des Lettres et Sciences humaines, médecine, des archives anciennes ont été complétement ruinées.

En effet, l' EBAD ( Ecole des bibliothécaires, archivistes et documentalistes) fait partie des saccages. Le chapiteau de 3000 places de la Faculté des sciences juridiques et politiques, le Cesti ( Centre d'études des sciences et techniques de l'information), au niveau du campus social, la direction du Coud a été calcinée, l' Acp ( agent comptable particulier, le cyber - espace Sinkou incendié.

Au niveau du campus pédagogique, l'Ucad II a été saccagé, plus de 30 véhicules ont été calcinés au campus pédagogiques dont un vingtaine de bus et mini - bus, entre autres.

Après avoir constaté les dégâts, Pr Moussa Baldé a soutenu que l'Université sénégalaise sera "résiliente". Selon lui, "Elle va continuer parce qu'on n'imagine pas être au Sénégal sans ces universités. J'ai instruit tous les recteurs de voir avec les autorités académiques et les collègues dont on a cassé les bureaux pour que, ensemble, tous les étudiants qui veulent étudier, les professeurs, entre autres, à reprendre les cours le plus rapidement possible"

Il poursuit : "Pour celà ,  des enquêtes seront faites et on verra quelle suite sera réservée à ceux -là", a annoncé le ministre de l'enseignement supérieur.

Le Khalife Général des Tidianes   Serigne Babacar Sy Mansour de retour au Sénégal
La situation de crise secouant le Sénégal suite à l'affaire Adji Sarr / Sonko a poussé le Khalife général des Tidianes, Serigne Babacar Sy Mansour, à écourter son séjour médical en France,  Selon Le Témoin, ce 03 juin, vers 1h, le guide religieux à bord d'un vol privé est revenu au Sénégal.

"on est bien arrivés à Dakar avec le Khalife qui était parti à l'étranger pour des raisons médicales. On rend grâce à Dieu. Aujourd'hui, le 03 juin vers 1 heures du matin, on a foulé le sol sénégalais. le khalife a tenu à abréger son séjour dès qu'il a été informé de la situation du pays", déclare Serigne Habib Sy Mansour.

Au niveau de Tivaouane, des sources disent que le guide religieux devrait se prononcer les heures et jours à venir sur la situation du pays.

Manifestations à Touba: Serigne Mountakha Mbacké désigne les "Baye Fall" pour assurer le respect des interdictions
L'interdiction des manifestations dans la cité religieuse de Touba par le Khalife général des Mourides, Serigne Mountakha Mbacké sera désormais respecté par tous les talibés.

Le patriarche de Touba a désigné la famille de Mame Cheikh Ibrahima Fall pour assurer la sécurité et le respect des interdictions dans ce foyer religieux de Cheikh Ahmadou Bamba.

"Le ndigueul est tombé et nous l'appliquerons. Des réunions seront tenues pour voir les stratégies à adopter pour le respect de cette consigne. Mais il faut savoir que les Baye  Fall ont reçu l'instruction sera exécutée à la lettre", a révélé un émissaire Baye Fall.

Manifestations violentes au Sénégal : La Police fait un bilan, 16 décès et 500 personnes arrêtées
Face à la presse nationale et internationale  hier dimanche, la Police nationale a tiré un bilan lors des manifestations violentes notées à Dakar et à l'intérieur du pays, depuis jeudi après l'annonce du verdict du leader du parti Pastef / Les Patriotes, Ousmane Sonko, condamné à deux ans de prison ferme sur une affaire de viol contre l'ex - masseuse Adji Sarr.

Des manifestations qui ont occasionné des pertes en vies humaines, des dégâts matériels et plusieurs arrestations. Selon la Police, des personnes appréhendées sont principalement des individus armés et dangereux. 500 personnes ont été interpellées dont des mineurs et des personnes de nationalité étrangère.

Des personnes qui détenaient des cocktails Molotov, d'armes blanches, d'armes à feu de gros calibres. "Nous avons enregistré à ce jour, 16 décès de nombreux blessés et des dégâts matériels. Les forces de sécurité ont fait face  à des manifestants violents qui ne cherchent pas à exprimer une opinion, mais qui sont engagés dans des activités subversives", a fait savoir le Commissaire divisionnaire, Ibrahima Diop, Directeur de la sécurité publique ( Dsp).

Il poursuit : "les actions notées ont visé des infrastructures de l'Etat telles que les usines d'eau et d'électricité, les transports publics, des domiciles,  des commerces et des banques. L'objectif est de perturber l'activité économique du pays et d'instaurer un climat de terreur".



 

« Libérez les réseaux sociaux » est le titre de la nouvelle contribution partagée par le Professeur Mary Teuw Niane, ancien ministre de l’Enseignement Supérieur et candidat déclaré à la présidentielle de 2024.


Libérez les réseaux sociaux… .(Par Mary Teuw Niane )

On ne peut pas arrêter la mer avec ses mains disait le président Lamine Guèye. 

Il est impossible d’arrêter la vague impétueuse du combat pour la liberté notamment la liberté d’expression.

Ces mains menues qui brisent les chaînes silencieuses de l’assujettissement à un pouvoir qui cherche coûte que coûte à se reproduire et à se pérenniser vont se démultiplier au fur et à mesure que la répression inadmissible continue à s’intensifier.

Ces multitudes de voix venues des toutes les contrées s’élèvent outrées pour s’opposer à l’autoritarisme qui tente vainement d’envelopper ce peuple libre grouillant d’une joie de vivre explosive dans un silence glacial d’un peuple soumis qu’il n’est pas. 

Les solidarités intergénérationnelles se nouent, se tissent et se fortifient chaque jour que la faucheuse aveugle assassine une jeune pouce dont l’avenir prometteuse est brutalement interrompue. 

Ils sont un, dix, vingt, bientôt trente, emportés à la fleur de l’âge, à l’âge où tous les rêves sont possibles, à l’âge où les parents construisent l’espoir de leur futur sur leur progéniture en pleine croissance. 

Ils sont partis emportant avec eux l’espoir de leurs parents, semant la désolation d’un peuple qui perd ses enfants et amplifiant la lutte irrésistible de tous ceux qui veulent la paix et la sérénité d’une nation retrouvée.

 

Ceux qui nous gouvernent pensent, en coupant les réseaux sociaux, en ralentissant Internet, stopper le commerce, la communication et la palabre entre les Sénégalais. 

Ils croient pouvoir ainsi endiguer la vague de colère que leurs faits et gestes inadmissibles produisent. Ils se trompent. Ils ne font qu’amplifier le désir de défiance à l’autorité illégitime, à l’institution injuste et à un pouvoir qui pose des actes de privation de liberté, de répression implacable et d’arrogance qui terrorise. 

Nos compatriotes sont intelligents et ingénieux. 

Beaucoup d’entre eux ont d’ores et déjà trouvé les applications pour contourner ces restrictions d’un autre temps. 
 

Le Sénégal se classe désormais dans la liste peu enviable des régimes autoritaires dont la prétention est de contrôler la parole, les actes et la mobilité de leurs citoyens. 

Il est heureux de savoir que tous ces régimes politiques ont échoué dans leur prétention à vouloir mettre sous contrôle la liberté d’expression, de penser et de parler de leur peuple.

Cette décision honteuse de suspendre les réseaux sociaux n’empêchera pas les Sénégalais d’exercer leur droit inaliénable à la liberté d’expression. 

Elle ne fera que classer notre pays dans la liste des pays autoritaires et des États qui ont de graves manquements dans les principes de l’État de droit. 

Bientôt notre pays sera la cible des communiqués des responsables de organisations africaines et internationales. De Médecin de la démocratie dans le monde, notre pays va devenir le malade des libertés sur lequel se pencheront les pays africains et organisations internationales. 

Pour le droit à la liberté d’expression, levez ces mesures dérisoires de suspension des réseaux sociaux !


Le ministre Mame Mbaye Niang face à la presse ce samedi
Le ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, organise une conférence de presse ce samedi à 17h 30 au siège de l'Apr, selon les sources de Seneweb.

Le ministre s'exprimera sur la situation nationale tendue marquée par la mort d'une dizaine de personnes.

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