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Société sur Thies info
À Thiès, un incident grave s’est produit lorsqu’un père de famille, F.D., a porté des coups à un enfant de 10 ans pour défendre son épouse. Selon les faits rapportés, la dispute avait éclaté entre l’enfant et le fils de F.D. La femme de ce dernier serait intervenue pour séparer les deux enfants, mais la situation a rapidement dégénéré.
Dans un geste de violence, F.D. a cogné la tête de l’enfant contre un poteau électrique. La victime a été transportée à l’hôpital, où son incapacité temporaire de travail (ITT) a été estimée à 15 jours. Les parents de l’enfant ont immédiatement porté plainte auprès de la police pour coups et blessures volontaires.
Interrogé devant le tribunal d’instance de Thiès, F.D. a reconnu les faits tout en minimisant sa responsabilité, affirmant que l’enfant se serait cogné tout seul en tentant de fuir la correction et qu’il se battait avec son fils.
Le procureur de la République, estimant les faits établis, a requis l’application stricte de la loi. Le juge a finalement déclaré F.D. coupable et l’a condamné à une amende de 20 000 F CFA.
Cette affaire rappelle la nécessité de protéger les enfants et de résoudre les conflits familiaux sans recourir à la violence.
Le dimanche 26 octobre 2025, le village de Keur Amar Mané, près de Thiès, a été le théâtre d’une tragédie effroyable. Un jeune élève de terminale, A. Faye, accompagné de deux enfants de 13 et 8 ans, s’est rendu à un ziar annuel lorsqu’une panne de moto a changé le cours de sa journée.
Selon les premières informations, A. Faye aurait rencontré un jardinier, Cheikhouna, alors qu’il cherchait à obtenir un peu d’essence pour son véhicule. Devant le refus de l’homme, une dispute a éclaté, qui a rapidement dégénéré. Dans un accès de colère, le jeune élève a noyé le jardinier dans un bassin avant de jeter son corps dans un puits voisin.
Deux jours après le drame, rongé par la culpabilité, A. Faye a avoué les faits à ses parents, qui ont immédiatement alerté la gendarmerie. Le corps de Cheikhouna a été retrouvé dans le puits et transporté à l’Hôpital Général Idrissa Pouye pour autopsie.
Les enquêteurs de Thiès ont procédé à l’interpellation du jeune auteur présumé, qui a été déféré devant le parquet et placé sous mandat de dépôt. Les deux enfants qui accompagnaient A. Faye ont également été entendus par les autorités pour éclairer le déroulé des faits.
La nouvelle a profondément choqué les habitants de Keur Amar Mané. Cheikhouna, décrit comme un homme discret et travailleur, laisse derrière lui une famille endeuillée et un village traumatisé. Pour la population locale, cette tragédie illustre la fragilité des relations humaines et les conséquences dramatiques d’un geste irréfléchi.
Au-delà de l’acte criminel, l’affaire soulève des questions sur la gestion de la colère et le soutien à la jeunesse dans des situations de stress ou de conflit. Comment un simple différend autour d’une bouteille d’essence a-t-il pu provoquer une issue aussi fatale ? C’est le genre de question que se posent aujourd’hui les familles, les enseignants et les autorités locales.
La ville de Kaolack est en deuil après la mort tragique de Moussa et Cheikh Ndiaye, deux frères âgés de 8 et 12 ans, retrouvés noyés dans un bassin d’eau stagnante aux Parcelles Assainies. Les enfants avaient disparu dans l’après-midi et ont été retrouvés à l’aube par des riverains alertés par leurs familles.
« C’est une tragédie inimaginable. Nous sommes sous le choc », confie un voisin. Les enfants jouaient dans les environs, comme beaucoup d’autres dans le quartier, lorsque le drame est survenu.
Le bassin, destiné à drainer les eaux de pluie, n’est pas protégé et représente un danger permanent pour les enfants. Les habitants dénoncent l’absence de clôtures, signalisation ou surveillance, malgré des alertes répétées auprès des autorités locales.
La mairie de Kaolack a promis l’installation de clôtures de sécurité et une surveillance renforcée. Une enquête est ouverte pour déterminer les circonstances exactes de la noyade. Les associations locales de parents appellent également à des campagnes de sensibilisation pour prévenir les accidents.
Ce drame relance le débat sur la sécurité des enfants dans les zones urbaines et la responsabilité des autorités locales à protéger les populations vulnérables.
À Thiès, un jeune homme de 22 ans a été gravement blessé à la tempe par un tesson de bouteille alors qu’il intervenait pour défendre son oncle dans une querelle de voisinage. L’agression a eu lieu dans le quartier de Darou Salam vendredi soir, provoquant la panique parmi les riverains.
Une blessure prise en charge rapidement
Transporté en urgence à l’hôpital régional de Thiès, le jeune homme a reçu des soins immédiats, son pronostic vital n’étant pas engagé. L’agresseur a été interpellé et placé en garde à vue pour violences volontaires.
Des riverains inquiets
Cet incident souligne la banalisation des violences dans certains quartiers, où des disputes apparemment anodines peuvent rapidement dégénérer. Les habitants appellent les autorités à renforcer la médiation de proximité et la présence policière pour éviter que de tels drames ne se répètent.
Le tribunal de grande instance de Thiès a condamné, ce jeudi, W.S., un jeune homme domicilié à Mbour, à six mois de prison dont un mois ferme pour vol et association de malfaiteurs.
Le tribunal de grande instance de Thiès a jugé une affaire familiale aux allures de trahison. F.S., un jeune homme de la région, a été condamné à six mois de prison dont un mois ferme pour recel de bien volé, après avoir vendu un réfrigérateur dérobé à sa propre tante.
Les faits se sont déroulés courant octobre. F.S. avait proposé à sa tante un réfrigérateur à 60 000 FCFA, en affirmant qu’il s’agissait d’un appareil personnel dont il voulait se débarrasser. Convaincue de faire une bonne affaire, la tante lui avait aussitôt remis une avance de 30 000 FCFA.
Mais quelques jours plus tard, la police, enquêtant sur un vol de frigo signalé dans le quartier, est remontée jusqu’à l’acheteuse. Interrogée, la femme a expliqué qu’elle ignorait totalement que l’objet provenait d’un vol.
À la barre, F.S. a reconnu les faits sans détour. Il a expliqué avoir agi sous le coup du besoin : « Je ne savais pas que c’était si grave, j’avais besoin d’argent. »
Le tribunal, estimant qu’il avait agi en toute connaissance de cause, l’a déclaré coupable de recel de vol et l’a condamné à six mois d’emprisonnement dont un mois ferme. Sa tante, jugée de bonne foi, a été relaxée purement et simplement.
Une décision qui rappelle que même les liens du sang ne sauraient effacer les fautes devant la justice.
Un drame d’une rare horreur a bouleversé le quartier Santessou, à Mbour, sur la Petite-Côte. Dans la soirée, un nouveau-né de sexe masculin a été découvert abandonné dans les canalisations d’une latrine. Quelques heures plus tard, la police a arrêté une habitante de la maison, Amy Hann, formellement identifiée comme la mère de l’enfant
Tout est parti d’une alerte donnée aux alentours de 22 heures par les sapeurs-pompiers de Mbour. Ces derniers venaient d’extraire un nouveau-né encore en vie du tuyau d’évacuation d’une toilette dans une résidence située près du Centre des handicapés, au quartier Santessou.
Selon le rapport des secouristes, le bébé était coincé dans un tuyau de 100 mm de diamètre reliant la cuvette à la fosse septique.
Les habitants de la maison ont déclaré avoir entendu des cris provenant des toilettes dès 19 heures, sans parvenir à localiser la source. Ce n’est qu’après avoir démonté la cuvette qu’ils ont découvert le corps du nourrisson.
Alertée, la police judiciaire de Mbour s’est rendue sur place pour constater les faits et ouvrir une enquête.
Dans un premier temps, tous les résidents de la maison ont nié toute connaissance de l’enfant. Mais dès le lendemain, les enquêteurs ont adressé une réquisition médicale à la direction de l’hôpital Thierno Mansour Barro de Mbour afin de procéder à un examen des six femmes vivant dans la maison.
L’examen, effectué par un gynécologue obstétricien, a permis de lever le doute. Une des femmes, Amy Hann, présentait des signes évidents d’un accouchement récent. Le rapport médical mentionne un « tableau de rétention placentaire avec cordon ombilical visible au niveau de la vulve et métrorragie ». Le médecin a formellement conclu qu’elle venait d’accoucher.
Malgré les efforts des sapeurs-pompiers et du personnel médical, le bébé n’a pas survécu. Il est décédé quelques heures après son admission à l’hôpital.
Face à ces éléments accablants, Amy Hann a été arrêtée et placée en garde à vue pour infanticide.
Dans le quartier Santessou, la nouvelle a provoqué une vive émotion. Les voisins, encore sous le choc, peinent à comprendre ce geste tragique.
L’enquête se poursuit afin de déterminer les circonstances exactes du drame et les motivations de la mise en cause.
L’horreur s’est invitée, ce mercredi, dans le quartier populaire de Thially à Thiès. Alors que les habitants se préparaient à célébrer un baptême dans une ambiance joyeuse, une découverte macabre est venue bouleverser la fête : un nouveau-né, encore en vie mais en état critique, a été retrouvé emballé dans un sachet plastique noir et déposé devant la maison où devait se tenir la cérémonie.
Selon des témoins interrogés, c’est une femme du voisinage qui a fait la macabre découverte aux environs de 14 h . « Je traversais quand j’ai vu un sachet bouger légèrement. En m’approchant, j’ai entendu un petit cri étouffé… », raconte-t-elle encore sous le choc.
Alertés, les habitants du quartier ont immédiatement interrompu le baptême pour porter secours au nourrisson. L’enfant, enveloppé dans un tissu léger et placé dans un sachet plastique, respirait difficilement. Il a été transporté d’urgence à l’hôpital régional de Thiès, où il a été pris en charge par les services pédiatriques.
Les éléments de la police se sont rapidement rendus sur les lieux pour ouvrir une enquête. Les premières constatations laissent penser à un abandon volontaire, mais les circonstances exactes restent à déterminer.
Une forte émotion règne dans le quartier Thially, où les habitants peinent à comprendre comment un tel acte a pu être commis, d’autant plus devant une maison en fête, symbole de naissance et de joie. « C’est comme si quelqu’un voulait se débarrasser de son bébé, en le déposant là où il y avait du monde pour qu’on le retrouve vite », estime un voisin.
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