Donald Trump s’apprête à entamer une vaste tournée asiatique qui culminera par une rencontre très attendue avec le président chinois Xi Jinping, prévue le 30 octobre en Corée du Sud. Un face-à-face crucial pour l’économie mondiale, alors que les deux puissances cherchent à apaiser leurs tensions commerciales tout en redéfinissant leurs rapports de force. Le chef de la Maison-Blanche s’est dit optimiste : il espère conclure un « bon accord » avec Pékin et discuter « de tous les sujets », des échanges commerciaux aux équilibres stratégiques dans la région.
Pour Ryan Hass, chercheur au think tank américain Brookings, cette entrevue ne devrait pas constituer « un point d’inflexion » majeur dans la relation sino-américaine. Donald Trump échangera aussi avec le président sud-coréen Lee Jae Myung, prononcera un discours devant des chefs d’entreprise et participera au dîner officiel des dirigeants de l’Apec, le sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique. Le dossier nord-coréen, relancé par de récents tirs de missiles, figurera aussi à l’agenda. Le président américain a réaffirmé son souhait de revoir Kim Jong Un « possiblement cette année ».
La Malaisie puis un passage par le Japon
Mais avant cela, le président américain s’arrêtera en Malaisie, où il participera au sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), du 26 au 28 octobre à Kuala Lumpur. Donald Trump, qui avait plusieurs fois boudé cet événement durant son premier mandat, y prévoit de conclure un accord commercial bilatéral et d’assister à la signature d’un traité de paix entre la Thaïlande et le Cambodge, deux pays récemment sortis d’un conflit grâce à sa médiation.
Le 29 octobre, Donald Trump rejoindra le Japon pour rencontrer la Première ministre Sanae Takaichi, nouvelle cheffe du gouvernement et première femme à occuper ce poste. « Nous aurons des discussions franches », a-t-elle déclaré, indiquant sa volonté de consolider les liens commerciaux avec Washington. Ensemble, ils devraient aborder plusieurs, notamment les importations d’énergie russe et les dépenses de défense japonaise. Cette tournée asiatique, la première depuis son retour au pouvoir en janvier, s’annonce donc comme une séquence diplomatique à haut risque, mais aussi comme une démonstration d’influence.
Pour Ryan Hass, chercheur au think tank américain Brookings, cette entrevue ne devrait pas constituer « un point d’inflexion » majeur dans la relation sino-américaine. Donald Trump échangera aussi avec le président sud-coréen Lee Jae Myung, prononcera un discours devant des chefs d’entreprise et participera au dîner officiel des dirigeants de l’Apec, le sommet de la Coopération économique Asie-Pacifique. Le dossier nord-coréen, relancé par de récents tirs de missiles, figurera aussi à l’agenda. Le président américain a réaffirmé son souhait de revoir Kim Jong Un « possiblement cette année ».
La Malaisie puis un passage par le Japon
Mais avant cela, le président américain s’arrêtera en Malaisie, où il participera au sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean), du 26 au 28 octobre à Kuala Lumpur. Donald Trump, qui avait plusieurs fois boudé cet événement durant son premier mandat, y prévoit de conclure un accord commercial bilatéral et d’assister à la signature d’un traité de paix entre la Thaïlande et le Cambodge, deux pays récemment sortis d’un conflit grâce à sa médiation.
Le 29 octobre, Donald Trump rejoindra le Japon pour rencontrer la Première ministre Sanae Takaichi, nouvelle cheffe du gouvernement et première femme à occuper ce poste. « Nous aurons des discussions franches », a-t-elle déclaré, indiquant sa volonté de consolider les liens commerciaux avec Washington. Ensemble, ils devraient aborder plusieurs, notamment les importations d’énergie russe et les dépenses de défense japonaise. Cette tournée asiatique, la première depuis son retour au pouvoir en janvier, s’annonce donc comme une séquence diplomatique à haut risque, mais aussi comme une démonstration d’influence.

