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Société sur Thies info
Un grave incident sécuritaire s’est produit aux premières heures de la matinée à la Société EMP (El Hadji Pène), spécialisée dans la collecte de ferraille et implantée dans le secteur de Sears, dans la commune de Pikine.
Selon des informations recueillies sur place, une bande d’individus armés a pris d’assaut les locaux de l’entreprise, semant la panique parmi les employés et les riverains. Alertées, les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour sécuriser les lieux.
L’intervention policière a donné lieu à des échanges de tirs. Des coups de feu ont été entendus, aussi bien du côté des assaillants que des forces de sécurité, provoquant une vive inquiétude dans le quartier encore endormi à cette heure matinale.
Pour l’heure, le bilan exact de l’opération n’a pas encore été communiqué. Aucune information officielle n’a été confirmée concernant d’éventuelles victimes ou des arrestations. Toutefois, un important dispositif sécuritaire a été déployé autour du site afin de prévenir toute nouvelle intrusion et de permettre aux enquêteurs de faire la lumière sur les circonstances de cette attaque.
Une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs de l’assaut et déterminer les motivations de cette attaque armée contre la société EMP, un acteur connu dans le secteur de la récupération de métaux à Pikine.
Le drame survenu à Yarakh prend une dimension encore plus bouleversante. Ndiaga Sow, pêcheur de profession, célibataire et aîné de sa famille, a perdu la vie à la suite d’une violente altercation avec celui-là même qui l’avait réveillé ce matin-là pour aller travailler. Les deux hommes étaient amis de longue date et exerçaient ensemble le métier de pêcheur.
Selon des témoignages recueillis, c’est son ami qui serait venu réveiller Ndiaga Sow à l’aube pour se rendre au travail, comme ils en avaient l’habitude. Ensemble, ils ont quitté le domicile pour rejoindre leur lieu d’activité, sans que rien ne laisse présager le drame à venir.
Au cours de la journée, une dispute aurait éclaté entre les deux hommes. Les raisons exactes de l’altercation restent encore inconnues. La tension serait montée rapidement, jusqu’à dégénérer en bagarre.
Des témoins affirment que l’ami de Ndiaga Sow l’aurait saisi violemment, soulevé avant de le laisser retomber lourdement au sol. La chute aurait été d’une extrême violence. Après l’impact, la victime est restée immobile. Des signes alarmants ont été observés : il ne parlait plus, respirait difficilement et sa langue sortait de sa bouche, suscitant la panique parmi les personnes présentes.
Sa mère, Saye Ndiaye, raconte avec émotion comment elle a appris la nouvelle :
« C’est la même personne qui est venue le réveiller pour aller travailler...On ne m’a pas tout expliqué au début. Quand je suis arrivée, j’ai vu mon fils étendu par terre. Sa langue sortait. J’ai compris que c’était grave », témoigne-t-elle, en pleurs.
Transporté en urgence vers un établissement hospitalier, Ndiaga Sow a été déclaré mort dès son arrivée, malgré les efforts du personnel médical.
Aîné de sa famille, Ndiaga Sow jouait un rôle central au sein du foyer. Pêcheur courageux et travailleur, il subvenait aux besoins de sa mère et de ses proches. Sa disparition soudaine laisse un vide immense.
Les forces de l’ordre ont ouvert une enquête afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame. L’ami impliqué a été interpellé et placé en garde à vue. Les investigations devront établir les responsabilités et les suites judiciaires à donner à cette affaire.
À Yarakh, l’émotion reste vive. Ce drame rappelle tragiquement comment une simple dispute peut basculer dans l’irréparable, laissant derrière elle des familles endeuillées et des communautés marquées à jamais.
Les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de Dakar, relevant de l’OCRTIS, ont procédé ce mardi 16 décembre, vers 13 heures, à l’arrestation d’un maçon, A. Mbengue, né en 1992, en possession de 500 grammes de chanvre indien. La drogue, conditionnée en 17 cornets et un joint entamé, était prête à la vente.
Selon les autorités, cette interpellation fait suite à un renseignement signalant l’activité d’un dealer surnommé « Alpha », très actif dans le trafic de chanvre indien dans le secteur de Grand Mbao. Un dispositif de surveillance a été déployé, permettant de surprendre le suspect à son domicile, en train de conditionner et de distribuer la drogue.
Fait particulier : le mis en cause imposait à ses clients une consommation sur place. Lors de l’assaut, la police a saisi la drogue, deux téléphones portables (un simple et un Tecno Spark), la somme de 3 500 francs CFA ainsi que du matériel de conditionnement. Un client, identifié sous le nom de « Sa Thiès », a réussi à prendre la fuite en escaladant le mur d’enceinte.
Interrogé sommairement, A. Mbengue a reconnu être le propriétaire de la drogue et a indiqué se fournir dans la forêt de Keur Massar ou à Pikine. Les éléments saisis ont été placés sous scellés, et le suspect a été mis en garde à vue après notification de son droit à se faire assister par un avocat.
Le tribunal correctionnel de Thiès a jugé O. Sow, berger, accusé d’avoir sectionné le bras gauche de son confrère S. Mbaye à l’aide d’une machette. Les deux hommes se seraient croisés en brousse avec leurs troupeaux respectifs, lorsqu’une dispute apparemment banale a dégénéré en confrontation violente.
Selon les faits rapportés, O. Sow a porté un coup de machette à S. Mbaye, entraînant la perte de son bras gauche. Ce dernier, muni d’un certificat médical, a déposé plainte auprès de la gendarmerie pour coups et blessures volontaires.
À la barre, O. Sow a reconnu les faits, tout en invoquant la légitime défense. Il a affirmé que S. Mbaye l’aurait attaqué avec une barre de fer. De son côté, S. Mbaye a nié posséder une quelconque arme : « Quand on s’est disputé, il a brandi une machette et est venu vers moi. Sans défense, j’ai levé mes mains en signe de paix. Malgré tout, il a tenté de me porter un coup à la tête. En me protégeant, j’ai perdu mon bras gauche. Je ne peux plus travailler, alors que j’ai une famille à charge », a-t-il expliqué.
Il a ensuite réclamé 40 millions de F CFA en dommages et intérêts. Le procureur de la République, considérant les faits établis, a requis une peine de trois ans de prison ferme contre O. Sow.
Le commissariat d’arrondissement de la Médina a déféré, hier lundi, Lamine Sow, âgé de 20 ans, pour vol commis en réunion, avec violences et usage d’arme blanche. Le jeune homme se présentait comme mécanicien.
Selon l’enquête, les faits se sont déroulés aux environs de 4 heures du matin. Lamine Sow, domicilié à Fass Delorme, était accompagné de trois complices, identifiés comme Laye, Moussa et Modou. Ensemble, ils ont violemment bousculé le plaignant dans l’intention de lui arracher sa moto.
Le motocycliste, projeté au sol, a tenté de résister. Face à cette opposition, les agresseurs ont utilisé un gaz asphyxiant avant de prendre la fuite.
Alertés, les éléments de la brigade de recherches du commissariat de la Médina, en patrouille dans le secteur, ont réussi à interpeller Lamine Sow. Ses trois complices, eux, ont pris la fuite et sont activement recherchés par la police.
La sûreté urbaine du commissariat central de Thiès a présenté ce mardi devant le tribunal de grande instance A. Sy, un féticheur poursuivi pour escroquerie et charlatanisme. Cette arrestation fait suite à la plainte déposée le 11 décembre par Mme S. Seck, une vendeuse de fruits résidant à Pikine, Saint-Louis.
Selon les informations recueillies par Seneweb, la plaignante affirme avoir été escroquée de 26 millions de francs CFA par le suspect, établi à Thiès.
D’après Mme Seck, l’affaire débute en octobre 2025 lorsqu’une connaissance la met en contact avec A. Sy. Le féticheur proposait un traitement mystique pour son fils, O. D., souffrant de troubles comportementaux qu’il attribuait à des esprits maléfiques. Très vite, A. Sy lui aurait également promis de résoudre ses difficultés financières en multipliant tout argent qu’elle lui confierait.
Séduite par ces promesses, Mme Seck a commencé à transférer des sommes importantes sur les comptes électroniques du suspect. Mais face à l’absence de résultats et sous la pression de ses créanciers et sociétaires de tontines, elle a décidé de porter l’affaire devant le commissariat, munie de photocopies de toutes les transactions effectuées.
Interpellé dans le quartier Mbour 3, A. Sy a admis avoir promis à Mme Seck de faire fructifier son argent. Il reconnaît avoir encaissé 12 millions de francs CFA, alors que les documents présentés par la victime font état d’un total de 18 millions CFA. Le féticheur explique avoir utilisé une partie des fonds pour l’achat d’un véhicule Ford à 2,5 millions F CFA, et avoir dilapidé le reste.
À l’issue de l’enquête, le véhicule a été placé sous scellés et le suspect a été présenté au procureur de la République près le tribunal de grande instance de Thiès pour la suite de la procédure judiciaire.
Le tribunal d’instance de Mbour a condamné Philippe Maurice Sonko Badgi à un an de prison ferme pour une violente altercation survenue au croisement de Saly, impliquant le professeur M. Fall.
Lors de son audition, le prévenu a affirmé avoir interpellé M. Fall pour lui proposer de prendre une moto-Jakarta. Selon sa version, la réaction de la victime aurait été agressive : il aurait été attaqué en premier et se serait contenté de bousculer M. Fall, qui serait tombé sur des tessons de verre après avoir lancé une bouteille.
La partie civile conteste vigoureusement cette version. M. Fall raconte avoir été agressé sans raison, avant qu’une dispute ne s’ensuive et que des témoins interviennent pour les séparer. Il assure que Philippe Maurice Sonko Badgi est revenu à la charge, a brisé une bouteille de vin sur le trottoir et lui a porté plusieurs coups.
Pour étayer ses propos, la victime a présenté un tee-shirt blanc maculé de sang, symbolisant la violence de l’agression. M. Fall a également indiqué avoir perdu 150 000 F CFA et une chaîne en or, et continue de souffrir de douleurs importantes et de vomissements de sang depuis cette soirée. Il avait réclamé cinq millions de francs CFA à titre de dommages et intérêts.
Le procureur de la République a dénoncé la "mauvaise foi" du prévenu, soulignant la gravité de l’attaque et le risque pour la vie de la victime. Il a requis deux ans de prison, dont un an ferme.
La défense a plaidé l’ivresse de Philippe Maurice Sonko Badgi et demandé une peine plus clémente, ainsi qu’un accompagnement pour sevrage alcoolique. Elle a également sollicité une révision à la baisse des dommages et intérêts.
Après délibération, le tribunal a condamné le prévenu à un an de prison ferme et à verser 700 000 F CFA à M. Fall en réparation du préjudice subi.
La ville de Mbacké a été le théâtre d’une opération policière d’envergure dans la nuit du 12 au 13 décembre 2025. Les éléments du commissariat urbain, agissant sur la base de renseignements précis, ont procédé au démantèlement d’un réseau criminel particulièrement actif, dirigé par Ibrahima Diba, plus connu sous le nom d’Ibou Diba.
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