Fait particulier, aucune porte n’a été forcée, ce qui laisse penser que le vol a été commis sans effraction visible. L’appartement étant partagé avec d’autres occupants, l’accès au logement n’était pas limité, ce qui complique l’enquête.
Dans le cadre des investigations, la femme de ménage, qui a régulièrement accès à l’appartement, est soupçonnée. Après la découverte du vol, elle ne répondait plus à son téléphone, mais a finalement été contactée via un autre numéro, selon les informations recueillies.
Une plainte a été déposée auprès des services compétents. Les autorités poursuivent leurs vérifications pour identifier les auteurs du vol et déterminer les circonstances exactes de l’affaire.
Cet incident met en lumière les problématiques de sécurité dans les appartements partagés, où l’accès de certaines personnes peut faciliter les vols. Les habitants du quartier sont invités à la vigilance et à signaler tout comportement suspect aux autorités.

