Les tensions ont éclaté après des échanges de tirs à la frontière, notamment dans les districts de Spin Boldak (Afghanistan) et Chaman (Pakistan). Le gouvernement taliban a accusé les forces pakistanaises d’avoir tué 12 civils et blessé plus de 100 autres dans la province de Kandahar. En réponse, les talibans ont mené des actions militaires, tuant plusieurs soldats pakistanais et capturant des installations militaires.
Parallèlement, des explosions ont secoué Kaboul, faisant au moins cinq morts et 35 blessés, selon une ONG italienne opérant dans la capitale afghane
Le ministère pakistanais des Affaires étrangères a annoncé que le cessez-le-feu avait été instauré à la demande de Kaboul. En revanche, le porte-parole taliban Zabihullah Mujahid a affirmé que l’initiative venait d’Islamabad .
Des acteurs régionaux tels que l’Arabie saoudite et le Qatar ont exprimé leur soutien à l’accord, soulignant l’importance de la stabilité régionale face à la menace croissante des groupes extrémistes comme l’État islamique et al-Qaïda .
Les principaux points de passage frontaliers, tels que Torkham et Chaman, restent fermés, et la situation demeure tendue malgré la trêve.
Parallèlement, des explosions ont secoué Kaboul, faisant au moins cinq morts et 35 blessés, selon une ONG italienne opérant dans la capitale afghane
Le ministère pakistanais des Affaires étrangères a annoncé que le cessez-le-feu avait été instauré à la demande de Kaboul. En revanche, le porte-parole taliban Zabihullah Mujahid a affirmé que l’initiative venait d’Islamabad .
Des acteurs régionaux tels que l’Arabie saoudite et le Qatar ont exprimé leur soutien à l’accord, soulignant l’importance de la stabilité régionale face à la menace croissante des groupes extrémistes comme l’État islamique et al-Qaïda .
Les principaux points de passage frontaliers, tels que Torkham et Chaman, restent fermés, et la situation demeure tendue malgré la trêve.