Selon des sources familiales concordantes, les cinq jeunes auraient été interceptés sur le sol ghanéen par des individus présentés comme des ravisseurs locaux. Ces derniers auraient confisqué leurs téléphones portables ainsi que leurs pièces d’identité, les coupant de tout contact direct avec leurs proches.
D’après les témoignages recueillis, les ravisseurs auraient rapidement exigé une rançon sous peine de représailles. Sous la pression et face aux menaces proférées, les familles, dans un élan de solidarité, auraient réussi à réunir et à envoyer une somme de deux millions cinq cent mille francs CFA (2 500 000 FCFA). Un montant considérable, fruit de cotisations familiales, d’emprunts et parfois de la vente de biens.
Cependant, malgré ce versement, la situation reste inchangée. Aucun signe tangible de libération n’a été constaté et les informations transmises par les ravisseurs demeurent vagues et contradictoires. Cette absence de garanties alimente une profonde angoisse au sein des familles, qui redoutent désormais pour la sécurité et la vie de leurs enfants.
À Kébémer, l’émotion est palpable. Parents, voisins et proches décrivent des nuits sans sommeil, rythmées par l’attente d’un appel ou d’un message qui tarde à venir. « Nous avons tout donné pour sauver nos enfants, mais nous n’avons aucune certitude qu’ils vont bien », confie un membre d’une des familles, la voix brisée.
Face à cette situation jugée critique, les familles lancent un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au ministère des Affaires étrangères et aux services consulaires, afin qu’une intervention diplomatique urgente soit engagée auprès des autorités ghanéennes. Elles réclament une mobilisation rapide pour localiser les jeunes, assurer leur protection et faciliter leur retour sain et sauf au Sénégal.
Ce drame remet une nouvelle fois en lumière les dangers de l’émigration clandestine, souvent marquée par des réseaux mafieux, des arnaques et des enlèvements, laissant des familles entières dans le désarroi. À Kébémer, comme dans de nombreuses localités du pays, l’espoir d’un avenir meilleur pousse encore de nombreux jeunes à emprunter des routes périlleuses, parfois au prix de leur liberté, voire de leur vie.
D’après les témoignages recueillis, les ravisseurs auraient rapidement exigé une rançon sous peine de représailles. Sous la pression et face aux menaces proférées, les familles, dans un élan de solidarité, auraient réussi à réunir et à envoyer une somme de deux millions cinq cent mille francs CFA (2 500 000 FCFA). Un montant considérable, fruit de cotisations familiales, d’emprunts et parfois de la vente de biens.
Cependant, malgré ce versement, la situation reste inchangée. Aucun signe tangible de libération n’a été constaté et les informations transmises par les ravisseurs demeurent vagues et contradictoires. Cette absence de garanties alimente une profonde angoisse au sein des familles, qui redoutent désormais pour la sécurité et la vie de leurs enfants.
À Kébémer, l’émotion est palpable. Parents, voisins et proches décrivent des nuits sans sommeil, rythmées par l’attente d’un appel ou d’un message qui tarde à venir. « Nous avons tout donné pour sauver nos enfants, mais nous n’avons aucune certitude qu’ils vont bien », confie un membre d’une des familles, la voix brisée.
Face à cette situation jugée critique, les familles lancent un appel pressant aux autorités sénégalaises, en particulier au ministère des Affaires étrangères et aux services consulaires, afin qu’une intervention diplomatique urgente soit engagée auprès des autorités ghanéennes. Elles réclament une mobilisation rapide pour localiser les jeunes, assurer leur protection et faciliter leur retour sain et sauf au Sénégal.
Ce drame remet une nouvelle fois en lumière les dangers de l’émigration clandestine, souvent marquée par des réseaux mafieux, des arnaques et des enlèvements, laissant des familles entières dans le désarroi. À Kébémer, comme dans de nombreuses localités du pays, l’espoir d’un avenir meilleur pousse encore de nombreux jeunes à emprunter des routes périlleuses, parfois au prix de leur liberté, voire de leur vie.

