Aux États-Unis, le président américain a jugé lundi 11 novembre que Marjorie Taylor Greene s'était « égarée ». « Je ne sais pas ce qui arrive à Marjorie, c'est une femme bien. Je pense qu'elle s'est égarée », a réagi le président américain, interrogé dans le Bureau ovale à propos d'un commentaire fait par l'élue de Géorgie (sud-est).
Sur X, Marjorie Taylor Greene avait écrit : « Je voudrais qu’il y ait des réunions incessantes à la Maison Blanche sur la politique intérieure, pas sur la politique étrangère avec des dirigeants étrangers », en référence à la visite du président syrien.
Marjorie Taylor Greene se serait-elle égarée comme le considère Donald Trump ? Habituée des podcasts les plus agressifs du mouvement MAGA, l'élue de Géorgie a été invitée ces derniers jours sur les plateaux d'émissions beaucoup plus traditionnels, comme ABC ou CNN.
Elle y appelle les républicains à accorder davantage d’importance au pouvoir d’achat de la classe moyenne et moins aux affaires étrangères. « Je pense que la politique intérieure devrait être la préoccupation principale du président et des républicains qui contrôlent la Chambre des représentants et le Sénat », déclarait-elle sur CNN.
Ces critiques interviennent alors que les républicains ont subi de cuisantes défaites lors d’élections locales la semaine dernière, marquées par le mécontentement d’Américains confrontés à une vie toujours chère. Et les élections de mi-mandat approchent : elles auront lieu dans moins d’un an.
Donald Trump défend sa vision : « America First »,
Mais pour Donald Trump, la promesse de l'America First sur laquelle il a été élu dépasse les frontières des États-Unis. « Je dois considérer les choses de façon internationale et pas seulement locale. C'est facile de dire : "Ne vous souciez pas du monde", mais le monde est en train de devenir notre principal client ».
Marjorie Taylor Greene n'en est pas à ses premiers propos dissonants. Ce qui conduit la presse américaine à spéculer sur les possibles ambitions présidentielles de l'élue républicaine.
Sur X, Marjorie Taylor Greene avait écrit : « Je voudrais qu’il y ait des réunions incessantes à la Maison Blanche sur la politique intérieure, pas sur la politique étrangère avec des dirigeants étrangers », en référence à la visite du président syrien.
Marjorie Taylor Greene se serait-elle égarée comme le considère Donald Trump ? Habituée des podcasts les plus agressifs du mouvement MAGA, l'élue de Géorgie a été invitée ces derniers jours sur les plateaux d'émissions beaucoup plus traditionnels, comme ABC ou CNN.
Elle y appelle les républicains à accorder davantage d’importance au pouvoir d’achat de la classe moyenne et moins aux affaires étrangères. « Je pense que la politique intérieure devrait être la préoccupation principale du président et des républicains qui contrôlent la Chambre des représentants et le Sénat », déclarait-elle sur CNN.
Ces critiques interviennent alors que les républicains ont subi de cuisantes défaites lors d’élections locales la semaine dernière, marquées par le mécontentement d’Américains confrontés à une vie toujours chère. Et les élections de mi-mandat approchent : elles auront lieu dans moins d’un an.
Donald Trump défend sa vision : « America First »,
Mais pour Donald Trump, la promesse de l'America First sur laquelle il a été élu dépasse les frontières des États-Unis. « Je dois considérer les choses de façon internationale et pas seulement locale. C'est facile de dire : "Ne vous souciez pas du monde", mais le monde est en train de devenir notre principal client ».
Marjorie Taylor Greene n'en est pas à ses premiers propos dissonants. Ce qui conduit la presse américaine à spéculer sur les possibles ambitions présidentielles de l'élue républicaine.

