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Société sur Thies info
Le Commissariat du 1er arrondissement de Thiès a procédé, ce samedi 21 décembre 2025, à l’interpellation de cinq (05) individus pour des faits qualifiés d’actes contre nature, à l’issue d’une opération de police menée dans le quartier Escale.
L’opération fait suite à l’exploitation d’un renseignement opérationnel fiable, faisant état d’un regroupement jugé suspect dans un appartement de la localité. Informée de la situation, la Brigade de Recherches (BR) a rapidement été mobilisée et a effectué une descente ciblée sur les lieux indiqués.
À l’arrivée des forces de l’ordre, cinq personnes ont été trouvées à l’intérieur de l’appartement et immédiatement interpellées.
La fouille de la chambre occupée par les mis en cause a permis la saisie de plusieurs éléments, notamment :
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de la vaseline ;
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des comprimés, dont la nature exacte n’a pas encore été précisée par les enquêteurs.
Bien qu’aucun flagrant délit n’ait été constaté sur place, les éléments recueillis ont été jugés suffisants pour justifier leur placement en garde à vue.
Lors de leur audition, les cinq individus ont reconnu leur appartenance à la communauté homosexuelle. Ils ont expliqué leur présence dans l’appartement par une invitation lancée par l’un d’entre eux, dans le cadre de la préparation d’un défilé de mode prévu dans un restaurant de la ville.
Toutefois, ces explications n’ont pas permis de dissiper les soupçons des enquêteurs, qui poursuivent leurs investigations.
Un fait jugé particulièrement sensible a été versé au dossier : l’un des individus interpellés a déclaré être séropositif, affirmant ne pas avoir informé les autres personnes présentes de son statut sanitaire. Cet élément a été officiellement consigné dans la procédure d’enquête.
Les cinq mis en cause demeurent en garde à vue, tandis que l’enquête se poursuit afin de déterminer précisément les faits reprochés, les responsabilités individuelles et d’éventuelles infractions connexes prévues par la loi.
Un incident inhabituel s’est produit le 19 décembre 2025 au rond‑point de la station Apide Diakhao, dans la ville de Thiès. Adama Guèye, un conducteur de moto Jakarta âgé de 24 ans et domicilié à la Zac Nord de Nguinth, a été arrêté lors d’un contrôle routier pour non-respect du port du casque.
La cybercriminalité continue de faire des ravages au Sénégal et au sein de la diaspora. Cette fois-ci, c’est l’image de la célèbre influenceuse Mamysta la Tigresse qui a été exploitée par un individu sans scrupules pour soutirer des millions de francs CFA à plusieurs victimes, principalement des Sénégalais vivant à l’étranger.
La Division spéciale de la cybersécurité (DSC) a mis fin à cette escroquerie en procédant à l’arrestation d’un jeune homme de 24 ans, nommé Amadou Diallo, domicilié à Thiaroye-sur-Mer. Le mis en cause est poursuivi pour usurpation d’identité, escroquerie et manipulation via les réseaux sociaux.
Pour parvenir à ses fins, Amadou Diallo a créé un faux compte Facebook au nom d’Aminata Joop, se faisant passer pour la très médiatisée Mamysta la Tigresse. Grâce à des échanges réguliers, des messages affectueux et une stratégie de séduction savamment entretenue, il a réussi à gagner la confiance de plusieurs hommes.
Les victimes, convaincues de dialoguer avec l’influenceuse, ont été entraînées dans de fausses relations amoureuses, ponctuées de promesses de rencontres et de projets communs.
L’un des cas les plus marquants concerne un Sénégalais de la diaspora, K. Niang, établi en Italie. Persuadé d’entretenir une relation réelle avec Mamysta la Tigresse, il a accepté de verser près de 3 millions de francs CFA via des transferts Wave. Mieux encore, la victime a quitté l’Espagne pour se rendre au Maroc, espérant y rencontrer celle qu’il croyait être sa compagne. Une rencontre qui n’a évidemment jamais eu lieu.
Face à la multiplication des faux profils et aux plaintes indirectes, la véritable Mamysta la Tigresse a saisi la Division spéciale de la cybersécurité. Les enquêteurs ont rapidement remonté la piste du numéro de téléphone utilisé pour recevoir les fonds.
Les investigations ont révélé que le compte du suspect avait encaissé au moins 4 millions de francs CFA, laissant supposer l’existence de plusieurs autres victimes, encore non identifiées.
Interpellé à Thiaroye-sur-Mer, Amadou Diallo a reconnu les faits lors de son audition. Il est actuellement entre les mains de la justice, tandis que la DSC poursuit ses investigations afin d’identifier l’ensemble des personnes flouées et déterminer l’ampleur réelle de cette escroquerie numérique.
Cette affaire relance le débat sur les arnaques sentimentales en ligne, de plus en plus fréquentes et sophistiquées. Les autorités appellent les internautes à la vigilance, rappelant qu’aucune personnalité publique ne demande de l’argent via des comptes personnels sur les réseaux sociaux.
Le tribunal d’instance de Thiès a été le théâtre, ce lundi, d’une affaire de violences conjugales mettant en cause un homme identifié sous le nom de T. Bal, âgé de 32 ans et exerçant comme conducteur de moto-taxi. L’homme a été traîné à la barre par son épouse, qui l’accuse de coups et de mauvais traitements répétés.
À la barre, la plaignante, A. Guèye, n’a pas mâché ses mots. Elle affirme avoir été violemment battue par son mari à la suite d’une dispute conjugale. Selon ses déclarations, il ne s’agirait pas d’un incident isolé. Elle soutient que c’est la troisième fois qu’elle subit des violences de la part de son époux, précisant avoir déjà porté plainte à deux reprises par le passé.
Plus grave encore, la jeune femme a confié au tribunal que ces violences ont conduit à une rupture définitive du couple, son mari l’ayant répudiée après trois années de mariage.
Face aux accusations, T. Bal a catégoriquement nié les faits qui lui sont reprochés. Dans sa défense, il a tenté d’inverser les rôles, affirmant que son épouse serait à l’origine des tensions au sein du foyer.
Selon lui, la plaignante l’aurait menacé avec un couteau, provoquant une altercation. Il a également évoqué des comportements qu’il juge inacceptables, l’accusant de jalousie excessive, d’espionnage, de destruction de ses vêtements et de manquements à ce qu’il considère comme ses responsabilités domestiques.
Malgré les dénégations du prévenu, le procureur de la République a estimé que les éléments du dossier étaient suffisamment sérieux pour justifier des poursuites. Il a requis l’application rigoureuse de la loi, rappelant la gravité des faits reprochés dans un contexte où les violences conjugales demeurent une préoccupation majeure.
Le tribunal a mis l’affaire en délibéré. Le verdict est attendu le 29 décembre prochain, date à laquelle T. Bal sera fixé sur son sort.
Une importante tentative de trafic de drogue a été déjouée à Yenne, dans la région de Dakar, grâce à la vigilance des forces de sécurité. Les faits se sont déroulés dans la nuit du lundi 22 décembre 2025, aux alentours de 4h30 du matin, lors d’un contrôle routier effectué par la brigade de gendarmerie de Yenne, au niveau du croisement de Yenne Todd.
Selon des sources sécuritaires, deux véhicules suspects ont été repérés au cours de l’opération. Refusant d’obtempérer, l’un d’eux a réussi à prendre la fuite, tandis que le second a délibérément foncé sur le point de contrôle, mettant en danger la vie des gendarmes en service. Une course-poursuite s’est alors engagée.
Acculés, les occupants du véhicule ont finalement abandonné la voiture avant de s’échapper à pied, profitant de l’obscurité. La fouille du véhicule a permis aux gendarmes de découvrir une importante cargaison de drogue, estimée à 150 kilogrammes de chanvre indien, soigneusement dissimulée dans le coffre.
Cette saisie s’inscrit dans une série d’opérations menées récemment par la gendarmerie nationale contre le trafic de stupéfiants. Le même jour, la brigade de la Foire, appuyée par la Légion de Gendarmerie d’Intervention (LGI), a interpellé un individu en flagrant délit de vente de drogue, en possession de 255 comprimés d’ecstasy. La veille, à Tivaouane Peulh, un réseau structuré de trafiquants a été démantelé, conduisant à l’arrestation de neuf personnes.
La gendarmerie nationale réaffirme sa détermination à lutter contre le trafic de drogue sous toutes ses formes et appelle les populations à collaborer activement, en signalant toute information utile via les numéros verts mis à disposition.
Un drame a frappé le quartier Hamdallay 1 à Diamaguène ce week-end. Pape Ndiaga Sall, un adolescent âgé d’environ 17 ans, a été mortellement poignardé pour une dette dérisoire de 200 FCFA. L’acte a profondément choqué la population locale et relancé le débat sur la violence entre jeunes dans la région.
Lors de son interrogatoire, il a reconnu les faits, précisant que la victime l’aurait insulté lors de la réclamation de son argent.
L’enquête se poursuit pour déterminer toutes les circonstances du drame.
Les habitants dénoncent un passage à l’acte extrême qui pourrait avoir été évité. Pour beaucoup, cette tragédie met en lumière la vulnérabilité des jeunes, les problèmes de socialisation, et l’urgence de renforcer l’encadrement et la prévention contre la violence juvénile.
Dans la nuit du samedi 20 décembre 2025, un drame conjugal a endeuillé le quartier de Keur Mbaye Fall, dans la banlieue dakaroise. Bintou Guèye, résidente de Yeumbeul Nord, a été mortellement atteinte par balle à son domicile, plongeant ses proches et le quartier dans l’émoi.
Les autorités policières insistent sur la nécessité de laisser l’enquête suivre son cours, afin de faire toute la lumière sur ce drame familial.
Les voisins et connaissances de la famille déplorent la prolifération des violences conjugales et appellent à une plus grande vigilance des autorités pour prévenir de tels drames.
Le Commissariat Central de Kaolack a mené, le 17 décembre 2025, une vaste opération de contrôle dans les quartiers de Thiofack et Bongré, mettant au jour un réseau illégal de production et de distribution de produits de boulangerie et de pâtisserie. Cinq personnes ont été interpellées pour des infractions graves menaçant directement la santé publique.
Selon les services de police, cette opération ciblée visait à sanctionner plusieurs violations majeures de la réglementation en vigueur, notamment :
la violation des règles encadrant la production et la distribution des denrées alimentaires ;
le défaut d’agrément technique et l’absence d’autorisation administrative d’ouverture ;
la mise en danger de la vie d’autrui par la commercialisation de produits potentiellement corrompus ou toxiques ;
le non-respect total des normes de salubrité dans les locaux de préparation.
Les investigations menées sur les différents sites ont révélé une situation particulièrement préoccupante. Les unités contrôlées exerçaient dans une illégalité totale, sans aucun cadre légal, ni agrément technique, ni inscription au Registre du Commerce et du Crédit Mobilier (RCCM).
À cela s’ajoutaient des conditions d’insalubrité notoire, incompatibles avec toute activité liée à l’alimentation humaine. Les locaux inspectés ne répondaient à aucune exigence d’hygiène, exposant ainsi les consommateurs à des risques sanitaires majeurs.
Autre facteur aggravant relevé par les enquêteurs : l’utilisation du charbon de bois comme principal combustible, en violation flagrante des normes de sécurité incendie et de protection de l’environnement. Une pratique jugée extrêmement dangereuse, tant pour les travailleurs que pour les riverains.
Face à l’urgence sanitaire, les autorités ont ordonné :
l’arrêt immédiat de toutes les activités de production ;
la mise sous scellés des sites clandestins ;
le placement en garde à vue des cinq mis en cause.
L’enquête se poursuit en étroite collaboration avec les services régionaux du Commerce et de l’Hygiène, afin d’identifier d’éventuelles complicités et d’empêcher toute reprise de ces activités illicites.
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