Le mis en cause, identifié par son ADN, a été mis en examen et placé en détention provisoire
La femme, âgée de 24 ans, s’était ensuite rendue au commissariat de Rennes pour déposer plainte. Elle a alors décrit les atrocités subies aux enquêteurs. Elle a expliqué qu’après le viol, elle avait dû remettre l’argent qu’elle avait avec elle à son agresseur. L’enquête a été confiée à la division de la criminalité territoriale (DCT) et a rapidement débouché sur l’interpellation d’un suspect le 18 septembre.
Retrouvé grâce à son ADN
Confondu par son ADN, le suspect est un adolescent de 14 ans, déjà connu des services judiciaires. A son domicile, les policiers ont découvert plusieurs armes à feu, des munitions, ainsi que les vêtements portés lors des faits. Pendant sa garde à vue, l’adolescent a pourtant nié le viol, avant de le reconnaître lors de sa dernière audition.
Il a été présenté à un juge d’instruction et mis en examen pour « viol commis sous la menace d’une arme », « extorsion commise avec une arme » et « détention d’arme et de munitions ». Il a été placé en détention provisoire.
Retrouvé grâce à son ADN
Confondu par son ADN, le suspect est un adolescent de 14 ans, déjà connu des services judiciaires. A son domicile, les policiers ont découvert plusieurs armes à feu, des munitions, ainsi que les vêtements portés lors des faits. Pendant sa garde à vue, l’adolescent a pourtant nié le viol, avant de le reconnaître lors de sa dernière audition.
Il a été présenté à un juge d’instruction et mis en examen pour « viol commis sous la menace d’une arme », « extorsion commise avec une arme » et « détention d’arme et de munitions ». Il a été placé en détention provisoire.