Il reste du temps avant 2027. C’est probablement ce que pense Marine Le Pen, qui s’est dite déterminée à être la candidate du Rassemblement national à la présidentielle de 2027 dans une interview à Ouest-France ce dimanche. Condamnée en mars à une peine d’inéligibilité de cinq ans pour détournement de fonds publics dans l’affaire des assistants parlementaires européens, elle nie tout « renoncement ».
« Ce que je dis, c’est que si la Cour de cassation était amenée à rendre une décision trop proche de la date du scrutin, la campagne du Rassemblement national ne pourrait pas se dérouler dans de bonnes conditions », a-t-elle précisé. Dans de telles circonstances, la leader du RN serait amenée à passer la main au président du parti, Jordan Bardella.
Le Rassemblement national en haut des sondages
Marine Le Pen doit être rejugée en appel du 13 janvier au 12 février. L’arrêt de la cour d’appel est attendu à l’été mais Marine Le Pen envisage dans cet entretien à Ouest-France qu’il puisse être rendu en septembre. « J’ai déjà dit que je ne mettrai pas en péril les chances de mon camp politique à la présidentielle, ce qui a été interprété comme un renoncement », a-t-elle déploré.
Pour l’instant Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent en tête des sondages pour l’élection présidentielle. Le jeune président du parti effectue par ailleurs actuellement un tour de France destiné à présenter son livre Ce que veulent les Français (éd. Fayard).
« Ce que je dis, c’est que si la Cour de cassation était amenée à rendre une décision trop proche de la date du scrutin, la campagne du Rassemblement national ne pourrait pas se dérouler dans de bonnes conditions », a-t-elle précisé. Dans de telles circonstances, la leader du RN serait amenée à passer la main au président du parti, Jordan Bardella.
Le Rassemblement national en haut des sondages
Marine Le Pen doit être rejugée en appel du 13 janvier au 12 février. L’arrêt de la cour d’appel est attendu à l’été mais Marine Le Pen envisage dans cet entretien à Ouest-France qu’il puisse être rendu en septembre. « J’ai déjà dit que je ne mettrai pas en péril les chances de mon camp politique à la présidentielle, ce qui a été interprété comme un renoncement », a-t-elle déploré.
Pour l’instant Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent en tête des sondages pour l’élection présidentielle. Le jeune président du parti effectue par ailleurs actuellement un tour de France destiné à présenter son livre Ce que veulent les Français (éd. Fayard).

