Les autorités argentines espèrent que cette récompense de 150 000 dollars pour toute information permettant de retrouver l'animal suffira à rompre le pacte de silence qui s’est installé autour de la disparition d’Acaí le 25 octobre.
Née en semi-captivité, cette femelle jaguar dont le nom signifie « petite tête » en langue guarani, avait été libérée trois semaines plus tôt dans le parc national de l’Impénétrable, au cœur de la forêt du Chaco. La justice a ouvert une enquête et lancé des recherches, ralenties par la densité et la sécheresse inhospitalière de la végétation. Pour l’instant, les patrouilles terrestres et les fouilles de la rivière Bermejo n’ont rien donnée.
La fondation Rewilding, qui a organisé la réintroduction d’Acaí dans la zone, craint qu’elle n’ait été tuée et son collier satellitaire jeté dans la rivière. Plusieurs habitants de la zone ont été interrogés, et des téléphones portables ont été saisis.
Déclarée monument naturel national en 2001, le jaguar est une espèce protégée en Argentine, et sa chasse est rigoureusement interdite sous peine de 5 ans de prison.
Le plus grand prédateur d’Amérique du Sud, qui occupait jadis 95% du territoire argentin, est aujourd’hui en danger critique d’extinction avec une population estimée aux alentours 200 individus.
Née en semi-captivité, cette femelle jaguar dont le nom signifie « petite tête » en langue guarani, avait été libérée trois semaines plus tôt dans le parc national de l’Impénétrable, au cœur de la forêt du Chaco. La justice a ouvert une enquête et lancé des recherches, ralenties par la densité et la sécheresse inhospitalière de la végétation. Pour l’instant, les patrouilles terrestres et les fouilles de la rivière Bermejo n’ont rien donnée.
La fondation Rewilding, qui a organisé la réintroduction d’Acaí dans la zone, craint qu’elle n’ait été tuée et son collier satellitaire jeté dans la rivière. Plusieurs habitants de la zone ont été interrogés, et des téléphones portables ont été saisis.
Déclarée monument naturel national en 2001, le jaguar est une espèce protégée en Argentine, et sa chasse est rigoureusement interdite sous peine de 5 ans de prison.
Le plus grand prédateur d’Amérique du Sud, qui occupait jadis 95% du territoire argentin, est aujourd’hui en danger critique d’extinction avec une population estimée aux alentours 200 individus.

