Selon l’activiste Helena Maleno Garzón, de l’organisation Borza, l’embarcation dérivait depuis plusieurs jours en pleine mer, dans des conditions extrêmes. Les migrants ont passé plus d'une semaine à bord, exposés au soleil, au froid nocturne et à la faim, dans un état de grande détresse physique et psychologique.
L’intervention a mobilisé les secours espagnols, appuyés par des moyens aériens. Malgré la rapidité de l’opération de sauvetage, une personne a perdu la vie et un blessé grave a été évacué par hélicoptère vers un hôpital. Le reste des passagers a été pris en charge par les services de sauvetage, en attendant leur transfert vers les îles Canaries, destination souvent visée par les convois clandestins.
Une route toujours plus meurtrière
Ce nouvel épisode tragique s’ajoute à une longue série de drames sur la route atlantique de la migration, l’une des plus périlleuses du monde. Des milliers de jeunes, chaque année, quittent le Sénégal, le Mali, la Guinée ou encore la Côte d’Ivoire dans l’espoir d’atteindre l’Europe, malgré les risques bien connus : naufrages, déshydratation, et pertes humaines.
Depuis le début de l’année 2025, plusieurs dizaines d’embarcations parties de la Petite-Côte ou de Saint-Louis ont été signalées disparues ou interceptées. Malgré les campagnes de sensibilisation, les départs continuent, alimentés par le chômage, la précarité, le désespoir et parfois les réseaux criminels.
Les autorités appelées à réagir
L’enquête est toujours en cours pour déterminer les conditions exactes de ce départ et l'identité des organisateurs. Les autorités espagnoles, en coordination avec leurs homologues marocaines et sénégalaises, devraient procéder dans les prochaines heures à l’identification et la prise en charge des rescapés.
Ce nouveau drame interpelle une fois de plus sur l'urgence de politiques migratoires plus humaines, mais aussi sur la nécessité de s’attaquer aux causes profondes du phénomène migratoire dans les pays d’origine.
L’intervention a mobilisé les secours espagnols, appuyés par des moyens aériens. Malgré la rapidité de l’opération de sauvetage, une personne a perdu la vie et un blessé grave a été évacué par hélicoptère vers un hôpital. Le reste des passagers a été pris en charge par les services de sauvetage, en attendant leur transfert vers les îles Canaries, destination souvent visée par les convois clandestins.
Une route toujours plus meurtrière
Ce nouvel épisode tragique s’ajoute à une longue série de drames sur la route atlantique de la migration, l’une des plus périlleuses du monde. Des milliers de jeunes, chaque année, quittent le Sénégal, le Mali, la Guinée ou encore la Côte d’Ivoire dans l’espoir d’atteindre l’Europe, malgré les risques bien connus : naufrages, déshydratation, et pertes humaines.
Depuis le début de l’année 2025, plusieurs dizaines d’embarcations parties de la Petite-Côte ou de Saint-Louis ont été signalées disparues ou interceptées. Malgré les campagnes de sensibilisation, les départs continuent, alimentés par le chômage, la précarité, le désespoir et parfois les réseaux criminels.
Les autorités appelées à réagir
L’enquête est toujours en cours pour déterminer les conditions exactes de ce départ et l'identité des organisateurs. Les autorités espagnoles, en coordination avec leurs homologues marocaines et sénégalaises, devraient procéder dans les prochaines heures à l’identification et la prise en charge des rescapés.
Ce nouveau drame interpelle une fois de plus sur l'urgence de politiques migratoires plus humaines, mais aussi sur la nécessité de s’attaquer aux causes profondes du phénomène migratoire dans les pays d’origine.
