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Société sur Thies info
Les suspects, liés au réseau de délinquants appelé « Bronson », auraient voulu récupérer une moto supposément volée.
Les faits remontent au mardi 25 novembre 2025, vers 16 heures. Deux frères, accompagnés de leur sœur, se sont présentés en urgence au poste de police, le visage marqué de blessures visibles. Ils ont expliqué aux enquêteurs qu’un individu, épaulé par une dizaine de complices, s’était présenté à leur domicile situé aux HLM Patte d’Oie, le 23 novembre.
Les assaillants auraient alors enlevé l’aîné avant de le conduire au quartier Darou, dans un repaire de délinquants connu sous le nom de « Bronson ». Là, ils lui auraient réclamé une moto prétendument volée, le soupçonnant d’en être responsable. S’en est suivi un long calvaire : coups répétés, blessures au visage infligées avec des objets contondants, et inhalation forcée de gaz asphyxiant.
Le cadet, qui avait tenté de secourir son frère, a également été roué de coups, notamment à la tête, avant que la bande ne finisse par relâcher les deux victimes.
Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Le lendemain, le même groupe est revenu menacer de mort les deux frères s’ils ne restituaient pas la moto dans les plus brefs délais. Face à la gravité de ces menaces, la famille a finalement décidé de solliciter l’intervention de la police.
Les investigations ont rapidement conduit à l’arrestation de quatre membres du gang, dont le cerveau présumé. Durant leur audition, ils ont reconnu les violences, mais nié toute intention homicide, soutenant qu’ils ne faisaient que chercher à récupérer leur moto.
Les suspects ont été placés en garde à vue. L’enquête se poursuit pour identifier et interpeller les autres membres en fuite.
Ce samedi 22 novembre 2025, vers 7 heures du matin, Ousseynou Kâ, berger de 38 ans et père de famille, a été retrouvé pendu à un arbre près du village de Ngollo, dans la commune de Kamb, département de Linguère. C’est son oncle qui a fait la macabre découverte
Alertés, les gendarmes de la brigade de Yang-Yang, accompagnés de l’infirmier en chef du poste de santé local, se sont immédiatement rendus sur place pour les constatations d’usage. La dépouille a ensuite été transférée à la morgue du centre de santé de Dahra par les sapeurs-pompiers.
Selon nos sources, la victime souffrait de troubles mentaux depuis un certain temps. La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce suicide.
Ousseynou Kâ, berger de 38 ans, a été retrouvé pendu près de Ngollo. La gendarmerie enquête sur ce drame.
À Thiès, dans le quartier de Keur Dago, Enda Jeunesse Action (EJA), dirigée par Josephine Diatta, en collaboration avec l’AEMO (Action Éducative en Milieu Ouvert) et la C.A.P.P.E. (Coalition des Acteurs pour la Protection de l’Enfant), représentée par Mame Cheikh Diouf, a permis le retour de 59 enfants de la rue à leurs familles. Cette initiative est soutenue par l’Inspecteur Cheikhou Diop, Inspecteur de la protection sociale et judiciaire à la Cour d’appel de Thiès, pour assurer la conformité légale et la protection des droits des enfants.
Selon Josephine Diatta, responsable de l’équipe EJA :
« Le retour des 59 enfants à leurs familles est une grande réussite pour notre équipe. Cela montre que lorsque les acteurs locaux, les familles et les autorités travaillent ensemble, il est possible de protéger durablement les enfants vulnérables. »
Chaque enfant bénéficie désormais d’un accompagnement social, éducatif et psychologique, tandis que les familles reçoivent un soutien pour créer un cadre de vie sûr et stable.
Les équipes d’EJA, de l’AEMO et de la C.A.P.E. poursuivent plusieurs actions pour protéger les enfants :
Protection contre les violences et l’exploitation,
Soutien scolaire et réinsertion éducative,
Programmes spécifiques pour les jeunes filles,
Sensibilisation et mobilisation communautaire.
Ces interventions permettent de prévenir de nouvelles situations de risque et de renforcer la sécurité et le bien-être des enfants.
Comme le rappelle l’Inspecteur Cheikhou Diop :
« On a constaté qu’il reste toujours des défis tels que les enfants de la rue. Le Code de l’Enfant est parfois incompatible avec le Code de la Famille concernant le mariage. Malgré cela, il y a des efforts, comme l’enrôlement volontaire à l’armée entre 18 et 20 ans. La volonté de l’État est là, mais on peut mieux faire. »
Cette déclaration souligne la nécessité de renforcer les dispositifs de protection, d’harmoniser les textes législatifs et d’impliquer davantage les communautés.
Pour Mame Cheikh Diouf, membre de la C.A.P.E. :
« L’objectif est clair : chaque enfant doit grandir en sécurité, dans la dignité et avec des opportunités pour l’avenir. »
Cette déclaration reflète la volonté commune des associations, de la justice et des communautés locales de créer un environnement protecteur et épanouissant pour tous les enfants du quartier.
Le retour des 59 enfants à leurs familles illustre l’efficacité d’une protection intégrée des enfants, où associations, justice et communautés travaillent main dans la main. Ces initiatives montrent qu’avec coordination, suivi et engagement communautaire, il est possible de garantir la sécurité, la dignité et l’épanouissement de chaque enfant.
La mort de Nogaye Thiam, 23 ans, continue de provoquer une profonde onde de choc au Sénégal. Une indignation d’autant plus vive que les circonstances du drame, survenu dans sa belle-famille à Thiès, demeurent obscures et troublantes. Face à ce qu’elles qualifient de « zones d’ombre inacceptables », plusieurs organisations féministes et associations communautaires ont officiellement saisi le procureur de la République pour demander l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire indépendante.
Une plainte collective déposée
Parmi les signataires de la plainte, publiée le 21 novembre 2025, figurent :
Le Collectif des féministes du Sénégal,
Jigen Sénégal,
Le Réseau des féministes du Sénégal,
Le collectif Dafadoy,
Les Bajenu Gokh de Ouakam,
L’association Mères actives,
L’Association Actrices culturelles ensemble (ACE),
Sénégal Action Féministe,
L’association Molaadé,
Alercom/Manoore,
La Ligue des soignantes sénégalaises pour l’accès à des soins humanisés.
Ces organisations dénoncent les « zones d’ombre » entourant la mort de Nogaye Thiam et réclament une investigation rigoureuse pour identifier les causes exactes de son décès.
Des faits inquiétants
Selon ces associations, la jeune femme a été retrouvée morte deux jours après son décès, son enfant mineur resté seul à ses côtés. Elles mettent en avant un possible climat d’isolement et de conflit familial au sein du domicile de la belle-famille, soulevant la question de la non-assistance à personne en danger et de la responsabilité de tiers.
Le communiqué précise que ces conditions pourraient indiquer des violences ou négligences ayant contribué au drame. L’affaire met en lumière le risque auquel sont exposées certaines jeunes femmes dans leur environnement conjugal, notamment lorsqu’elles sont isolées ou en conflit avec leur belle-famille.
Les demandes adressées au procureur
Les associations exigent :
La réalisation d’une autopsie complète pour déterminer les causes exactes du décès.
L’audition de toutes les personnes présentes dans le domicile et ayant connaissance du conflit familial.
La clarification des responsabilités concernant la non-assistance ou la négligence pouvant avoir touché la victime et son enfant.
La protection de l’enfant survivant, exposé à un traumatisme psychologique grave.
Un drame révélateur d’un malaise social
Au-delà du fait divers, cette affaire révèle des problèmes structurels liés aux violences intrafamiliales et à l’isolement des femmes. Elle soulève des questions sur la protection des mères et des enfants dans leur environnement familial et sur la responsabilité collective de la société face à ces situations.
Les organisations féministes, par cette démarche judiciaire, veulent mettre fin à l’impunité et sensibiliser l’opinion publique sur l’importance de protéger les femmes et enfants vulnérables au sein du foyer.
La mort de Nogaye Thiam continue de bouleverser Thiès. Cette jeune femme de 25 ans, née en 2000, a été retrouvée sans vie dans la maison de sa belle-famille, son bébé d’un an blotti contre son corps, après des heures d’indifférence totale.
Son père, Samba Thiam alias Thiam Radiateur, livre un récit glaçant, mêlant tensions familiales, humiliations et négligence, sans pour autant accuser qui que ce soit de meurtre.
Avant d’épouser Elimane Diao, Nogaye était fiancée à Lamine, le frère aîné. Mais la grand-mère de celui-ci s’était opposée à l’union, et Lamine avait finalement épousé une autre femme.
Peu après, c’est Elimane qui demande la main de Nogaye.
« J’ai refusé catégoriquement, mais on m’a forcé la main », raconte Samba Thiam.
Un mariage sous pression familiale, compliqué par les liens de parenté très étroits : le père d’Elimane est l’oncle maternel de Nogaye, et sa mère, sa cousine.
Dès les débuts, le père de Nogaye avait prévenu sa fille :
« Si tu ne fais pas attention, tu ne connaîtras pas le bonheur dans cette maison. »
À peine entrée dans sa belle-famille, Nogaye se retrouve dans un engrenage toxique. Lamine, son ancien fiancé, recommence à lui envoyer des messages.
Son mari les découvre, et les tensions entre les deux frères explosent. L’ambiance devient invivable.
Nogaye enchaîne les éprouvantes épreuves :
trois fausses couches,
un mari qui perd son emploi à Sabodala,
un retour forcé dans la maison conjugale,
une belle-mère envahissante et volontairement hostile.
« Elle vivait le cauchemar », répète son père.
La jeune femme lui confie régulièrement son désir de fuir ce mariage, mais ses tentatives sont systématiquement bloquées… parfois même par sa propre mère, qui l’oblige à retourner chez ses beaux-parents.
Lorsqu’elle tombe enceinte, Nogaye retourne vivre chez ses parents.
Mais à sept mois de grossesse, sa belle-mère supplie pour qu’elle revienne.
Après l’accouchement, l’indignation du père atteint un sommet :
ni le mari, ni les beaux-parents n’informent la famille de Nogaye de la naissance.
Même le jour du baptême, personne ne se présente de leur côté.
Samba Thiam veut alors mettre fin au mariage. Sa femme s’y oppose encore une fois.
Jeudi soir, Nogaye envoie un dernier message à son père. Rien d’alarmant.
Le lendemain, un incident banal dégénère : une histoire de tour de cuisine, retiré brusquement à Nogaye au profit de sa belle-sœur.
Nogaye se retire dans sa chambre avec sa fille… et personne ne la reverra vivante.
Pendant deux jours, la famille vit normalement, mange devant sa porte, l’ignore volontairement.
La belle-mère déclare :
« Mangez et laissez-la. Elle est impolie. »
Même sa tante, Fatou Thiam, présente dans la maison, ne s’inquiète pas.
C’est Moussa Diao, un autre frère d’Elimane, qui finit par remarquer leur absence en venant déposer des cadeaux pour les enfants.
Devant le mutisme de la famille, il alerte Elimane, qui ordonne de forcer la porte.
Selon Samba Thiam, la belle-mère, imperturbable, ne s’inquiète que d’une chose :
« Ne cassez pas la porte. »
Derrière, la scène est insoutenable :
Nogaye est morte depuis deux jours. Son bébé, affamé, grelottant, est recroquevillé contre elle.
C’est l’oncle de Nogaye également son beau-père qui informe Samba Thiam.
« Il m’a dit d’avoir foi en Dieu, sans aucune compassion », déplore-t-il.
À l’hôpital, le père apprend un choc supplémentaire :
Nogaye était enceinte au moment de son décès.
Pour autant, Samba Thiam refuse de parler de meurtre.
« On ne peut pas dire qu’ils l’ont tuée. Mais leur négligence… oui. »
Il rappelle que plusieurs membres de la famille souffrent d’une pathologie cardiaque :
six de ses fils sont morts de la même maladie.
Pour lui, c’est peut-être la combinaison du stress extrême et du problème cardiaque qui a emporté sa fille.
Le bébé est toujours chez la belle-famille.
Samba Thiam affirme qu’il attendra le huitième jour avant de décider de la suite.
Il ne compte pas porter plainte :
« Je veux seulement que la vérité soit dite, et que l’affaire soit enterrée. »
La ville de Kolda est en deuil. Boris Diedhiou, jeune employé de la Caritas locale, porté disparu depuis plusieurs jours, a été retrouvé mort ce vendredi 21 novembre dans une zone forestière, selon des sources contactées par le correspondant local de PressAfrik. La découverte, macabre, met fin à des recherches intenses menées depuis le début de la semaine.
Selon un proche, Boris avait quitté son domicile en début de semaine pour une partie de chasse, un loisir qu’il pratiquait régulièrement. Mais après son départ, plus aucun signe de vie. Inquiet, son entourage avait alerté les Forces de défense et de sécurité (FDS), qui ont déployé des équipes dans plusieurs zones boisées de la région.
Malgré les moyens engagés, aucune trace du jeune homme n’avait été retrouvée jusqu’à ce vendredi.
La dépouille de Boris a finalement été localisée au cœur d’une zone forestière dense. Le corps, en état de putréfaction avancée, gisait à proximité de son fusil de chasse. Face à la décomposition, les autorités sanitaires ont ordonné une inhumation immédiate sur les lieux, conformément aux protocoles en vigueur pour ce type de situation.
La nouvelle a bouleversé Kolda, où Boris était décrit comme « un jeune engagé, humble et dévoué », tant par ses collègues de la Caritas que par les habitants. La douleur est immense au sein de la communauté chrétienne, très soudée dans la région.
Les autorités ont ouvert une enquête afin d’élucider les circonstances exactes de ce décès : accident de chasse ? Malaise ? Chute ? Ou autre piste ? Les premiers éléments ne permettent pour l’instant aucune conclusion.
En attendant, famille, amis et collègues pleurent la perte tragique d’un jeune homme apprécié de tous, dont la disparition laisse un vide profond à Kolda.
Cheikh Sylla, commerçant à Touba, vient de recouvrer la liberté après plus de deux ans de détention préventive. Il avait été arrêté pour avoir abattu un cambrioleur qui défonçait son magasin dans la nuit du 3 au 4 mars 2023.
Selon les faits, les éléments du commissariat spécial de Touba avaient été alertés par les sapeurs-pompiers qui avaient découvert un corps sans vie dans le magasin de M. Sylla. La victime, un jeune homme d’une vingtaine d’années, présentait une grave plaie à la poitrine causée par une balle de fusil.
Interrogé par la police, Cheikh Sylla a expliqué avoir agi pour protéger son commerce. Vers 3 heures du matin, des malfaiteurs avaient défoncé la porte de son magasin. Il a alors ouvert le feu, touchant l’un des intrus à la poitrine. Ayant constaté le drame, il a alerté les sapeurs-pompiers avant de prendre la fuite, faute d’autorisation de port d’arme. Le fusil utilisé appartenait à son défunt père.
Devant la chambre criminelle du tribunal de grande instance de Diourbel, Cheikh Sylla a maintenu sa version des faits. L’avocat général avait requis 20 ans de réclusion criminelle, tandis que l’avocat de la défense, Maître Serigne Diongue, plaidait la légitime défense : « Mon client n’a rien fait de mal, si ce n’est d’avoir courageusement défendu son bien au péril de sa vie. Nous sommes bien dans un cas de légitime défense », a-t-il insisté, dénonçant la riposte disproportionnée du procureur.
Au terme du procès, la chambre criminelle a requalifié les charges initiales. Le meurtre a été transformé en « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et la détention illégale d’arme de 5ᵉ catégorie a également été retenue. Pour ces faits, C. Sylla a été condamné à deux ans de réclusion criminelle, peine déjà purgée en détention préventive, ce qui lui a permis de retrouver sa liberté.
Le Tribunal correctionnel de Dakar a condamné hier, jeudi 20 novembre 2025, le chauffeur Malèye Ciss à dix (10) ans d’emprisonnement ferme. L’homme, déjà gracié après avoir purgé une peine de cinq ans pour des faits similaires, était poursuivi pour coups et blessures volontaires ayant entraîné des Incapacités Temporaires de Travail (ITT) de 30 et 3 jours au préjudice de son beau-père, Omar Ndao, et d’un autre membre de la famille.
Divorcé et en conflit avec son ex-épouse au sujet de la garde de leurs deux enfants, Malèye Ciss a justifié son geste par le « refus » de celle-ci de lui confier les enfants. Dans la nuit, vers une heure du matin, courant 2025, armé d’un couteau et d’une machette, il s’est rendu au domicile de son beau-père pour tenter de récupérer les enfants par la force.
À son arrivée, il a frappé Makhoudia Mbengue, la première personne rencontrée, avec une machette, la blessant gravement aux côtes et à la main droite. Son beau-père, Omar Ndao, a également été frappé, recevant des coups entraînant une ITT de trois jours. Makhoudia Mbengue, plombier et électricien, s’est présenté à la barre avec une main droite « presque handicapée », expliquant : « Je ne peux plus tenir une clé avec ma main gauche… je me débrouille, mais je ne peux plus faire ce que je faisais auparavant », malgré six mois de rééducation.
Lors de l’audience, le prévenu a reconnu avoir porté les coups et s’être muni d’armes avant de se rendre chez sa belle-famille. Il a nié toute consommation de substances, affirmant agir uniquement pour récupérer ses enfants. Le juge a toutefois souligné qu’« une personne lucide n’agirait pas de la sorte ».
Le Procureur de la République a rappelé à Malèye Ciss que la grâce dont il avait bénéficié après sa première condamnation n’était pas un permis pour recommencer. Il a également insisté sur le fait que les blessures infligées à Makhoudia Mbengue compromettaient durablement son avenir professionnel. Le parquet avait requis huit ans de prison ferme, qualifiant la blessure de « infirmité permanente ».
Le tribunal a finalement prononcé une peine de dix ans d’emprisonnement ferme, dépassant les réquisitions, et a réservé la décision concernant les intérêts civils des victimes.
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