Qu’est-ce que Maradona ? Pendant trois jours, des chercheurs, artistes et des dirigeants sociaux et sportifs venus du monde entier ont débattu de cette question. Leonardo Albajari est l’un des organisateurs du premier Congrès international consacré à Diego Maradona.
« L’idée, c'est d’étudier Maradona de manière scientifique. Comme on l’a dit tout le week-end, cela signifie : ne pas parler de football, mais parler de Diego et le féminisme, Diego et la politique, explique-t-il. Parce que Maradona est un haut personnage de la culture argentine ».
Une ferveur quasi religieuse
Quatre conférences magistrales, une vingtaine de tables rondes, des expositions, des présentations de livres, de documentaires et un seul objectif : disséquer le phénomène Maradona. Guillermo Collado, généalogiste à l’université de San Juan, est venu présenter une recherche qui établit que Diego Maradona était afrodescendant.
« Certains esclaves ont été enrôlés dans l’armée des Andes qui a libéré l’Argentine, le Chili et le Pérou au XIXe siècle. L’un de ces esclaves s’appelait Luis Maradona, et était l’arrière-arrière-grand-père de Diego Armando Maradona », assure-t-il.
Autre sujet largement débattu au cours de ces trois jours de congrès : la ferveur quasi-religieuse autour de l’idole argentine parfois élevée au rang de divinité.
« L’idée, c'est d’étudier Maradona de manière scientifique. Comme on l’a dit tout le week-end, cela signifie : ne pas parler de football, mais parler de Diego et le féminisme, Diego et la politique, explique-t-il. Parce que Maradona est un haut personnage de la culture argentine ».
Une ferveur quasi religieuse
Quatre conférences magistrales, une vingtaine de tables rondes, des expositions, des présentations de livres, de documentaires et un seul objectif : disséquer le phénomène Maradona. Guillermo Collado, généalogiste à l’université de San Juan, est venu présenter une recherche qui établit que Diego Maradona était afrodescendant.
« Certains esclaves ont été enrôlés dans l’armée des Andes qui a libéré l’Argentine, le Chili et le Pérou au XIXe siècle. L’un de ces esclaves s’appelait Luis Maradona, et était l’arrière-arrière-grand-père de Diego Armando Maradona », assure-t-il.
Autre sujet largement débattu au cours de ces trois jours de congrès : la ferveur quasi-religieuse autour de l’idole argentine parfois élevée au rang de divinité.

