Le sous-préfet a fixé un dernier délai au 22 octobre, demandant aux commerçants de se conformer aux décisions et de libérer les espaces publics occupés de manière anarchique.
Le marché central, longtemps encombré par des étals improvisés et des cantines anarchiques, fait l’objet d’une réorganisation .
L’objectif est de permettre aux commerçants de travailler dans des conditions plus ordonnées, tout en préservant la fluidité des voies publiques.
Thierno Ciss, président de l’''Unacois-Jappo'' et délégué général du marché, a invité les commerçants à respecter les décisions du sous-préfet. « La réussite de cette réorganisation dépend de la coopération de tous. Il est essentiel de libérer les voies publiques pour garantir la sécurité et l’ordre autour du marché », a-t-il déclaré.
Même s’il s’agit d’une simple réorganisation, ces mesures ont un impact sur les revenus des commerçants, notamment ceux déplacés vers des sites secondaires. Les marchands réclament un recasement proche du centre-ville, des mesures d’accompagnement temporaires et une communication claire sur la gestion des espaces.