
Selon les informations recueillies sur place, l’homme aurait fait une chute mortelle alors qu’il s’affairait à ses tâches habituelles. L’alerte a été rapidement donnée et les secours sont intervenus dans les plus brefs délais, mais en vain. La victime, dont l’identité n’a pas encore été communiquée, n’a pu être réanimée.
Un témoin oculaire, visiblement choqué, témoigne :
> « Il travaillait sans harnais de sécurité. C’est en glissant qu’il est tombé. Les pompiers sont venus très vite, mais c’était déjà trop tard… »
Ce nouveau drame met une fois de plus en lumière les failles persistantes dans le respect des normes de sécurité sur les chantiers au Sénégal. Malgré les appels récurrents des syndicats du BTP et les campagnes de sensibilisation menées ces dernières années, de nombreux ouvriers continuent de travailler dans des conditions précaires, souvent sans équipements de protection individuelle (EPI).
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de faire toute la lumière sur les circonstances exactes de l’incident et déterminer d’éventuelles responsabilités, notamment du côté du promoteur immobilier ou de l’entreprise chargée des travaux.
Ce drame relance une fois de plus le débat sur la sécurité des travailleurs du secteur informel et sur la nécessité pour l’État de renforcer les contrôles sur les chantiers, pour éviter que de telles tragédies ne se reproduisent.
Un témoin oculaire, visiblement choqué, témoigne :
> « Il travaillait sans harnais de sécurité. C’est en glissant qu’il est tombé. Les pompiers sont venus très vite, mais c’était déjà trop tard… »
Ce nouveau drame met une fois de plus en lumière les failles persistantes dans le respect des normes de sécurité sur les chantiers au Sénégal. Malgré les appels récurrents des syndicats du BTP et les campagnes de sensibilisation menées ces dernières années, de nombreux ouvriers continuent de travailler dans des conditions précaires, souvent sans équipements de protection individuelle (EPI).
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie afin de faire toute la lumière sur les circonstances exactes de l’incident et déterminer d’éventuelles responsabilités, notamment du côté du promoteur immobilier ou de l’entreprise chargée des travaux.
Ce drame relance une fois de plus le débat sur la sécurité des travailleurs du secteur informel et sur la nécessité pour l’État de renforcer les contrôles sur les chantiers, pour éviter que de telles tragédies ne se reproduisent.