« Les démocrates ont fait fuiter des emails de manière sélective auprès de médias de gauche pour fabriquer un faux récit pour salir le président Trump », a réagi la porte-parole de l'exécutif américain, Karoline Leavitt, dans un communiqué dont l'AFP a obtenu une copie. « Ces emails ne prouvent rien si ce n'est que le président Trump n'a absolument rien fait de mal », a assuré Karoline Leavitt pendant une conférence de presse.
Donald Trump a également accusé les démocrates de chercher à « détourner l'attention » en diffusant des emails du délinquant sexuel Jeffrey Epstein, et il a mis en garde les républicains contre « ce piège. »
« Les démocrates essaient de relancer la supercherie autour de Jeffrey Epstein parce qu'ils feraient n'importe quoi pour détourner l'attention des erreurs qu'ils ont faites sur la paralysie budgétaire », a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. « Seul un républicain très mauvais ou stupide tomberait dans ce piège », a-t-il ajouté.
« Trump a dit qu'il voulait que je renonce » à la carte de membre de Mar-a-Lago, la résidence de Floride du président américain, affirme Jeffrey Epstein dans cet email envoyé au célèbre journaliste et auteur Michael Wolff, publié sur X par des parlementaires démocrates, et dont le New York Times et CNN ont été les premiers à faire état. Il précise n'avoir jamais été membre de Mar-a-Lago et ajoute : « bien sûr, il savait à propos des filles, comme il a demandé à Ghislaine d'arrêter ».
« Le fait est que le président Trump a renvoyé Jeffrey Epstein de son club il y a des décennies parce qu'il se comportait mal avec ses employées de sexe féminin », écrit encore la porte-parole de la Maison Blanche.
Dans un autre email de 2011 qui vient d'être révélé, Jeffrey Epstein écrit supposément à sa complice Ghislaine Maxwell que Donald Trump « a passé plusieurs heures » à son domicile avec l'une de ses victimes. La porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt identifie cette victime comme étant Virginia Giuffre, qui est morte en avril à l'âge de 41 ans et dont les mémoires posthumes racontent des agressions subies alors qu'elle était sous la coupe de Jeffrey Epstein. Virginia Giuffre « a dit à plusieurs reprises que le président Trump n'avait rien fait de mal et qu'il "n'aurait pas pu être plus amical" dans les interactions limitées qu'ils ont eues », souligne la porte-parole.
Ghislaine Maxwell, complice et ancienne compagne de Jeffrey Epstein, purge actuellement une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle. Jeffrey Epstein avait été retrouvé mort en 2019 dans sa cellule, d'un suicide selon les autorités, avant son procès pour crimes sexuels.
Le président américain a toujours démenti avoir connaissance du comportement criminel de celui avec qui il fut proche de nombreuses années avant de se brouiller dans les années 2000, affirmant que leur dispute avait eu lieu des années avant que ces crimes n'éclatent au grand jour.
Ces emails, obtenus par le biais des légataires de Jeffrey Epstein, « soulèvent de graves questions sur Donald Trump et ce qu'il connaissait des crimes horribles d'Epstein », affirment les élus démocrates. La commission dont ils sont membres enquête depuis plusieurs semaines sur la manière dont l'État fédéral a conduit l'enquête et les poursuites contre Jeffrey Epstein.
L'affaire enflamme les États-Unis depuis que le gouvernement de Donald Trump a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau justifiant la publication de documents supplémentaires dans ce dossier. Figure comme Jeffrey Epstein de la jet-set new-yorkaise des années 1990-2000, Donald Trump a été proche de celui-ci jusqu'au milieu des années 2000.
Une lettre aux tonalités lubriques et attribuée au milliardaire républicain à l'attention de Jeffrey Epstein pour son anniversaire en 2003 avait été rendue publique début septembre par les mêmes parlementaires démocrates. La signature du futur président américain figure au pied de la note, à la place du pubis d'une femme esquissée. La Maison Blanche avait démenti que Donald Trump en ait été l'auteur.
Donald Trump a également accusé les démocrates de chercher à « détourner l'attention » en diffusant des emails du délinquant sexuel Jeffrey Epstein, et il a mis en garde les républicains contre « ce piège. »
« Les démocrates essaient de relancer la supercherie autour de Jeffrey Epstein parce qu'ils feraient n'importe quoi pour détourner l'attention des erreurs qu'ils ont faites sur la paralysie budgétaire », a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. « Seul un républicain très mauvais ou stupide tomberait dans ce piège », a-t-il ajouté.
« Trump a dit qu'il voulait que je renonce » à la carte de membre de Mar-a-Lago, la résidence de Floride du président américain, affirme Jeffrey Epstein dans cet email envoyé au célèbre journaliste et auteur Michael Wolff, publié sur X par des parlementaires démocrates, et dont le New York Times et CNN ont été les premiers à faire état. Il précise n'avoir jamais été membre de Mar-a-Lago et ajoute : « bien sûr, il savait à propos des filles, comme il a demandé à Ghislaine d'arrêter ».
« Le fait est que le président Trump a renvoyé Jeffrey Epstein de son club il y a des décennies parce qu'il se comportait mal avec ses employées de sexe féminin », écrit encore la porte-parole de la Maison Blanche.
Dans un autre email de 2011 qui vient d'être révélé, Jeffrey Epstein écrit supposément à sa complice Ghislaine Maxwell que Donald Trump « a passé plusieurs heures » à son domicile avec l'une de ses victimes. La porte-parole de la Maison Blanche Karoline Leavitt identifie cette victime comme étant Virginia Giuffre, qui est morte en avril à l'âge de 41 ans et dont les mémoires posthumes racontent des agressions subies alors qu'elle était sous la coupe de Jeffrey Epstein. Virginia Giuffre « a dit à plusieurs reprises que le président Trump n'avait rien fait de mal et qu'il "n'aurait pas pu être plus amical" dans les interactions limitées qu'ils ont eues », souligne la porte-parole.
Ghislaine Maxwell, complice et ancienne compagne de Jeffrey Epstein, purge actuellement une peine de 20 ans de prison pour exploitation sexuelle. Jeffrey Epstein avait été retrouvé mort en 2019 dans sa cellule, d'un suicide selon les autorités, avant son procès pour crimes sexuels.
Le président américain a toujours démenti avoir connaissance du comportement criminel de celui avec qui il fut proche de nombreuses années avant de se brouiller dans les années 2000, affirmant que leur dispute avait eu lieu des années avant que ces crimes n'éclatent au grand jour.
Ces emails, obtenus par le biais des légataires de Jeffrey Epstein, « soulèvent de graves questions sur Donald Trump et ce qu'il connaissait des crimes horribles d'Epstein », affirment les élus démocrates. La commission dont ils sont membres enquête depuis plusieurs semaines sur la manière dont l'État fédéral a conduit l'enquête et les poursuites contre Jeffrey Epstein.
L'affaire enflamme les États-Unis depuis que le gouvernement de Donald Trump a annoncé début juillet n'avoir découvert aucun élément nouveau justifiant la publication de documents supplémentaires dans ce dossier. Figure comme Jeffrey Epstein de la jet-set new-yorkaise des années 1990-2000, Donald Trump a été proche de celui-ci jusqu'au milieu des années 2000.
Une lettre aux tonalités lubriques et attribuée au milliardaire républicain à l'attention de Jeffrey Epstein pour son anniversaire en 2003 avait été rendue publique début septembre par les mêmes parlementaires démocrates. La signature du futur président américain figure au pied de la note, à la place du pubis d'une femme esquissée. La Maison Blanche avait démenti que Donald Trump en ait été l'auteur.

