Bill Clinton, la banque JPMorgan Chase, l’ancien ministre des Finances Larry Summers ou encore le fondateur du réseau social Linkedin… Donald Trump demande au ministère de la Justice et au FBI d’enquêter sur leurs relations avec Jeffrey Epstein afin, écrit le président américain, « de déterminer ce qu’il se passait entre eux », rapporte notre correspondant à Washington, Vincent Souriau.
« Epstein, poursuit Donald Trump, était un démocrate. C’est le problème des démocrates, pas celui des républicains. Ne perdez pas votre temps avec moi, j’ai un pays à gérer. »
« Quelques républicains faibles sont tombés dans les griffes [des démocrates] parce qu'ils sont ramollis et idiots », a-t-il attaqué. Donald Trump fait référence aux personnalités de son parti qui insistent pour que le ministère de la Justice publie les documents en sa possession à propos de cette affaire politico-judiciaire très sensible. L'affaire a donc été relancée cette semaine par la publication de courriers électroniques de Jeffrey Epstein.
États-Unis: la Maison Blanche accuse les démocrates de fabriquer «un faux récit» sur Trump et Epstein
Bill Clinton a fréquenté Jeffrey Epstein dans les années 1990 et 2000
Jusqu’ici, rien de nouveau. On sait depuis longtemps que l’ensemble des protagonistes désignés par Donald Trump ont fréquenté Epstein un jour ou l’autre.
Parmi ces courriers électroniques figurent des échanges avec Larry Summers, qui a été ministre des Finances de Bill Clinton, conseiller économique de l'ex-président Barack Obama. « Comment ça va la vie fortunée et dissolue ? », écrit Larry Summers le 27 octobre 2017 à Jeffrey Epstein, qui lui répond : « Quand nous nous verrons, je m'efforcerai de vous fasciner avec des histoires folles sur Washington ! »
Bill Clinton a fréquenté Jeffrey Epstein qui l'a invité plusieurs fois à bord de son avion personnel. Des fréquentations qui remontent aux années 1990 et 2000. Mais l'ancien président le répète, il n’avait pas connaissance de ses crimes et ne lui avait pas adressé la parole depuis 20 ans au moment.
Accusée d'avoir facilité les agissements de Jeffrey Epstein en lui permettant de financer ses activités, la banque JPMorgan Chase a, quant à elle, accepté de verser 290 millions de dollars à des victimes présumées, en vertu d'un accord annoncé en juin 2023 et qui lui a évité un procès médiatique.
Qu’il s’agisse du président américain ou de ses adversaires politiques, rien ne prouve qu’ils aient participé aux abus sexuels d’Epstein. Et cette affaire fait déjà l’objet d’une attention considérable du ministère de la Justice
« Epstein, poursuit Donald Trump, était un démocrate. C’est le problème des démocrates, pas celui des républicains. Ne perdez pas votre temps avec moi, j’ai un pays à gérer. »
« Quelques républicains faibles sont tombés dans les griffes [des démocrates] parce qu'ils sont ramollis et idiots », a-t-il attaqué. Donald Trump fait référence aux personnalités de son parti qui insistent pour que le ministère de la Justice publie les documents en sa possession à propos de cette affaire politico-judiciaire très sensible. L'affaire a donc été relancée cette semaine par la publication de courriers électroniques de Jeffrey Epstein.
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Bill Clinton a fréquenté Jeffrey Epstein dans les années 1990 et 2000
Jusqu’ici, rien de nouveau. On sait depuis longtemps que l’ensemble des protagonistes désignés par Donald Trump ont fréquenté Epstein un jour ou l’autre.
Parmi ces courriers électroniques figurent des échanges avec Larry Summers, qui a été ministre des Finances de Bill Clinton, conseiller économique de l'ex-président Barack Obama. « Comment ça va la vie fortunée et dissolue ? », écrit Larry Summers le 27 octobre 2017 à Jeffrey Epstein, qui lui répond : « Quand nous nous verrons, je m'efforcerai de vous fasciner avec des histoires folles sur Washington ! »
Bill Clinton a fréquenté Jeffrey Epstein qui l'a invité plusieurs fois à bord de son avion personnel. Des fréquentations qui remontent aux années 1990 et 2000. Mais l'ancien président le répète, il n’avait pas connaissance de ses crimes et ne lui avait pas adressé la parole depuis 20 ans au moment.
Accusée d'avoir facilité les agissements de Jeffrey Epstein en lui permettant de financer ses activités, la banque JPMorgan Chase a, quant à elle, accepté de verser 290 millions de dollars à des victimes présumées, en vertu d'un accord annoncé en juin 2023 et qui lui a évité un procès médiatique.
Qu’il s’agisse du président américain ou de ses adversaires politiques, rien ne prouve qu’ils aient participé aux abus sexuels d’Epstein. Et cette affaire fait déjà l’objet d’une attention considérable du ministère de la Justice

