
À Thiès, pendant l’hivernage, la gestion des ordures devient un véritable casse-tête. Faute de service de collecte régulier, ce sont les charrettes d’âne qui sillonnent les quartiers, remplaçant les camions absents. Pour beaucoup de familles, c’est la seule solution pour éviter que les déchets ne s’accumulent devant leurs portes, attirant moustiques et maladies.
Mais ce service improvisé a un prix : 2 000 F CFA par mois et par foyer, un coût parfois lourd pour des ménages déjà fragilisés. Et pourtant, sans ces charrettes, les rues se transformeraient vite en dépotoirs à ciel ouvert, aggravant les risques sanitaires, surtout sous les pluies incessantes.
Mais ce service improvisé a un prix : 2 000 F CFA par mois et par foyer, un coût parfois lourd pour des ménages déjà fragilisés. Et pourtant, sans ces charrettes, les rues se transformeraient vite en dépotoirs à ciel ouvert, aggravant les risques sanitaires, surtout sous les pluies incessantes.