Nommé à la tête de l’ANAMO en 2012, Maodo Malick Mbaye s’est imposé comme l’un des profils les plus visibles dans le domaine de la formation professionnelle et de l’artisanat.
Durant son passage, il a piloté plusieurs programmes destinés à moderniser les outils de travail, soutenir la formation des jeunes et renforcer l’inclusion socio-économique dans les régions.
Homme de terrain, réputé pour son engagement auprès des couches vulnérables, Maodo Malick Mbaye était également connu pour son rôle dans la médiation sociale, notamment à travers des initiatives citoyennes menées au niveau national et sous-régional.
Depuis quelques mois, l’ancien DG est cité dans un dossier relatif à un détournement présumé de fonds publics. Les enquêteurs évoquent des irrégularités dans des marchés de formation, tandis que la défense dénonce une construction « infondée et instrumentalisée ».
Maodo Malick Mbaye, lui, rejette catégoriquement ces accusations, affirmant n’avoir jamais posé aucun acte délictuel, et accuse certains collaborateurs d’avoir falsifié sa signature pour masquer des pratiques auxquelles il dit n’avoir pris aucune part.
Plusieurs observateurs, avocats et acteurs de la société civile critiquent la manière dont le dossier est mené, évoquant des éléments de procédure discutables, des incohérences administratives, ainsi qu’une détention préventive jugée excessivement sévère.
Avant même sa convocation, il s’était signalé depuis l’étranger pour affirmer sa disponibilité totale à répondre à la justice.
Il avait proposé une caution estimée à plus de 798 millions de F CFA, soit largement plus que le montant mis en cause — proposition qui a finalement été rejetée par la chambre d’accusation.
Pour ses proches, ce refus constitue un signe de rigidité disproportionnée, alors même que plusieurs responsables impliqués dans des dossiers similaires ont bénéficié de mesures de liberté provisoire.
Dans la société civile, les milieux politiques et au sein de la diaspora, de nombreuses voix s’élèvent aujourd’hui pour demander une libération de Maodo Malick Mbaye, estimant que :
La détention préventive ne doit jamais devenir une sanction.
La présomption d’innocence est un droit fondamental.
Un procès équitable ne nécessite pas l’incarcération systématique d’un prévenu.
Le dossier comporte des zones d’ombre qui méritent d’être élucidées hors de la pression carcérale.
Pour beaucoup, le maintien de Maodo Malick Mbaye en prison n’apporte aucune valeur ajoutée à la manifestation de la vérité. Il ne présente ni risque de fuite, ni menace pour l’ordre public, ni possibilité de perturbation de l’enquête.
Aujourd’hui, la balle est entre les mains de la justice.
Mais au-delà de l’affaire elle-même, ce dossier soulève une question essentielle : comment garantir des procédures équilibrées, transparentes et respectueuses des droits fondamentaux, même lorsqu’il s’agit de responsables publics très médiatisés ?
Beaucoup espèrent qu’une décision de libération. Même sous contrôle judiciaire permettra d’apaiser les tensions, de restaurer la confiance, et d’offrir à Maodo Malick Mbaye la possibilité de défendre sa cause dans des conditions dignes.
En attendant, le débat continue d’agiter l’opinion publique, mais une chose semble faire consensus :
la justice doit triompher, mais jamais au détriment des droits humains et de l’équité.
Durant son passage, il a piloté plusieurs programmes destinés à moderniser les outils de travail, soutenir la formation des jeunes et renforcer l’inclusion socio-économique dans les régions.
Homme de terrain, réputé pour son engagement auprès des couches vulnérables, Maodo Malick Mbaye était également connu pour son rôle dans la médiation sociale, notamment à travers des initiatives citoyennes menées au niveau national et sous-régional.
Depuis quelques mois, l’ancien DG est cité dans un dossier relatif à un détournement présumé de fonds publics. Les enquêteurs évoquent des irrégularités dans des marchés de formation, tandis que la défense dénonce une construction « infondée et instrumentalisée ».
Maodo Malick Mbaye, lui, rejette catégoriquement ces accusations, affirmant n’avoir jamais posé aucun acte délictuel, et accuse certains collaborateurs d’avoir falsifié sa signature pour masquer des pratiques auxquelles il dit n’avoir pris aucune part.
Plusieurs observateurs, avocats et acteurs de la société civile critiquent la manière dont le dossier est mené, évoquant des éléments de procédure discutables, des incohérences administratives, ainsi qu’une détention préventive jugée excessivement sévère.
Avant même sa convocation, il s’était signalé depuis l’étranger pour affirmer sa disponibilité totale à répondre à la justice.
Il avait proposé une caution estimée à plus de 798 millions de F CFA, soit largement plus que le montant mis en cause — proposition qui a finalement été rejetée par la chambre d’accusation.
Pour ses proches, ce refus constitue un signe de rigidité disproportionnée, alors même que plusieurs responsables impliqués dans des dossiers similaires ont bénéficié de mesures de liberté provisoire.
Dans la société civile, les milieux politiques et au sein de la diaspora, de nombreuses voix s’élèvent aujourd’hui pour demander une libération de Maodo Malick Mbaye, estimant que :
La détention préventive ne doit jamais devenir une sanction.
La présomption d’innocence est un droit fondamental.
Un procès équitable ne nécessite pas l’incarcération systématique d’un prévenu.
Le dossier comporte des zones d’ombre qui méritent d’être élucidées hors de la pression carcérale.
Pour beaucoup, le maintien de Maodo Malick Mbaye en prison n’apporte aucune valeur ajoutée à la manifestation de la vérité. Il ne présente ni risque de fuite, ni menace pour l’ordre public, ni possibilité de perturbation de l’enquête.
Aujourd’hui, la balle est entre les mains de la justice.
Mais au-delà de l’affaire elle-même, ce dossier soulève une question essentielle : comment garantir des procédures équilibrées, transparentes et respectueuses des droits fondamentaux, même lorsqu’il s’agit de responsables publics très médiatisés ?
Beaucoup espèrent qu’une décision de libération. Même sous contrôle judiciaire permettra d’apaiser les tensions, de restaurer la confiance, et d’offrir à Maodo Malick Mbaye la possibilité de défendre sa cause dans des conditions dignes.
En attendant, le débat continue d’agiter l’opinion publique, mais une chose semble faire consensus :
la justice doit triompher, mais jamais au détriment des droits humains et de l’équité.

